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Les principaux concepts autour de la pollution des eaux
La pollution de l’eau survient lorsque des matières en suspension sont déversées dans l’eau qui dégrade sa qualité. L’eau est une substance unique parce qu’elle se renouvelle et se nettoie naturellement en permettant aux polluants de s’infiltrer par le processus de sédimentation ou de se détruire, en diluant les polluants au point qu’ils aient des concentrations qui ne sont pas nuisibles. La pollution des eaux n’est pas un phénomène récent. Elle remonte aux époques préhistoriques. En général, elle vient de la contamination d’un ou de plusieurs composantes de l’écosystème. C’est aussi la conséquence de tout agissement humain et la dégradation de l’écosystème. Le plan d’urbanisme inadapté aggravé par la surpopulation agit directement sur l’état des eaux de la rivière.
Les différentes définitions de la pollution des eaux
La pollution est une dégradation de l’environnement par l’introduction dans l’air, l’eau ou le sol des matières n’étant pas présentes naturellement dans le milieu .La pollution de l’eau constitue toute modification chimique, physique ou biologique de la qualité de l’eau qui a un effet nocif pour les êtres vivants, qui la consomment. Les eaux polluées ne sont pas utilisables pour l’usage désiré.
Une définition courante de la pollution des eaux
Quelques définitions peuvent illustrer la pollution des eaux. C’est l’introduction des déchets industriels et institutionnels et d’autres matières nocives ou nuisibles, en quantité suffisante pouvant entrainer une dégradation mesurable de la qualité de l’eau. Non seulement qu’elle se rapporte plus à l’environnement de même définition courante dans le dictionnaire que la pollution de l’eau, mais se manifeste également dans les eaux de surface ou eaux superficielles dont les rivières, les plans d’eau. Elle provient d’une altération de la qualité de l’eau et de sa nature qui rend son utilisation dangereuse voire même jusqu’à la perturbation de l’écosystème aquatique. C’est aussi le problème de la contamination de l’eau qui varie d’une région à l’autre.
Une définition selon les lois fondamentales
A Madagascar le code de l’eau définissant la pollution dans l’article 13« la pollution des eaux s’entend de tous déversements, écoulements, rejets ,dépôts directs ou indirects de matières de toutes natures et plus généralement de tout fait susceptible de provoquer ou d’accroître la dégradation des eaux, en modifiant leurs caractéristiques physiques, chimiques ou bactériologiques et radioactives qu’il s’agisse d’eaux de surface ou souterraines ».
Par ailleurs, lors d’un séminaire qui a eu lieu à Genève en 1961, les experts européens se sont mis d’accord que la pollution est une modification défavorable d’un milieu naturel ayant un effet négatif sur la santé de l’homme ou d’autres organismes.
Les points de vue des chercheurs concernant la pollution des eaux
La pollution des eaux dans l’Histoire
La pollution de l’eau est un phénomène les plus antiques avant la sédentarisation de l’humanité. D’après Ramade6 (1982) les premières cités étaient souillées par l’écoulement des eaux usées domestiques et par des ordures et autres résidus entassées dans les rues.
Au cours des milliers d’années, la pollution se manifeste par la contamination des eaux superficielles et des nappes phréatiques par des bactéries pathogènes et des substances fermentescibles introduites dans les réseaux hydrologiques par les déchets domestiques qui restent toujours un problème insolvable dans les pays en développement et qui est la source de morbidité grave comme les hépatites virales ou choléra.
Pendant le XIXème siècle, la révolution industrielle avait recours aux besoins énergétiques à travers l’extraction du charbon et du pétrole .Les combustibles devinrent la source d’innombrables pollutions de l’air, de l’eau et des sols depuis le stade de leur extraction jusqu’à celui de leur utilisation. Le progrès de la civilisation moderne, de la technologie, surtout en chimie organique de synthèse depuis les années 60 et en énergie nucléaire ne fait qu’aggraver les anciennes contaminations de l’environnement.
