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Les poules de « race locale » dit « akoho gasy » :
Généralités :
L’élevage traditionnel extensif des poules de race locale dite « akoho gasy » de type « scavenger » est omniprésent dans les campagnes malgaches. Il constitue l’élevage familial par excellence car la plus part des foyers en possèdent (RANDRIANIAINA Z., 2005)
Ces animaux d’aspects hétérogènes sont légers etàcroissance lente. Le taux de mortalité dans cette population est important mais les populations se reconstituent rapidement grâce à une rusticité et une prolificité conséquente.
Promotion AMPINGA 4
Situation actuelle, analyses critiques et suggestions d’amélioration de l’élevage des poules de « race locale » dans le district d’Avaradrano
Taxonomies :
Règne : Animalia
Embranchement : Chordata
Classe : Aves (d’après LINNE C.V., en 1758)
Ordre : Galliforme
Famille : Phasianidé(d’après HORSFIEL D., en 1821)
Genre : Gallus (d’après BRISSON, en1760)
Espèce : Gallus gallus
Caractéristiques communes :
Plumage, crête, oreillon et barbillon:
-Plumage :
-Chez la poule, le fond du plumage est principalement roux, roux brunâtre, brun marron ou brun acajou, avec parfois sur le cou, l’extrémité des ailes et la queue foncée
-Chez le coq, les teintes sont plus vives, noir bleuté à reflet vert avec des plumes rouges sur le cou, le dos, les ailes et la queue
-Crête : Elle est peu développée, frisée ouipletr le plus souvent
-Oreillon et barbillon : Ils sont rouges, plissés et peu développés
Aptitude :
C’est une race mixte avec une production d’œuf, en moyenne de 30 œufs par an et une bonne production de chair (NDRIAMBOAVONJY J., 1979)
Comportements :
-La poule est une excellente couveuse, une mère agile, une parfaite gratteuse, elle est assez attachée à ses petits et les protège contre les intempéries et les animaux prédateurs
-Le coq est hardi, batailleur; on voit fréquemment des coqs même des poules dans un village se battre entre eux.
Le coq se comporte comme le chef du poulailler et protège sa troupe contre toute infiltration des coqs étrangers, défendant ainsi son territoire
Indice de performance : (NDRIAMBOAVONJY J., 1979)
De la 4 semaine à la 2 mois IC : 6,50 avec un gain total de 234,5g
L’IC augmente avec l’âge
Du 4ième mois au 7ième mois diminution considérable de la vitesse de croissance mais l’IC augmente très vite avec un gain très faible
Situation actuelle, analyses critiques et suggestions d’amélioration de l’élevage des poules de « race locale » dans le district d’Avaradrano
Particularités physiologiques :
Appareil respiratoire :
Les particularités :
-Contrairement a celle des mammifères la cage thoracique des oiseaux est indéformable ceci est dû à une sorte d’espacement entre les côtes et les vertèbres dorsales ; cet espacement leur donne une très faible mobilité.
Le mouvement respiratoire est exécuté grâce à l’existence des sacs aériens
– Au total, il y a neuf sacs aériens en communication avec les poumons, ainsi qu’avec les vertèbres cervicales et les côtes et qui se repartissent comme suit :
-01 sac claviculaire -02 sacs cervicaux
-04 sacs thoraciques
-02 sacs abdominaux en relation avec les côtes abdominales
Définition des Sacs aériens:
Les sacs aériens sont :
– des membranes très minces contenant de l’air et qui sont en communication avec les poumons,
-des expansions muqueuses bronchiques
-des réservoirs capables de se remplir et se vider d’air, de l’air traversant les poumons (HENQUIN G 1963 cités par RANDRIAMAMPIANINA M., 1974)
Rôle des sacs a ériens:
-Allègement et atténuation de la masse de l’animal au cours de l’envol et du vol
-l’inconvénient majeur étant l’accroissement des risques de contraction des maladies respiratoires
-Les sacs aériens contribuent particulièremen à la régulation thermique. Et notamment, lors d’élévations importantes de la température ambiante, ils concourent à diminuer la température corporelle; pour ce faire la poule augmente son rythme respiratoire basculant à 160 mouvements /min si celui-ci avoisine 20 à 37 da ns les conditions habituelles. Le mécanisme est analogue a celui de la sudation. En se remplissant, les sacs aspirent de l’air frais et sec pour ensuite expirer de l’air humide, permettant ainsi l’évacuation d’une quantité non négligeable de vapeur d’eau.
