LES POTENTIALITES DEMOGRAPHIQUES ET LEUR ENVIRONNEMENT

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A l’échelle internationale

Depuis les années 60, des démographes et des géographes présentent une approche micro-économique des relations entre les sphères économiques et les sphères démographiques. Thomas Robert MALTHUS, écrit en 1798, son ouvrage « Essai sur le principe de population ». L’objectif de cet ouvrage est de présenter l’amélioration possible de la condition humaine. Son argument de base est que « le pouvoir multiplicateur de la population est infiniment plus grand que le pouvoir qu’à la terre de produire la subsistance de l’homme ». Selon lui, la progression n’est empêchée que par l’existence de mécanismes régulateurs dont les freins préventifs qui consistent pour l’homme à ne fonder une famille que lorsqu’il est en mesure de l’entretenir dignement. Dans le schéma malthusien, toute hausse de la production sera absorbée par une hausse de l’effectif de la population. Par crainte de la croissance de la pauvreté, Thomas Robert MALTHUS préconisait que les classes les plus pauvres doivent retarder leur entrée en union pour mieux entretenir leur descendance.
Au cours des années 1960, des politiques de planification familiale ont vu le jour. Sous l’égide des Nations Unies, elles se matérialisaient par des programmes de limitation de naissance. A cet effet, des grandes conférences sur la population se sont succédées1 :Bucarest 1974, Mexico 1984, Le Caire 1994.
En 1974, lors de la Conférence Mondiale sur la Population à Bucarest, un Plan d’Action a été adopté avec deux recommandations majeures : l’une, la traduction, par les pays, du Plan d’Action Mondial de la Population en des politiques nationales de population ; l’autre, l’intégration des variables démographiques dans les plans et programmes de développement.
En septembre 1994, à Le Caire, la Conférence Internationale sur la Population et le Développement (CIPD), évoque les actions à entreprendre au sujet de certains des plus urgents problèmes de la planète qui est la croissance démographique. Le consensus était qu’aucune solution unique ne pourra faire ralentir la croissance rapide de la population et atténuer les conséquences soudaines de cette croissance. Les politiques globales qui vont être mises en place incluent le développement économique responsable, l’éducation et l’habilitation des femmes, les soins de santé de haute qualité, y compris les services de planification familiale.
Le programme d’action de la CIPD met la population dans le contexte général du développement et réclame un ensemble complet d’actions des secteurs public et privé. Ses objectifs comprennent les questions des droits de la femme, de la santé génésique, de la pauvreté et de la protection de l’environnement. A noter que ce programme de la Conférence Internationale sur la Population et le Développement s’est étalé sur 20 ans de 1995 à 2015.
Pour harmoniser la croissance démographique et économique et endiguer la dégradation de l’environnement, une nouvelle idée est apparue :le Concept de Développement Durable. «C’est un système de développement qui satisfait les besoins en ressources des générations actuelles tout en laissant les générations futures d’en disposer les leurs». A l’heure actuelle, l’atteinte des objectifs du développement durable passe par le verdissement de l’économie. L’économie verte apparaît aujourd’hui comme une option de développement économique, de création d’emplois et de lutte contre la pauvreté. Elle était au cœur des débats au sommet de Rio+20 qui s’est tenu en juin 2012 à Rio de Janeiro au Brésil. Selon le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), l’économie verte engendre une amélioration du bien-être humain et de la justice sociale, tout en réduisant sensiblement les risques de dégradations environnementaux et les pénuries écologiques. Elle concerne les activités et les modes de consommation qui induisent des dégradations limitées sur l’environnement et dont la poursuite ne peut que compromettre la vie dans le cadre considéré.
L’économie verte représente une opportunité dans les pays à faible revenu où les biens et services environnementaux constituent une composante majeure des moyens d’existence des communautés rurales pauvres. En effet, il existe un lien entre gestion des ressources naturelles et lutte contre la pauvreté en raison des avantages que les populations pauvres tirent directement profit du capital naturel. L’exploitation rationnelle des produits forestiers contribue à la création d’emplois et à l’accroissement des revenus au bénéfice de nombreuses personnes et surtout en milieu rural.

