Les pressions sur les ressources écologiques

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LES PRESSIONS SUR LES RESSOURCES ECOLOGIQUES

Les habitats naturels d’Ambatovy constituent une réserve en biodiversité très riche et endémique du pays, voire même de la région11. Les habitants utilisent ces ressources pour leurs subsistances.

Sur les ressources floristiques

Le carré minier du gisement de nickel et de cobalt à Ambatovy comprend des forêts naturelles, des terres boisées et des plantations d’eucalyptus12: sur le 2930 ha de la superficie totale du carrée minier, 1800 ha (soit 61,5%) sont des espaces forestiers qui devraient être rasés, y compris une portion du corridor Ankeniheny-Zahamena qui se situe à l’Ouest du gisement. En effet, l’exploitation du gisement doit se faire à ciel ouvert.
Avant l’arrivée de la société minière américaine Phelps Dodge en 1995, la forêt d’Ambatovy servait de réservoir de bois d’œuvre de toutes les qualités et de toutes les tailles pour les exploitants forestiers. Toute activité relative à l’exploitation forestière a été arrêtée après 1995. Mais, les exploitants clandestins au niveau de cette réserve ont continué d’exercer l’activité. Au niveau local, bon nombre de gens tirent profits de cette pratique : à savoir les bûcherons des villages environnants, les manutentionnaires, les transporteurs…
Actuellement, si cette pratique n’existe presque plus, il y a d’autres activités réglementaires pratiquées dans la forêt d’Ambatovy, comme l’exploitation de charbon et des bois ronds d’eucalyptus.
Les ressources floristiques sont exploitées à des fins commerciales. Par ailleurs, cette forêt constitue le réservoir des plantes médicinales pour les villages qui les utilisent pour leurs propres besoins. Dans cette forêt aussi, les villageois prennent des feuilles de « vakoana » pour confectionner leurs toitures et comme matières premières pour la vannerie. Ils récoltent d’autres feuilles comme le « ravinala » et le « bozaka » pour les toitures. Donc, les hameaux et les villages proches du site minier ont des liens d’existences avec ces milieux naturels : leurs patrimoines naturels.

L’utilisation des ressources fauniques

D’après l’inventaire des espèces faunistiques à Ambatovy, on a pu savoir que c’est un habitat de beaucoup d’espèces rares et endémiques13. Malgré cette richesse, l’activité de chasse reste inhabituelle pour les riverains d’Ambatovy, seulement, ils piègent les animaux nuisibles comme les sangliers et les rats. L’activité de pêche se pratique suivant les cours d’eau qui prennent leur source à Ambatovy. Ils utilisent la nasse et la pêche à la ligne14.
En général, la pression sur les ressources fauniques reste faible même si ces ressources abondent et le degré d’endémicité est relativement élevé.

LES PRESSIONS SUR LES MILIEUX PHYSIQUES

Ces milieux comprennent généralement des ressources foncières, des ressources en eau, de l’air et du bruit. Nous allons examiner ci-après les charges sur ces ressources.

Sur les ressources foncières

C’est une ressource qui représente la richesse d’un ménage car elle sert de support à des activités agricoles. Ce sont les habitants des villages proches du site de la mine qui possèdent des terrains dans le carré minier : des rizières, des champs de cultures, des terrains boisés, des pâturages15. Ces terrains sont sous exploités à cause de l’isolement de ce site. En effet, Il n’y a pas de voies de desserte praticables pour y accéder à l’exception d’une piste en terre nouvellement construite. le site minier se situe à 11 km de la RN 44 au niveau d’Ampitambe, à 15 km de la RN 2 au niveau d’Antsahatsaka et à 20 km environ d’Andasibe.
En général, hormis le cas de Mahatsara VIII16, le mode de propriété terrien reste le « solampangady »17, le recours au titrage et bornage reste inabordable pour la grande majorité de la population, car elles ne peuvent pas acquitter les diverses dépenses occasionnées par cette démarche officielle.

