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L’historique du F.D.H.A
La création
Madagascar est sans aucun doute une île riche en ressources halieutiques dont l’exploitation systématique joue un rôle primordial pour son économie. Le principe de création d’un fonds a été identifié par le gouvernement Malgache comme un moyen pour aider l’administration halieutique à venir à bout de ses multiples missions: entre autre pour lui permettre de remplir son rôle d’organe administratif et d’autre part assurer une promotion et un développement de son secteur
C’est un fait que les crédits venant du budget général accordé à l’administration halieutique suffisait à peine à couvrir ses dépenses de fonctionnement, et se révélait souvent voire modiques et même symbolique insuffisant sinon inexistant pour lui permettre de financer d’autres activités, relatives au développement de la pêche et de l’aquaculture.
Pour cette raison fut crée « Fonds de développement halieutique et aquicole » c’est un compte de commerce portant le n°92-24, le 09 Février 1993, dans l’article 15 de l’ordonnance n°93-005 portant loi de finance de l’exercice 1993. Ce compte qui doit être créditeur est ouvert dans les écritures de la paierie générale d’Antananarivo.
Ainsi ce fonds sera appelé à financer des activités jugées prioritaires concourant aux objectifs fixés par le programme cadre global pour le développement de la pêche et de l’aquaculture
Les recettes du fonds
Selon l’article n° 7 du décret 94-701, les recettes du fonds sont constituées par : – Le produit des redevances de location ou de gérance des biens et matériels concernant la pêche et l’aquaculture appartenant au MPRH ainsi que le produit de ces mêmes biens et matériels.
– Le produit de tout impôt et taxe qui pourrait être affecté au fonds en vertu de dispositions législatives.
– Les dons, donations et legs.
– Les dotations et subventions de tout genre allouées au Fonds par l’Etat, par des institutions nationales ou par des organismes internationaux de coopération ou de financement.
– Le produit de compensations financières dues par les Etats ou organisations tierce ou par des ressortissants étrangers, versées en contrepartie du droit d’accès aux eaux maritimes sous juridiction nationale telles que définies par l’ordonnance N°85-013 du 16 Septembre 1985.
– Les recettes résultant des ventes des produits des stations aquacoles appartenant au Ministère chargé de la pêche et de l’aquaculture.
– 75% du produit de la vente des objets et captures, dont la confiscation a été prononcée en vertu des dispositions de l’Ordonnance N°93-022 du 4 Mai 1994 portant réglementation de la pêche et de F aquaculture et des textes pris pour son application.
– 75% du produit des amendes et transactions perçues pour les infractions à l’ordonnance précitée et aux textes réglementaires pris pour son application.
– 75% du produit des redevances et taxes perçues à l’occasion de l’octroi des licences de pêches.
– Toute autre ressource de financement non énumérée dans le présent article et dont le versement a été expressément autorisée par le comité de gestion.
Les structures organisationnelles du fonds
D’autre part les structures organisationnelles du fonds sont constituées par :
– un organe délibératif composé d’un président du comité, les administrateurs ou membre du comité et le secrétaire du comité.
– un organe exécutif composé par le coordinateur, le conseiller technique, le staff du coordinateur, les chefs de projet et les équipes d’exécution. Enfin les avoirs du compte du Fonds sont administrés par le comité de gestion dont le Ministre chargé de la pêche et de l’aquaculture et les membres nommés par voie d’arrêtée ministériel, dont le directeur chargé de la pêche et de l’aquaculture.
– Un représentant du ministre chargé des finances et du budget, un représentant du ministre chargé du commerce, d’un représentant du ministre chargé de la recherche appliquée au développement. Des représentants des opérateurs économiques et des bailleurs de fonds et toute personne désignée par le ministre chargé de la pêche et de l’aquaculture en raison de sa compétence.
Après l’historique du F D H A, ses domaines d’intervention seront expliqués dans 1.1.2
Les principaux domaines d’intervention du F.D.H.A
On a déjà vu que le FDHA a été institué pour soutenir et promouvoir le secteur halieutique et aquicole par des actions et projets jugés prioritaires pour la réalisation des objectifs du programme en concertation avec l’administration des pêches et les bailleurs de fonds.
Les principaux domaines d’interventions du FDHA selon le décret n°94-701 du 08-11-94 suite à l’ordonnance 93-005 article 15 du 09-02-93porte sur :
– L’aménagement des pêcheries et conservation des stocks.
– La promotion de la pêche traditionnelle et artisanale.
– Le développement de l’aquaculture.
– La promotion de la commercialisation locale de poissons et mise en place des infrastructures nécessaires.