A l’échelle nationale

En 1990, suite aux recommandations de la Conférence Mondiale de la Population à Bucarest en 1974, Madagascar a adopté une Loi portant sur la Politique Nationale de Population pour le Développement Economique et Social (PNPDES).Cette politique rejoint les principes de base de la Conférence Internationale sur la Population et le Développement (CIPD) qui place l’homme au centre des préoccupations.
Dans ce sens, la considération des liens entre population, croissance économique et environnement, entre population et pauvreté, entre population et développement durable préconisée par cette conférence est considérée par la politique citée précédemment qui adopte une approche intégrée en tenant compte des rapports entre facteurs démographiques, ressources naturelles et environnement.
L’objectif de ces principes vise qu’un taux de croissance démographique doit être compatible avec les objectifs économiques. Pour mettre en œuvre cette politique, le Programme National de Population (PNP) défini pour la période 1996-2000 a pour objectifs globaux de : maîtriser les composantes de la croissance démographique en vue d’un développement durable et équilibré ; assurer l’accès aux services sociaux de base des populations urbaines et rurales face à leur contexte démographique; assurer la protection des groupes vulnérables ; favoriser la participation communautaire et le dialogue social ; lutter contre la pauvreté ; promouvoir la capacité interne de mobilisation des fonds pour la pérennisation des actions de développement.
Pour mieux cerner la notion de population, environnement et pauvreté, des séries de réflexions se sont succédées en tenant compte les concepts « population et environnement ». Il convient à cet égard de citer la création et l’action dynamique du Word Wildlife Fund(WWF). L’ensemble des réflexions ainsi menées a abouti à l’élaboration d’une véritable Politique Nationale de l’Environnement. Cette politique évolutive a été réalisée en programmes PE I, PE II, PE III.
Madagascar s’est engagé à poursuivre la politique de Développement Rapide et Durable, c’est le Document Stratégique pour la Réduction de la Pauvreté (DSRP).Le défi est énorme et le sujet mérite de s’étendre sur les expériences engagées au niveau mondial, les méthodologies, les concepts, les outils, les mécanismes institutionnels. C’est pourquoi, un processus continu et permanent à travers la Stratégie Nationale de Développement Durable (SNDD) a été mise en place. Il s’inscrit dans l’amélioration du cadre de planification du développement pour marquer l’évolution de la démarche stratégique du développement vers un engagement politique en faveur de l’environnement.
Le développement de l’économie verte constitue un moyen efficace pour la réduction de la pauvreté à Madagascar. Pour cause, l’économie malagasy s’appuie fortement sur le capital naturel. Des millions de personnes dépendent essentiellement des ressources naturelles telles que les terres, les forêts, la pêche et d’autres types de capitaux naturels. L’économie verte devrait permettre une exploitation plus judicieuse des ressources naturelles à travers des investissements plus productifs et plus efficaces.

A l’échelle régionale

La mise en œuvre de la Politique Nationale de Population s’est traduite par la sensibilisation des femmes en âge de reproduction d’utiliser des méthodes contraceptives. Le Ministère de la santé Publique a formé des agents de santé. Ces derniers ont formé à leur tour des agents communautaires pour faciliter la sensibilisation au niveau des Fokontany et des hameaux. La Politique Nationale de l’Environnement, de la Population et de la Réduction de la Pauvreté est la suite logique de la Politique Générale de l’Etat en ces matières pour le développement de la Région. La Région de l’Itasy, avec ses caractéristiques physiques, offre aux paysans les possibilités de pratiquer plusieurs cultures de saison et les cultures de contre saison. En effet, l’exploitation massive de la terre est effectivement source de dégradation environnementale. C’est ainsi qu’elle s’est engagée à la protection d’environnement et priorise la vision du développement durable. En 2012, la Région de l’Itasy vit sa prospérité en parfaite harmonie avec son cadre naturel, la population contribue pleinement à l’essor d’une économie de marché. Par le biais du Plan Régional du Développement (PRD), la protection et le respect de l’environnement sont d’intérêt général et concrétisées par la population active de la Commune qui pratique l’agriculture comme activité principale.