Sur les ressources en eau

Les collines d’Ambatovy et d’Analamay assurent l’approvisionnement en eau de tous les villages environnants : d’Ouest à l’Est et du Nord au Sud, tous les ruisseaux (ou rivières) prennent leurs sources à Ambatovy et Analamay : ils drainent les six bassins versants du site minier.
Actuellement, les habitants n’utilisent que de l’eau des rivières pour leurs usages quotidiens : eau de boisson, eau d’irrigation, eau pour l’entretien (toilette, lessive…). La qualité et la quantité d’eau sont actuellement suffisantes. Les ressources en flore et en faune aquatiques (poissons, herana …) ne sont utilisées que pour les consommations familiales mais non pas pour être commercialisées

La qualité de l’air et du bruit

L’air

La qualité de l’air dans la région où se situe le site est intact, c’est-à-dire qu’il n’y a pas encore de pollution sauf les fumées des charbonniers. Donc, l’air est encore pur et naturel.

Le bruit

A part les bruits de la nature, on n’enregistre pas de nuisances aux alentours du site de la mine actuellement, à l’exception des zones se trouvant le long de la RN 44.

L’ENVIRONNEMENT SOCIO – ECONOMIQUE

Nous exposerons dans cette section la réalité de la vie économique et sociale des habitants concernés par cette étude. Tout d’abord, le contexte économique sera présenté ensuite celui du social.

L’ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE

Les activités économiques de la population dans cette zone se basent sur les activités à prédominance agricole et forestière.

L’agriculture

Précédemment, on a pu voir que six bassins versants se trouvent en aval d’Ambatovy et c’est tout le long de ces bassins que les paysans pratiquent leurs activités. Pour les paysans d’Andasibe et de Tsiazompody, les cultures sur brûlis avaient assuré l’essentiel de leurs moyens de subsistance. Les populations de cette région avaient été habituées aux activités relatives à l’exploitation forestière comme source principale de leurs revenus.
Cependant, cette pratique est devenue interdite et les gens commencent depuis peu de temps (3 à 4 ans) à travailler les bas fonds. Par conséquent, la productivité rizicole est très basse : elle varie de 1,1 tonnes par hectare à 1,7 tonnes par hectare18.
Par contre, les zones se trouvant à l’Ouest du site de la mine, les populations possèdent des vastes rizières. Pour les autres hameaux qui n’ont pas assez de bas fond, les populations pratiquent d’autres types de riziculture comme le « tavy », depuis long temps.
L’activité se concentre sur l’autoconsommation, cyclique et intermittente les paysans se bornent souvent à l’autosubsistance : ils pratiquent plusieurs cultures à petite échelle, mais ils consacrent beaucoup de temps à la riziculture, puis à la culture de manioc et la culture de haricot.

La riziculture

L’exploitation rizicole constitue la première occupation des paysans dans cette région. Les gens cultivent le riz soit sur brûlis, soit sur bas fonds, c’est-à-dire en en rizière ou encore sur horaka. Selon les informations recueillies auprès des villages avoisinant le gisement, les paysans pratiquent quatre types de cultures de riz sur bas fonds: riziculture irriguée, riziculture pluviale, riziculture dans les marais profonds et l’utilisation des nouvelles techniques et des nouvelles variétés.
Chaque ménage exploite une très petite superficie de rizière19avec des moyens matériels très archaïques : pioche, bêche, en se basant sur l’énergie humaine ; les rizières ne sont pas aménagées ; les moyens financiers sont inexistants. Par conséquent, la production en riz ne suffit pas à satisfaire les besoins annuels. A titre d’exemple, à Tsiazompody, l’autosuffisance en riz est de 3 mois en moyenne et la consommation reste de l’ordre de 118 Kg par an et par personne20. Et le manioc va combler ces insuffisances.

La culture de manioc

C’est la deuxième préoccupation de la population en termes de temps et d’espace. Elle se pratique généralement sur les « baiboho » avec une superficie de 0,4 à 0,2 ha par ménage21. Comme nous avons vu préalablement, le manioc est un aliment de résistance lors du travail des rizières et pendant la période de soudure surtout, le manioc est la base de la nourriture. Donc chaque ménage a intérêt à le cultiver.

Le haricot

C’est la troisième culture caractéristique de cette région. Car son bouillon sert de substitution à la viande. Lors d’un événement quelconque (deuil, événement culturel et familial…), les gens préfèrent l’utiliser puisque la viande de zébu est beaucoup trop coûteuse.
En général, les produits agricoles ne sont pas destinés à être commercialisés mais pour l’autoconsommation.