Conséquences pratiques :
Ainsi, il est primordial de :
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-Veiller à l’étanchéité de la litière et élimineroute trace d’humidité
-Ajouter des antibiotiques à faible posologie dans l’alimentation pour prévenir et/ou traiter les maladies respiratoires
-Détecter et isoler les animaux malades le plus précocement
schémas n°1 : Représentation schématique Photos n°3 : sacs aériens des sacs aériens
Source : http://www.futura-sciences.com/comprendre/d/dossier617-2.php/2009
Appareil digestif :
Les particularités:
Quelques particularités anatomo-morpholgiques méritent d’être précisées : -le bec constitue un outil absolument efficace dans la préhension des aliments -la langue est cornée et assez râpeuse palliant à l ’inexistence de denture
-la propriété d’élasticité des oesophages associéeaux secrétions d’une glande à mucus, facilite la déglutition des grains et la descente du bol alimentaire
-le jabot constitue un lieu dans lequel les aliments séjournent pendant des heures, dans le jabot commence un léger brassage des aliments ingérés
-dans le gésier s’effectue un brassage énergique dubol alimentaire, le gésier présente des parois cornées permettant de triturer les aliments, ainsi les nutriments seront assimilés et le reste sera exécré
-les coecums à la fois petits et filiformes, serven t à la résorption de l’eau mais sont aussi le site de la digestion des celluloses
-l’intestin est court, le transit étant rapide, l’assimilation y est ainsi moins importante par rapport à celle des mammifères
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-le métabolisme et l’utilisation des celluloses restent médiocres
Conséquences pratiques :
Tenant compte de ces caractéristiques :
-Il est recommandé de distribuer des aliments déjàbroyés à l’animal -Il se produit une imprégnation du bol alimentairedans le jabot
-il est préconisé de mettre un bac à sable à la disposition des animaux pour s’assurer de l’existence continuelle des cailloux dans le gésier
-il existe des microorganismes cellulolytiques dans le coecum rendant possible la digestion de la cellulose
-L’intestin court implique que les fecès contiennent encore des particules alimentaires dès lors il peut être envisagé une revalorisation.
Schémas n°2 : Vue latérale du tractus digestif du poulet après utopsiea
D’après VILLATE D., 2001.
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Appareil reproducteur :
Les particularités:
a) Chez le mâle :
– les deux testicules ne sont pas extériorisés, ils sont situés dans l’abdomen au dessous des premiers lobes des reins
– l’appareil copulateur est réduit à une papille
b) Chez la femelle :
– la partie droite de l’ovaire est dégénérée,seule la partie gauche est fonctionnelle
– Possibilité de production d’œufs avec ou san s accouplement
Conséquences pratiques
Il y aura production soit d’un œuf à couver qui es t un œuf fécondé soit d’un œuf à consommer, ce dernier est un œuf stérile
Appareil urinaire :
Les particularités :
Concernant l’appareil urinaire :
-Les deux reins débouchent dans le cloaque
-L’urine n’est pas liquide mais excrété à l’extérieur sous forme solide mélangée avec les fecès à l’état d’uréate.
-Un seul orifice existe autant pour l’évacuation des matières fécales que des urines
Conséquences pratiques:
-Les fientes constituent un fumier d’assez bonne qualité en comparaison du fumier des autres espèces animales
-les fientes de volaille séchées peuvent constituerun apport complémentaire aux matières sèches (pailles) pour l’alimentation des ruminants lors de la saison sèche
Les mues:
Le phénomène de la mue est une modification de plumage et se produit à des moments bien
déterminés de la vie de l’animal.