– Les opérations de contrôle et de surveillance de l’exploitation et de la commercialisation des ressources halieutiques et aquicole. Les recherches et développement orientés vers une meilleure identification et exploitation active dans le domaine de la pêche et de l’aquaculture.
– Toute opération jugée par le ministre chargé de la pêche et de l’aquaculture compatible et complémentaire à l’exécution des activités précédentes.
– Les projets qui bénéficient d’une assistance du F.D.H.A ne sont pas des projets des entités d’exécution, mais plutôt des projets du ministère de la pêche c’est-à-dire le projet administratif et le financement de chaque projet et plafonné à 350 millions FMG par an ou pas plus de 20% du budget total. Aucune soumission à titre individuel ne peut être octroyée.
Il en est de même pour les groupements associatifs ou professionnels. De plus le MPRH et ses services décentralisés attestent au préalable la représentativité et la viabilité du groupement du soumissionnaire.
En conclusion c’est pour réaliser un de ces objectifs du FDHA dans le financement d’investissement, que ce projet a pris naissance, et il est arrivé à maturité par le désir de réduire le chômage dans la région.
Le chômage
Dans sa manifestation la plus simple, le chômage est un déséquilibre entre l’offre et la demande de travail dont le rapprochement permet d’analyser l’importance du chômage et son évolution. Des jeunes diplômés au sein d’une association se disposent à entreprendre une activité indépendante. Mais ils se heurtent au problème inévitable de financement ou ils sont incompris.
Du fait de l’exode rural, les jeunes paysans arrivés en ville sont déçus, de ne pas être recrutés dans les entreprises faute de qualification professionnelle. A Madagascar « le taux de chômage ne cesse de s’accroître. De nombreux jeunes diplômés sont sans travail car les entreprises sont dans l’impasse et ne peuvent satisfaire leur demande. C’est pour faire face à cette situation d’oisiveté des jeunes talents que le JEPA a conçu ce projet. Notre analyse nous a permis de constater que les chômeurs sont des personnes sans travail, mais qui sont généralement disposées à exercer un emploi ou entreprendre une activité indépendante, pour assurer une rentrée d’argent continue et fiable. Ce projet est né donc en partie de cette situation car il offre une indépendance au travail, l’élevage de poissons assure une rentrée d’argent continue et fiable. Car offre une source de revenu sûre.
Historique du projet
L’historique du projet nous fera connaître l’environnement géographique, et le groupement.
Environnement géographique
Superficie et délimitation;
Le domaine du projet se situe dans le quartier d’Andranomahery Ankorondrano, commune d’Antananarivo III, préfecture Antananarivo ville. C’est une zone industrielle où de nombreuses sociétés importantes sont rencontrées comme la STEDIC, Henri fraise, le Géant Score, la Toyota, la Choechst,….
L’environnement immédiat de l’étang est constitué:
– Au Sud- Est par, le village des jeux.
– A l’Est, par le SOLIMA Ankorondrano et le canal d’Andriantany.
– A l’Ouest, par le quartier d’Andranomahery.
– Au Nord, par des rizières.
C’est un vaste étang de 21000m2 de superficie et de 620 m de périmètre. Il se présente sous la forme d’une assiette. L’aménagement du lieu nécessite deux étapes: d’abord, la construction d’une digue de protection, ensuite le nettoyage de l’endroit en se débarrassant des roseaux (zozoro) et de bambou (bararata), qui y poussent afin d’obtenir les 4000m2 de surface nécessaire au complexe d’étang qui sera ensuite divisé en plusieurs parcelles.
Population
C’est un quartier populeux, dont le dernier recensement a atteint 20.150 habitants. Nos investigations nous ont révélé les faits suivants:
– En premier lieu, que beaucoup de familles sont cultivatrices, fermières qui cultivent le riz en priorité, et élèvent en même temps du gros (les bœufs et les vaches) et du petit bétail (les porcs) ainsi que la volaille.
– En second lieu, que 75% de la population soit quelques 15000 individus sont des jeunes. La plupart d’entre eux, faute de terre cultivable dans ce quartier sont sans travail, et augmente ainsi le taux de chômage.
– C’est d’après ces états de fait que quelques jeunes se sont rassemblés pour créer un groupement en vue de faire face à cette situation.
Le groupement
Cette association composée de vingt membres prend le nom de JEPA ou jeunes et élevage de poisson à Andranomahery en Malagasy TAFITA ( Tanora sy ny Fiompiana Trondro Andranomahery). Rappelons sa création et son statut.