La culture sur brûlis ou sur « tavy »22

D’après les consultations publiques effectuées, les populations continuent de pratiquer le « tavy » mais secrètement et avec des précautions très strictes. Ces paysans se plaignent que les cultures ne peuvent pas être productives sans faire passer des feux surtout la culture de riz. A noter que toutes les cultures sur tanety sont sur brûlis : le riz, le manioc, le haricot, le maïs…L’inexistence des bas fonds oblige les gens à travailler le « tavy » surtout la partie Est du site minier. Pour cela, c’est une pratique qui assure l’essentiel des moyens de subsistance de la population.

Les élevages

D’une manière générale, dans chaque ménage, il y a un partage de responsabilité très clair : les hommes s’occupent de l’élevage de zébus et les femmes s’occupent des volailles.

L’élevage de bétail

Les zébus sont élevés principalement pour les travaux des rizières, pour le fumier et pour les transports23 . Selon les données lors des séances de discussions avec les populations, seulement 5% des habitants de chaque village en moyenne élèvent des zébus. Le reste de la population loue des troupeaux de zébus de 50000 Ar à 60000 Ar par Ha lors du travail des rizières.
Cette pratique est habituelle pour les populations tout au bord des routes nationales (Marovoay, Ampitambe, Andasibe..). Par contre, pour les hameaux (Menalamba, Andranovery, Ampangadiantrandraka, Behontsa) où l’entraident constitue une valeur sociale, on prête les zébus lors du pietinage des rizières.

L’élevage de volaille

Pour les volailles, chaque ménage les élèves pour assurer des imprévus comme le cas d’une maladie, les frais scolaires des enfants, les visites. Dans de tels cas, ils sont vendus pour avoir de l’argent permettant de faire face aux dépenses y relatives. 99,99% des ménages élèvent des poules car elles sont faciles à élever, elles n’ont pas besoin beaucoup de temps pour l’entretien. C’est aussi un produit plus facile à écouler que les autres en cas d’urgence.
Pour les villages d’Ampitambe et d’Analalava, les canes sont pondeuses, car un ménage peut obtenir 20 œufs de cane par jour durant 4 mois à peu près.

Les exploitations forestières

Cette activité était la principale source de revenu monétaire des habitants. Plusieurs types de produits sortaient de cette forêt d’Ambatovy.

L’exploitation des bois d’œuvre

Historiquement, les villages à proximité du site minier : Ampitambe, Tsiazompody, Befotsy, Sakalava, Berano, Behontsa, Ambodivato avaient été implantés grâce à la facilité d’argent procuré par les différentes sortes d’exploitations forestières notamment celle d’Ambatovy. Les acteurs suivants, avec leur provenance avaient exploité cette réserve :
– les patrons : ceux qui apportent le fonds pour l’exploitation, ils viennent de Tananarive ou de Moramanga ;
– les transporteurs : ceux qui transportent les bois d’œuvres d’Ambatovy à Ampitambe ou d’Ambatovy à Antsahatsahaka et ce jusqu’à Antananarivo. Ils viennent de Moramanga ou d’Antananarivo
– les bûcherons : ceux qui façonnent les bois d’œuvres. Cette main d’œuvre vient d’Ampitambe, de Befotsy et de Sakalava ;
– les manutentionnaires : ce sont des dockers proviennent généralement de Tsiazompody, d’Ambodivato et d’Ampitambe.
Les bois d’œuvre sont constitués de : traverses : 20 cm * 15 cm * 2,5 m ; madriers : 17 cm * 7 cm * 4 m ; plateaux : 30 cm* 7 cm * 4 m ; bois carrés de palissandres : 20 cm * 20 cm * 2 m ; et chevrons : 14 cm * 14 cm * 4 m. Toutes les qualités de bois peuvent être trouvées à Ambatovy comme les palissandres, les varongy, les nanto, les kijy…
Actuellement, l’activité forestière s’est arrêtée car le service forestier ne délivre plus des permis de coupe dans cette région, il incite plutôt la conservation et le reboisement.