Des contaminants contribuant à lapollutionde l’eau
Un polluant est défini comme une substance produisant une altération de nature à nuire à la santé de l’homme et à endommager les potentialités d’un milieu. Certains scientifiques ont émis sur une thèse selon ces types des polluants. René Colas7 a décrit qu’il y a les polluants de l’eau naturelle. L’eau circule en permanence dans l’atmosphère, sur la terre et sous la terre et n’est jamais absolument pure du fait du cycle qu’elle parcourt .En retombant du ciel les eaux se chargent de produits plus ou moins polluées comme les poussières, le gaz carbonique et les radioactives. Tous ces éléments sont des corps étrangers en contact avec le monde vivant provenant des activités humaines et des produits dégagés dans l’atmosphère. Par conséquent l’eau naturelle est chargée d’impuretés et parfois des microorganismes dangereux pour notre santé.
Quant à la pollution par les Matières En Suspension(MES), elle se définit par des quantités excessives de matières en suspension. Les MES proviennent de l’érosion de terrains agricoles, de rives de cours d’eau dégradées. Les MES rendent l’eau trouble et ont un effet néfaste sur la qualité de l’eau en véhiculant des produits toxiques, organiques ou non dans l’eau. Des composés insolubles et toxiques adhèrent à la surface des MES et lorsqu’elles pénètrent dans l’eau, les produits chimiques toxiques y pénètrent aussi.
Pour les matières organiques8, ils sont des substances composées de produits chimiques qui comprennent les pesticides, les solvants et autres produits chimiques industriels et plastiques. Ces produits s’infiltrent dans le sol jusqu’à la nappe phréatique ou contaminent les eaux de surface par l’écoulement. Par, ailleurs, selon Christophe Toussaint Soulard9 l’eau est menacée par la pollution de l’agriculture alors qu’elle occupe une place prépondérante autant par sa quantité que sa qualité. L’agriculture a recours à des produits chimiques : pesticides, insecticides désherbants destructeurs, divers parasites des plantes, des engrais azotés afin de subvenir aux besoins alimentaires de la population. Des autres produits sous forme de nitrates ou phosphates se retrouvent en grande partie dans les eaux surtout dans les rivières. A titre d’exemple, les pesticides sont présents dans la quasi-totalité de l’eau.
Les villes : sources de pollution permanentes des cours d’eau
Dans les villes des pays en développement, les pollutions se retrouvent dans les cours d’eau. Les causes de la dite pollution sont nombreuses et variées mais particulièrement par les activités humaines. C’est la principale source de contamination des eaux notamment l’urbanisation et l’industrialisation.
D’abord, les populations produisent une énorme quantité de déchets ; ensuite il est à remarquer aussi la forte consommation en eau qu’elle engendre ce qui entraine la production d’une quantité considérable d’eau usée surtout domestique. En outre, les cours d’eau sont considérés comme un dépotoir de déchets ou encore comme un lieu de vidange des fosses sceptiques qui sont qualifiés comme un des facteurs polluants. Notons aussi les problèmes de gestion des déchets solides et liquides dans les villes. Les responsables concernées n’arrivent plus à ramasser les détritus, en effet il y a le déversement incontrôlé des déchets urbains dans les plans d’eau, dans des décharges à ciel ouvert et dans des sites d’enfouissement mal conçus, une des principales causes de contamination des eaux souterraines. Bref, la gestion du volume des déchets solides peut poser des problèmes majeurs aux autorités municipales.
Quant à l’industrialisation, Lazare N.DIESSE11 affirme que c’est l’une des causes majeures de la pollution de l’eau dans les villes : les industries ne traitent pas leurs effluents liquides ou gazeux avant leur rejet dans le milieu naturel également, les industries apportent ainsi les effets sur les populations riveraines.
Un espace naturel façonné par la rivière
Tout espace est drainé par ses réseaux hydrographiques qui peuvent être alimenté par ses précipitations. Ses réseaux sont vitaux pour les habitants et au cours de son itinéraire, Ikopa et ses affluents façonnent son espace naturel.
