Les phlébotomes vecteurs de leishmaniose

Montage rapide dans la gomme au chloral

     Après éclaircissement, les phlébotomes sont montés directement dans une goutte de gomme au chloral. Ce milieu favorise la visualisation des spermathèques qui apparaissent très réfringentes et permet une bonne observation microscopique en contraste de phases. Cependant, la gomme au chloral a tendance à se rétracter après un certain temps; les structures internes tendent à s’effacer et à la longue l’ensemble de la préparation devient inobservable. Par conséquent, ce type de montage est à déconseiller pour une conservation de longue durée et il est conseiller de procéder directement a l’observation sous microscope.

Etude épidémiologique de la leishmaniose

        Les leishmanioses sont des maladies parasitaires dues à un protozoaire flagellé du genre Leishmania transmis de mammifère à mammifère par piqûre d’un arthropode vecteur: le phlébotome (Diptera: Psychodidae) (Belazzoug, 1982). Ce sont des maladies émergentes et étroitement liées à l’état de l’environnement (Ashford, 2000). La maladie provoquée chez l’homme est appelée leishmaniose. Elle comporte un spectre clinique allant de la forme cutanée isolée appelée Cloud de Biskra, à la forme multi systémique ou Leishmaniose viscérale appelée (Kala-azar). Les leishmanioses constituent un problème de santé publique. Lorsqu’on parle de la leishmaniose cutanée (LC), les statistiques de cette maladie, enregistrées au cours des dix années (2005-2014) à la région de Biskra (ancien foyer de leishmaniose), montrent la présence d’un pic épidémiologique signalé en 2005 avec 8375 cas pour un taux d’incidence de 210,42 cas par 100.000 habitants. En effet une étude épidémiologique a été réalisée dans cette région afin de déterminer d’une part l’évolution de la leishmaniose cutanée et d’autre part l’impact des facteurs climatiques sur cette maladie.

