Les principaux types de végétation selon les milieux naturels

Le sol

Le sol issu de l’altération des roches volcaniques, les sol basaltique et rhyolitique, se partagent l’essentiel du territoire national. Ces sols sont gén éralement pauvres, peu épais et caillouteux. La plaine de l’intérieur représente des sols argileux à argilolimogneux. Aux moments des pluies, le fonddes dépressions est généralement engorgé temporairement par l’accumulation des eaux des ruissèlements ou des celles apportées par les cru des oueds à écoulement endoréique.
En bordure des plaines et des sols limono-sableux se forment des apports divers : alluvions, colluvions, sables éoliens.
Les plaine côtières sont constituées d’anciens récifs coralliens, des cônes des déjections, des glacis et des coulées des basaltes recouverts des sols ligno-argileux.

Les Ressources en eau

En République de Djibouti, il n’existe aucun cours d’eau permanent. Les réseaux hydrographiques sont constitués par des cours des oueds à écoulement intermittent.
Les eaux souterraines proviennent, pour l’essentiel, des hauts plateaux éthiopiens (sauf pour la nappe de Djibouti) et, dans une moindre mesure, des infiltrations locales, en particulier pour la réalimentation des nappes peu profondes. Ces eaux se présentent sous forme des sources ou sont exploitées par des puits captant ces aquifères.
Les lacs temporaires dans les dépressions, les retenues naturelles ainsi que les mobilisations des écoulements de surface dans des excavations et des citernes enterrées, alimentées par les ruissellements, constituent une ressource en eau non négligeable pour le nomadisme.

Les eaux de surface

Le ruissellement des oueds joue un rôle important dans la recharge des nappes et représente par conséquent une ressource en eau importante. Le réseau hydrographique peut être réparti en deux systèmes : le réseau drainé vers la mer et le réseau drainé vers les plaines de l’Ouest.
Le réseau drainé vers la mer est constitué par :
– les plateaux sud de Djibouti, drainés par les oueds Ambouli, Douda, Weyn, Damerdjog, Deydey Weyn, Wahayyi ;
– les secteurs montagneux au nord du golfe de Tadjourah, drainés par les oueds Weima, Bôsali, Saday, Magâlé et Dariyo ;
– les secteurs montagneux au sud du Golfe de Tadjourah, drainés par les oueds Bêyya Ader et Danân/Bâyya Dader.
Le réseau drainé vers les plaines de l’ouest est constitué par :
– la plaine d’Anbabba (bassin versant de 329 Km2),
– la plaine d’Adwaa (1579 km2),
– la plaine de Der-Ela (405 km2),
– la plaine de Gaggadé (1068 km2),
– la plaine de Hanlé(1930km2),
– la plaine de Gobaad (486 km2),
– le grand Bara (835 km2).
Quinze bassins versants importants totalisent une surface de bassin de 11.317 Km2 dont une majeure partie est en Ethiopie.
Les séries de données hydrométriques disponibles, trop courtes ou non corrélables, ne permettent pas d’avoir une idée générale de la recharge des aquifères par les eaux de ruissellement. A titre indicatif, SCHULTZ a pu estimer la recharge de l’aquifère du bassin d’Ambouli à 5,5 % des précipitations moyennes sur l’ensemble du bassin (soit 6 millions m3/an). D’autres approches situent la recharge dans cette zone entre 10 et 21 millions m3/an.
Les prélèvements en eau sur l’ensemble du pays sont estimés à 13 Mm3/an pour la capitale et moins de 0,7 Mm3/an pour les quatre chefs-lieux de districts d’Ali Sabieh, Dikhil, Tadjourah, et d’Obock.

