Les pôles de développement à soutenir en matière de riz

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La menace des nouveaux entrants sur le marché

Notre activité n’est pas étrangère pour la régioninsia que les produits que nous lançons peuvent être à la portés de toutes celles qui disposent d’une simple activité achat- revente. Pourtant, nous sommes prêts à faire face aux concurrents directs éventuels en nous démarquant par notre primauté dans ce domaine, la qualité de produit à vendre et de service à rendre que nous allons pro poser ainsi que celle de l ‘ensemble de personnel compétitif et élégant sur cette activité sur le marché.
D’après ce schéma, nous élaborons que non seulementle centre est bénéficiaire de la réalité de ce projet, mais sur le marché, ily a également que la population de cette région bénéficierait davantage notamment l’aboutissement du marché de travail pour les jeunes, le marché de Paddy pour les agriculteurs.

L’ANALYSE DE L’OFFRE

L’offre étant la finalité de la production ou prestation du service à vendre.
Nous étudions alors l’analyse de l’offre globale et la situation de l’offre locale envisagée.

L’analyse de l’offre globale

L’analyse de l’offre permet d’évaluer la capacité et pouvoir économique du centre afin de déduire le nombre de personnes qui l’intéresse aux services de notre projet. Il est nécessaire de signaler que, outre la capacité d’offre sur le lieu d’implantation, l’importation des produits sur le m arché est engendrée également dans la capacité d’offre globale. Sur ce point, l’offre est une fonction croissante en fonction du prix. Si le prix sur le marché augmente, l’offre augmente aussi, parce que tous les opérateurs économiques s’intéressent sur ce marché.

La situation d’offre locale

L’offre locale est basée sur la capacité de production locale et celle des importations afférentes. Afin de maintenir le prix au consommateur du riz parfois conventionnel de Ar 700 / kg, la commune rurale de Manalalondo bénéficie le ravitaillement d’importateurs du riz de Thaïlande, de Pakistan et de l’Inde. Sur ce point, une nouvelle mesure a pris sur cette importation qu’elle découle d’un partenaire entre le chef de région, les autorités locales et les quatregroupes importateurs à savoir, SILAC et les établissements RABENARIVO.
Ainsi, ces opérateurs ont ouvert chacun un point de changement en riz pour approvisionner la commune de Manalalondo, parmi le plus gros consommateur, soit dit en passant avec 30 % de la consommation totale.
Vu la capacité d’offre envers cette région, nous élaborons une meilleure gestion de stock de sécurité de riz à la fois import et local en tenant compte de la période de récolte pour certaines zones de production. Par conséquent, il y a une régularité de prix sur le marché en visant les productions locales.

L’ANALYSE DE LA DEMANDE

En économie, la demande globale d’un bien ou de service au sein du centre détermine le volume du marché existant. Nous traiterons alors le comportement ainsi que l’analyse globale de la demande..

La situation de la demande globale

Pour l’année fiscale 2006, Madagascar figure parmi les pays considérés par « l’International food aid » comme ayant le plus besoin d’aide alimentaire. La liste comprend 09 pays dont le Tchad, l’Ethiopie, Madagascar, le Malacui, Mozambique, le Hizer, la Sierra Léone, l’Ouganda et la Zambie. Il faut pourtant noter que pour la FAO ; les pays africains ayant besoin d’une aide alimentaire d’urgence sont au nombre de trois. Il s’agit de l’Erythrée, du Djibouti et du Kenya.
Quoi qu’il en soit, la présence de Madagascar sur la liste des Américains laisse entendre que le pays est encore loin de l’autosuffisance en production agricole. Il faut pourtant relever que ces dernières années, le rendement rizicole ne connaît plus une évolution en dents de scie. Il prend une courbe ascendante et la moyenne nationale dépasse maintenant les 2 t / ha. En visant ces situations générales de la demande, Madagascar est encore parmi les pays qui a besoin d’aide alimentaire surtout en matière du riz. Il est a signaler que les Etats-Unis sont les plus grands fournisseurs d’aide alimentaire pour les pays en difficulté comme le tiers monde.

