Les politiques de gestion des Ressources Humaines

Le systรจme bancaire au Maroc

Rappel historique L’ouverture des premiers guichets bancaires au Maroc date de la deuxiรจme moitiรฉ du 19รจme siรจcle. L’Acte d’Algรฉsiras, signรฉ en 1906 par les dรฉlรฉguรฉs de douze pays europรฉens, des Etats-Unis d’Amรฉrique et du Maroc, a instituรฉ la Banque d’Etat du Maroc qui sera effectivement crรฉรฉe, ร  Tanger, en 1907 sous forme de sociรฉtรฉ anonyme, dont le capital รฉtait rรฉparti entre les pays signataires, ร  l’exception des Etats Unis. Outre les opรฉrations ร  caractรจre commercial, la Banque d’Etat du Maroc disposait du privilรจge de l’รฉmission de la monnaie fiduciaire sur tout le territoire du Royaume et assumait le rรดle d’agent financier du gouvernement marocain. Avec l’avรจnement du protectorat franรงais en 1912, de nombreuses filiales de grandes banques commerciales europรฉennes, notamment franรงaises, de banques d’affaires et de groupes financiers รฉtrangers se sont installรฉes au Maroc. De mรชme, ont vu le jour des institutions financiรจres marocaines remplissant des fonctions spรฉcifiques et intervenant dans des domaines particuliers. Il s’agit notamment de la Caisse des Prรชts Immobiliers du Maroc, de certaines caisses spรฉcialisรฉes dans le financement de l’agriculture, de la Caisse Centrale de Garantie, de la Caisse Marocaine des Marchรฉs et du Crรฉdit Populaire. L’exercice de l’activitรฉ bancaire, qui n’รฉtait rรฉgi par aucun texte particulier, a รฉtรฉ organisรฉ pour la premiรจre fois en 1943, suite ร  la promulgation du dahir du 31 mars relatif ร  la rรฉglementation et ร  l’organisation de la profession bancaire. Les modalitรฉs d’application de ce dahir ont รฉtรฉ fixรฉes par l’arrรชtรฉ du Directeur des Finances de la mรชme date, puis modifiรฉes et complรฉtรฉes par les arrรชtรฉs du 15 janvier 1954, du 17 janvier et du 16 avril 1955. Ces textes ont notamment dรฉvolu au Directeur des Finances une compรฉtence gรฉnรฉrale en matiรจre de contrรดle et de rรฉglementation des conditions d’exercice de l’activitรฉ bancaire, ainsi que le pouvoir de sanction des manquements constatรฉs. Pour l’accomplissement de sa mission, le Directeur des finances รฉtait assistรฉ par le ยซย Comitรฉ des banquesย ยป, instance consultative chargรฉe d’รฉmettre des avis ou des propositions sur toutes questions intรฉressant la profession et appelant des mesures ร  caractรจre individuel ou gรฉnรฉral. Ce dispositif institutionnel fut complรฉtรฉ, par la mise en place du ยซย Comitรฉ du Crรฉdit et du Marchรฉ Financierย ยป, organe consultatif habilitรฉ ร  donner son avis au Directeur des finances, en particulier en ce qui concerne la politique gรฉnรฉrale de crรฉdit et le marchรฉ financier. Au lendemain de l’indรฉpendance du Maroc en 1956, les bases d’un systรจme bancaire national ont รฉtรฉ mises en place. Ainsi, la Banque du Maroc a รฉtรฉ instituรฉe par le dahir nยฐ 1-59-233 du 30 juin 1959 pour se substituer ร  la Banque d’Etat du Maroc et assurer la fonction de Banque Centrale. Crรฉรฉe sous forme d’รฉtablissement public dotรฉ de la personnalitรฉ civile et de l’autonomie financiรจre, cette institution s’est vue confier le privilรจge de l’รฉmission de la monnaie fiduciaire, ainsi que la mission de veiller ร  la stabilitรฉ de la monnaie et de s’assurer du bon fonctionnement du systรจme bancaire. A partir de mars 1987, la dรฉnomination de ย ยป Bank Al Maghrib ย ยป a รฉtรฉ substituรฉe ร  celle de ย ยป Banque du Maroc ยซย . D’autre part et afin de rรฉpondre aux objectifs de dรฉveloppement et aux besoins de financement spรฉcifiques ร  des secteurs รฉconomiques jugรฉs prioritaires, l’Etat a procรฉdรฉ ร  la crรฉation d’organismes financiers spรฉcialisรฉs et ร  la restructuration de certaines institutions existantes. Ainsi furent crรฉรฉs, en 1959, la Caisse de Dรฉpรดt et de Gestion (CDG), le Fonds d’Equipement Communal (FEC), la Caisse d’Epargne Nationale (CEN), la Banque Nationale pour le Dรฉveloppement Economique (BNDE) et la Banque Marocaine du Commerce Extรฉrieur (BMCE). L’annรฉe 1961 a vu la restructuration du Crรฉdit Agricole et du Crรฉdit Populaire.Cette pรฉriode s’est caractรฉrisรฉe รฉgalement par la rรฉduction du nombre des banques qui a รฉtรฉ ramenรฉ de 69 ร  26 entre 1954 et 1961, sous l’effet conjuguรฉ de la fusion et de la disparition de certains รฉtablissements. La seconde รฉtape importante de la mise en place et de la consolidation du systรจme bancaire marocain a dรฉbutรฉ avec la promulgation du dรฉcret royal nยฐ 1-67-66 du 21 avril 1967 portant loi relatif ร  la profession bancaire et au crรฉdit, dont les principaux apports consistent en une dรฉfinition plus prรฉcise de l’activitรฉ des banques, la dรฉlimitation des attributions des autoritรฉs de tutelle et de surveillance et l’institution d’une rรฉglementation plus appropriรฉe. Les dispositions du dรฉcret susvisรฉ furent รฉtendues au Crรฉdit Populaire en 1970. En 1986, les prescriptions du titre III du dรฉcret portant loi susvisรฉ, relatives au contrรดle du crรฉdit et des banques, ont รฉtรฉ รฉtendues ร  la Banque Nationale pour le Dรฉveloppement Economique et au Crรฉdit Immobilier et Hรดtelier qui ont รฉtรฉ, par ailleurs, autorisรฉs ร  recueillir des dรฉpรดts auprรจs du public. La Caisse Nationale du Crรฉdit Agricole, quant ร  elle, a รฉtรฉ habilitรฉe, en 1987, ร  financer d’autres secteurs d’activitรฉ liรฉs notamment au milieu rural.