Les étapes de l’élaboration du mémoire

Les analyses bibliographiques

Pour cette étude, la démarche déductive a été adoptée. La réalisation de ce travail de recherche suit plusieurs phases. La première phase débute par une recherche bibliographique. Cette phase est importante pour permettre la constatation et la comparaison des réalités sur la zone étudiée, puiser des idées maîtresses et des informations afin d’élaborer le plan de recherche, voire même élargir les connaissances acquises.
La consultation des ouvrages auprès des différents centres de documentation a été effectuée pour collecter des données et des informations à ce recherche, à savoir la Bibliothèque Universitaire(B.U.), la Bibliothèque de la Géographie (B.G.) au sein de la Faculté des Arts, Lettres et Sciences Humaines, l’Institut National de la Statistique (I.N.STAT.), l’Institut de Recherche pour Développement (I.R.D.), le Centre de Documentation au sein du Ministère de l’Environnement, de l’Ecologie et des Forêts. Ainsi, nous avons insisté sur les ouvrages généraux, les ouvrages spécifiques et d’autres ouvrages se référant au thème.
Sur les ouvrages généraux :
-MINTEN (B), RANDRIANARISOA (J.C), RANDRIANARISON (L), 2003, «Agriculture, pauvreté rurale et politique économique à Madagascar»,165pages. Dans cet ouvrage, les auteurs essaient d’approfondir les connaissances sur les liens de milieu rural et la pauvreté. Ils évoquent que les 80% de la population pauvre de Madagascar vivent de l’agriculture et ils mettent en évidence que l’accroissement de la productivité agricole sera la solution clé pour la réduction de la pauvreté tout en exploitant rationnellement les ressources naturelles.
-JOACHIM (V.B), CAROL (J.P), BILL (J), JOHN(N), JEFFREY(S), OHTMAR(S), TUSHAAR(S), 2005, « La dégradation des ressources naturelles-implications pour le développement »,15pages. Les auteurs font des évaluations de changements prévisibles sur la situation des ressources naturelles et la pauvreté dans les pays moins avancés en 2025. Ils admettent que les conditions générales prévalant dans ces pays ne changent pas radicalement au cours des vingt prochaines années, la forte croissance démographique et la dépendance de la population dans le secteur agricole seront les principaux facteurs de l’épuisement des ressources et constituent un blocage au développement. Les conflits autour des ressources naturelles augmenteront et mettront sérieusement en péril les efforts pour le développement dans les contextes où la concurrence accrue pour l’accès aux ressources naturelles débordera dans les sphères politiques. Les auteurs évoquent des mesures axées sur la gestion durable des ressources.
Sur les ouvrages spécifiques :
-Monographie de la Commune Rurale d’Ampefy, 2011, 15 pages, nous a permis de puiser des informations concernant les éléments humains, physiques et la situation socio-économique de la Commune.
-MATHIEU(P), 1998 : « Population, pauvreté et dégradation de l’environnement en Afrique : fatale attraction ou liaisons hasardeuses », 8pages. L’auteur évoque que la croissance démographique rapide dans un continent aux ressources naturelles finies entraîne respectivement une augmentation de la pauvreté et une dégradation croissante de l’environnement naturel. Pour dépasser ces postulats globalisants et volontiers catastrophiques, l’étude des interactions précises entre population, pauvreté et environnement conduit à privilégier l’analyse des processus sociaux locaux comme étant un lieu centre de ces interactions. Outre les recherches bibliographiques, les recherches sur internet offrent également des informations et surtout les données très récentes. De ce fait, il actualise nos connaissances sur une nouvelle vision de la situation socio-économique et environnementale dans la zone étudiée.
Concernant les données cartographiques, le Foibe Taosaritanin’i Madagasikara (F.T.M.) nous a toujours permis de consulter et d’acheter des cartes pour en tirer aussi des éléments nécessaires à l’explication du contenu de ce travail de recherche.

