LES POLITIQUES ET STRATEGIES MARKETING ENVISAGEES

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GEOGRAPHIE SOMMAIRE DES ILES

Anjouan et Mohéli se situent au milieu de l’archipe des Comores qui lui-même se situe à l’entrée septentrionale du Canal de Mozambique entre la côte Est africaine et la littorale Nord-Ouest Malgache. Les chefs-lieux respectifs de ces deux îles sont Mutsamudu et Fomboni.
Anjouan, la seconde île de l’archipel avec une supe rficie de 424 km² prend la forme générale d’un triangle. Le littoral d’Anjouan présente des secteurs de côte élevée avec de grandes falaises, en particulier à l’extrémité des trois péninsules,et des secteurs de côte peu élevés correspondant aux cônes de déjection construits aux débouchés descirques et des principales vallées. Il existe un beau récif frangeant développé surtout sur la côte Sud de la presqu’île de Shissiwani, sur la côte Est de la presqu’île de Jimilimé et à l’extrémité de la presqu’île de Nyumakelé. Ce récif tend par endroits à décoller du rivage, avec formation d’un petit lagon, ce qui est l’indice d’une tendance générale de l’île à la subsidence.
Mohéli, de 221 km², est la plus petite île de l’archipel Elle a une forme oblongue de 50 km d’Est en Ouest, avec 20 km de largeur maximale. Une grande dorsale axiale, au centre et à l’Ouest, forme le corps principal de l’île.
Les rivages de l’île sont très découpés dans le détail avec des points escarpés séparant des petites baies avec des mangroves. Tout autour de l’île existe un relief corallien frangeant bien développé. Au Sud de l’île existe un petit archipelde huit petites îles très escarpées qui abrite un important trésor halieutique.

LES FACTEURS NATURELS

LE CLIMAT

Situé entre 11°20’ et 13°4’ de latitude Sud, l’arc hipel des Comores a un climat général de type tropical, avec une saison chaude et pluvieuse correspondant à l’été austral (novembre à avril), et une saison dite fraîche de mai à octobre . Les îles comoriennes sont des îles montagneuses. Ce climat tropical est modifié parfois en quelques kilomètres en fonction de l’exposition et de l’altitude. Des contrastes impor tants en ce qui concerne la pluviosité peuvent exister entre les façades au vent et sous le vent. L’altitude joue aussi un rôle déterminant tant dans la répartition et l’importance des pluies que dans la géographie des températures.

LES VENTS DOMINANTS

La masse d’air maritime tropical indienne, génératrice de l’alizé présente une humidité de 75% en moyenne lorsqu’elle atteint la côte Est de M adagascar. Mais elle s’assèche en traversant la grande île, et ne représente plus les mêmes caractères lorsqu’elle atteint l’archipel. La remontée vers le Nord de la zone de convergence intertropicale met l’archipel sous l’influence de l’alizé.
Lorsque l’alizé souffle du Sud-est (matulay, fréquent surtout en juillet, août et septembre), l’air frais asséché par le passage sur Madagascar,donne un beau temps avec faible instabilité orageuse.
L’alizé de secteur Sud (Kusi fréquent surtout en mai, juin et juillet), peut produire une baisse notable de la température et quelques pluies, car il s’agit d’air demeuré relativement humide sur le Sud du Canal de Mozambique. Un troisième type de temps hivernal caractérisé part des hautes pressions sur Madagascar et les Comores donne un régime de vent faible et un beau temps peu nuageux.
Au Sud des Comores, le Kashkazi, vent de mousson du Nord-Ouest, apporte des précipitations abondantes, surtout l’après midi. Enfin, avec la remontée au Nord de l’archipel, les vents sont faibles, avec malgré tout des orages enfin de journée.

LA TEMPERATURE

D’après les informations collectées auprès du service local de la météorologie, l’archipel des Comores a une température moyenne de 25°C.

LE RELIEF

Les Comores sont formées par une chaîne des volcans émergeant des profondeurs du Canal de Mozambique. Ces quatre îles montagneuses sont sans véritable plaine littorale, mais chacune d’elle connaît ses particularités et leurs paysages doivent être décrits séparément.