Les autres produits forestiers

A part les exploitations illicites des bois d’œuvre, les populations puisent divers produits forestiers comme les plantes médicinales, les orchidées sauvages (très rarement), les bois de constructions locales, la chasse, la pêche.
Le miel : Comme à Tsiazompody et Sakalava, les populations riveraines prennent du miel d’abeilles sauvages dans la forêt, ils peuvent obtenir 10 litres de miel pendant les deux saisons de l’année, le prix du litre varie de 2 000 Ar et 2 500 Ar sur place.24
Le charbon de bois : L’activité de fabrication de charbon de bois d’eucalyptus constitue une activité très lucrative pour la population parce que cette activité dure toute l’année. Même si les bois des forêts naturelles sont formellement interdits pour le charbon par la loi, les gens parviennent toujours à les exploiter car le bois d’eucalyptus se fait rare. Tous les villages dans les secteurs de cette étude sont des producteurs de charbon de bois, sauf ceux de Menalamba et de Sakalava. Pour Andasibe, la moitié des ménages le fabriquent selon le rapport de l’Etude d ‘Impacts Environnementale. De ce fait, un ménage peut produire 30 sacs de charbon par mois en moyenne pour 2 500 Ar le sac. Ils les vendent tout au long de la route nationale RN 2 ou ils les acheminent directement vers Antananarivo.

Les activités salariales

Pour les populations, elles appellent les activités salariales « journée » parce que leur travail est payé au jour le jour, le prix de la journée tourne autour de 1500 Ar plus le déjeuner et le café. A Menalamba, ce salaire est de 800 Ar et celui de Marovoay est de 1 000 Ar (déjeuner et café en sus).
Pour Andasibe, où l’activité touristique se développe, les habitants peuvent travailler dans les hôtels, les restaurants, en tant que guides touristiques, dans des ONGs locales. Les entreprises minières de graphite et la société industrielle de bois d’Andasibe sont aussi des employeurs de main d’œuvre non négligeable de la Commune.
Depuis son implantation à Ambatovy, Phelps Dodges fait travailler environ 25% de la population environnante. Depuis1999 le salaire n’a pas changé25. Malgré ces emplois salariés, le niveau de vie de la population est encore bas car le salaire minimum à Madagascar stagne à 40000 Ar, alors que l’inflation est toujours en hausse. Pour combler le manque de revenu dans le foyer, les femmes doivent être des artisanes.

L’artisanat

La vannerie constitue la principale activité artisanale caractéristique de cette région. Et ce sont les femmes qui font ce travail et les hommes collectent les matières premières dans la forêt ou dans les marais. D’habitude, les femmes attendent le jour du marché de Moramanga pour écouler leurs produits. Elles peuvent gagner 40000 Ar environ toutes les deux semaines26.

Le commerce

Dans chaque village, il existe au moins une épicerie qui approvisionne en produits de première nécessité : le sel, le sucre, le savon, de l’huile, du pétrole et aussi de l’alcool (le rhum). Mais pour des achats exceptionnels comme les habillements, les médicaments, les matériaux de constructions…, les gens vont au chef lieu de la Commune ou à Moramanga.
Généralement, la vente de produits agricoles et artisanaux se fait à Moramanga, Andasibe et Morarano. Pour récapituler, la survie de la population environnante de ce site minier dépend énormément du service rendu par l’habitat naturel d’Ambatovy. De plus, les activité économiques se basent particulièrement aux activités agricoles : notamment la riziculture des bas fonds ou sur les tavy.

L’ENVIRONNEMENT SOCIAL DU PROJET

Les réalités économiques que nous avons exposées auparavant déterminent le contexte social de la population environnante. Nous allons maintenant essayer de présenter les éléments que forme ce contexte.

La santé

La santé constitue un élément primordial pour évaluer le caractère social d’une société. Après avoir détaillé les principales maladies et la santé féminine dans cette région, nous passerons aux services sanitaires et infrastructures existantes.

Les principales maladies

La malaria et la diarrhée sont les principales maladies dans le site minier27. En plus de la malnutrition, ces deux maladies sont les causes premières de décès. Les autres maladies comme la grippe, le lumbago ne sont que passagères. Les MST ne sont pas encore des maladies chroniques de cette région.

La santé féminine

Dans la plupart des cas, les femmes accouchent par la méthode traditionnelle parce que ce service se fait gratuitement. La pratique de la méthode moderne constitue un luxe pour les femmes car non seulement les infrastructures d’accueil sont trop éloignées des villages, mais en plus et l’accouchement y est très coûteux.