Les eaux souterraines

Trois principaux types d’aquifères sont actuellement identifiés :
– les aquifères continus : présents dans la plus grande partie de l’ouest du pays et entre Djibouti et Loyada, ce sont des aquifères volcaniques de roches jeunes (série des basaltes stratoïdes de l’Afar). Ils sont parmi les plus productifs ;
– les aquifères discontinus : ce sont des aquifères de roches anciennes (basaltes du Dalha, rhyolites du Mabla, formations sédimentaires secondaires) ;
– lors du recensement de 1988, un grand aquifère a été identifié dans les rhyolites fissurés de la plaine de Hanlé, entre 300 et 800 m de profondeur (T° : 48 ° C, teneur en sel : 1,3 g/l).
Les eaux souterraines (des nappes phréatiques et d’infero-flux) constituent les ressources les plus fiables. Elles sont facilement accessibles avec une technologie simple, peu coûteuse et de qualité plus ou moins adaptée à l’irrigation.
La recharge des nappes se fait par infiltration des eaux pluviales (bassins versants) et infiltration des eaux des crues dans les lits d’oued et les terrasses alluvionnaires qui les bordent. C’est d’ailleurs sur les terrasses alluvionnaires que s’est développée la majeure partie des jardins.
Il a été estimé que le potentiel des ressources en eau de ces nappes superficielles ne pourra assurer que la mise en valeur d’un cinquième (2.000 ha) de la surface cultivable du pays estimée à 10 .000 ha.
Le reste des terres resteront tributaires des nappes profondes, dont la recherche et l’exploitation sont techniquement difficiles et financièrement coûteuses.

La Végétation 

Reflet du climat, la végétation de Djibouti est représentée par des steppes ligneuses constituées essentiellement d’épineux du genre acacia. Dans les plaines et les dépressions se rencontrent des touffes des graminées qui peuvent être denses dans les régions bénéficiant d’un apport d’eau et du sel.
Dans les massif montagneux du nord ( District de Tadjourah) à 800-1000m d’altitude, subsiste une forêt de feuillus et des genévrières à population plus dense mais en voie de dégradation.

Les principaux types de végétation selon les milieux naturels

Les principaux types de végétation naturelle du pays sont essentiellement déterminés par la pluviométrie qui dépend de l’altitude, de la proximité des zones maritimes et du régime des vents. on peut en citer :

La végétation des massifs montagneux et des vallées

Sur les parties montagneuses les plus élevées, grâce à une température moins élevée (d’où une évaporation moindre) et des précipitations plus abondantes, se développent des formations forestières réunissant des plantes d’affinités méditerranéenne et Ethiopienne. On y distingue des formations ligneuses à Juniperus procera(très localisées : sommet du Goda et du Mabla), Terminalia brownii, Olea africana, Cymbopogon sp, Aïzoom canriense, Psidia punctulataet Euryops arabieus.

La végétation des hauts plateaux

Les hauts plateaux (Dakka, Gamaré, Yaguer, Aylaadou, Desseyna, Dahla) sont caractérisés par la présence de steppes succulentes à Euphorbia, Cissus, Caralluma, Salsola… localisées (Gamarré, Yaguer), d’une espèce ligneuse remarquable (Dracanea ombet) et de peuplement à Acaciaet Baica ssp, présent à partir de 600 m dans les massifs d’Ali Sabieh, Arta, Goda, Dadar, plateaux du Yaguer, et Moussa Ali .

La végétation des formations steppiques

La plus grande partie du pays est recouverte par des formations steppiques arbustives à Acacia melliferaou Acacia tortilis(pourtour des massifs du Goda, Mabla, de la Chaîne du Dadar, presque tous les plateaux, collines, bordures dépressionnaires), Rhigozum somalense (région sud-est, massif d’Arta, Hemed, plateaux de Dakka et Aylaadou), Caesalpinia erianthera (versants montagneux en bordure du golfe de Tadjourah à faible altitude).

La végétation des plaines et dépressions continentales et des oueds

Les plaines et dépressions, dans leurs parties recouvertes de végétation, supportent essentiellement des steppes herbeuses à graminées du genre Lasiurus, Panicum, et Cymbopogon : c’est le cas du plateau d’Obock, du secteur littoral Godoria/Doumeira, des grandes dépressions intérieures (Gobaad, Hanlé), du Grand et du Petit Bara, de certaines vallées (Arta, Dikhil…), de plateaux et collines de faibles altitude (sud du Dakka, Ali-Sabieh). Un couvert arboré ou arbustif, généralement très discontinu (recouvrement maximum de 30 % avec une moyenne inférieure à 5 %) est associé à ces formations.
Les espèces suivantes y prédominent : Acacia tortilis, Acacia asak(dans les oueds), Acacia horrida (localement) et quelques fourrés à Cadaba rotundifoliaet Salvadora persica(littoral entre Sagallou et Tadjourah, Gobaad, Hanlé…).

La végétation des plaines côtières

La végétation des plaines côtières est dominée par les steppes à Acacia tortiliset les steppes herbeuses à Cyperus conglomeratus, Sporabolus spicatus ou Acluropus lagapoides, influencées par les infiltrations d’eau marine.
On y trouve également les steppes herbeuses à Lasiurus et à Panicum turgidium dans les plaines littorales de Tadjourah et d’Obock.