L’étude systématique des phlébotomes

      L’étude systématique des phlébotomes, vecteurs principales de leishmaniose, dans la région de Biskra a mis en évidence la présence de 10 espèces appartenant aux 2 genres Phlebotomus et Sergentomyia. Les espèces identifiées font partis de la liste des 22 espèces de phlébotomes connues et établis de l’Algérie (Dedet et al., 1984). Il a était trouvé que le genre Sergentomyia, réparti en 2 sous genres (Sergentomyia et Sintonius) est légèrement plus abondant que Phlebotomus. Ce genre représente 52,67% de l’abondance numérique totale, des espèces capturées. Tandis que le genre Phlebotomus, reparti en 3 sous genres (Phlebotomus, Paraphlebotomus et Larroussius) ne présente que 47,32% du total des individus. Sur les 10 espèces collectées à Biskra, 6 appartiennent au genre Phlebotomus, vecteur confirmé de la leishmaniose humaine (Killick-Kendrick, 1985; Killick Kendrick, 1990). Parmi ces espèces 3 qui appartiennent au sous-genre Paraphlebotomus, vecteur prouvé de L. tropica ou suspecte de L. killicki et 1 au sous-genre Larroussius, vecteur confirmé de L. infantum dans le basin méditerranéen. Finalement 2 espèces affiliés au sous genre Phlebotomus Phlebotomus (P. papatasi et P. bergeroti) lesquels sont des vecteurs de L. major (Killick-Kendrick, 1990). Les 4 espèces qui appartiennent au genre Sergentomyia, sont caractérisés par leur comportement trophique (Dedet et al., 1984; Berchi 1990). Les 10 espèces identifiées sont représentées par une abondance variable, comme chez P. papatasi 37.65%, S. minuta parroti 22,7%, S. fallax 15,29%, S. antennata 14,27%, P. sergenti 5,08%, P.bergeroti 1,99%, P. perniciosus 1,65%, P. alexandri 0,75%, S. christophersi 0,41% et P. chabaudi 0,21%. Les résultats montrent que l’espèce P. papatasi est la plus abondante, avec une présence marquée dans toutes les stations étudiées avec un taux de 41,53%. Cette espèce est aussi dominante avec un indice d’occurrence (C) de 100%. P. papatasi est considéré comme l’espèce de référence suite à sa description morphologique qui a été bien détaillée (Dancesco, 2008). Le rôle de vecteur de P. papatasi a été décrit par Sergent et al. en 1921 et confirmée comme premier vecteur de Leishmania major (zymodeme MON-25), responsable des graves lésions de leishmaniose cutanée dans les régions steppiques et sahariennes algériennes (Killick-Kendrick, 1990; Izri et al., 1992; Harrat et Belkaid, 2003) et Leishmania tropica au Maghreb, en Lybie et au Soudan (Chauvet, 1984). Plusieurs travaux effectués au niveau de basin méditerranéen prouvent la présence du P. papatasi dans divers foyers (Lewis, 1982); Arabie Saoudite (Killik kendrick et al., 1985), Jordanie (Janini et al., 1995), Tunisie (Ben-ismail et al., 1987), Maroc (Bailly-Choumara et al., 1971; Rioux et al., 1986; Boussaa, 2008), et Egypte (Mansour et al., 1991). En Algérie, cette espèce a été capturée pour la première fois à Biskra par Parrot en 1931. P. papatasi est largement répandu sur tout le territoire algérien. Elle est particulièrement abondante dans toute la frange steppique Nord saharienne, mais se rencontre également dans le tell et sur les haut plateaux, (Dedet et Addadi, 1977; Dedet et al., 1984; Berchi, 1993; Izri et al., 1992; Depaquit et al., 2008). Elle est aussi caractérisée par une préférence des zones hyperaride, plus précisément pour celui du sous étage à hiver chaud (Rioux et De La Roque, 2003). Les biotopes de cette espèce sont variés. Elle est rencontrée dans tous les types de biotope prospectés dans la région de Biskra (Sergent et Parrot, 1926) capturée dans les orifices de terriers de rongeurs. La fréquence de P. papatasi est assez comparable en agglomération (10,1%), dans le voisinage des habitats (16,6%) et en pleine ville de Laghouat et Bechar. La présence de ce vecteur est aussi rapportée dans la région de Skikda avec une faible abondance de 2,15% (Boulkenafet, 2006) et dans la région de Bordj Bou Arreridj avec une abondance de 15,8% (Boudrissa et al., 2012). Des études systématiques dans la région de Biskra et Batna ont mis en évidence la présence de P. papatasi avec une abondance de 13,3% (Bencherif, 2010). Depuis la présence de cette espèce a été