Les principales activités de santé maternelle et infantile et de planification familiale offertes dans le secteur sanitaire de Belobaka

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Généralités sur la participation communautaire

Qu’est ce que la participation communautaire ?

Chez les auteurs, le terme « Communautaire » a eu les principales acceptations suivantes [3] :
– un groupe d’individus vivant dans le même périmètre et partageant lesmêmes valeurs fondamentales et la même forme d’organisation ;
– un groupe d’individus ayant les mêmes intérêts fondamentaux à un moment donné ;
– un groupe d’individus visés aux fins de telle ou telle intervention particulière.
Les soins de santé primaires s’assignant des objectifs d’équité,d’efficacité et d’efficience, il est important de cerner les gens qui en ont le plus besoin et de juger réalistement de la façon dont les changement peuvent s’opérer.
Pour ce qui est de la « participation », il ressort tout aussi clairement qu’elle doit être active et impliquer des choix qui risquent de s’avérer efficaces.
Nous sommes donc enclins à penser que la participation communautaire es t un processus social dans lequel des groupes particuliers ayant des besoins communs et vivant dans un périmètre déterminé s’emploient activement à définir leurs besoins tout en prenant des décisions et en se dotant des mécanismes destinés à satisfaire à ces mêmes besoins. [4]

Participation communautaire à la couverture en soins de santé 

Pour faire en sorte que les services de santé soient familiarisés avec les conditions de vie et les problèmes sanitaires de la population cible, s’adaptent aux réalitéset ressources locales et soient finalement acceptés par les patients, il est indispensable que lapopulation cible participe à la conception et à la structuration des services de santé.
Cette participation porte d’une part sur la coopération active de la communauté à la structuration des services de santé, d’autre part sur des activités sanitaire propres aux quelles les services de santé peuvent participer.
Il est bien connu que les familles et/ou les communautés peuvent se charger elles-mêmes d’une grande partie des traitements et des mesures de prévention.
Pour que la communauté s’engage dans une telle coopération, il est ertainementc important, que cette dernière y voit un avantage concret.

Activités communautaires en rapport avec la santé

Dans une optique d’efficacité et de durabilité des nombreuses activités sanitaires importantes, qui relèvent autant de la prévention primaire et secondaire que des soinscuratifs, doivent être assumées par les communautés elles-mêmes. Le volume et le succès de ces ctivitésa dépendent du contexte socioculturel, de l’engagement sociopolitique et personnel des membres de la communauté et de ses leaders ainsi que de l’appui qui leur est fourni par les instances politiques de même que par leur service de santé.
Les communautés devraient au moins prendre en charge les activités suivantes:
– entretien des points d’eau ;
– élimination des eaux usées et des déchets domestiques ;
– introduction et surveillance de mesures d’hygiène générale ;
– activités de protection maternelle et infantile ;
– assistance sociale (pauvres, marginaux)
– assistance médico-sociale aux patients atteints de maladies chroniques (tuberculoses, SIDA, lèpre, etc. …).
D’autres activités peuvent être envisagées en coopération avec lesservices de santé et les services sociaux (ainsi qu’avec les différents services compétents dans d’autres secteurs) et doivent être très largement préconisées :
– mesures spécifiques de promotion des jeunes
– soutien de campagnes sanitaires spécifiques (vaccination, supplémentation en Vit A, lutte contre les vecteurs du paludisme, de la bilharziose …)
– soutient des services de planification familiale.

Les structures de mise en œuvre des activités communautaires pour la santé

Le comité local de développement du District

L’administrateur du District (Le Sous-préfet) est habituellement le président de comité multisectoriel. Les autres membres du comité sont le Chef de l’équipe de santé ; les représentants locaux des départements gouvernementaux ; les représentants des comitésde développement des communes du district ; les associations de femmes, de jeunes et des corps professionnels du district ; les représentants des organisations internationales et des organisations non gouvernementales travaillant dans le district.