LA SITUATION DEMOGRAPHIQUE ET MONOGRAPHIQUE

Du point de vue social, on assiste à l’existence de s races bantus venues de Swahili et des Chiraz minoritaires venues de Perse. L’archipel des Comores a une population jeune en progression démographique constante et accélérée.
Anjouan est l’île la plus peuplée des quatre îles et Mohéli est la moins peuplée. Il s’agit d’un peuple à dominance rurale groupé par village et une capitale en plein essor. L’agriculture et accessoirement la pêche font vivre les deux tiers de la population comorienne.
Le grand problème que connaît ce peuple est l’ignorance (l’analphabétisme) de la majorité, et le manque de quelques infrastructures de base comme les hôpitaux, les écoles, les routes et surtout les moyens de communication. Ce qui fait que beaucoup de jeunes se trouvent dans l’obligation de faire l’immigration clandestine ver s Mayotte, qui est la seule île sous autorité française jusqu’ à nos jours ou d’exercer les métie rs de leurs parents, à savoir l’élevage et/ou la pêche. Dans la plupart des cas même, l’autoconsommation n’est pas satisfaisante. C’est ce qui nous pousse à réaliser ce projet car, il peut beaucoup aider ce peuple dans le domaine socio-économique en créant des emplois et en contribuantau développement des zones de collecte, voire du pays en général, afin de motiver les villageois tout en construisant des écoles et des centres de santé de base.

LE CADRE SOCIO-ECONOMIQUE

Nous avons choisi la création d’une société de pêche au lieu de l’agriculture ou autre. Ce choix est dû à la position géographique littorale de cette zone d’exploitation et à la richesse halieutique non exploitée qu’elle rengorge. Depuis, si on se réfère à la pêche, elle est toujours rentable dans une telle contrée. Cette rentabilitéest évidente du fait que les pêcheurs ne cessent de se perfectionner et d’améliorer d’une année à l’autre leurs méthodes de travail, pour augmenter les quantités de leurs pêches. La sociétéde pêche vise à encadrer de manière scientifique l’exploitation halieutique.

FAUNE ET FLORE MARINES

La faune côtière et marine est riche et comporte des éléments d’importance mondiale. Les espèces associées aux récifs coralliens sont trèsombreusesn (poissons, crustacés, mollusques . . . etc.). On estime qu’il existe au niveau des Comores près de 820 espèces de poissons marins (côtières et pélagiques réunies).
La découverte du cœlacanthe à été célébrée en 1938comme la plus extraordinaire du siècle. Par son ancienneté, la présence du cœlacanthe dans les eaux territoriales des Comores est certes un des éléments de biodiversité majeure de la région. Par ailleurs, quatre espèces de tortues marines fréquentent les eaux comoriennes.

La flore marine des herbiers est intéressante et écologiquement importante. Elle sert, entre autres, de supports à des nombreux organismes fixés (algues, hydraires, bryozoaires.) et de refuge à de nombreuses espèces marines comme les gastéropodes rampant sur les feuilles, les petits crustacés, etc.
A titre de conclusion partielle, nous avons mis l’accent sur la création de ce projet. Cette création n’est pas le fruit du hasard car en toute clarté, les Comores ont besoin de la mise en place d’une entreprise apte à gérer et à administre r les ressources halieutiques. La mer étant la seule ressource naturellement potentielle du pays et qui n’est pas jusque-là bien exploitée, il faut faire une prévision sur la pratique de cette activité pour éviter une rupture de stocks existants et d’éviter d’éventuels accidents des pécheurs au large.
D’autre part, le présent projet est caractérisé parsa faisabilité à court terme, à moyen terme et à long terme. Si le fond de déroulement initial est prêt et le montant de l’investissement pour l’acquisition de tous les matériaux nécessaires, lelancement du projet sera très rapide et sans entrave. C’est la motivation principale de ce projet.

L’ÉTUDE DE MARCHÉ

Le but de cette étude est d’essayer d’analyser la description du marché tout en analysant l’offre et la demande. Cette étude doit nous permettre de bien connaître l’environnement où évolue notre marché, pour la compréhension des réponses à apporter aux questions suivantes : Que va-t-on vendre et pourquoi ? A qui vendre ? Qui sont les concurrents ? Quels sont les moments propices pour l’achat et la vente du produit ?
La demande est-elle ponctuelle, périodique, régulière, latente, déclinante, soutenue, excessive, individuelle, indésirable ?
Pour répondre à ces questions, nous devons décrire le marché et analyser l’offre et la demande.