La végétation des milieux naturels confinés

Il existe des formations de superficie réduite, mais adaptées à des conditions mésologiques particulières.
C’est le cas des plaines et dépressions inondables où prédominent les formations steppiques à Jatropha glauca(Dakka, ouest de As-Dorra) et ligneuses à Acacia erhenbergiana(Doda, Andabba) et Acacia nilotica(Andabba, Madgoul, Guinnibad et individus isolés çà et là).
Les sources des bordures dépressionnaires (Agna, Daguirou, Minkinlé, Allol…) permettent l’existence de prairies marécageuses (Cyperus laevigatus) à tapis graminéen discontinu (Sporobolus spicatus, Paspalidum geminatum). On y rencontre quelques rares typhaies (Typha sp) et Doumeraies (Hyphaene thebaica).

La végétation sur le littoral

Enfin sur le littoral, la végétation offre des formations basses hétérogènes constituées de prairies à graminées (Aleuropus lagapoides, Sporobolus spicatus)et Cypéracées (Cyperus conglomeratus), de steppes buissonnantes à Limonium sp.et de steppes succulentes à Suaeda sp, cette dernière se présentant en cordons littoraux dégradés au sud-est de Djibouti.
Les mangroves littorales et insulaires de la République de Djibouti sont exploitées à des degrés divers, soit directement pour le pâturage des dromadaires, le bois de construction (perches) ou la fabrication de charbon, soit indirectement pour la collecte des crustacés ou la pêche au filet. Deux mangroves de grande taille peuvent être considérées comme étant dégradées dans l’Ile Musha. La mangrove de Khor-Angar, au nord de Godoria, est dans un état intermédiaire, médiocre. Les mangroves sont fort utiles dans une région sèche où les ressources pastorales sont réduites.
Elles constituent donc un milieu à préserver, car elles sont très fragiles et difficiles à restaurer. De plus, dans la plupart des régions côtières tropicales, plus de 60 % de l’ensemble des prises de poissons commercialisés sont constituées d’espèces dont le cycle vital dépend de la mangrove.

Les plantes introduites

A toute ces végétations, on peut ajouter la présence des plantes introduites notamment le prosopis chilensiset le tamarindus indica. Aujourd’hui, les prosopis encore appelés “arbres envahissantes“ ont conquis des nouvelles régions telles que les régions côtière de Tadjourah, le plaine de Hanlé, le plaine côtière de Damerjog. Ils constituent une ressource fourragère non négligeable, malgré la réticence des éleveurs et des écologistes.
Cependant, sur le 250000ha de forêt et zones de pâturage que comprend le pays, les ressource pastorales sont faibles et sont en voie d’évolution régressive notamment à cause du surpâturage mais également des baisse de pluviométrie.

La démographie

Les données statistiques préliminaires du 2ème Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH) de 2009 estiment la population Djiboutienne à 818 159 habitants, et cette population a doublé depuis 2000. La répartition spatiale de la population reste relativement équilibrée entre la région capitale de Djibouti-ville (58,10 %) et les régions de l’intérieur (41,90 %). Par conséquent, la majorité de la population vit en milieu urbain et plus particulièrement à Djibouti ville. Cette forte urbanisation de la capitale s’explique par la structure de l’économie qui elle-même est conditionnée par les facteurs bioclimatiques. Les autres régions du pays sont peuplées principalement de nomades mais également de ruraux sédentaires. Il est généralement admis que cette population est soumise à un taux de croissance global de près de 6% par an. La densité démographique ne se situe qu’autour de 27,5 habitants /km 2 . La répartition de la population Djiboutienne selon les régions et les catégories est donnée dans le tableau II.

L’économie

Présentation générale

La république de Djibouti figure parmi le pays à faible développement humain avec un Indice de Développement Humain (IDH) en 2004 de 0.494 selon les statistiques mondiales.
Elle est à la fois parmi le groupe des pays à revenu intermédiaire retenu par le Fond Monétaire International avec un PIB par habitant estimé à 947 dollar en 2006. Cette double classification est due par une inégalité de partage des fruits de la croissance et par la base de la composition de son économie, de type tertiaire, et la marginalisation des deux autres secteurs (secteur primaire et secondaire) et l’industrialisation (tableau VI).