Indicateurs de pilotage et de rรฉussite de la fonction SI

ย  ย La rรฉussite de la fonction SI se base sur plusieurs critรจres, notamment en ce qui concerne la gestion des risques, la gestion de la performance opรฉrationnelle, la gestion de la relation client, le contrรดle de gestion, la gestion des ressources humaines et en particulier des compรฉtences systรจmes dโ€™information. Tout en faisant lโ€™analyse de ces diffรฉrents repรจres, il est claire que les implications stratรฉgiques et organisationnelles nouvelles des systรจmes d’information montrent qu’ils ne doivent plus รชtre traitรฉs comme une fonction isolรฉe mais comme partie intรฉgrante de la vie des entreprises. La tรขche est ร  la fois vitale et complexe, et les risques de dรฉrapages trรจs pรฉnalisants. Etre suffisamment ยซ rรฉactif ยป mais aussi ยซ rรฉaliste ยป et pragmatique en ne pรชchant pas par trop dโ€™empressement devient ainsi de plus en plus urgent. Il va sans dire que le domaine des systรจmes d’information reste cependant relativement rรฉcent pris dans sa globalitรฉ et dans un environnement en รฉvolution croissante. Il y a cependant un historique assez important, qui nous convainc de la nรฉcessite d’un engagement encore plus soutenu et plus permanent. La comprรฉhension mutuelle des enjeux et des contraintes de l’organisation,et l’intรฉgration des systรจmes d’information comme service ร  vocation dรฉcisionnelle et opรฉrationnelle doit assurer le rapprochement et la synergie requise entre le monde de l’information et de l’informatique, d’une part, et du management des entreprises, d’autre part. Les deux doivent faire valoir les professionnalismes respectifs acquis. Pour ce faire, les managers SI doivent disposer dโ€™un ensemble dโ€™indicateurs leur permettant de mieux piloter la fonction et par delร  sa contribution ร  la crรฉation de la valeur et au dรฉveloppement de la stratรฉgie de lโ€™entreprise. Parmi ces indicateurs, figurent la diminution des risques, lโ€™amรฉlioration de la relation client, la rรฉduction des coรปts, lโ€™amรฉlioration de la performance opรฉrationnelle des processus ยซ mรฉtiers ยป et en fin, le dรฉveloppement des compรฉtences individuelles et collectives.