Le comité de santé du district

C’est un sous Comité Local de développement ; et parmi ses membres devraient figurer les personnels sanitaires du district, des représentants des autres départements ministériels au niveau du district, de même que certains représentants des communautés, desassociations de professionnels de santé, des groupes spéciaux, des associations et des organisations gouvernementales travaillant dans le secteur de la santé et les secteurs apparentés.
Le chef du district est normalement le président du comité alorsque le médecin inspecteur fait office de secrétaire. Les fonctions du comité consisteront à :
– fournir un appui à la mobilisation générale des communautés du districten faveur de l’action sanitaire
– organiser et soutenir les activités d’éducation pour la santé
– veiller à certifier que chaque communauté du district dispose d’un plan opérationnel pour les activités de santé communautaire
– organiser le système de santé du district pour fournir l’appui approprié aux initiatives de santé communautaire
– surveiller la mise en œuvre des activités de santé et évaluer leur impact sur l’état de santé, la couverture sanitaire et la satisfaction des besoins sociaux liés à la santé.

Le comité communal de développement

Chaque commune devrait avoir un comité de développement dirigé par le maire ou tout autres responsable nommé par les membres du comité. Les autres membresdu comité devraient normalement comprendre un représentant de l’enseignement au niveau local et les représentants des groupes religieux, des groupes / associations des femmes, des associations et clubs des jeunes.

Les fonctions de ce comité comprennent :
– la motivation de la communauté pour les activités de développement ;
– la couverture de tous les aspects du développement de la commune ;
– la planification du développement général de la communauté ;
– la fixation des buts réalisés de développement sanitaire ;
– l’identification des ressources disponibles dans la communauté, leur allocation adéquate et utilisation efficace pour tous les aspects du développement de la communauté ;
– la surveillance et l’évaluation de l’impact des activités de développement sur le développement socio-économique de la communauté ;
– la collaboration avec les organisations et agences entreprenant les activités de développement dans la communauté afin de coordonner leurs efforts ;
– la supervision et l’appui approprié aux activités et opérations communautaires.

Le Comité de santé communautaire

C’est un sous comité du comité communal de développement qui exécuteabituellementh les fonctions suivantes :
– la mobilisation sociale de la communauté pour l’action sanitaire ;
– l’identification des problèmes communautaires liés à la santé ;
– la détermination des priorités et cibles relatives aux problèmes communautaires liés à la santé ;
– la détermination des activités susceptibles de résoudre les problèmes liésàla santé ;
– la détermination et l’identification des ressources nécessaire pour résoudre les dits problèmes ;
– le développement du plan de santé de la communauté ;
– l’établissement et la gestion des fonds communautaires de santéauto renouvelables (fonds d’équité)
– L’appui gestionnaire à la mise en œuvre des activités prioritaires lié es à la santé ;
– La collecte et l’analyse des données sanitaires et démographiques de base et l’utilisation de leurs résultats pour la prise de décision ;
– La surveillance et l’évaluation des activités da santé communautaire ;
– La sélection des membres de la communauté à former comme travailleurs desanté ;
– La supervision administrative des travailleurs de santé du Fokontany.

Exemples de participation communautaire dans les soins de santé

· Birmanie
Les valeurs religieuses et socioculturelles et le régime politique de la Birmanie incarnent les principes de l’engagement et de la participation communautaires tels qu’ils sont énoncés dans la déclaration d’Alma-Ata. L’engagement et la participation communautaires font partie de la politique de l’Etat dans tous les aspects du développement, y compris la santé. Dans le domaine du développement sanitaire, les succès ont porté sur les campagnes d’assainissement, les secours en cas de catastrophe naturelle, la lutte contre les épidémies de peste transmise parles rats et la vaccination de masse : la participation communautaire était une composante vitale de chacune de ces initiatives. Les communautés ont également contribué au développement sanitaire d’autres façons.
a) aide directe des communautés aux agents de santé de village en vue du réapprovisionnement en médicaments essentiels et de la construction de postes sanitaires villageois ;
b) main d’œuvre bénévole pour des projets ruraux d’approvisionnement en eau, de construction de latrines et d’aménagement de fosses à ordures ;
c) participation communautaire sous forme de conseils populaires villageois à la planification, à l’organisation, à l’encadrement administratif et a u contrôle des activités de soins de santé primaires
On a constaté en Birmanie que la qualité du travail accompli parles agents de santé, leur attitude positive et leur leadership sont des facteurs importants pour maintenir et soutenir la participation communautaire.