La situation de la demande et les clients cibles

Le Ministère de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche souligne même que l’année dernière, Madagascar était à 10 % de l’autosuffisance en riz. La campagne agricole 2005 / 2006 n’a pas connu des dégâts majeurs et dans la plupart des régions, même à Mnalalondo, la récolte a été plutôt bonne même dans les petites zones considérées comme infertiles. Alors, chaque régionconcentrait ses efforts en matières de l’agriculture outre la croissance démographique galopante. Voici alors le tableau qui fait apparaître les clients cibles, en particulier le district d’Arivonimamo B.
D’après ce tableau, nous voyons que la population d’Arivonimamo est parmi la plus importante. Même s’il y a une sécurité alimentaire dans cette région, il faut relever que si le prix du riz augmente, le besoin alimentaire quotidien reduit faute de pouvoir d’achat du peuple. Par conséquent, la demande est donc en fonction décroissante en fonctions du prix.

L’ANALYSE DE LA CONCURRENCE

Dans cette section, nous analyserons les concurrences directes et indirectes sur le marché et la part de marché existant.

Les concurrences directes et indirectes au niveau du prix sur le marché

Manalalondo est une zone stratégique pour l’économie d’Arivonimamo B. Sur ce point, vu la situation démographique de cette commune, les opérateurs économiques élaboreront l’introduction d’importation agricole dans cette régions. Celles –ci constitueront nos concurrents indirects, même si elles renforceront la capacité d’offre afférente. Quant à nos concurrents directs, la bataille s’observe au niveau du prix appliqué sur le marché.
L’augmentation du prix est parfois basée sur la hausse vertigineuse du prix du baril de pétrole sur le marché international. En effet, le prix à la pompe est conditionné par trois facteurs principaux : le prix du baril, le taux de change, et le coût de chaque compagnie y compris le frais de transport. Sur ce point, nous prendrons une faible marge bénéficiaire sur le coût par le biais des divers transports envisagés, alors que ceci est la base de notre victoire face à nos concurrent s. A Manalalondo, nous élaborons le prix suivant sur le marché et envers nos adversaire.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : LA PRESENTATION DU PROJET
SECTION 1 : LA DESCRIPTION DU PROJET
11 – La situation actuelle de riz à Madagascar
12 – Les pôles de développement à soutenir en matière de riz
13- L’action de développement régionale en matière de produit
SECTION 2 : LA REALITE LOCALE
21 – Les variantes quotidiennes des produits agricoles
22 – Les variantes des prix sur la marché
23 – l’équitabilité de la région
SECTION 3 : LA SPECIFICITE DU PROJET
31 – le choix du projet
32 – les avantages apportés du projet
SECTION 4 : LA SITUATION GEOGRAPHIQUES, LA DELIMITATION ADMINISTRATIVE MONOGRAPHIQUE DE LA REGION
41- Historique
42- La situation géographique et délimitation administrative
43 – Les données démographiques ou situation démographiques
CHAPITRE II : L’ETUDE DE MARCHE
SECTION 1 : LA NATURE ET TYPOLOGIE DU MARCHE
11- L’analyse et l’état de l’environnement PESTEL
12- La menace des nouveaux entrants sur le marché
SECTION 2 : ANALYSE DE L’OFFRE
21- L’analyse de l’offre globale
22- La situation d’offre locale
SECTION 3 : ANALYSE DE LA DEMANDE
31- La situation de la demande globale
32- La situation de la demande et les clients cibles
SECTION 4 : L’ANALYSE DE LA CONCURRENCE
41- Les concurrents directs au niveau du prix sur le marché
42- La part visée sur le marché
CHAPITRE III: LA THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ET LES CRITERES D’EVALUATION DU PROJET
SECTION 1: L’EVALUATION SELON LES CRITERES
11- La pertinence
12- L’efficacité
13- L’efficience
14- La durée de vie du projet
SECTION 2: L A THEORIE D’EVALUATION SELON LES OUTILS
21- La Valeur Actuelle Nette
211- Définition
212- Formule
213- Interprétation
22-Le Taux de Rentabilité Interne
221- Définition
222- Formule
223- Interprétation
23- L Indice de profitabilité
231- Définition
232- Formule
233- Interprétation
24-La Durée de Récupération des Capitaux Investis
241- Définition
242- Formule
243- Interprétation
SECTION 3 : LES STRATEGIE ET POLITIQUE MARKETING ENVISAGEE