La date de création
Le JEPA par l’attestation d’agrément n°113 MFP/SG/DVRH, est un groupement apolitique et fut créé le 28 Août 1995.
Règlement intérieur
Comme tout groupement, le JEPA a aussi son règlement intérieur. Les membres du bureau sont constitués par: un président, un vice-président, un secrétaire, un comptable, un commissaire aux comptes.
Ils sont élus en assemblée générale. La duré de leur mandat est de deux ans et ils sont rééligibles. Toutefois si l’un d’eux commet une faute lourde ou coupable d’un grave délit, il est suspendu et on le remplace de suite par quelqu’un d’autre. Une assemblée générale a lieu deux fois par an: les mois de Janvier et de Juin. Les membres doivent travailler deux heures par jour, et une absence doit être motivée et justifiée.
En cas de dissolution du groupement JEPA, on remet les matériels à un autre groupement animé du même but philanthropique et social.
Le but du groupement
Le JEPA est un groupement apolitique. C’est une association déjeunes à but philanthropique, c’est-à-dire, qu’à travers ses activités d’élevage et de vente de poissons, par l’aménagement du bassin piscicole et de ses complexes d’étangs, le JEPA se tient pour objectif éradiquer la pauvreté dans le quartier et par conséquent d’obtenir une rentabilité satisfaisante. D’autre part ils peuvent effectuer d’autre travail comme, cultiver ou faire de petits élevages.
Par ailleurs leur but principal est la collaboration dans tout ce qu’ils entreprennent et de ce fait une cohésion entre les membres justifie l’adage :
« l’union fait la force » .
ORGANISATION DE TRAVAIL
Ce chapitre est consacré à l’organigramme et le calendrier de réalisation.
Organigramme
La liste des tâches à réaliser
Voici la liste des tâches à réaliser pour faciliter l’établissement de l’organigramme:
a – Test l’acidité du bassin piscicole
b – Vidange de l’étang,
c- arrachage des herbes et débarras des poissons, les grenouilles, les serpents existants parce qu’ils peuvent détruire les poissons,
d – Division du grand étang en quatre,
e – Construction de la digue de protection,
f – Commande des alevins,
g – Terrassement
h – Achat des matériels pour la construction de la stockage.
i – Construction de la maison, maison du gardien et magasin de
j – Achat des aliments.
k – Transport des alevins et transfert vers l’étang.
1 – Arrachage des herbes, des roseaux dans le complexe d’étang ainsi que les animaux existants,
m – Construction de la digue de protection,
n – Transfert des géniteurs dans le complexe d’étang,
o – Préparation du compost.
p – Plantation du gazon sur la digue de protection.
q – Achat d’une moto pompe pour l’oxygénation,
r – Elaboration du canal d’évacuation.
Ces différentes tâches peuvent être regroupées en trois groupes de travaux:
– Préparation
– Construction
– Elevage et entretien
Travaux de préparation
Pour obtenir une rentabilité satisfaisante il faut que l’élevage soit bien préparé et que la sécurité des poissons soit bien assurée afin d’éviter les méfaits des rôdeurs.
Préparation de l’élevage
La préparation de l’élevage nécessite les différentes tâches suivantes:
– vidange de l’étang.
– Arrachage de toutes les herbes et suppression de tous les êtres vivants dans l’étang.
– Test du sol pour voir s’il est favorable.
– Préparation du compost.
– Commande des alevins.
– Achat des aliments et des matériels.
– Terrassement.
L’ensemble de ces tâches est nécessaire au commencement de l’élevage autrement dit à la mise en œuvre de ce projet.
Ceci doit débuter par la vidange de l’étang, puisqu’on ne peut rien faire tant qu’il y a de l’eau dans l’étang.
Avant de procéder à toutes activités il faut savoir si le sol est favorable, pour cela on utilise une technique simple qui consiste à prendre une poignée de la terre de la surface du fond de l’étang, on la comprime en forme de boule, on la jette en l’air et on la rattrape. Si cette boule demeure compacte, cela veut dire que le sol est favorable; dans le cas contraire il est défectueux parce qu’il contient du sable ou du gravier et ne retiendra pas l’eau. Ensuite on teste la qualité chimique de l’eau par le pHmètre; notons que le sol de caractère acide est aussi favorable pour le tilapia nilotica c’est à dire de pH égal à 6,8. En revanche pour la carpe royale il faut que l’eau soit de PH compris entre 5,5 et 9,5.
Les tests terminés, on procède les travaux d’aménagement et à la préparation du compost qui durera trente jours. La commande des alevins peut se faire simultanément avec ces deux tâches sans attendre leur finition. Comment préparer le compost?