signalée sur plusieurs parties du territoire, dans le bassin du hodna (M’sila) (Cherif, 2014), à Oum El Bouaghi (Kabbout et al., 2016) et dans la région du M’Zab-Ghardaïa avec un taux de 36.47% (Boukraa et al., 2011). Phlebotomus papatasi, le principal vecteur de Leishmania major (LC), a été démontré que sa transmission de L. major est plus facile que celle de L. tropica. Son rôle de vecteur a été confirmé et signalé dans plusieurs pays ; en Iran (Yaghoobi-Ershadi et al., 1995), en Arabie saoudite (Killick-Kendrick et al., 1985), Tunisie (Ben-Ismail et al., 1987), Egypte (Mansour et al., 1991) et au Maroc (Rioux et al., 1986). Tandis que son rôle vecteur dans la transmission de leishmaniose viscérale a été suspecté en Irak (Sukkar, 1978), mais ce rôle est contesté et ne peut être que secondaire (Morsy et al., 1992). Phlebotomus perniciosus une des espèces les plus importantes au point de vue épidémiologique, vu son rôle majeur dans la transmission de Leishmania infantum, agent causal de la leishmaniose viscérale humaine (Benikhlef et al., 2004). La transmission de l’agent pathogène par cette espèce a été démontrée dans plusieurs pays; Jordanie (Janini et al., 1995), Arabie Saoudite (Killik-kendrick et al., 1985), Tunisie (Ben-Ismail et al., 1987), Maroc (Rioux et al., 1986) et l’Egypte (Mansour et al., 1991). En Algérie Phlebotomus perniciosus est l’espèce la plus répandue dans le Nord du pays (Littorale et Hauts plateaux) avec une répartition géographique qui est essentiellement Atlas tellienne (Sergent, 1914). Elle est identifie dans plusieurs localités, région de Constantine, de Guelma ; Mansouria (Jijel); Souk-Ahras, Mila; Ain touta (Batna); Biskra et Barika; Alger (Alger, Bouira); en Grand kabylie et Oran. P. perniciosus est particulièrement constant en grande Kabylie et dans le Constantinois suite a l’étage bioclimatique qui est humide et subhumide et les deux régions sont endémiques de la leishmaniose viscérale (Louzir, 1999; Ben Abda, 2009). En dehors de ces régions, la distribution de P. perniciosus s’étend au sud (Aurès, Steppe pré-saharienne) caractérisé d’un bioclimat aride voir Saharien (Dedet et al., 1984) et signalée pour la première fois dans la région du M’Zab (Boukraa et al., 2011). Dans cette étude l’espèce en question ne présente que 3,18% des captures globales, est rencontrée uniquement dans 6 sites avec une fréquence d’occurrence faible (C=40%), ce qui lui confère le caractère rare, ainsi son rôle dans la transmission de la leishmaniose viscérale infantile (LV) dans la région est très éloigné. Une autre espèce identifiée dans la zone d’étude, Phlebotomus bergeroti est une espèce qui peut jouer un rôle épidémiologique important dans la transmission de la leishmaniose cutanée au Sahara central (Trouillet et faye, 1993). Les résultats obtenus montrent sa présence d’un taux de 1,82% dans la moities des stations prospectées avec une fréquence d’occurrence (C=40%). Elle est abondante en étage bioclimatique arides et comme l’Afrique du nord ou sa présence, particulièrement en Algérie est rapportée pour la première fois par Parrot et Doury (1956) et dans plusieurs régions; à Janet, Tassili des Ajjer, In Amguel, Ihrir (Abonnenc, 1972), Hoggar (Belazzoug et Mahzoul, 1986) et dans la région de Tamanrasset (Bounamous, 2010). L’inventaire a mis en évidence la présence de Phlebotomus sergenti, vecteur prouvé de Leishmania tropica (Killick-Kendrick, 1990), caractérisée d’une aire de répartition très vaste en Algérie. Cette espèce est signalée aussi bien au Sud du pays dans le Nord de l’Atlas saharien, les steppes présahariennes et au Sahara central. Mais sa densité est en général faible et pratiquement identique du Sud au Nord du pays (Dedet et al., 1984). Cette étude montre la présence P. sergenti dans 10 stations avec un taux de (4,39%) et une fréquence d’occurrence moyenne (C=66,67%) ce qui lui donne le caractère fréquent. Phlebotomus chabaudi est répandu dans tout l’Afrique du Nord. En Algérie, elle a été signalée à Ghardaia (Rioux et al., 1970; Dedet et al., 1973; Dedet et Addadi, 1974; 1977), à Biskra (Rioux et al.,1974; Belazzoug et al.,1986; Belazzoug, 1991; Berchi, 1993) et dans la région des Aurès (Bounamous et al., 2008), cette espèce est trouvée et pour la première fois dans la région du Hodna (Bou-Saâda) (Cherif, 2014) est aussi rencontrée dans les régions des steppes présahariennes de bioclimat aride et même saharien le plus souvent dans des biotopes rocheux (Dedet et al., 1984). P. chabaudi n’a jamais été démontré comme vecteur de leishmaniose, malgré elle été soupçonnée dans la transmission de Leishmania tropica (KillikKendrick, 1990). Phlebotomus alexandri, parmi les espèces identifiée a été signalée dans liste des phlebotomes algériens par Parrot en 1936 (Dedet et al., 1984). P. alexandri est confirméevectrice de la leishmaniose viscérale type Leishmania donovani en Chine (Farzin-Nia et Hanafi-Bojd., 2007) et supposée vectrice de la leishmaniose cutanée de Leishmania major et Leishmania tropica en Tunisie (Guan et al., 1986). Cette espèce a une répartition géographique Large absente dans les régions montagneuses et fréquente autour du chott et présente dans les steppes présahariennes et les massifs de l’Atlas saharien (Cherif, 1994). Elle habite essentiellement les biotopes selvatiques des gerbillidae (Rioux et al., 1984), se localise préférentiellement aux étages aride et pré-aride dans les zones sauvages. Elle est particulièrement abondante dans les biotopes rocheux et sec où gîtent les mammifères, et les reptiles (Dedet et al,. 1984). Sa particularité que cette espèce est strictement localisée dans le sud du constantinois et ne franchit pas la zone semi-aride (Berchi, 1990). L’espèce Sergentomya antennata est largement répartie en l’Asie et en Afrique avec une grande partie d’occupation de l’Afrique tropicale. En Algérie, S. antennata est localisée dans les steppes et au Sahara et capturée dans les barbacanes, dans les anfractuosité rocheuses et orifices des terriers de rongeurs (Dedet et al., 1984; Berchi, 1993). Dans la région d’étude, Biskra, sa présence est enregistrée avec un taux de 14,27%. La même espèce est signalée dans la région du M’Zab-Ghardaïa avec un taux élevé de 49,41% (Boukraa et al., 2011). Sergentomya minuta est le phlébotome le plus répandue en Algérie (Belazzoug et al., 1982). Elle est présente avec un taux de 22,7% dans la zone de Biskra. Sa distribution est conformée par des inventaires faunistiques effectuées en région méditerranéenne. Elle trouve son optimum à l’étage semi-aride mais figure presque dans la totalité des autre étage climatique (Croset et al., 1978). En Europe, exactement en Grèce et France, le genre Sergentomyia représente 80% avec 35% appartenant à l’espèce Sergentomyia minuta (Madulo-Leblond, 1983; Rioux et al., 1986). Les résultats obtenus montrent la présence de S. minuta dans la capture de toutes stations, sauf Sidi Okba, avec un taux de 23,17% avec un indice d’occurrence de 93,33% et reportée dominante dans 8/15 des sites étudiés. Des travaux similaires réalisés à la région du M’Zab-Ghardaïa montrent la présence de cette espèce avec un pourcentage de 7,06 % (Boukraa et al., 2011). Sergentomya fallax, se comporte comme une espèce saharienne, présente dans 3 étages bioclimatiques en semi-aride, aride et souvent saharien (Dedet et al., 1984). Elle est essentiellement selvatique, peut également se trouver à proximité des habitations et ne pique pas l’homme. D’après les résultats le pourcentage de S. fallax est de 11,38% trouvée dans 12/15 stations. Cette espèce est signalée avec une proche distribution de 16,1% au Maroc (Boussaa, 2008) et une faible abondance de 3,53 % dans la région du M’Zab-Ghardaïa (Boukaraa et al., 2011). Sergentomyia christophersi apparaît comme une espèce sub-désertique, capturée dans des biotopes sauvages (Dedet et al., 1984) signalée au Hoggar et le Tassili (Belazzoug et Mahzoul, 1980). Elle présente une aire de distribution recouvrant les régions indopakistanaise éthiopienne, Sud tunisiennes et Sud marocaines. Ce résultat s’explique par le régime hématophage des femelles qui sont attirées par la présence d’animaux au sein du site d’échantillonnage. Contrairement aux mâles qui, se nourrissant de nectar et du jus des végétaux, sont inféodés plus à l’oasis et aux palmeraies qui présentent un couvert végétal important (Boukraa et al., 2011).