Les autorités sanitaires encouragent les communautés aussi que lepersonnel des services de santé à présenter des : idées nouvelles et, la où c’est possible, elles sont disposées à fournir des ressources pour mettre en œuvre les init iatives en matière de santé qui émanent des communautés.
· Pérou
Au Pérou, l’administration s’est engagée à démocratiser les services de santé du pays. Les ressources financières et humaines affectées aux services desanté par l’Etat doivent être réparties de façon équitable et simultanément le peuple péruvien sera encouragéà participer à la gestion, à la supervision et au contrôle des ressources et services sanitaires.
Entre autres, les orientations ci-après ont été énoncées :
a) participation des communautés organisées à tous les niveaux du système de santé ;
b) décentralisation efficace des services de santé avec délégation de pouvoir au niveau périphérique ;
c) mise au point de nouvelles approches des problèmes de santé, y compris l’utilisation de technologies sanitaires qui peuvent être appliquées par la population.

Avantages d’une approche fondée sur la participation communautaire 

1. Une approche fondée sur la participation communautaire est un moyen rentable d’étendre le système de prestations sanitaires à la périphériegéographique et sociale d’un pays, quoique cela entraîne des dépenses non négligeables.
2. Les communautés qui commencent à concevoir leur état de santé objectivement plutôt qu’avec fatalisme peuvent être incitées à prendre une série de mesurespréventives.
3. Les communautés qui investissent de la main d’œuvre, du temps, de l’arg ent et des matériaux dans des activités de promotion de la santé seront davantageincitées à utiliser et à entretenir les ouvrages qu’elles construisent.
4. L’éducation pour la santé est surtout efficace quand elle fait partie intégrante des activités villageoises.

Obstacles à la participation de la collectivité aux soins de santé

1. Une façon d’impliquer les membres de la collectivité dans l’action sanitaire est de nommer des bénévoles. Ceux-ci sont choisis dans la collectivité afin de représenter tous les groupes religieux et culturels. Grâce à eux, l’équipe de santé peut faire beaucoup d’activités, mais la plupart du temps, ils ne sont pas satisfaits de la maigre gratification qu’on leur donne de temps à autre et espèrent toujours une amélioration de leur rémunération.
2. Il est important de bien comprendre que l’éducation pour la santé etle zèle missionnaire, aussi intenses soient-ils, n’auront d’effets que si les collectivités visées sont décidées à écouter la voix de la raison.
Tant que les gens ne se rendent pas compte que, du point de vue de leur santé, ils ont tout intérêt à ce que tel ou tel programme, soit soutenu par eux, la participation communautaire ne peut pas faire grand-chose.

L’évolution conceptuelle de Santé Maternelle et infantile (SMI) vers la santé de la Reproduction (SR)

– 1985 : Stratégies et programmes de survie de l’enfant et premières tentatives de traiter ensemble la santé maternelle et infantile (SMI) et la planification familiale (PF)
– 1987 : Mise en place du premier programme PF à Madagascar (IPPF/ FISA ; SSFa/MinSan/UNFPA)
– 1990 : Politique Nationale de Population promulguée
– 1992 : Politique et standard de service PF
– 1993 : Appui aux Programmes de Population / PF et expansion de la SMI/PF
– 1997 : Symposium national sur la SR
– 2000 : Validation et dissémination de la politique nationale en santé de la Reproduction.

Engagement

– 2003 : Déclaration commune d’engagement pour la réduction de la mortalitématernelle (MinSan, OMS, UNICEF, UNFPA).
– 2004 : Réorientation de la stratégie nationale PF.
– 2005 : * Signature de la feuille de route pour la réduction de la mortalité maternelle à Madagascar.
* Réactualisation du Document de la Stratégie pour la Réduction dela Pauvreté (DSRP)

Sur le plan International

– 1994 : * Programme d’Action de la Conférence Internationale sur la Population et le Développement (CIPD) au Caire en Egypte)
* Accès universel à l’éducation et aux soins de santé en matière de reproduction provient un allègement de la pauvreté et les droits de l’homme.
– 2000 : Objectifs du Millénaire pour le développement : Améliorer la santé maternelle
Par l’accès universel aux soins de santé en matière de reproduction à savoir la planification familiale ; les soins durant la grossesse ; pendant et après l’accouchement et les soins obstétricaux d’urgence.
Par l’autonomisation des femmes afin de vaincre les conditions sociales qui mettent en danger leur santé et leur vie.

