Tรฉlรฉcharger le fichier pdf d’un mรฉmoire de fin d’รฉtudes
Propriรฉtรฉs chimiques
Lโรฉnergie de formation de la molรฉcule dโeau est รฉlevรฉe, de lโordre de 242kJ/mol. Il sโensuit que lโeau possรจde une grande stabilitรฉ associรฉe aux propriรฉtรฉs รฉlectriques et ร la constitution molรฉculaire de lโeau, elle la rend particuliรจrement apte ร la mise en solution de nombreux corps gazeux, liquides polaires, et surtout solide.
La solvatation (ou action hydratante de lโeau) est le rรฉsultat dโune destruction complรจte ou partielle des divers liens รฉlectrostatiques entre les atomes et les molรฉcules du corps ร dissoudre, pour les remplacer par de nouveaux liens avec les molรฉcules dโeau, et produire ainsi des nouvelles structures : il se produit une vรฉritable rรฉaction chimique (une solvatation complรจte est une dissolution) (Dรฉgremont, 1989).
Propriรฉtรฉs biologiques
Le dรฉveloppement des รชtres vivants a besoin de conditions favorables. Principalement lโeau,ย lโoxygรจne et le dioxyde de carbone contribuent ร crรฉer ces conditions. Il existe un cycle biologique, cycle au cours duquel sโeffectue une sรฉrie dโรฉchanges, par exemple lโeau joue un rรดle trรจs important dans les รชtres vivants. Elle entre dans une grande part de la constitution des รชtres vivants.
Le cycle de lโeau
La terre recevant l’รฉnergie solaire, l’hydrosphรจre chauffรฉe s’รฉvapore, conduisant ร la prรฉsence d’eau dans l’atmosphรจre. Cette eau, suite ร un refroidissement de l’air, se condense en gouttes ou cristaux de glace et se prรฉcipite sous forme de pluie, neige ou grรชle sur la lithosphรจre. Lโeau sโinfiltre dans le sol, donne ร boire aux plantes, remplit les lacs et les fleuves qui se dรฉversent dans la mer et le cycle recommence ร lโinfini (ONEP, 1990).
Les ressources hydriques
Sur notre planรจte, les rรฉserves dโeaux naturelles sont constituรฉes des eaux souterraines, des eaux de surface retenues ou en รฉcoulement et des eaux de mer.
Eaux souterraines
Lโeau souterraine se trouve dans les formations consolidรฉes et non consolidรฉes, ces formations peuvent constituer un aquifรจre si elles sont suffisamment poreuses et permรฉables. Presque tous les aquifรจres du globe sont constituรฉs de matรฉriaux sรฉdimentaires, ces matรฉriaux incluent aussi les matรฉriaux grossiรจres non consolidรฉs et les roches sรฉdimentaires compacts, telles les calcaires et la dolomite.
Du point de vue hydrogรฉologique, les couches aquifรจres se divisent en :
– Nappes phrรฉatiques ou alluviales : ce sont des nappes peu profondes et alimentรฉes par les prรฉcipitations pluvieuses ou les รฉcoulements dโeau en dessous.
– Nappes captives : ce sont des nappes plus profondes que les premiers et sรฉparรฉes de la surface par une couche impermรฉable, dont lโalimentation est assurรฉe par lโinfiltration sur leurs bordures (Cardot, 1999).
Les volumes dโeau souterraine dรฉpendent des conditions climatiques et plus particuliรจrement de la pluviomรฉtrie. Le sens de circulation des eaux souterraines dรฉpend des conditions de pente de formations gรฉologiques qui les contiennent et des connexions possibles avec dโautres รฉlรฉments de lโhydro-systรจme (fleuve, lacs,โฆ) qui peuvent apporter de lโeau aux nappes (ONEP, 1990).
Eaux de surfaces
Lโeau de surface est facilement visible sur le milieu naturel. Ce type dโeau englobe toutes les eaux circulantes ou stockรฉes ร la surface des continents (riviรจres, lacs, barrages,โฆ).
Leurs compositions sont trรจs variรฉes suivant plusieurs critรจres. Par exemple, la composition chimique des eaux de surface dรฉpend de la nature des terrains traversรฉs durant leurs parcours. Les eaux de surface sont favorables ร la vie microbienne, donc les microbes peuvent se dรฉvelopper rapidement ร cause des dรฉchets rejetรฉs dans un milieu et de contact de leur surface avec le milieu extรฉrieur. Cโest ainsi que ces eaux sont rarement potables sans aucun traitement (Dรฉgremont, 1989).