Les services sanitaires

Comme nous avons vu là dessus, l’accouchement est assuré par des matrones. En général, les populations recourent à la phytothérapie et la forêt d’Ambatovy constitue l’habitat de plantes médicinales très riches28. Les gens consultent d’abord les tradipraticiens, c’est seulement au cas où cette pratique s’avère inefficace que les patients traitent les maladies à la médecine moderne : dans les CSBI ou CSBII29 les plus proches.

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Table des matières

INTRODUCTION
SECTION 1 : L’ENVIRONNEMENT ECOLOGIQUE
1-1 : Les pressions sur les ressources écologiques
1-1.1 : Sur les ressources floristiques
1-1.2: L’utilisation des ressources fauniques
1-2 : Les pressions sur les milieux physiques
1-2.1 : Sur les ressources foncières
1-2.2 : Sur les ressources en eau
SECTION 2 : L’ENVIRONNEMENT SOCIO – ECONOMIQUE
2-1 : L’environnement économique
2-1.1 : L’agriculture
2-1.2 : Les élevages
2-1.3 : Les exploitations forestières
2-1.4 : Les activités salariales
2-1.5 : L’artisanat
2-1.6 : Le commerce
2-2 : l’environnement social du projet
2-2.1 : La santé
2-2.2 : L’éducation
2-2.3 : Les loisirs et sports
2-2.4 : La sécurité
2-2.5 : La mobilité
CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE DE DEVELOPPEMENT SOCIOECONOMIQUE DU ROJET
SECTION 1 : LES IMPACTS ECONOMIQUES
1- Activités agricoles
A : Les impacts économiques sur les activités agricoles
B : Les mesures d’atténuations
2 : l’Exploitation forestière
A : Impacts économiques sur les exploitations forestières
B : Les mesures d’atténuations
3 : les activités artisanales
A : Impacts économiques sur les activités artisanales.
B : Les mesures d’atténuations
4 : les Activités salariales
A : Impacts économiques sur les activités salariales
B : Les mesures d’atténuations
5 :l’Environnement des affaires et commercial
A : Impacts économiques sur l’environnement des affaires et commercial
B : Mesures d’atténuations
6 : Le chômage local
A : Impacts économiques sur Le chômage local
B : Mesures d’atténuations
SECTION 2 : LES IMPACTS SOCIAUX
1 : Le bien être
A : Impacts sociaux Sur le bien-être
B : les mesures d’attenuations
2 : LA SANTE
A: Impacts sociaux sur la santé
B : Les mesures d’atténuations
3 : La sécurité
A: Impacts sociaux sur la sécurité
B : Les mesures d’atténuations
5 : La mobilité
A : Impacts sociaux sur la mobilité
B : Mesures d’atténuation
6 : L’éducation
A : Impacts sociaux sur l’éducation
B : Mesures d’atténuations
7: LES SPORTS ET LES LOISIRS
A : Impacts sociaux sur les sports et les loisirs
B : Mesures d’atténuations
SECTION 3 : LA POLITIQUE SOCIALE DU PROJET
3.1: LES FORCES ET LES FAIBLESSES DU PGEDS
3.1.1 : LES FORCES DU PGEDS
1.2 : LES FAIBLESSES DU PGEDS
3.2.1 : Les indicateurs de développement des ressources naturelles
3.1.1 : Les indicateurs de l’emploi et de revenu
3.1.2 : Les indicateurs de l’éducation et de la formation
3.1.3 : Les indicateurs de la santé
3.1.4 : Les indicateurs de logement et du confort
3.1.5 : Les indicateurs de la sécurité (ou de l’ordre public )
3-2 : LE SUIVI – EVALUATION
CONCLUSION GENERALE
LISTE BIBLIOGRAPHIQUE
LISTE DES ANNEXES :
Annexe 1 :
 Plan de situation du projet
 Carte de localisation du site minier ;
 Carte de la situation de suivi hydrométrique et bassins versants- secteur de la mine ;
Annexes 2 :
 Schéma d’exploitation minière et des impacts ;
 Les onze volumes de l’EIES du projet ;
Annexes 4 :
 Matrice de suivi et évaluation

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