LA DESCRIPTION DU MARCHE

D’après les estimations de la FAO, la production mondiale annuelle de poissons a été de 122 millions de tonnes en 1997. La valeur des exportations mondiales des produits de la pêche atteignait selon des estimations 56,5 milliards de dollars américains en 1996
En 1997, les pays développés représentaient environ85% des importations totales de poissons, en valeur. Le Japon s’est confirmé comme le premier exportateur des produits de la pêche, avec 30% du total mondial. Les Etats-Unis étaient non seulement troisième exportateur mondial de poissons et de produits de la pêche, mais aussi deuxième importateur.

LES TYPES DES CLIENTS CIBLES

Le marché européen, entre autres gros consommateursde ce type de produits, est la cible commerciale privilégié. Les prix attractifs pratiqués sur les marchés de l’Union Européenne nous permettrons d’envisager une revalorisation des produits. Cela a pour conséquence directe la réactualisation des prix des produits de mer, doncune amélioration sensible du niveau de vie des populations locales, plus précisément les pêcheurs.
Avec les relations politico-sociales économiques qui existent entre l’Union Européen et l’État Comorien, il sera bon de cibler certains pay s membres de l’UE qui ont une influence mondiale et qui ont besoin de nos produits. Nous pouvons aussi profiter de leurs gros moyens de flotte des gardes côtes et des moyens technologique s très développés pour surveiller nos zones d’exploitation (les eaux comoriennes) contre les pêcheurs illicites étrangers.

Nos transactions des opérations commerciales concernant nos ventes, qui seront couvertes a priori par des crédits documentaires et qui seront confirmées sur des banques primaires, seront fiables et rapides du fait que certaines banques primaires comoriennes sont des filiales des banques Européenne (BIC Comores qui est une filiale du groupe de BNP PARIS BA). Nos demandes de crédit et de facilité de caisse serontfacilement acceptées par notre banquier car il aura la confiance de nos clients.

90% des produits seront destinés à l’exportation, notamment sur les pays de l’Europe du Sud, Espagne, Italie, France, pays où la demande est très forte et cela nous permettra d’avoir une clientèle fidélisée, avec des partenariats commerciaux et des relations privilégiées.
En fonction des besoins de la consommation locale et afin de ne pas déséquilibrer le marché existant, des quotas seront remis au commerce traditionnel à prix coûtant. C’est afin de ne pas créer une situation inflationniste et une déstabilisation du marché local.

LES BESOINS DU MARCHE EXTERIEUR

Les pays méditerranéens parviennent à conserver une tradition de consommation de poissons entiers malgré le succès des produits découpés. En revanche, en Europe du Nord et de l’Est, la restauration commerciale de haute gamme apparaît comme sinon l’unique, tout au moins le principal débouché pour les poissons fins de merentiers. En effet, il n’existe pratiquement pas dans cette région une tradition de préparation ou ed consommation de poisson entier (à l’exception de la carpe cuisinée pendant les fêtes).
Les filets font l’objet d’importation courante d’échange à l’intérieur de l’UE : 1,58 million de tonne en 2006 dont 82% de congelés.
Le principal segment de l’univers des « produits élaborés » (conserves et marinades exclues) est celui des produits panés, envolés, en beignetsEn. Europe occidentale, les ventes en détail de poissons et autres produits de la mer panés se sont élevées à plus de 1,74 milliard d’Euro en 2005.

Dans la majorité des pays d’Europe, le marché des plats préparés est encore dominé par des produits surgelés relativement basiques (filets ensauce, parmentières gratin de poisson…)
Les préparations et conserves à base de hareng, de maquereau, de spart et de sardine représentent une part importante de la consommation en Europe orientale. Cependant, les importations de conserves de thon se développent et viennent concurrencer les produits traditionnels fabriqués en Pologne ou dans les paysBaltes.
Les grandes surfaces françaises proposent un assort iment large et varié de charcuterie de la mer réfrigérée, ce qui n’est pas le cas chez ses voisins Européens.
Répondre à un tel besoin du marché en tant que novice avec des moyens réduits, c’est bien compliqué pour un opérateur débutant dans le secteur. Ainsi, nous pouvons commencer notre activité en tant que fournisseur en matières premières aux géants européens qui transforment les produits pour la consommation directe.