Eaux de mer
Sur notre planรจte, les 97,2% dโeau existante actuellement sont salรฉes. Donc les mers et les ocรฉans constituent des รฉnormes rรฉservoirs dโeau. Les eaux de mers sont appelรฉes aussi ยซ eaux saumรขtres ยป ร cause de leur grande concentration en sel, ce qui entraine une difficultรฉ sur lโutilisation car le coรปt de traitement, pour les rendre potable, est trรจs รฉlevรฉ.
POLLUTION DES EAUX SOUTERRAINES
La pollution des eaux peut รชtre dรฉfinie comme une dรฉgradation des รฉlรฉments accumulรฉs dans ces eaux. Ces รฉlรฉments indรฉsirables proviennent des excrรฉments chimiques, des rejets provenant dโindustries diverses, du lessivage des terrains traversรฉs.
Le problรจme de la pollution des eaux reprรฉsente des influences sur leur qualitรฉ et cette pollution provoque des effets sur les consommateurs et sur lโenvironnement.
Influence de la qualitรฉ de lโeau
Les eaux souterraines reprรฉsentent une ressource prรฉcieuse mais fragile par de nombreux risques de pollution ou de modification des niveaux. La vulnรฉrabilitรฉ des aquifรจres varie en fonction du type de pollution et de la nature du sol au-dessus de lโaquifรจre quand il existe. Elle sโanalyse en deux composantes :
La vulnรฉrabilitรฉ intrinsรจque correspond aux caractรฉristiques du milieu naturel qui dรฉtermine la sensibilitรฉ des eaux souterraines ร la pollution. Elle peut รชtre dรฉfinie selon les critรจres de surface, les critรจres propres ร la zone non-saturรฉe et zone saturรฉ.
La vulnรฉrabilitรฉ spรฉcifique ยซdรฉfinit la vulnรฉrabilitรฉ ร un polluant ou ร un groupe de polluantsยป et prend en compte les spรฉcificitรฉs des polluants en relation avec la vulnรฉrabilitรฉ intrinsรจque (Andrianjafimanana, 2015).
Les polluants
Les polluants physiques
Les polluants physiques reprรฉsentent les รฉlรฉments solides dans lโeau. Ils se subdivisent en plusieurs catรฉgories selon leur nature et leur dimension. Ces sont les รฉlรฉments grossiers, les sables, les limons, lโargile, les MES.
Les polluants chimiques
Lโeau รฉtant un trรจs bon solvant permettra la mise en solution de nombreux composรฉs avec lesquels elle sera en contact. Cette rรฉaction provoque la pollution de lโeau mais dรฉpend de quelques paramรจtres dont les plus reprรฉsentatives sont :
Tempรฉrature : lโeau doit รชtre รฉvacuรฉe vers le milieu naturel ร une tempรฉrature infรฉrieur ร 30ยฐC car une eau chaude constitue une pollution, par exemple lโeau de chaudiรจre.
pH : le pH dโune eau est dรป ร la concentration de cette eau en ion et en ion , alors quโune eau est dite รฉquilibrรฉe si leur pH est รฉgal ร 7.
Les sels : lโeau est polluรฉe sโil contient des sels en grande quantitรฉ, tels que les chlorures, les nitrates, les phosphates et les sulfates :
๏ถ Les nitrates : Les nitrates sont des sels trรจs solubles qui sont facilement entraรฎnรฉs en profondeur par les eaux d’infiltration. Ils sont prรฉsents naturellement dans les eaux. Leur origine est principalement agricole, les apports excessifs ou mal maรฎtrisรฉs dโengrais azotรฉs provoquent une augmentation de Nitrate dans les ressources.
Les nitrates se transforment en nitrite dans lโestomac. Ces nitrites peuvent provoquer la transformation de lโhรฉmoglobine du sang en mรฉthรฉmoglobine, impropre ร fixer lโoxygรจne. Ce phรฉnomรจne est ร lโorigine de cyanoses, notamment chez les nourrissons (Raymond, 1988).
๏ถ Les chlores : les taux รฉlevรฉs modifient les saveurs de lโeau. En plus, ร la prรฉsence des impuretรฉs dans lโeau ร traiter, le chlore rรฉagit avec elles en conduisant ร la formation des sous-produits chlorรฉ (SPC) (Beaudry, 1984 ; Rodier, 1996).
๏ถ Les sulfates : les chlorures et les sulfates participent au mรฉtabolisme des bactรฉries contenues dans lโeau, les ASR transforment les sulfates en sulfures avec dรฉgagement de gaz sulfureux.