Les travaux sur terrain

Après avoir effectué les études bibliographiques et la recherche sur internet, les travaux sur terrain constituent la deuxième phase de la recherche. Ces travaux consistent à observer la zone d’étude et à mener des enquêtes auprès des personnes ressources pour collecter des données concernant la Commune, la population et ses activités ainsi que les problèmes environnementaux. Outre les visites de courtoisie auprès des autorités locales (Maire, Chefs Fokontany), des entretiens et des enquêtes auprès des organismes de développement et des ménages ont été également effectués pour recueillir des informations concernant les activités socio-économiques et l’environnement naturel. Les informations ainsi recueillies sont classées suivant l’importance du thème afin de déterminer le plan de l’étude et procéder à la rédaction finale du mémoire.325 ménages ont été enquêtés soit un échantillonnage de 1/10è.

Limites de la recherche

Au cours de ce travail de recherche, maints problèmes ont été rencontrés. Ils apparaissent par exemple lors des études bibliographiques que certains ouvrages ne sont pas disponibles durant la documentation; ceux –ci concernent notamment les documents sur les environnements de la zone étudiée. Aussi, la non disponibilité des documents, la non réactualisation des données handicapent ce travail.
Pour les travaux sur terrain, le niveau intellectuel encore bas et la méfiance rendent difficile les entretiens avec les paysans. De nombreux foyers sont constatés timides pour répondre aux questions concernant leurs budgets familiaux et leurs nourritures. Certains ne donnent pas des réponses attendues et complètes pour faciliter cette étude. D’autres encore pensent que les résultats des entretiens menés leur apporteront des aides dans l’immédiat. Quelques-uns refusent même d’être interrogés ; ils préfèrent continuer leurs travaux des champs.
Certes, les autorités locales, les agents de quelques organismes et des personnes de bonne foi ou ayant des niveaux d’instruction avancés ont donné des éléments satisfaisants. Les problèmes matériels, l’éloignement des distances entre les Chefs-lieux de Fokontany ou les hameaux, les intempéries (pluie, coup de soleil,…) ainsi que les aspérités du relief collinaire rendent difficile les déplacements et les prises de photos et retardent l’exécution des collectes des données. Malgré tout, des données fiables et nécessaires étaient recueillies pour mener à bien cette recherche.

LES POTENTIALITES DEMOGRAPHIQUES ET LEUR ENVIRONNEMENT

La Commune se caractérise par la jeunesse de sa population et ses potentialités en ressources naturelles. Plus de la moitié de la population sont jeunes. Sa densité dépasse largement du niveau national et régional. Cette forte densité est favorisée par les conditions physiques favorables de la zone étudiée. Le paysage est caractérisé essentiellement par des reliefs aux sols volcaniques ; un climat tropical d’altitude y domine. La végétation est marquée par des formations gramineuses. Les Lacs Itasy, Kavita et la rivière Lily constituent le système hydrographique qui alimente en eau la Commune.