Le compost se prépare généralement à proximité de l’endroit de son utilisation, et de la façon suivante: il est préférable de choisir un emplacement ombragé. Pour avoir un tas de compost voici ce qu’il faut faire. Il faut une première couche de l’herbe et une seconde couche des feuilles en y ajoutant une pelletée de terre superficielle et mouillée avec un peu d’eau pour la faire pourrir plus vite, et la troisième couche est formée par des déjections animales en y ajoutant une pelletée de terre superficielle puis arrosons le tout d’un peu d’eau. A la place des déjections animales on peut aussi utiliser des graines de coton, des fruits gâtés, des ordures ménagères, des cendres du foyer ou des vidanges. Ensuite formons au dessus de tout cela une autre couche d’herbe de feuille, puis une autre couche des déjections animales, jusqu’à ce qu’on ait un gros tas de compost. Enfin, laissons le tas de compost se décomposer pendant un mois. Le compost est utilisé pour fertiliser l’étang et pour que les poissons trouvent beaucoup d’aliment dans l’eau. Pour notre projet on met un seau par semaine par étang.
Préparation du gardiennage
On doit préparer dès le début la maison du gardien. Pour cela on doit faire le terrassement et aussi acheter les matériaux de construction tels que briques, bois, tôles, cailloux etc. …
Les travaux de construction
La construction exige les différentes tâches suivantes:
– La division du grand étang en quatre.
– Construction de la digue de protection.
– Construction de la maison.
De prime abord on divise le grand étang en quatre dont l’étang de ponte, l’étang de production de fingerlings, le troisième l’étang de stockage des géniteurs, enfin l’étang de stockage intermédiaire des alevins. Puisqu’on applique la méthode d’élevage par classe d’âges séparés, on sépare les géniteurs et les fingerlings, de même les alevins avant de les vendre.
De plus la digue de protection devrait être bien fait tout en tenant compte de leur résistance et de leur viabilité afin de protéger l’exploitation contre les éventuelles inondations. C’est la dernière tâche avant de faire entrer les alevins dans l’étang.
Enfin la construction de la maison jusqu’à sa finition est assurée par un maçon. Elle comporte trois chambres l’une pour le gardien et l’autre pour stocker des aliments, la dernière servant de salle de réunion. Sa construction n’attend pas d‘achèvement des autres tâches.
Elevage et entretien
Pour cela on devrait effectuer:
– le transport des alevins
– le transfert des alevins dans l’étang
– la plantation du gazon sur la digue de protection
– l’achat d’une moto pompe pour l’oxygénation
Tout d’abord le transport des alevins n’est fragiles donc il faut être prudent. Il en est de même troisième chapitre.
pas facile parce que les petits poissons sont très pour leur transfert dans l’eau qu’on va parler dans le
D’autre part, il est nécessaire de planter de l’herbe sur les digues de protection pour éviter que la terre ne soit entraînée par la pluie. En outre on aura besoin de moto-pompe pour l’oxygénation surtout pour l’élevage en étang. En principe le taux d’oxygène dissout devrait être 3mg/l pour le Tilapia nilotica. Pour cela l’heure idéale pour cette opération est à deux heures du matin. Nous avons déjà cité toutes les tâches que nous devrions réaliser, maintenant nous allons parler de l’organigramme.
Organigramme:
Les tâches à effectuer, ayant été citées, nous allons voir ci-dessous l’organisation des travaux.
– Rôle de l’individu
– Un président et un vice-président
– un secrétaire
– un contrôleur de gestion
– un responsable commercial
– un responsable de production
– un responsable administratif et financier
– un comptable
– un chef logistique
– deux gardiens
– un commissaire aux comptes
– un conseiller technique
Attribution des tâches
Le président assure le déroulement du projet, il est le premier décideur au sein du groupement. Le vice-président le remplace en son absence. Le secrétaire prend note de toutes les décisions prises par le président.
Le responsable commercial assume toutes les correspondances et les relations avec les clients comme le contrat et l’étude du marché. Le responsable administratif et financier garantit la gestion du fonds du groupement, aussi bien que les activités au sein de l’administration comme l’élaboration du dossier pour l’octroi d’un financement auprès du FDHA ainsi que la collaboration avec le MPRH.
Le comptable comptabilise toutes les opérations journalières du projet et élabore le budget.