Méthodologie

Le champ de l’étude

Le champ de l’étude est défini par la commune rurale de Belobaka.
La commune rurale de Belobaka est une des neuf communes du district de Mahajanga II, avec une population totale de 11.181 habitants et une superficie de 748 km².
Cette commune est composée de 09 Fokontany : Belobaka, amparemahitsy, Ampitolova, Ampahazony, Ankazomenavony, Antsahanitia, Antsaboaka, Ankabingo, la Digue.
Le centre sanitaire niveau 2 de Belobaka est la seule formation sanitaire de la commune.

Le faible taux de fréquentation du CSB (du mois de Janvier au mois de Novembre : 30% de la population totale) est principalement dû à un problème d’accessibilité, surtout en saison de pluies.
En effet, seul le Fokontany de Belobaka se trouve dans un rayon de 5 km autour du centre de santé. Les fokontany d’Amparemahitsy, Ampitolova et Ankabingo sont situés entre 10 et 20 km du CSB 2 de Belobaka ; et les fokontany du nord de la commune, Antsahanitia, la Digue, Antsaboaka, Ankazomenavony, Ampazony sont situés entre 25 et 50 km du CSB 2 de Belobaka.
Là où, pour élaborer l’infrastructure du système de santé, les ressources sont comptées, on se doit de trouver les moyens de préserver et d’améliorer la santé de la population.
Il se peut alors que l’unique solution réaliste et acceptable est de coupler le secteur santé et la communauté en vue d’améliorer la santé de la population en accroissant la participation communautaire.

Période et durée de l’étud e

L’étude a été réalisée à partir du mois de Juin 2006 à fin Décembre 2006.
L’étude porte sur les différents modes de participation communautaire dans la mise en œuvre des programmes de Santé Maternelle et Infantile, de Planification Familiale dans le secteur sanitaire de Belobaka.
Les différentes phases de l’étude ont été :
– Phase I :
· Plaidoyer auprès des autorités politico administratives (Maire, Chefs Fokontany) et sanitaires (Médecin Inspecteur, Médecin-chef et personnels CSB 2 Belobaka).
· Préparation de la population au projet de thèse
– Phase II :
· Approbation de la proposition par le Directeur et Rapporteur de thèse
· Début de la préparation des questionnaires
– Phase III :
· Collecte des renseignements sur la participation communautaire aux activités de santé dans la commune de Belobaka
· Essai des questionnaires
· Elaboration d’un calendrier des entrevues et des groupes de discussions
· Réalisation des entrevues et des groupes de discussions.

Type d’étude

Cette étude décrit et analyse les activités approches de participation communautaire aux soins de santé maternelle et infantile et de planification familiale dans différents fokontany du secteur sanitaire de Belobaka, en mettant l’accent sur les changements d’attitude qui ont fait prendre conscience des possibilités par la participation communautaire pour étendre les soins, sur les facteurs qui ont aidé à déterminer l’adéquation et l’efficacité des approches adoptées, les caractéristiques descommunautés qui peuvent conditionner le succès de leur participation aux activités sanitaires, l’impact des différents mécanismes d’appui aux niveau national et local et l’importance des changements à introduire dans le domaine de la formation du personnel des services de santé.

Population cible

Les interlocuteurs retenus ont été les acteurs concernés par cette participation communautaire :
– les leaders communautaires
– les volontaires communautaires
– les ONG oeuvrant dans le domaine sanitaire dans la commune de Belobaka
– les membres des groupements féminins
– les accoucheuses traditionnelles
– autres membres de la communauté
– agents de santé.

Matériels et Méthodes

L’étude a été réalisée selon quatre méthodes de recherche :
a) L’observation participative
b) Les entrevues approfondies
c) Les groupes de discussions dirigées
d) La procédure d’Evaluation Rapide (PER) pour la collecte de données qualitatives et quantitatives sur l’efficacité des approches adoptées et sur l’efficacité de la stratégie de changement de comportement au niveau de la commune de Belobaka, sur la base d’indicateurs clés comparables à ceux de l’année précédente.