La potentialité démographique

La dynamique de la croissance démographique

La Commune comptait 21 957 d’habitants en 2015. La croissance rapide de la population est remarquable. Le taux brut de croissance est de 45%0, tandis que pour Madagascar, il est en moyenne de 44%0. Plusieurs facteurs expliquent la forte natalité dans la Commune. Elle est due à la précocité de l’âge de mariage. Bon nombre des nouveaux nés sont issus des mères très jeunes de moins de vingt ans. Ensuite, la mentalité qui considère les enfants comme richesse persiste encore. De plus, le bas niveau d’instruction de la population rurale demeure un obstacle pour la compréhension et l’emploi des méthodes contraceptives. La majorité des femmes rurales hésitent encore leur utilisation malgré les sensibilisations menées par les équipes du Ministère de la Santé dans le cadre du planning familial pour la régulation de naissance. Enfin, le taux de natalité élevé se maintient par l’existence du CSB II car presque la totalité des femmes accouchent dans ce centre pour éviter tout risque; ce qui baisse le taux de mortalité. A titre indicatif, en 1989, la population de la zone étudiée était de 10 974; en 2015, elle atteignait21 957. Autrement dit, la population de cette Commune a doublé en vingt-cinq ans. Le tableau n°02 montre l’évolution de la croissance de la population de la Commune.
D’après ce tableau, la population est en phase de croissance nette. Elle est liée au taux de fécondité élevé et également à la mentalité d’avoir beaucoup de descendances et à la baisse de la mortalité infantile (6 %0) en 2003.A noter que l’Etat Malagasy a déjà mis en place des politiques visant à promouvoir l’utilisation de la méthode contraceptive. Actuellement, l’amélioration du niveau de connaissance sur les méthodes de limitation de naissance commence à porter ses fruits par la vulgarisation de la contraception. La politique du planning familial lancée est mise en œuvre par l’Etat dans les CSB II en vue de réduire la natalité. En 2017, 81.32 % de l’objectif défini par la CSB sont atteints pour les femmes en âge de reproduction. L’indice de fécondité est en moyenne 4 enfants par femme.
La Commune englobe les 11,11% de la population du District de Soavinandriana et elle est au troisième rang démographique sur les quinze Communes. La densité moyenne est de 467habitants au km2, densité particulièrement élevée par rapport à la moyenne nationale 39 habitants au km2 et à la moyenne régionale qui est de105 habitants/km2.Ainsi, la croissance démographique et la question de l’environnement sont d’autant plus importantes du fait que les activités économiques de la population se reposent sur l’espace naturel et risquent de générer la dégradation des ressources et la pauvreté de la population (croquis n°02).