De lโ€™administration du personnel ร  la Gestion des Ressources Humaines

ย  Lโ€™historique de la fonction Gestion du Personnel nous permet de montrer que sa crรฉation et son dรฉveloppement sโ€™expliquaient par le souci de rรฉpondre ร  des problรจmes quantitatifs par des solutions, elles aussi, quantitatives. Depuis sa crรฉation, la fonction Gestion du Personnel a รฉtรฉ toujours caractรฉrisรฉe par un traitement bureaucratique de premier plan, un caractรจre administratif fort, une gestion centralisรฉe et un caractรจre subordonnรฉ aux autres fonctions de lโ€™Entreprise. Cโ€™est le passage progressif de la notion de productivitรฉ ร  la notion de compรฉtitivitรฉ qui a permis de translater la problรฉmatique des ressources humaines du registre de lโ€™organisation du travail au registre de la stratรฉgie dโ€™entreprise. La conception statique de lโ€™organisation (organigrammes, description des postes, relations faibles entre fonctionnel et opรฉrationnel,โ€ฆ) devant laisser la place ร  une organisation dynamique, oรน la ressource humaine devient la ressource fondamentale. De nos jours, la Gestion des Ressources Humaines met en รฉvidence le rรดle capital de la fonction personnel au sein des systรจmes de gestion des organisations et apporte une plus grande attention aux modes de recrutement et de sรฉlection, au perfectionnement, au dรฉveloppement de la carriรจre, ร  la gestion des compรฉtences,โ€ฆetc pour pouvoir atteindre lโ€™adรฉquation des moyens humains aux missions de lโ€™appareil administratif. Les titres affectรฉs aux responsables des services spรฉcialisรฉs dans la gestion des ressources Humaines ont beaucoup fluctuรฉ ร  travers les annรฉes. Nous retrouvons ainsi les termes suivants :
ยƒ Administration du Personnel ;
ยƒ Relations Humaines ;
ยƒ Relations Sociales ;
ยƒ Gestion du Personnel ;
ยƒ Dรฉveloppement Social ;
ยƒ Gestion des Ressources Humaines.
Il va sans dire que la valse des intitulรฉs, bien que ces derniers continuent ร  exister dans certaines structures, peut รชtre expliquรฉe par la pression du phรฉnomรจne de mode. Le terme dโ€™administration, gรฉnรฉralement associรฉ ร  celui de personnel, renvoie ร  une vision juridique de la main dโ€™ล“uvre. Le salariรฉ รฉtant considรฉrรฉ comme un ayant droit, ce qui nโ€™exclut pas quโ€™il soit soumis ร  des obligations. La rรฉfรฉrence organisationnelle sous-jacente est celle de la bureaucratie avec ses caractรฉristiques de formalisation, de hiรฉrarchisation, de centralisation et dโ€™impersonnalitรฉ. La fonction publique a longuement reprรฉsentรฉ lโ€™archรฉtype de ce modรจle de gestion, mais on en trouve รฉgalement des versions attรฉnuรฉes ou hybrides dans le secteur privรฉ.