Le Principe

L’évaluation n’a pas pour but de mesurer simplement l’impact spécifique de la participation communautaire sur les programmes de santé maternelle et infantile et sur les programmes de planification familiale ; c’est surtout une approche indirecte d’évaluation de processus qui vise à fournir à la communauté et aux agents de santé des méthodes d’auto-évaluation danse lbut d’assurer une retro-information interne et une amélioration. Cette évaluation est orientée vers ladécision. L’évaluation du processus doit aussi comprendre les sous produits de la décision qui sont très importantes dans la mesure de la participation communautaire.

Les questionnaires et les indicateurs

Pour apprécier la participation de la communauté dans la mise en œuvre des activités de santé maternelle et infantile et de planification familiale, un modèle théorique de questionnaire basé sur la méthodologie de Bichmann a été élaboré [19]
Ce modèle nous parait approprié pour évaluer les facteurs qui influentsur la participation de la communauté à la mise en œuvre des activités de santé maternelle et infantile et de planification familiale
Ces facteurs sont de deux sortes :
1- Les facteurs qui permettent de qualifier l’ampleur de la participation communautaire
a) Excellent mécanisme de feed-back
b) Procédure adéquate de prise de décision
c) Cohésion optimale
d) Organisation et procédures flexibles
e) Utilisation maximale des ressources des membres
f) Excellente communication
g) Buts clairs acceptés par les membres
h) Sentiments d’interdépendance
i) Participation élevée

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Table des matières

Introduction
Chapitre I Les considérations générales
I – 1 Contexte de l’étude
I – 2 Cadre de l’étude [2]
I – 3 Généralités sur la participation communautaire
I – 3 – 1. Qu’est ce que la participation communautaire ?
I – 3 – 2 Participation communautaire à la couverture en soins de santé
I – 3 – 3. Activités communautaires en rapport avec la santé
I – 3 – 4. Les structures de mise en œuvre des activités communautaires pour la santé
I – 3 -.4 -.1. Le comité local de développement du District
I – 3 – 4 – 2. Le comité de santé du district
I – 3 – 4 – 3. Le comité communal de développement
I – 3 – 4 – 4. Le Comité de santé communautaire
I – 3 – 5. Exemples de participation communautaire dans les soins de sant
I – 3 – .6. Avantages d’une approche fondée sur la participation communautaire
I – 3 – 7. Obstacles à la participation de la collectivité aux soins de santé
I – 4 – L’évolution conceptuelle de Santé Maternelle et infantile (SMI) vers la santé de la Reproduction (SR)
I – 5 – Engagement
I – 6 – Sur le plan International
Chapitre II Méthodologies
II – 1 Le champ de l’étude
II – 2 Période et durée de l’étude
II – 3 Type d’étude
II – 4 Population cible
II – 5 Matériels et Méthodes
II – 5 – 1. Le Principe
II – 5 – 2. Les questionnaires et les indicateurs
Chapitre III Résultats –Analyses – Réflexions et Perspectives de Réorientations
III – 1 Analyse de la situation dans le secteur sanitaire de Belobaka (fin année 2006)
III – 1 – 1 Les principales activités de santé maternelle et infantile et de planification familiale offertes dans le secteur sanitaire de Belobaka
III – 1 – 1 – 1 Les principales activités de santé maternelle et infantile et de planification familiale bénéficiant de la participation communautaire dans le secteur sanitaire de Belobaka
III – 1 – 1 – 2 Les étapes stratégiques de la mise en place et de mise en œuvre de la participation communautaire dans le secteur sanitaire de Belobaka
III – 1 – 1 – 3 Les membres de la communauté
III – 1 – 1 – 4 Les volontaires de santé et les membres des groupements féminins
III – 2 Analyse des résultats de la participation communautaire
III – 2 – 1 Activités des volontaires communautaires en matière de santé maternelle infantile
et de planification familiale dans la commune de Belobaka
III – 3 Analyses des structures – Attitudes – Gestion et Ressources de la participation communautaire dans la Commune de Belobaka
III – 3 – 1 Structures
III – 3 – 2 Attitudes
III – 3 – 3 Ressources
III – 3 – 4 Gestion
CONCLUSION GENERALE
Annexe
Bibliographie

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