Un site naturel arrosé par l’IKopa et bénéficiant des conditions physiques
Antananarivo est l’une des villes qui possèdent beaucoup de rivières si on ne cite que l’Ikopa lui-même au départ rejoint la ville par ses affluents jusqu’aux périphéries qui se limite au sud de la ville.
Une succession de plaines et de collines
En général, le relief de l’agglomération d’Antananarivo est très varié, peu accidenté et cette structure favorise l’irrigation de l’Ikopa. Cette rivière draine sur sa rive droite les bassins versants d’Ambohimanambola Sud Est et Nord-Ouest, ainsi que les bassins versants d’Ambohimangakely, de Soamanandrariny et de l’Université d’Antananarivo. Il draine ensuite les bassins versants de Mandroseza via le lac Mandroseza et de Mahazoarivo.
A son aval, du côté d’Anosizato à Ambohitrimanjaka, l’Ikopa traverse la vaste plaine du Betsimitatatra tandis que sur sa rive gauche, la plaine est ceinturée par la Sisaony sur sa partie Ouest. Plusieurs ilots en émergent, entre autres Itaosy, Bemasoandro, Andranonahoatra, Ambohidrapeto et Ambohitrimanjaka.
Par conséquent la zone représente différentes formes de relief allant du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest. (cf. croquis n°2)
Le réseau hydrographique permet de bien distinguer la zone d’études en 5 parties suivant les caractéristiques géomorphologiques12 .D’abord, dans la partie Sud de l’agglomération : il y a la succession de collines et de larges plaines longeant les deux cours d’eau : la rivière de l’Ikopa et de la Sisaony : comme la commune de Tanjombato. Quant à la rive droite ou la partie amont de l’Ikopa, le relief est composé par le flanc Sud de la colline de Mahatsinjo d’Ambohimanambola. A l’ouest sur la rive droite ou la partie amont de l’Ikopa, la forme du relief est marquée par des collines à pente modérée situées au milieu d’une plaine alluviale.
Elle regroupe plusieurs communes traversées par la rivière Sisaony comme la commune d’Anosizato Andrefana vers Ambohitrimanjaka. Ensuite la partie Nord-Ouest est formée par des zones collinaires dans l’extrémité Ouest à pente faible avec une altitude moyenne autour de 1260m, entre autre les communes d’Ambohidratrimo, Talatamaty, Ambohibao. Enfin, au centre l’agglomération de la ville d’Antananarivo est située dans la plaine de Betsimitatatra de 388km2 qui s’étale du Nord au Sud distant d’une cinquantaine de km. Aux alentours, les collines s’imbriquent en désordre dans la plaine en s’émiettant vers l’Ouest sous forme de « Tertres » émergeant des rizières qui les entourent.13 Le croquis n°2illustre le relief au niveau de la zone d’étude.
Une vaste étendue de plaines inondable
La plaine d’Antananarivo est le résultat d’une sédimentation dans un lac de barrage tectonique de formation récente, qui est ultérieurement remblayé par les alluvions. En effet les zones basses sont constituées principalement de plaines alluviales dans lesquelles s’écoulent généralement les rivières.
Elle comprend un vaste marécage gorgé d’eau étant donné que la plaine est traversée par l’Kopa et ses affluents : Mamba, Sison et Andromba dont l’écoulement se fait schématiquement du Sud, du Sud-Est et de l’Est vers le Nord-Ouest, s’effectuent presque toujours au dessus de la plaine.