Les politiques de gestion des Ressources Humaines

ย  ย La gestion des ressources humaines est ร  la fois un domaine de connaissance et un domaine dโ€™action. Elle constitue aussi ร  la fois une politique affichรฉe et des dรฉcisions concrรจtes. En effet, les politiques annoncรฉes ne se retrouvent pas toujours dans les dรฉcisions prises. A titre dโ€™illustration, une politique salariale peut prรดner la diffรฉrenciation selon les performances individuelles et lโ€™analyse des รฉvolutions rรฉelles des salaires montre que cโ€™est lโ€™anciennetรฉ qui sโ€™applique (le seul critรจre ou, du moins, le critรจre majeur qui est pris en compte). Il sโ€™agit en fait de sโ€™entraรฎner ร  repรฉrer ces dรฉcalages et ร  les interprรฉter.
Des politiques aux pratiques Une politique explicite est utile et sans doute mรชme indispensable, lorsquโ€™on cherche ร  affirmer une volontรฉ ou provoquer un changement. En effet, il ne suffit pas de dire, mais que concrรจtement les actes suivent. Une politique de gestion des ressources humaines redรฉfinie mais recourant ร  des outils de gestion dont les logiques nโ€™ont pas รฉtรฉ suffisamment รฉvaluรฉes peut contribuer ร  gรฉnรฉrer des dรฉcisions dรฉcalรฉes par rapport aux intentions politiques prรฉcรฉdemment annoncรฉes.
La notion de responsabilitรฉ partagรฉe Reprรฉsenter la GRH en distinguant politiques et dรฉcisions cโ€™est dรฉjร  prendre acte dโ€™une caractรฉristique, qui nโ€™est pas propre aux activitรฉs des ressources humaines, mais qui est particuliรจrement importante pour spรฉcifier le fonctionnement dโ€™une organisation : la responsabilitรฉ partagรฉe. Le service responsable de la Gestion des Ressources Humaines a en charge lโ€™รฉlaboration des politiques de GRH, quโ€™il propose ร  la direction gรฉnรฉrale et les fait lรฉgitimer par cette derniรจre. Il a aussi en charge la dรฉfinition et lโ€™implantation des procรฉdures permettant de concrรฉtiser lesdites politiques. En revanche, les dรฉcisions de GRH sont, en gรฉnรฉral, prises par la hiรฉrarchie ou font largementย intervenir celle-ci. Ce partage de responsabilitรฉ confรจre au service Ressources humaines un rรดle de structuration du processus de dรฉcision et de contrรดle, la hiรฉrarchie dรฉcidant en fonction des rรฉalitรฉs du terrain. Il convient รฉgalement de signaler que ce partage de responsabilitรฉ est รฉminemment variable selon les entreprises ou les organisations et selon les perspectives prรฉcรฉdemment dรฉfinies : administration du personnel ou gestion des ressources humaines. La perspective ยซ administration du personnel ยป privilรฉgie des mesures centrales sโ€™appliquant de faรงon automatique en fonction de critรจres objectifs : anciennetรฉ, รขge, coefficient, catรฉgorie dโ€™appartenance,โ€ฆetc. La perspective ยซ gestion des ressources humaines ยป cherche ร  prรฉciser le cadre et lโ€™esprit dans lequel la dรฉcision doit รชtre prise. La tendance actuelle consiste soit ร  responsabiliser les lignes hiรฉrarchiques et notamment le premier niveau dโ€™encadrement, soit ร  substituer un contrรดle a posteriori ร  celui effectuรฉ a priori par le service Ressources humaines. Le repรฉrage de la ligne de partage entre service Ressources humaines et ligne hiรฉrarchique est un rรฉvรฉlateur du fonctionnement de lโ€™organisation et de la place de la gestion des ressources humaines. Il faut noter que cโ€™est dans ce partage et dans ces modalitรฉs concrรจtes que se joue le pouvoir rรฉel des services des ressources humaines, bien plus que dans les dรฉclarations des dirigeants qui font de lโ€™homme ยซ la vraie richesse des organisations ยป.
Universalisme ou contingence De nombreux cabinets de conseil en gestion des ressources humaines continuent ร  dรฉvelopper un discours commercial dโ€™inspiration universaliste. Cela va de la mรฉthode permettant de comparer des postes quelque soit lโ€™organisation dโ€™appartenance, aux compรฉtences qui seraient partout gรฉnรฉratrices de hautes performances. Cependant, lโ€™approche universaliste consiste ร  avancer quโ€™il nโ€™y a pas lieu de rรฉinventer les solutions que dโ€™autres ont su apporter ร  des problรจmes classiques, et quโ€™il existe des solutions รฉprouvรฉes qui sโ€™appliquent pratiquement ร  toutes les organisations. Nous faisons remarquer au passage que la contingence est une remise en cause du ยซ one best way ยป. Elle admet quโ€™il puisse y avoir plusieurs bonnes solutions ou que la pertinence de telle ou telle solution puisse varier selon les situations. Cela nโ€™exclut pas la norme : tel facteur de contingence peut rendre telle solution mieux adaptรฉe que telle autre.