Il se produit trois mues naturelles :
les mues naturelles
-Première mue : Elle se passe entre la fin de la première semaine de vie jusqu’à l’âge d’un mois Situation actuelle, analyses critiques et suggestions d’amélioration de l’élevage des poules de « race locale » dans le district d’Avaradrano
-Deuxième mue ou mue de carence :
Elle se déroule entre le deuxième mois et le troisième mois et dure quelques semaines, même si parfois peut perdurer jusqu ‘au 7 ème mois
-Troisième mue ou mue de reforme :
Elle intervient entre le seizième et le dix huitième mois d’âge, en l’occurrence pendant la saison chaude et est provoquée par la sécrétion thyroïdienne Puis il peut se produire
Mue accidentelle :
Consécutive à une insuffisance des sécrétions thyroïdiennes de l’animal pendant la durée de l’élevage. Cette mue commence au niveau de la queue ; la perte de plume se fait d’avant en arrière. Il peut s’ensuivre une baisse du taux de ponte et un risque important de mortalité sans une intervention efficace et précoce (alimentationriche en protéine)
Alimentation
Les volailles se nourrissent d’elles même des divers aliments qu’elles pourront trouver aux alentours de la propriété de l’éleveur (scavenger).
Selon les ménages de chaque famille d’éleveur, cett alimentation va être composée d’autant de différents éléments tels :
– des insectes, vers de terre, sauterelles et larves
– de la verdure des récoltes, de l’herbe, des graines
– du sable (KOKO M. et al., 2000)
Les besoins des volailles :
L’alimentation de base des volailles doit couvrir les besoins d’entretien, de production et apporter en proportions convenables les différents minéraux, acides aminés et vitamines indispensables.
Les besoins en énergie :
Elles représentent la ration alimentaire dont la volaille dispose pour couvrir ses besoins d’entretien et de production (chair et œufs). Les b esoins en énergie de la volaille sont inversement proportionnels à la température du milieu extérieur. Ils sont réduits de 10% pour des poules maintenues à 30°C en comparaison aux bes oins des poules élevées à une température ambiante de 20°C. Inversement, les besoins augmentent de 17% lorsque la température est réduite à 10°C. Situation actuelle, analyses critiques et suggestions d’amélioration de l’élevage des poules de « race locale » dans le district d’Avaradrano
Le seuil thermique critique qu’il ne faut pas dépasser est de 30°C, autrement il s’ensuivra une réduction de la consommation alimentaire Au-dessus de 28°C, la température abdominale augmente avec la température extérieure et avec laquantité d’aliment consommée. La seule solution pour l’animal est de réduire sa consommation d’énergie (PICARD et al., 1993)
L’augmentation de la densité énergétique de la ration, qui permet de réduire la quantité consommée, ne remédie cependant pas aux effets délétères de la chaleur. De plus, lors de la modification de la composition énergétique du régime, l’apport de tous les autres nutriments doit être modifié proportionnellement car les animaux adaptent leur consommation en fonction de la teneur en énergie de la ration.(AIN BAZIZ H. et al., 1990)
Besoins en protéine :
Les protéines constituent la majeure partie de la viande de poulet et des oeufs. Ces besoins sont donc importants.
Les protéines sont constituées d’acides aminés essentiels – c’est-à-dire ne pouvant être synthétisés par la volaille et qui doivent dès lors être apporter par l’alimentation- et d’acides aminés non essentiels, dont la synthèse se fait à partir d’autres acides aminés ou à partir des glucides.
La ration des volailles doit donc inclure un certain pourcentage de chaque acide aminé essentiel ainsi qu’un apport suffisant en composés azotés, à partir desquels les acides aminés non essentiels peuvent être éventuellement synthétisés.
Les besoins en acides aminés essentiels diffèrent elons le processus métabolique, qu’il s’agisse de contribuer à la croissance simple de l’ animal ou à la production d’œufs. La composition en acides aminés répondant aux besoinsd’un de ces processus ne répond pas nécessairement aux besoins de l’autre. (PICARD et al., 1993)
PICARD et al., 1993 ont également montré qu’un excès protéique reste nssa effet si le régime est équilibré en acides aminés.
Les besoins en vitamine :
Les vitamines jouent un rôle essentiel dans les sys tèmes enzymatiques. Les hautes températures entraînent notamment une augmentationdes besoins en vitamine A
Les besoins en minéraux :
Les minéraux interviennent dans la constitution du squelette (os et cartilages), de certains éléments de soutien (tendons et ligaments) et de lacoquille des œufs.
Ces minéraux constitués principalement de phosphore et de calcium sont faiblement représentés dans les aliments d’origine végétalel. fautI donc généralement faire appel aux coquilles d’huîtres ou de mollusques pour en couvri r les besoins.
La chaleur modifie les équilibres ioniques et minéraux des volailles. D’une part, l’évaporation pulmonaire induit une alcalose respiratoire qui affecte entre autre la qualité de la coquille de l’œuf et d’autre part, le stress thermique affecte l’équilibre minéral en augmentant les pertes urinaires et fécales de plusieurs minéraux.