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Table des matières
INTRODUCTION
Première partie : PRESENTATION DU PROJET
Chapitre I :GENERALITE SUR LE PROJET
Section 1 : Genèse du projet
1.1 -Le F.D.H.A
1.1.1- L’historique du F.D.H.A
1.1.2- Les principaux domaines d’intervention du F D.H. A
1.2-Le chômage
Section 2 .L’historique du projet
2.1 -Environnement géographique
2.1.1-Superficie et délimitation
2.1.2-Population
2.2-Groupement
2.2.1-Date de création
2.2.2-Règlement intérieur
2.2.3- But
Conclusion du premier chapitre
Chapitre II ORGANISATION DE TRAVAIL
Section l : Organigramme
1.1 – Liste des tâches à réaliser
1.1.1 Travaux de préparation
1.1.2. Les travaux de construction
1.1.3. Elevage et entretien
1.2-Organi gramme
1.2.1Attributiondestâches
1.2.2 Schéma de l’organigramme
Section 2 : Calendrier de réalisation
Conclusion du deuxième chapitre
Chapitre III :DESCRIPTION DU PROJET
Section 1 : Définit ion du projet
1.1-Qu’est-ce qu’un projet ?
1.1.1-Quand ?
1.1.2-Conséquence ?
1.2-Soumissionnaire
Section 2.-Processus de production
2.1- Technique de production
2.1.1-La digue de protection
2.1.2-L’eau
2.1.3-Composition d’aliment
2.1.4-Comment transporter les petits poissons
2.1.5. Choix de la structure d’élevage
2.2- Moyen de production
2.2.1-Moyen matériel
2.2.2-Travail
2.23-Moyen financier
Conclusion du troisième chapitre
Deuxième partie:_ETUDE DE MARCHE
ChapitreI :CAPACITE DEPRODUCTION
Section 1 : Etude du produit
1.1-Choix de la race à élever
-Carpes royales
1.1.2-Tilapia Nilotica
1.2-Taux de mortalité et taux de ponte
1.2.1-Quantité produit en une période
1.2.2-Taux de mortalité
Section 2-Clients potentiels
2.1-Variable descriptives
2.1.1–CSP(structuredes clientsparcatégories socio-professionnelles)
2.1.2-Age et sexe
2.1.3-Habitude
2.2-Variable explicatives
2.2.1-Motivation
2.2.2-Attitudes etcomportements
2.3-Style de vie
2.3 La vente des alevins
2.3.1. Evaluation du marché en alevins
Conclusion du premier chapitre
Chapitre II ETUDE DE PRIX
Section 1 : Prix de revient
1.1-Analyse des coûts
1.1.1-Coût de production
1.1.2-Coût de revient
Section 2-.Prix,devente
2.1- Etude d’élasticité
2.2- Etude de concurrence
2.3- Test de prix
Conclusion du deuxième chapitre
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
Troisième partie : ETUDE DE FAISABILITE
Chapitre I :COUT DES INVESTISSEMENTS
Section 1 : Eléments
1.1 Le terrain
1.2 Les matériels d’élevage
1.3 Bâtiment
1.4 Animaux reproducteurs
1.5 Matériel de transport
1.6 Aménagement du bassin piscicole
Section 2 : Tableau de calcul
2.1 Les matériels d’élevage
2.2 Animaux reproducteurs
2.3 Devis quantitatif et estimatif du logement
Conclusion du premier chapitre
Chapitre II : ETUDE FINANCIERE
Section 1:Tableau d’amortissement
Section 2 -.Bilan d’ouverture
2.1-Fonds de roulement
2.2-Besoin en fonds de roulement
Section 3 : Compte prévisionnel de résultat
Section4:Plan de trésorerie
4.1-Définition
4..2- Budget de trésorerie
4.3- Compte prévisionnel de trésorerie à court terme
Section 5:Le tableau des grandeurs caractéristiques de gestion
– Tableau de calcul
Section 6 – Bilan prévisionnel
– Calcul de ratios
CONCLUSION DE LATROISIEME PARTIE
Quatrième partie : EVALUATION DU PROJET
Chapitre I EVALUATION ECONOMIQUE
Section 1 : Valeur Ajoutée
Section 2 : Rentabilité économique
Section 3 : Le potentiel d’autofinancement
Chapitre II : EVALUATION SOCIALE
Section 1 : Création d’emploi
1.1- Augmentation de revenu
1.2 -Diminution du nombre d’analphabète
1.3 –Sécurité sociale
Section 2: La Santé
2. 1 -Empêche le développement des moustiques
2. 2- Accroissement de l’apport protéinique animal sur la population
Chapitre III: EVALUATION FINANCIERE
Section I : Résultat du projet
9- Récupération et rentabilité de l’investissement
Section 2 : Etude du seuil de rentabilité
CONCLUSION DE LA QUATRIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE
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