31 – Le choix stratégique
32 – Le principe de marketing mix
321 – La politique de produit
322 – La politique de prix
323 – La politique de distributions
324 – La politique de communication
DEUXIEME PARTIE : LA CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : LA TECHNIQUE DE REALISATION
SECTION 1: LES ACTIONS MIXTES A LA REALISATION
11- Les investissements agricoles
12- L’action de l’Etat pour l’infrastructure
SECTION 2 : L’INTERVENTION DU CENTRE A LA REALISATION
21- Le relancement d’intervention du centre
22- Le choix de matière première et ses accessoires
23- L’intervention bancaire pour le centre
SECTION 3 : LES INVESTISSEMENTS EN NATURE ET EN NUMERAIRE DU CENTRE
31 – Les apports en nature
32 – Le capital et les apports en numéraire
CHAPITRE II: LA CAPACITE DE REALISATION
SECTION 1 : LA RECEPTION DES CLIENTS VISITEURS ET LES CHIFFRES D’AFFAIRES
11- L’évolution de la production et les chiffres d’affaires procurés
12- L’évolution du chiffre d’affaires durant 05 ans d’exploitation
SECTION 2 : LES ASPECTS QUANTITATIFS ET QUALITATIFS
21- Les aspects qualitatifs
22- Les aspects quantitatifs
SECTION 3 : LES DIFFERENTS FACTEURS DE REALISATION
31- Les moyens matériels
32- Les moyens humains
33- Les moyens financiers
CHAPITRE III: L’ETUDE ORGANISATIONNELLE
SECTION 1 : L’ANALYSE STRATEGIQUE ET ORGANISATIONNELLE
11- LA DEMARCHE STRAT2GIQUE ET ORGANISATIONNELLE
12-Les objectifs stratégiques et organisationnels
13- Les liens hiérarchiques des stratégies de l’entreprise
131 – L’organisation stratégique
132 – L’organisation politique
133 – L’organisation statique ou opérationnelle
SECTION 2: L’ORGANIGRAMME
21- La spécificité de l’organigramme
22- La présentation de l’organigramme
SECTION 3: LE CHRONOGRAMME
31- Le processus des chronogrammes
32- Le chronogramme envisagé
TROISIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I : LESCOUTS DES INVESTISSEMENTS
SECTION 1 : LES INVESTISSEMENTS NECESSAIRES
11- Les Immobilisations Incorporelles
12- Les Immobilisations corporelles
121 – Le coût du terrain et construction d’un bâtiment
122 – Le coût des matériels de transport et de déplacement
123 – Les matériels et mobiliers de bureau
124 – Le coût des installations électriques
125 – Le coût de matériel d’exploitation
SECTION 2 : L’AMORTISSEMENT DES BIENS
21- Le processus de l’amortissement
22- Tableau d’amortissement
SECTION 3: LE PLAN DE FINANCEMENT
31- Le Fonds de Roulement Initial
32- La répartition du plan de financement
33- Le remboursement des dettes
SECTION 4: LES COMPTES PREVISIONNELS DE GESTION
41- Les produits
42- Les charges
421 – L’achat de matière première
422 – Les charges financières
423 – L’achat des fournitures consommables
424 – Les dotations aux amortissements et prévisions
425 – Les impôts et taxes
426 – Les charges externes et les charges d’exploitation
427 – Les charges de personnel, social et patronale
CHAPITRE II : L’ETUDE DE LA FAISABILITE
SECTION 1: LES COMPTES DE RESULTATS PREVISIONNELS
11- Le compte de résultat avant répartition légale
12- Les comptes de résultats par nature
13 – Les comptes de résultats par fonction
SECTION 2: LES BILANS PREVISIONNELS
21- Le bilan d’ouverture
22- Le bilan de clôture de l’année 1
23 – Etude illustrée de la TVA
24 – Le bilan de clôture durant les cinq années d’exploitation
25 – Le flux de trésorerie
251 – Le flux de trésorerie préliminaire indirecte
252 – Le flux de trésorerie directe
CHAPITRE III: L’EVALUATION ET IMPACTS DU PROJET
SECTION 1: L’EVALUATION ET IMPACTS ECONOMIQUES
11- La valeur Ajoutée
12- Les ratios de structures financières et de performances économiques
SECTION 2 : L’EVALUATION ET IMPACTS FINACIERS
21- Les critères d’évaluation selon les critères du projet
211- La pertinence
212- L’efficacité
213- L’efficience
214- La durabilité du projet
215- Les impacts du projet
22- Les évaluations selon les outils du projet
221- La valeur actuelle nette (VAN)
222- Le Taux de rentabilité interne (TRI)
223- L’Indice de Profitabilité ( IP )
224- La durée de récupération des capitaux investis (DRCI)
SECTION 3 : LES IMPACTS DU PROJET
.31- Les impacts financiers
32- Les impacts économiques
33- Les impacts sociaux
CONCLUSION GENERALE

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