Les substances toxiques
La plupart des substances toxiques consommรฉes ou rรฉpandues dans le milieu naturel provient des aliments et de lโeau. Elles sont un danger pour lโhumanitรฉ et lโenvironnement tels que : les mรฉtaux lourds, lโHAPs et le pesticide.
Les mรฉtaux lourds : le terme ยซ mรฉtaux lourds ยป est dรฉfinie comme les รฉlรฉments mรฉtalliques ou mรฉtalloรฏdes, utilisรฉ pour un ensemble dโรฉlรฉments ayant une densitรฉ supรฉrieure ร 5 kg/ (Rabarijaonaharison, 2015). Les mรฉtaux lourds, qui parviennent dans les eaux, font partie des polluants de celle-ci, ils existent sous formes dissoutes et en suspension ainsi que sous une forme difficilement soluble dans les sรฉdiments. Ils sont toxiques, aprรจs absorption des mรฉtaux lourds, plusieurs symptรดmes de maladies apparaissent tels que :
๏ท Effets sur le systรจme nerveux (plomb, mercure) .
๏ท Lรฉsions rรฉnales (cadmium) .
๏ท Perturbation de lโhรฉmatose (plomb) .
๏ท Effets sur le mรฉtabolisme (divers mรฉtaux) .
๏ท Cancer (arsenic, nickel, plomb, cadmium) .
LโHAPs : la population est gรฉnรฉralement exposรฉe ร un mรฉlange dโHydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAPs) par voie orale, pulmonaire et cutanรฉe. Certains HAPs pouvaient induire spรฉcifiquement de nombreux effets sur la santรฉ, des effets systรฉmiques (effets hรฉpatiques, hรฉmatologiques, immunologiques et dรฉveloppement dโathรฉrosclรฉrose), et/ou des effets sur la reproduction ainsi que des effets gรฉnotoxiques et cancรฉrigรจnes.
Les pesticides : ce sont des composรฉs organochlorรฉs agissant comme insecticide (DDT, lindane, aldrine, dieldrine, heptachlore…) ou herbicides (dรฉrivรฉs chlorรฉs de phรฉnoxyacides), des substances minรฉrales (soufre, sulfate de cuivre, arsรฉniates de plomb et de calcium) et des produits sanitaires (Andrianjafimanana, 2015).
Les polluants microbiologiques
Des microorganismes peuvent รชtre trouvรฉs dans des riviรจres, lacs et eau souterraine.
Mais ce ne sont pas tous les microorganismes qui peuvent รชtre nuisibles pour notre santรฉ, il y en a certains qui peuvent causer des maladies graves. Ils sont appelรฉs comme pathogรจnes (virus, bactรฉries, parasites).
Les diffรฉrents types de pollution
Pollution domestique
Les eaux usรฉes urbaines sont constituรฉes de matiรจre organique biodรฉgradable mais de grandes consommatrices dโoxygรจne, de germes pathogรจnes et de produits chimiques (Dรฉgremont, 1989). Ces eaux usรฉes non traitรฉes se dรฉversent dans le milieu naturel donc elles entraineront la contamination des eaux de surface et sโinfiltreront dans lโaquifรจre ainsi lโeau souterraine deviendra polluรฉe.
Pollution agricole
Elle utilise des engrais chimiques azotรฉs et phosphorรฉs, des produits phytosanitaires destinรฉs ร protรฉger les cultures, ces produits parfois toxiques lorsquโils sont utilisรฉs en excรจs vont contaminer en pรฉriode de pluie les eaux de surface et les eaux souterraines (Andrianjafimanana, 2015).
Pollution industrielle
Les activitรฉs industrielles rejettent un bon nombre de substances qui vont polluer les riviรจres et les nappes, parfois dโune maniรจre intensive dont on ignore les effets ร long terme. Les rejets industriels renferment des produits divers sous forme insoluble ou soluble dโorigine minรฉrale et/ou organique, ร caractรจre plus ou moins biodรฉgradable et parfois toxique mรชme ร trรจs faible concentration (MES, matiรจres organiques, colorant eau, germes pathogรจnes) (Andrianjafimanana, 2015).
Pollution par les eaux pluviales
Il ne faut pas oublier par ailleurs la pollution gรฉnรฉrรฉe par les eaux pluviales. Lโeau de pluie se charge dโimpuretรฉs au contact de lโair polluรฉ ร cause des fumรฉes industrielles et les fumรฉes venant des automobiles. Alors lโeau de pluie devient polluรฉe et elle va contaminer les eaux de surface et les eaux souterraines (Rejseck, 2002).
Pollution dโorigine naturelle
Certaines substances naturellement prรฉsentes dans lโenvironnement entraรฎnent parfois des problรจmes de contamination de lโeau potable.