Les critères d’évaluation des besoins en phosphoreet en calcium sont la production d’œufs et l’épaisseur de la coquille.
Il est possible d’inhiber complètement la production d’œufs en offrant un régime dépourvu de calcium. Par contre, la distribution d’eau carbonatée aux poules pondeuses améliore la qualité des coquilles (ODOM et al., 1985)
besoin en matière grasse :
L’addition de lipides au régime a pour effet une augmentation de l’ingestion d’énergie et de la production (PICARD et al., 1993)
Le besoin en eau :
Le corps de la poule et les œufs sont constitués re spectivement de 60% et 65% d’eau.
Les oiseaux régulent leur température corporelle par évaporation d’eau via le tractus respiratoire. Les besoins en eau pour la thermorégulation sont donc élevés en milieu tropical. La présence d’eau propre et fraîche est donc indispensable en permanence. De plus elle permet aussi l’absorption d’éléments nutritifs et ’élimination des matières toxiques.
Le manque d’eau peut provoquer une réduction de la consommation avec de grave retard de croissance et une forte baisse de la production d’œ ufs.
Une trop grande quantité de protéines, ou une déficience en certains acides aminés, entraîne une augmentation des besoins en eau. Cela est probablement dû à l’augmentation des besoins en eau liés à l’excrétion des dérivés azotés du métabolisme des protéines (HOFMAN A., 2001)
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Table des matières
INTRODUCTION
Partie I : ETUDES BIBLIOGRAPHIQUES SUR LES POULES
1 Historiques
1 -1 La domestication des poules dans le monde
1 -2 L’origine à Madagascar
1 -3 Description de l’ancienne race
1 -4 Le Cou Nu de Madagascar
2
2 -1 GénéralitésLes poules de « race locale » dit « akoho gasy »
2 -2 Taxonomies du Gallus gallus
2 -3 Caractéristiques communes
2-3-1 Plumage, crête, oreillons et barbillons .
2-3-2 Aptitude
2-3-3 Comportements
2-3-4 Indice de performance
3 Particularités physiologiques
3-1 Appareil respiratoire
3-1-1 Les particularités
3-1-2 Conséquences pratiques
3-2 Appareil digestif
3-2-1 Les particularités
3-2-2 Conséquences pratiques
3-3 Appareil reproducteur
3-3-1 Les particularités
3-3-2 Conséquences pratiques
3-4 Appareil urinaire
3-4-1 Les particularités
3-4-2 Conséquences pratiques
3-5 Les mues
3-5-1 Mues naturelles
3-5-2 Mue accidentelle
4 Alimentation
4-1 Les besoins des volailles
4-1-1 Les besoins en énergie
4-1-2 Les besoins en protéine
4-1-3 Les besoins en vitamine
4-1-4 Les besoins en minéraux
4-2 Les besoins en eaux
5 Habitation
5-1 Les normes d’élevage
5-1-1 Le chargement
5-1-2 La litière
5-1-3 Les mangeoires
5-1-4 Les abreuvoirs
5-1-5 Le perchoir
5-1-6 Les pondoirs
5-2 Le parcours
6 Maîtrise pathologique
6-1 Maladie de Newcastle ou pseudo peste aviaire
6-1-1 Description
6-1-2 Prophylaxies sanitaires .
6-2 Cholera aviaire ou pasteurellose aviaire
6-2-1 Description .
6-2-2 Prophylaxies sanitaires .
6-3 Prophylaxie médicale
6-4 Les infections parasitaires
6-4-1 Hygiène
7 Importances de l’aviculture
7-1 Social
7-2 Economique
8 les avantages et contraintes de l’aviculture
8-1 Avantages
8-2 Les contraintes
8-2-1 Respiration
8-2-2 Reproduction
8-2-3 Chargement
8-2-3 Conduite de l’alimentation
8-2-4 Habitation
8-2-5 Température
9 Amélioration génétique
Partie II : MATERIELS ET METHODES
1 Matériel
1-1 La région
1-2 Le District
1-2-1 La zone d’étude
1-2-2 Critères de choix de la zone d’étude
1-2-3 Carte de la zone
1-2-4 Les facteurs climatiques de la zone
1-3 Les ménages
1-4 Les fiches d’enquêtes
1-5 Contacts administratifs
1-6 Les responsables de l’élevage.