Le secteur primaire

L’agriculture

L’agriculture reste limitée à environ 3% du PIB et la production agricole à Djibouti est avant tout de type familial et de subsistance. En effet, la production annuelle des fruits et des légumes ne dépasse guère 6000 tonnes et ne couvre que 10% des besoins nationaux. Concernant les céréales, l’importation couvrent 80% du besoin national. Parmi les problèmes entravant le développement de l’agriculture, on note la non maîtrise des techniques d’irrigation, la faiblesse des organisations de producteurs et l’absence d’infrastructure de stockage ou encore l’insuffisance des ressources en eau. Pour contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire du pays, les autorités Djiboutien ont développé une stratégie d’acquisition de terres agricoles dans les pays voisins avec 3000 hectares des terres arable au Soudan,5000 hectares en Ethiopie et 50000 hectares au Malawi.

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : PRESENTATION GENERAL DE LA REPUBLIQUE DE DJIBOUTI
1.1. La situation géographique et le découpage administratif
1.2. Le climat
1.2.1. Les saisons
1.2.2. La température
1.2.3. La pluviométrie
1.2.4. Les vents
1.3. Les reliefs et les sols
1.3.1. Les reliefs
1.3.2. Les sols
1.4. Les ressources en eau
1.4.1. Les eaux de surface
1.4.2. Les eaux souterraines
1.5. La végétation
1.5.1. Les principaux types de végétation selon les milieux naturels
I.5.2- Les plantes introduites
I.6- La démographie
I.7- L’économie
I.7.1 Présentation générale
I.7.2- L’évolution des secteurs d’activité dans l’économie Djiboutienne
I.7.3- L’évolution des secteurs primaire, secondaire et tertiaire
I.7.3.1- Le secteur primaire
I.7.3.1.1- L’agriculture
I.7.3.1.2- L’élevage
I.7.3.1.2.1- Les modes d’élevage
I.7.3.1.2.2 : Les principales contraintes
I.7.3.1.2.3- Les activités de base
I.7.3.1.2.3.1 La couverture sanitaire du cheptel
I.7.3.1.2.3.2- La sécurité sanitaire des aliments et animaux sur pieds
I.7.3.1.3- La pêche
I.7.3.2- Le secteur secondaire
I.7.3.3- Le secteur tertiaire
CHAPITRE 2 : GENERALITES SUR LE CHANGMENT CLIMATIQUE
II.1- Définition
II.2- Les cycles climatiques
II.3- Le réchauffement climatique
II.4- Les causes du changement climatique
II.5- Les conséquences du changement climatique
II.6- Les solutions au changement climatique
CHAPITRE 3 : EFFETS DU CHANGEMENT CLIMATIQUE SUR DJIBOUTI
III.1- Sur l’environnement
III.1.1- L’état des parcours
III.1.1.1- L’état des parcours des montagnes
III.1.1.2- L’état des parcours des collines, des plateaux et des plaines
III.1.1.3- L’état des parcours des zones d’écoulement
III.1.1.4- L’état des parcours des dépressions et cuvettes inondables
III.1.2- Les vents
III.1.3- L’érosion hydrique
III.1.4- L’érosion éolienne
III.1.5- Les ressources hydriques
III.1.6- Sur la salinisation d’eau
III.2- Sur l’élevage
III.3- Sur les écosystèmes marins
DEUXIEME PARTIE: PARTIE EXPERIMENTALE
CHAPITRE 1: MATERIEL ET METHODES
1.1- La zone et le déroulement de l’étude
1.1.1- La zone d’étude
1.1.2- Le déroulement de l’étude
1.2- L’enquête
1.2.1- Les critères d’inclusion et d’exclusion
1.2.1.1- Les critère d’inclusion
1.2.1.2- Les critères d’exclusion
1.2.2- Le questionnaire (fiche d’enquête)
1.2.3- La pré-enquête
1.2.4- L’échantillonnage
1.2.5- L’enquête proprement dite
1.2.5.1- Les paramètres étudiés
1.2.5.2- La collecte des données
1.3- L’analyse statistique
CHAPITRE II: RESULTATS 
2.1 Les résultats globaux sur les ménages enquêtés
2.1.1- La répartition des éleveurs enquêtés selon les régions (districts)
2.1.2- La répartition des ménages selon les localités
2.1.3- La répartition des éleveurs enquêtés
2.1.3.1- Selon le sexe