Une population jeune

La population rurale d’Ampefy se caractérise par une forte proportion des jeunes. Elle présente une pyramide des âges de type parasol largement évasé à la base et se rétrécit au sommet. Le tableau n°03 et la figure n°01 récapitulent cette structure.
D’après le tableau n°03, les jeunes de moins de 45 ans atteignent les chiffres plus élevés par rapport aux autres catégories d’âge et représentent les 82% de la population totale. Cette forte proportion des jeunes est l’indice d’une forte croissance démographique. Les constatations suivantes illustrent cette croissance très rapide: taux de natalité de 30%0, taux de mortalité de 10%0 et un taux de croissance moyenne 20%0. L’espérance de vie est assez courte, elle se situe entre 50 à 55 ans à cause de la pauvreté. A titre indicatif, le taux de croissance est de l’ordre de 2,8% par an à l’échelle nationale.
Cette évolution structurelle de la population jouera à long terme un rôle déterminant sur l’utilisation des ressources et l’avenir de la Commune. Il faut s’attendre à des répercussions majeures sur le mode de vie et les habitudes de consommation dans un contexte de prise de conscience sur l’exploitation rationnelle des ressources.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : DEMARCHES DE RECHERCHE ET PRESENTATION DES POTENTIALITES HUMAINES ET PHYSIQUES DE LA COMMUNE RURALE D’AMPEFY
CHAPITRE I : LES DEMARCHES DE RECHERCHE ADOPTEES
I-1-La problématique et les concepts de la recherche
I-1-1-Le choix de la zone d’étude
I-1-2-La problématique
I-1-3-Les contextes de la recherche
I-1-3-1-A l’échelle internationale
I-1-3-2-A l’échelle nationale
I-1-3-3-A l’échelle régionale
I-2-Les étapes de l’élaboration du mémoire
I-2-1-Les analyses bibliographiques
I-2-2-Les travaux sur terrain
I-3-Limites de la recherche
CHAPITRE II : LES POTENTIALITES DEMOGRAPHIQUES ET LEUR ENVIRONNEMENT
II-1-La potentialité démographique
II-1-1-La dynamique de la croissance démographique
II-1-2-Une population jeune
II-1-3-Une population inégalement répartie
II-1-4-Le mouvement migratoire
II-2-Des reliefs diversifiés propices aux activités agricoles
II-2-1-Un relief collinaire
II-2-2-Une faible étendue des plaines
II-3-Un climat pluvieux à température variable
II-3-1-Une zone à forte pluviométrie
II-3-2-Des températures adaptées aux cultures
II-4-Des types de sols propices aux différentes cultures
II-4-1-Ampefy, une zone riche en sol volcanique
II-4-2-La présence des sols ferralitiques
II-5-L’eau douce, une ressource exploitable
II-5-1-Le Lac Itasy: ressource en eau de la Commune
II-5-2-L’intérêt économique du Lac Itasy au niveau local
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : L’INTERRELATION ENTRE POPULATION, ENVIRONNEMENT ET PAUVRETE
CHAPITRE III : LES PROBLEMES ENVIRONNEMENTAUX ET LES CONTRAINTES DEMOGRAPHIQUES
III-1-Les pratiques agricoles, facteurs de dégradation de l’environnement
III-1-1-Le poids des activités agricoles
III-1-2-L’elevage, une activité indissociable à l’agriculture
1-3-Le Grand Lac Itasy, une ressource fragile
III-2-Les différentes formes de dégradation
III-2-1-L’érosion
III-2-2-Le Lac Itasy, une ressource menacée
III-3-Les aspects de la dégradation de l’environnement
III-3-1-La dégradation de fertilité des sols
III-3-2-L’ensablement et l’alluvionnement
CHAPITRE IV : LES ASPECTS DE LA PAUVRETE LIES A LA CROISSANCE DEMOGRAPHIQUE
IV-1-Caracteristique de la pauvreté rurale
IV-1-1-Définition
IV-1-2-Les multiples facettes de la pauvreté
IV-2-Aspects socio-économiques de la pauvreté
IV-2-1-Des ménages ruraux à faible source de revenu
IV-2-2-Le faible accès aux services sociaux de base
IV-2-2-1-La faible couverture sanitaire de la population
IV-2-2-2-Une éducation en perte de performance
IV-2-2-3-Des logements de type traditionnel
IV-3-L’insécurité alimentaire : problème majeur de la population rurale
IV-4-Les problèmes fonciers
IV-4-1-L’héritage de l’histoire
IV-4-2-Le poids de la croissance démographique
IV-5-L’emploi dominé par le secteur primaire
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
TROISIEME PARTIE : LES STRATEGIES DE LA PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT ET AMELIORATION DESCONDITIONSDE VIE DE LA POPULATION
CHAPITRE V : LES STRATEGIES DE LA GESTION ET DE LA PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT
V-1-L’intervention de l’Etat
V-1-1-L’engagement de l’Etat central
V-1-2-La Région, acteur de développement
V-1-3-La responsabilité de la Commune Rurale d’Ampefy
V-1-4-Le développement de la réflexion environnementale
V-2-La sensibilisation et la participation de la population
V-2-1-La sensibilisation de la population
V-2-2-La participation de la population rurale
V-3-La coopération avec les organismes privés et les Associations
V-3-1-La coordination de l’action de la protection de l’environnement au niveau communal
V-3-2-La Composante Cadastre et Sécurité foncière de la commune
CHAPITRE VI : LES STRATEGIES DE L’AMELIORATION DESCONDITIONS DE VIE DE LA POPULATION
VI-1-L’intervention de l’Etat
VI-1-1-L’Etat face aux problèmes sociaux
VI-1-2-La promotion de diverses infrastructures
VI-2-Les actions initiées par la population
VI-2-1-L’élargissement des activités non agricoles
VI-2-2-L’utilisation des ressources renouvelables pour produire de l’électricité
VI-2-3-Les stratégies alimentaires adoptées par les groupes vulnérables
VI-3-La coopération avec les partenaires et organismes privés
VI-3-1-L’installation des institutions de micro-finance
VI-3-2-L’appui des bailleurs de fonds et des Associations
CONCLUSION DE LA TROISIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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