1-6-1 Au sein de la région
1-6-2 Au sein des communes
2 Méthodes
2-1 Documentations .
2-2 Enquêtes
2-2-1 Durée de l’enquête
2-2-2 Déroulement de l’enquête
2-2-3 Choix des éleveurs
2-2-4 Conduite de l’enquête
2-3 Observations
2-4 Traitements des données
2-4-1 Modes de calcul
2-4-2 Estimation par un intervalle
2-5 Les difficultés de l’enquête
Partie III : RESULTATS
1 Structure des éleveurs
1-1 Année de pratique de l’élevage
1-2 Niveau d’étude de l’éleveur
1-3 Activité principale
1-4 Pratique des autres élevages .
1-5 Objectif de l’élevage
1-6 Association et groupement
1-7 Nombre de têtes par éleveur
1-8 Composition du troupeau
1-9 Moyenne de têtes
2 Modes d’élevage
2-1 Responsable
2-2 Tâches et travaux
2-3 Types d’habitat
2-3-1 Types de construction
2-3-2 Types d’élevage
2-3-3 Fréquences de nettoyage
2-4 Confort des animaux
2-4-1 Ventilation
2-4-2 Toiture
2-4-3 Perchoir
2-4-4 Poussinière
2-4-5 Couvoir
2-4-6 Pondoir
3 Alimentation
3-1 Fréquences de distribution
3-2 Distributions d’eau de boisson
3-3 Fréquences d’achat des aliments
3-4 Types d’aliment distribué
4 Santé animal
4-1 Maladies infectieuses
4-2 Infections parasitaires
4-3 Intoxications
4-4 Vaccination
5 Les pertes
5-1 Maladies
5-2 Vols
5-3 Accidents et écrasements
5-4 Prédateurs.
5-5 Pluies et intempéries
6 Reproduction
6-1 Ponte
6-2 Couvaison
6-3 Séparation
7 Productions
7-1 Poids à l’âge adulte
7-2 Durée d’utilisation
7-2-1 Poule
7-2-2 Coq
7-2-3 Jeune
7-3 Races observées .
8 Gestion
9 Modes de commercialisation
9-1 Types de spéculation .
9-1-1 Circuits de vente
9-1-2 Types de client
9-1-3 Différences entre intermédiaire et collecteur
9-2 Critères de mise en vente
10 Les différents acteurs concernés
10-1 Description
10-2 Schémas
Partie IV : DISCUSSIONS ET ANALYSES
1 Mises en évidences des problèmes
1-1 Problèmes en générales
1-1-1 Filière générale
1-2-1 Eleveurs
1-2 Conduite d’élevage
1-2-1 Habitation et parcours
1-2-2 Alimentation
1-2-3 L’abreuvement
1-2-4 Santé animale
1-3 Les animaux.
1-4 Commercialisations
1-5 Sécurité
1-6 Gestion
2Discussions
2-1 Eleveurs et administrations
2-2 Conduite et entretien
2-2-1 Responsabilité
2-2-2 Habitation et bien être
2-2-3 Alimentation
2-2-4 Maîtrise pathologique
2-3 Différences entre éleveur
2-4 Performance
2-4-1 Ponte
2-4-2 Couvaison
2-5 Les pertes au cours de l’élevage
2-6 Associations et groupements .
2-7 Commercialisation
2-8 Mode de gestion
2-9 Insécurité
Conclusion partielle
Partie V : SUGGESTIONS D’AMELIORATION
1 Conduite d’élevage
1-1 Logement et habitation
1-1-1 Aménagement des poulaillers
1-1-2 Choix de l’emplacement
1-1-3 Parcours
1-1-4 Hygiène du poulailler
1-2 Alimentation
1-3 Prophylaxies sanitaires et médicales
1-3-1 Au sein de l’élevage
1 3-4 Relations entre éleveur et les animaux
2 Commercialisations
2-1 Système de vente
2-2 Gestion
3 Politique de réorganisation
3-1 Formations et recherches
3-2 Associations et groupements
3-3 Financements
3-4 Sécurité
3-5 Collecteurs et intermédiaires
3-6 Contrôle des produits
CONCLUSION GENERALE.
BIBLIOGRAPHIE
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