ANALYSE DE L’OFFRE

L’analyse de l’offre dépend du comportement des pêcheurs ainsi que du poste de gérance, en supposant que les clients sont toujours prêts à l’achat de manière régulière.
L’offre sur le marché européen est étendue en raison de l’importance des zones de pêche mais aussi des industries de transformation diversifiées et élaborées (souvent d’ailleurs à partir de matières premières importées).
L’offre sur le marché Européen est fondée sur un certain nombre de produits :
Des poissons nobles entiers réfrigérés disponiblesen qualité limitée à des prix souvent élevés ;
Des poissons d’élevage (bar, daurade, truite…) prés entant en général d’excellentes garanties en termes de traçabilité et de condition d’aquaculture ;
Des poissons congelés comme le maquereau, le thon, le hareng, la sardine dont le débouché se situe sur la transformation ;
Des filets frais de même qualité comme nos produitspour une part des réexportations ;
Du poisson fumé (saumon et d’autres qualités de poisson, les mêmes que nous avons envisagées d’exploiter dont la production française est très importante) ;
Des céphalopodes (seiches, calmars, poulpes…) qui s ont très appréciés sans les pays méditerranéens ;

Divers coquillages en particulier des huîtres qui font partie de nos futurs produits qui seront lancés sur le marché ultérieurement en cas d’élargissement de notre gamme ;
Des crustacés, principalement des crevettes tropicales ; nos chercheurs useront de beaucoup d’effort pour découvrir ce trésor dans les eaux comoriennes ou faire des cultures de ces produits très demandés. Le fait que nos voisins malgaches exploitent beaucoup les crevettes et que nous appartenons quasiment aux mêmes eaux peut nous amener à faire ces recherches ;
Enfin, diverses présentations de conserves (la production française étant la plus importante de l’Europe), salade de thon, conserves variées (thons, sardines…).

LA FLUIDITE DE LA DEMANDE

Suite à l’analyse faite ci-dessous, nous avons cons taté que la demande est loin d’être décevante et sordide. Au contraire, elle est qualitativement et quantitativement très satisfaisante. La qualité de nos produits les rendra très compétitifs dans ce grand marché ouvert à des nombreuses entreprises.

LA POSSIBILITE D’ACQUISITION

En une seule phrase, la demande ne fait pas l’objet d’un marasme car les clients sont volontairement intéressés par l’achat de ces produits.
Prenons encore le cas de la France où on trouve les halles à marée qui sont des lieux où les espèces pêchées en mer sont vendues aux enchères,ustej après avoir été débarquées.

En 2000, il exista 42 halles à marée sur le territoire français, avec une vente de 243 000 tonnes de produits de la mer pour une valeur de 690 millions d’euro (productions des bateaux sous pavillon français).
Dans un premier temps, le mareyeur achète les poissons, crustacé, soit dans la halle à marée, soit directement au producteur ou à l’importateur. Dans un deuxième temps, il vent ces produits destinés à la consommation soit tels quels, soit préparés (éviscérés, mis en filet…) pour un grossiste, une centrale d’achats de grande surface, un poissonnier, un restaurateur ou bien encore il les exporte.
Les 221 00 tonnes de poissons, coquillages, crustacés achetés en 2006 par les ménages français pour un montant de 2 milliards d’euro se r épartissent comme suit :
70% des volumes pour les grandes et moyennes surfaces (GMS)
30% pour les poissonniers (en boutiques ou sur les marchés) ou les ventes directes.
En 2006 les restaurants ont acheté 112 000 tonnes de produits de mer frais.
Cette particularité de la France est de nature à nous encourager à entreprendre la création de cette entreprise de collecte halieutique, en plus du facteur linguistique et de l’histoire coloniale qui nouent les deux pays.

LA SITUATION DE LA CONCURRENCE

A titre introductif, la concurrence est un phénomène universel qui, pour se développer, a besoin de protagonistes loyaux et équitables. Celuiqui veut y faire face doit savoir la situation de ses concurrents. Autrement dit, si la concurrence est déloyale, elle engendre une situation socio économique défavorable.
Dans notre cas précis, nous allons opposer deux sortes de concurrence, à savoir des concurrents locaux pour notre approvisionnement en matières premières, des concurrents internationaux pour l’écoulement de notre production sur le marché.

LA SITUATION DES CONCURRENTS LOCAUX.

L’approvisionnement en matière première ne posera pas de problème particulier. Le fait que la filière pêche n’est pas exploitée jusqu’ à osn jours que pour la consommation locale et la commercialisation artisanale, signifie que nous serons la première société sur le marché. Donc, l’offre sera toujours grande par apport à la demand e. Les pécheurs seront obligés de nous vendre leurs produits du fait que les prix que nous allons leur proposer seront toujours appréciables par rapport aux prix des marchés traditionnels.