Des composรฉs inorganiques comme le baryum, lโarsenic, les fluorures, le sodium, les chlorures, le mercure, le cadmium et les cyanures peuvent contaminer lโeau potable. Lโeau souterraine est particuliรจrement vulnรฉrable lorsquโil y a prรฉsence de mรฉtaux dans les formations gรฉologiques environnantes (Ouedraogo, 2005).
La qualitรฉ des eaux souterraines
La qualitรฉ de lโeau souterraine dรฉpend de la nature gรฉologique du terrain (infiltration, composition,โฆ) et le systรจme de traitement utilisรฉ (produit chimique utilisรฉ, les matรฉriaux de distribution,โฆ). Elle peut contenir de nombreuses substances dissoutes ou non dissoutes ainsi que de nombreux microorganismes. Les paramรจtres qui permettent de contrรดler la qualitรฉ de lโeau sont les paramรจtres organoleptiques, physico-chimiques, les substances toxiques et les paramรจtres bactรฉriologiques.
Les paramรจtres organoleptiques
Couleur : Elle peut รฉgalement รชtre due ร la prรฉsence de certaines substances minรฉrales ou organiques dissoutes ou non dans celui-ci.
Odeur : elle est dรฉfinie par des sensations des organes olfactifs. Elle provient soit de produit chimique, soit des matiรจres organiques existant dans lโeau.
Goรปt : cโest un ensemble des sensations gustatives, olfactifs. Elle provient de la composition de lโeau (produit chimique, matiรจres organiques,โฆ).
Turbiditรฉ : La turbiditรฉ mesure lโaspect trouble de lโeau. Elle exprime lโattรฉnuation dโun faisceau de lumiรจre blanche au contact de particules colloรฏdales. Lโeau turbide explique la prรฉsence des matiรจres en suspensions (MES) comme les argiles, les limons et les microorganismes. Elle est รฉgalement considรฉrรฉe comme un indicateur du risque microbiologique, car certains microorganismes tels que les virus peuvent y รชtre associรฉs (Levallois, 1997).
Les paramรจtres physico-chimiques
Tempรฉrature : cโest important de connaรฎtre la tempรฉrature de lโeau avec une bonne prรฉcision. Elle permet corriger les autres paramรจtres liรฉs ร elle, telle que le pH, conductivitรฉ, la cinรฉtique chimique (Kemmer, 1984).
La tempรฉrature รฉlevรฉe peut accรฉlรฉrer la croissance des microorganismes, lโalgue, entraรฎnant des odeurs et des goรปts dรฉsagrรฉables ainsi quโune augmentation de la turbiditรฉ et de la couleur. En outre, cette mesure est trรจs utile pour les รฉtudes limnologiques (Beaudry, 1984 ; Rodier, 1996).
pH : le paramรจtre conditionne un grand nombre dโรฉquilibre physico-chimique, et dรฉpend de facteurs multiples, dont la tempรฉrature et lโorigine de lโeau, il reprรฉsente une indication importante en ce qui concerne lโagressivitรฉ de lโeau (aptitude ร dissoudre le calcaire).
Conductivitรฉ รฉlectrique : la conductivitรฉ reprรฉsente lโun des moyens de valider les analyses physico-chimiques de lโeau, en effet des contrastes de conductivitรฉ mesurรฉs sur un milieu permettant de mettre en รฉvidence des pollutions, des zones de mรฉlange ou dโinfiltrationโฆLa conductivitรฉ est รฉgalement fonction de la tempรฉrature de lโeau, elle est plus importante lorsque la tempรฉrature augmente. Elle sert aussi dโapprรฉcier la quantitรฉ de sels dissous dans lโeau (Rejseck, 2002 ; Andrianjafimanana, 2015).
Duretรฉ : elle est directement liรฉe ร la nature des terrains traversรฉs. Ils proviennent des roches calcaires ou dolomitiques. Dans une eau naturelle, on peut distinguer diffรฉrents types de duretรฉ:
– duretรฉ totale : somme des concentrations en calcium et magnรฉsium .
– duretรฉ calcique : concentration globale en calcium .
– duretรฉ magnรฉsienne : concentration globale en magnรฉsium.
Alcalinitรฉ : le Titre Alcalimรฉtrie Total (TAC), qui correspond ร la neutralisation de la totalitรฉ des espรจces carboniques dissociรฉs et sโobtient en poursuivant la neutralisation.