2.1.3.2- Selon les sources de revenu
2.1.3.3- Selon le mode d’élevage
2.1.3.4- Selon le système d’élevage
2.1.3.5- La répartitions des éleveurs selon le mode d’exploitation des parcours
2.1.3.6- Le répartition des éleveurs selon l’accès aux soins vétérinaires pour leur cheptel
2.1.4.- Sur le plan environnemental
2.1.4.1- Présence de plante envahissante ( Prosopis :Prosopis chilensis )
2.1.4.2- Points de vue par rapport à la sécheresse
2.1.4.3- Les ressources hydriques
2.1.4.3.1- La disponibilité et sources des ressources hydriques
2.1.4.3.2- Les répartitions des ressources hydriques en fonction des régions et des localités
2.1.4.3.3- Les proportions des éleveurs selon l’accès aux différentes ressources hydriques
2.1.4.3.4- Sur la qualité de l’eau disponible
2.1.4.3.5-Sur l’entretien des ressources hydriques exploitées
2.1.5- Le cheptel
2.1.5.1- La répartition du cheptel selon l’espèce
2.1.5.2- Les pathologies et symptômes observés
2.2- Résultats spécifiques
2.2.1- L’élevage sédentaire
2.2.1.1- Les nombre des éleveurs sédentaires
2.2.1.2- Au plan loco-régional
2.2.1.2.1- La répartition selon les régions (Districts)
2.2.1.2.2- La répartition selon les localités
2.2.1.3- Au plan individuel
2.2.1.3.1- La répartition selon le sexe
2.2.1.3.2-La répartition des éleveurs sédentaires selon la source de revenu
2.2.1.3.3-La répartition selon le mode d’élevage
2.2.1.3.4-La répartition selon le système d’élevage
2.2.1.3.5- Les motifs de la sédentarisation
2.2.1.4- Au plan parcours du bétail
2.2.1.4.1- Les disponibilités des ressources fourragères
2.2.1.4.1.1-La disponibilité des fourrages
2.2.1.4.1.2- L’aliment complément et autres moyens de gestion des parcours des bétail
2.2.1.4.2- Les disponibilités en ressources hydriques
2.2.1.4.3- L’accès aux soins vétérinaires
2.2.2- Elevage transhumant
2.2.2.1- Le nombre des éleveurs transhumants
2.2.2.2- Au plan loco-régional
2.2.2.2.1- La répartition selon les régions (Districts)
2.2.2.2.2. Les répartitions des transhumants selon les localités
2.2.2.3- Au plan individuel
2.2.2.3.1- La répartition des éleveurs transhumants selon le sexe
2.2.2.3.2-La répartition des transhumants selon les sources de revenu
2.2.2.3.3- La répartition selon le mode l’élevage
2.2.2.3.4- LA répartition des éleveurs transhumants selon le système d’élevage
2.2.2.3.5- Les motifs de la transhumance
2.2.2.4- Au plan des parcours du bétail
2.2.2.4.1- La disponibilité des ressources fourragères
2.2.2.4.1.1- La disponibilité fourragére
2.2.2.4.1.2- L’aliment complément et autres moyens de gestion des parcours
2.2.2.4.2- Sur la transhumance, nombre de fois dans l’année et sites d’accueil
2.2.2.4.3- Les obstacles (contraintes) observés durant la transhumance
2.2.2.4.4- La disponibilité en ressource hydriques
2.2.2.4.5- L’accès aux soins vétérinaires
CHAPITRE III: DISCUSSION 
3.1- Les limites de notre travail
3.2- Les données sur le plan loco-régional
3.3- Les données sur le plan individuel
3.3.1-La répartition selon le sexe
3.3.2- La répartition selon les sources de revenu
3.3.3 La répartition des éleveurs selon le mode et le système d’élevage
3.3.4-La répartition des éleveurs selon le mode d’exploitation des parcours
3.3.5- La répartition selon l’accès aux soins vétérinaires
3.4- Les données sur le plan environnemental
3.4.1- Sur la sécheresse
3.4.2- Sur l’eau
3.4.3- La disponibilité fourragére
3.4.4- L’aliments complément (concentré) et autres moyens de gestion de parcours
3.5- Sur la transhumance
3.6- les motifs de sédentarisation et de transhumance
3.7- Sur le cheptel
CONCLUSION
RECOMMANDATIONS 

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