Des collines : Source d’eau naturelle
Les collines sont principalement composées de sols ferralitiques dont la nature et l’évolution ainsi que la pente sont propices à l’écoulement de l’eau sur les collines. Elles sont assez peu perméables et sont hétérogènes à cause des fortes pentes qui engendrent une accumulation des eaux. A Madagascar, presque tous les cours d’eau prennent leur source dans les massifs montagneux. L’eau de l’Ikopa sort naturellement dans l’amont d’Ambohimanambola qu’on l’appelle Varahina Sud
Une rivière alimentée d’un régime de pluies
La rivière Ikopa se situe dans une zone climatique des Hautes Terres Centrales. En fait elle est caractérisée par deux saisons bien distinctes : une saison chaude et humide s’étalant de Nov à Mars, une saison fraiche et relativement sèche d’Avril à Octobre. D’ailleurs, l’altitude moyenne dans la région d’Antananarivo supérieur à 1000m favorise des températures relativement douces et une pluviosité assez élevée.
D’après la courbe ombrothermique, l’année comprend sept mois pluvieux s’étalant d’Octobre en Avril et une faible pluviosité sur le reste de l’année. D’après les études comparatives des deux saisons, nous pouvons en déduire que la saison des pluies constitue la période la plus favorable à l’écoulement d’une rivière et l’impureté du liquide. Au cours de la condensation, la pluie est en contact avec des produits en suspension dégagés dans l’atmosphère. C’est ainsi que la pureté de l’eau de pluie est corrompue.
Les conditions climatiques : facteur favorisant l’écoulement de la rivière
Une enquête récente effectuée par le Ministère de l’Eau et l’ONU-Habitat renseignant sur les valeurs des températures et les fréquences annuelles des pluies dans l’agglomération d’Antananarivo. Dans une année, les températures se trouvent entre la fourchette de 10°C à 28°c. Le mois de Février a un maximum de 28°C. Entre autre, pendant l’hiver, plus précisément le mois de Juillet la température baisse jusqu’à 10°C et une moyenne de 14,1°C. De plus, Antananarivo a des températures assez élevées et leurs variations dépendent de la situation géographique du pays. Quant aux précipitations, la moyenne annuelle est de 1346m. Le maximum se constate au mois de janvier atteignant parfois le 295mm et une moyenne minimale de 8mm en mois de Juin. Le nombre moyen de jours de pluies est de 153jours. Pendant la saison pluvieuse les précipitations deviennent très intenses soit sous forme d’averses orageuses, soit de type pluie cyclonique.
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Table des matières
Première Partie : APPROCHEGEOGRAPHIQUE DES EAUX DE L’IKOPA
CHAPITRE I : LES REFLEXIONS DANS LE CADRE D’UN PROCESSUS DE RECHERCHE ADOPTE
1 .1 : Des réflexions géographiques et étapes
1.1.1La recherche des données nécessaires
1.2. Les procédures des travaux sur terrain
1.2.1Le déroulement des enquêtes sur terrain
1.2.1.1Le choix des ménages à référence
1.2.1.2L’enquête effectuée auprès des personnes responsables des infrastructures
1.2.1.2Les choix des structures administratives à étudier
1.2.2L’analyse d’échantillon d’eau au laboratoire
CHAPITRE II : LES PRINCIPAUX CONCEPTS AUTOUR DE LA POLLUTION DES EAUX
2 .1 : Les différentes définitions de la pollution des eaux
2.1.1 Une définition courante de la pollution des eaux
2.1.2 Une définition selon les lois fondamentales
2 .2 : Les points de vue des chercheurs concernant la pollution des eaux
2.2.1La pollution des eaux dans l’Histoire
2.2.2 Des contaminants contribuantà lapollutionde l’eau
2.2.3 Les villes : sourcesdes pollutions permanentes des cours d’eau
CHAPITRE III : UN ESPACE NATUREL FAÇONNE PAR LA RIVIERE