On considรจre que cette rรฉaction est terminรฉe lorsque le pH du milieu atteint 4,3. La quantitรฉ totale de protons nรฉcessaires ร la rรฉalisation de cette rรฉaction dans un litre dโeau est appelรฉe le titre alcalimรฉtrie complet (Levallois, 1997).
Les รฉlรฉments indรฉsirables : ce sont les dรฉrivรฉs azotรฉs comme le nitrate, nitrite et lโammonium. Le chlore: il provient soit par le traitement utilisรฉ, soit par le milieu naturel. Le chlore est un danger pour la santรฉ humaine et pour la pollution environnemental. Dans le cas de la production des eaux potables, par la rรฉaction avec la matiรจre organique et les bromures contenues dans lโeau brute, le chlore conduit ร la formation de sous-produits (SPC) provoquant des effets cancรฉrigรจnes dont les principaux sont les trihalomรฉthanes (THM) chlorรฉs et bromรฉs (essentiellement le chloroforme, le bromoforme, le dichlorobromomรฉthane) ainsi que des halogรฉnoacรฉtates, les haloaldรฉhydes (Rodier, 1996).
|
Table des matiรจres
I. GENERALITE SUR LโEAU
I-1. Propriรฉtรฉs de lโeau
I-1-1. Propriรฉtรฉs physiques
I-1-2. Propriรฉtรฉs chimiques
I-1-3. Propriรฉtรฉs biologiques
I-2. Le cycle de lโeau
I-3. Les ressources hydriques
I-3-1. Eaux souterraines
I-3-2. Eaux de surfaces
I-3-3. Eaux de mer
II. POLLUTION DES EAUX SOUTERRAINES
II-1. Influence de la qualitรฉ de lโeau
II-1-1. Les polluants
II-1-1-1. Les polluants physiques
II-1-1-2. Les polluants chimiques
II-1-1-3. Les substances toxiques
II-1-1-4. Les polluants microbiologiques
II-1-2. Les diffรฉrents types de pollution
II-1-2-1. Pollution domestique
II-1-2-2. Pollution agricole
II-1-2-3. Pollution industrielle
II-1-2-4. Pollution par les eaux pluviales
II-1-2-5. Pollution d’origine naturelle
II-2. La qualitรฉ des eaux souterraines
II-2-1. Les paramรจtres organoleptiques
II-2-2. Les paramรจtres physico-chimiques
II-2-3. Les substances toxiques
II-2-4. Les paramรจtres microbiologiques
II-3. Traitement des eaux souterraines
II-4. Amรฉlioration du traitement
II-4-1. Amรฉlioration du traitement au chlore
II-4-2. Elimination des nitrates
Deuxiรจme partie : ETUDES EXPERIMENTALES
III. PROCESSUS DE TRAITEMENT DU SOCOLAIT ET NATURE DES ECHANTILLONS
III-1. Processus de traitement
III-2. Nature des รฉchantillons
IV. METHODES DโANALYSES
IV-1. Prรฉlรจvement des รฉchantillons
IV-2. Analyses des paramรจtres organoleptiques
IV-3. Analyses physico-chimiques
IV-3-1. Tempรฉrature
IV-3-2. pH
IV-3-3. Conductivitรฉ
IV-3-4. Duretรฉ
IV-3-5. Alcalinitรฉ
IV-3-6. Chlore
IV-3-7. Nitrate
IV-3-8. Nitrite
IV-3-9. Plomb
IV-4. Analyses bactรฉriologiques
IV-4-1. Recherches des Coliformes Fรฉcaux
IV-4-2. Recherche des Streptocoques fรฉcaux (SF) (ISO 7899-2 :2000)
IV-4-3. Recherche de l’Escherichia coli
IV-4-4. Recherche des spores des bactรฉries Anaรฉrobies Sulfito-Rรฉductrice
Troisiรจme partie : RESULTATS
V. RESULTATS
V-1. Rรฉsultats pour EF
V-2. Rรฉsultats pour ES
V-3. Rรฉsultats pour EP
V-4. Interprรฉtations
V-4-1. Paramรจtres organoleptiques
V-4-2. Paramรจtres physico-chimiques
V-4-3. Paramรจtres bactรฉriologiques
VI. OPTIMISATION
VI-1. Chloration
VI-1-1. Principe de dรฉsinfection au chlore
VI-1-2. Expรฉrience
VI-1-3. Rรฉsultats
VI-2. Dรฉnitrification
VI-2-1. Objectif
VI-2-2. Principe de la dรฉnitrification biologique
VI-2-3. Expรฉrience
VI-2-4. Rรฉsultats
DISCUSSION
CONCLUSION et PERSPECTIVES
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Tรฉlรฉcharger le rapport complet