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Table des matiรจres

INTRODUCTION GENERALE
Chapitre Premier. Prรฉsentation de Bank Al-Maghrib
Section 1. Prรฉsentation de Bank Al-Maghrib
1. Principales missions de la banque
2. Organisation de Bank Al-Maghrib
3. La gestion des Ressources Humaines au sein de Bank Al-Maghrib
Section 2. Prรฉsentation de la Direction de lโ€™organisation et des Systรจmes dโ€™Information
1. Rรดle et attributions de la DOSI
2. Organisation de la DOSI
Chapitre 2 : Dรฉveloppement du concept compรฉtences
Section 1. La gestion Ressources Humaines
1. De lโ€™administration du personnel ร  la Gestion des Ressources Humaines
2. Les politiques de gestion des Ressources Humaines
Section 2. La gestion des compรฉtences
1. Naissance du concept Compรฉtence
2. Dรฉfinition de la Compรฉtence
3. Les diffรฉrentes utilisations possibles
4. Le rรฉfรฉrentiel des compรฉtences
5. Apport de la gestion des compรฉtences dans la gestion des ressources Humaines
Section 3. Benchmarking dโ€™entreprises : expรฉriences et tรฉmoignages
1. Les nouvelles pratiques GRH dans le groupe CDG
2. Retour dโ€™expรฉrience sur les systรจmes de gestion des compรฉtences
Chapitre Premier. Dรฉveloppement de la dรฉmarche de la recherche
Section 1. Prรฉsentation de la dรฉmarche de recherche
1. Pรฉrimรจtre de la recherche
2. Etapes de rรฉalisation
Section 2. Mise en place des rรฉfรฉrentiels
1. Diagnostic de la gestion actuelle des compรฉtences
2. Les fonctions de la DOSI
3. Structure du Rรฉfรฉrentiel des compรฉtences
4. Usages du rรฉfรฉrentiel des compรฉtences
5. Listes des compรฉtences du rรฉfรฉrentiel
5.1. Les Compรฉtences techniques
5.2. Les Compรฉtences comportementales
Chapitre 2. Mise en ล“uvre de la dรฉmarche
Section 1. Mรฉcanismes de gestion des compรฉtences
1. Les niveaux de compรฉtences
1.1. Les niveaux de compรฉtences techniques
1.2. Les niveaux de compรฉtences comportementales
2. Lโ€™entretien dโ€™รฉvaluation
Section 2. Plan dโ€™action et recommandations
1. Plan dโ€™action
3. Des recommandations pour une gestion des compรฉtences rรฉussie
CONCLUSION GENERALE

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