3 .1 : Un site naturel arrosé par l’IKopa et bénéficiant des conditions physiques
3.1.1Une succession de plaine et des collines
3.1.1.1 Une vaste étendue de plaine inondable
3.1.1.2Des collines : Source d’eau naturelle
3.1.2 Une rivière alimentée d’un régime de pluies
3.1.2.1 Les conditions climatiques : facteur favorisant l’écoulement de la rivière
3.1.2.2 les débits des rivières
3.1.3.2 L’inter relation entre l’eau et le sol
3.2 L’Ikopa : Un élément vital pour la population de l’agglomération d’Antananarivo
3.2.1Un cours d’eau utile à l’agglomération
3.2.1.1 L’accroissement démographique galopant en besoin d’eau potable
3.2.1.2La croissance de la population très élevée
3.2.2. Les problèmes d’assainissement liés à l’évolution de la population
3.2.2.1Difficulté d’accès à l’eau potable
3.2.1.2 L’irrigation de la plaine assurée par l’Ikopa
3.2.2L’Ikopa source des activités génératrices des revenus et de distraction
3.2.2.1L’extraction de sable et l’eau de navigation
3.2.2.2 Les différentes sortes de lavage
3.2.2.3La briqueterie
3.2.3 Lieu d’activités récréatives : la pêche et la nage
Conclusion de la première partie 40
Deuxième Partie : IKOPA UNE RIVIERE PARTIELLEMENT POLLUEE
CHAPITRE IV : LA POLLUTION DE DIFFERENTES ORIGINES
4.1 : IKopa : Terminus des eaux usées de la ville
4.1.1. Lieu de déversement des eaux usées
4.1.1.1Les rejets des effluents industriels des deux zones industrielles : « Tanjombato et Ankadimbahoaka »
4.1.1.2Les rejets des effluents urbains de la station de pompage
4.1.2. Lieu d’évacuation des excrétas au niveau d’Ambohitrimanjaka
4.1.2. Andramiarana un site de décharge à proximité de l’Kopa
4.1.3Absence d’infrastructure appropriée
4.3 : Espace urbanisé non structuré
4.3.1. Le plan d’urbanisme non respecté
4.3.2. Des occupations illicites dans les zones non constructibles
4.3.2.1Type d’habitation
4.3.2.2Les problèmes d’hygiène
4.3.3. L’inexistence de traitement des déchets par des services communaux
4.3.3.1Absence de la volonté politique à propos des déchets liquides
4.3.3.2Des moyens financiers insuffisants
CHAPITRE V : LES CONSEQUENCES ENVIRONNEMENTALES ET SOCIALES PROVENANT DE LA POLLUTION
5-1-Dégradation de la qualité des eaux d’Kopa
5-1-1-L’état de la pollution des eaux de l’Kopa
5-1-1-1- Une rivière troublée et colorée à proximité des deux zones industrielles « Tanjombato et Ankadimbahoaka »
5-1-1-2-L’eau polluée et non conforme selon la JIRAMA
5-2-1-Les contraintes de production liées à la pollution industrielle
5-2-1-1-L’excès des produits organiques toxiques dans les rizières
5-2-2-2- Le déficit de la production rizicole affirmé
5.2. Précarité des conditions de vie de la population
5-2-1.Menaces des inondations
5-2-2.L’étude des cas de la commune rurale d’Anosizato
5-2-3.Risques sanitaires liés à la pollution des eaux
5-2-3-1.Les pollution diverses : vecteurs des maladies
5-2-3-2.Prolifération des maladies
CHAPITRE VI : LA MEILLEURE STRATEGIE DE LA REDUCTION DE LA POLLUTION DES EAUX
6.1-Considération des actions d’élimination des nuisances vis-à-vis de la rivière
6.2-Les implications des intervenants locaux et Nationaux dans la gestion des déchets liquides
6.2-1La politique de l’Etat en matière d’assainissement et d’hygiène
6.2-2Les ONG intervenants pour le traitement des boues de vidanges
6.2-2-1.La présentation de l’ONG EAST et ses rapports d’activités
6.2-2-2.Les impacts socio-économiques et environnementales
6.3-Proposition et Aménagement
6-3-1.Aménagement de stations d’épuration
6-3-2.Etude de cas de la commune de Tanjombato
6-3-2.Action à mener au niveau de la municipalité
Conclusion de la deuxième partie
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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