LA SITUATION DES CONCURRENTS INTERNATIONAUX

Dans un très grand marché comme celui de l’Europe, il est bien normal que beaucoup d’entreprises cherchent à écouler leurs produits selon que la pêche est beaucoup exploitée dans différents pays du monde (les pays développés et dutiers monde) ; parmi ces entreprises concurrentes, la majorité d’entre elles disposent des moyens colossaux et ont une ancienneté sur le marché et détiennent donc beaucoup de clients fidèles.
Mais comme la demande n’est toujours pas satisfaite, nos produits qui sont aussi de bonnes qualités auront bien leur place dans ce grand marché. C’est une raison de plus pour laquelle nous préférons proposer des produits semi-finis à nos clients. De cette façon, nous n’aurons pas des problèmes pour écouler nos produits.

SECTION V : LES POLITIQUES ET STRATEGIES MARKETING ENVISAGEES

Le marketing est un état d’esprit des promoteurs afin d’attirer l’attention des clients susceptibles d’acheter. La qualification de la clientèle s’avère délicate car elle est tributaire du pouvoir d’achat.

LES POLITIQUES MARKETINGS ENVISAGEES

En marketing, quatre politiques sont très importantes, à savoir la politique de prix, la politique de produits, la politique de promotion et la politique de distribution.

LA POLITIQUE DE PRIX

Cette politique est une stratégie mise en œuvre pou r que le client revienne acheter.
Il faut donc éviter la situation de mévente et mettre en exergue la qualification et le rapport « qualité-prix ». L’essentiel est donc de parfaire la qualité du produit pour la pleine réussite de la vente à prix compétitif.
Pour notre cas, nous appliquerons les prix qui seront imposés par le marché lui-même (prix du marché international)

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Table des matières

INTRODUCTION
METHODOLOGIE
PREMIÈRE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : PRÉSENTATION DU PROJET
SECTION I : LA DESCRIPTION DU PROJET
I. 1. Motivation du projet
I. 2. La vision de la réalité locale
I.3. Les produits halieutiques de la zone
Section II : géographie et démographie de la zone
II.1. géographie sommaire des îles
II.2. Les facteurs naturels
II. 2. 1. Le climat
II. 2. 2. Les vents dominants
II. 2. 3. La température
II. 2. 4. Le relief
II.3. La situation démographique et monographique
II.4. Le cadre socio-économique
II.4.1. FAUNE ET FLORE MARINES
CHAPITRE II : L’ÉTUDE DE MARCHÉ
SECTION I : LA DESCRIPTION DU MARCHE
I. 1. Les types des clients ciblés
I.2. Les besoins du marché extérieur
Section II : ANALYSE de l’offre
II. 1. La possibilité d’acquisition
II. 2. La fluidité de l’offre
SECTION III : ANALYSE DE LA DEMANDE
III. 1. La fluidité de la demande
III.2. La possibilité d’acquisition
SECTION IV : LA SITUATION DE LA CONCURRENCE
IV.1. La situation des concurrents locaux.
IV.2. La situation des concurrents internationaux
SECTION V : LES POLITIQUES ET STRATEGIES MARKETING ENVISAGEES
V.1. Les politiques marketings envisagées
V. 1. 1. La politique de prix
V. 1. 2. La politique de produits
V. 1. 3. La politique de la promotion
V. 1. 4. La politique de distribution et communication
V. 2. Les stratégies marketing envisagées
V. 2. 1. La stratégie pull
V. 2. 2. La stratégie push
V. 3. Les stratégies commerciales envisagées
DEUXIÈME PARTIE : LA CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : LES TECHNIQUES DE PRODUCTIONS
SECTION I : L’IDENTIFICATION DES MATERIELS
I. 1. Les moyens matériels en mer
I. 2. Les moyens matériels en terre
SECTION II : LES MOYENS HUMAINS
II. 1. Profiles requis
Section II : Les tâches de production
III. 1. La présentation des produits de mer
III. 2. Le traitement des produits
III. 2. 1. CONGÉLATION
III. 2. 2. SECHAGE
III. 3. Les règlements relatifs à l’exploitation des produits de mer
III. 4. L’usine de la société
CHAPITRE II : ÉTUDES ORGANISATIONNELLES DU PROJET
SECTION I : L’ORGANISATION ET LES RESSOURCES
I. 1 Définition de l’organisation
I. 2. Les ressources composante de l’organisation
I. 2. 1. L’organisation journalière
I. 2. 2. Organisation mensuelle
I. 2. 3 .Organisation annuelle
SECTION II : LES FONCTIONS ET L’ORGANISATION
II. 1. Les différentes fonctions de l’entreprise
II. 1. 1. La fonction DG
II. 1. 2. Le département administratif et financier
II. 1. 2. 1. Planifier
II. 1. 2. 2. Organiser
II. 1. 2. 3. Diriger
II. 1. 2. 4. Contrôler
II. 1. 3. Le département technique, recherche et développement
II. 1. 4. Le département commercial
II. 2 .L’organigramme envisagé
II. 3. Chronogramme de travail
SECTION III : LES PROCEDURES DE REALISATION DU PROJET
III. 1. Les tâches et leurs durées
III. 2. Le chronogramme PERT
III. 2. 1. Concept
III. 2. 2. Présentation graphique des étapes et tâches dans un réseau
III. 2.1.Ventilation de toutes les tâches et leurs durées
III. 2. 1. 1. Étude de marché
III. 2. 1. 2. Information et prospection des partenaires
III. 2. 1. 3. Acquisition des matériaux de construction
III. 2. 1. 4. Acquisition des équipements d’exploitation
III. 2. 1. 5. Faisabilité technique
III. 2. 1. 6. Construction
III. 2. 1. 7. Le recrutement
III. 2. 1. 8. Formation générale
III. 2. 1. 9. Production effective
III.2.2. représentation graphique de la méthode PERT
III. 3. La production
TROISIÈME PARTIE : ÉTUDE FINANCIÈRE DU PROJET
CHAPITRE I: FINANCEMENT DU PROJET : COÛTS DES INVESTISSEMENTS ET ANALYSES DES CRITERES DE VIABILITE
SECTION I: SCHEMAS DE FINANCEMENT
I. 1. évaltion des chiffres d’affaires
I. 2. le plan de financement
I. 2.1. La représentation du plan de financement
I. 2.2. La représentation du plan de règlement des ventes et achat
I. 2. 3. le rembourcement de l’enmprunt
SECTION II: LES COUTS DES INVESTISSEMENTS
II. 1. Les investissements nécessaires
II.1. 1. Les coût de construction et divers frais
II. 2. les achats des materiels
II. 2. 1. Les matériels d’installation électroniques et téléphoniques
II. 2. 2. Les coûts des matériels de nettoyage
II. 2. 3. Le coût des matériels et mobilier de bureau
II. 2. 4. Les coûts des matériels de transport
II. 2. 5. Les coûts des matériels d’exploitation
II. 3. Amortissement
II. 3. 1. Calcul des amortissements des immobilisations pour les 5 premières années
SECTION III : ANALYSE DE LA RENTABILITÉ ET DE LA FAISABILITÉ
III. 1. Les encaissements et les décaissements
III. 1. 1. Les achats de matières premières et appâts
III. 1. 2 .Les achats de fournitures consommables
III. 1. 3. Les charges externes :
III. 1. 4 .Les charges du personnel et sociales
III. 1. 5. Les charges financières
III. 1. 6. Les impôts et taxes
III. 1. 7. Les produits
III. 2. Les etats financiers prévisionnels
III. 2. 1. Les comptes de résultats après charges financières
III. 2. 2. Les bilans prévisionnels
III. 2. 2.1. Le bilan de clôture de l’année 1
III. 2. 3. Tableau de flux de trésorerie
CHAPITRE II : ÉVALUATIONS ET IMPACTS DU PROJET
SECTION I : EVALUATIONS ÉCONOMIQUES DU PROJET
I.1 La valeur ajoutée
I. 2. Les ratios de performances économiques
SECTION II : LES EVALUATIONS FINANCIERES DU PROJET
II.1. Critère d’évaluation selon les outils du projet
II.1.1. La valeur actuelle nette (VAN)
II. 1. 2 Le taux de rentabilité interne (TRI)
II. 1. 3. Calcul de l’Indice de Profitabilité
II. 1. 4. La durée de récupération des capitaux investis
II. 1. 5. Le seuil de rentabilité
II.2. Les critères d’évaluation selon les critères du projet
II.2.1. La pertinence
II.2.2. L’efficacité
II.2.3. L’efficience
II.2.4. La durée de vie.
II.2 5. Les impacts du projet
II.2.5.1. Les impacts sociaux
II.2.5.2. Les impacts économiques
II.2.5.3. Les impacts financiers
II.2.5.4. Les impacts environnementaux
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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