CONCLUSION

     L’inventaire et la distribution spatio-temporelle des phlébotomes, vecteurs de leishmaniose s’avèrent nécessaire pour l’établissement d’un plan de lutte contre ces maladie endémiques. La région du Biskra abrite une diversité de phlébotomes appartenant à plusieurs genres, et connue par l’émergence de la leishmaniose. L’étude systématique menée dans la région de Biskra a montré la présence de 10 espèces de phlébotomes appartenant à deux genres Phlebotomus et Sergentomyia. Le genre Sergentomyia est légèrement plus abondant que Phlebotomus. Le premier genre est représenté par 6 espèces; P. papatasi, P. sergenti, P. bergeroti, P. perniciosus, P. alexandri et P. chaboudi. Le genre Sergentomyia est représenté par S. minuta, S. fallax, S. antennata et S. christophersi. L’enquête faunistique dans la région de Biskra révèle une faible diversité par rapport aux 22 espèces connues en Algérie. Seulement 6 espèces sont dominantes modéré ment ou constante. Les 4 autres espèces; P. pernicious, P. alexandri, P. chabaudi et S. christophersi ont une distribution variable et dont la classe d’apparition était fréquent ou sporadique. La diversité des phlébotomes est caractérisée par la prédominance de 2 espèces, P. papatasi et S. minuta suivi par S. fallax, S. antennata et P. sergenti. La saisonnalité de la faune des Psychodidae est démontré active seulement durant la saison sèche et chaude qui s’étale d’Avril à Novembre. La répartition de l’abondance et la densité des espèces des phlébotomes est très inégale, avec des différences significatives entre sites. L’étude épidémiologique rétrospective sur l’évolution de la leishmaniose cutanée dans la wilaya de Biskra durant la période 2005 et 2014, a permis de mettre en évidence la présence de la LC par une incidence annuelle faible tout au long de l’hiver et de l’ automne dans les 33 communes de la Wilaya avec une prédominance chez le sexe masculin et la tranche d’âge d’enfant. En outre, la comparaison entre le taux d’incidence de la LC et les variables climatiques dans chaque délégation peut déterminer l’effet des conditions climatiques et environnementales sur la propagation de la maladie.

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Table des matières

I. INTRODUCTION
II. MATERIEL ET METHODES
1. Présentation de la région d’étude
1.1. Localisation géographique
1.2. Géologie et géomorphologie de la région d’étude
1.3. Climat de la région de Biskra
A. La température
B. La précipitation
C. L’humidité
D. Le vent
1.4. Les indices climatiques
A. Détermination de la période sèche
B. Indice d’aridité de De Martonne
C. Détermination de l’étage bioclimatique
1.5. La flore de la région de Biskra
1.6. La faune de la région de Biskra
2. Les stations d’études
3. Méthodologie d’échantillonnage et d’identification des phlébotomes
3.1. Méthodes de piégeage et d’échantillonnage
3.2. Séparation des phlébotomes par sexe
3.3. Identification des phlébotomes
A. Technique de la préparation des lames
a. Eclaircissement
b. Montage rapide dans la gomme au chloral
c. Dissection des phlébotomes
4. Analyses de données
4.1. Densité (D)
4.2. Abondances relative ou Fréquence d’abondance
4.3. Degré de présence ou occurrence (C)
4.4. Richesse spécifique (RS)
4.5. La biodiversité spécifique
4.6. Indice d’équitabilité (E)
5. Etude épidémiologique de la leishmaniose
5.1. Diagnostic biologique
A. Examen direct
5.2. Enquête épidémiologique de la leishmaniose
III. RESULTATS
1. Etude climatique
1.1. Détermination de la période sèche
1.2. Indice d’aridité
1.3. Détermination de l’étage bioclimatique
2. Etude systématique des phlébotomes
2.1. Séparation des phlébotomes par sexe
2.2. Identification des espèces
A. Genre Phlebotomus
a. Phlebotomus papatasi
b. Phlebotomus bergeroti
c. Phlébotomus sergenti
d. Phlebotomus alexandri
e. Phlebotomus chabaudi
f. Phlebotomus perniciosus
B. Genre Sergentomyia
a. Sergentomyia minuta
b. Sergentomyia antennata
c. Sergentomyia fallax
d. Sergentomyia christophersi
3. Etude écologique
3.1. Indices écologiques
A. Fréquence des phlébotomes en fonction du genre
B. Abondance, densité et présence spatiale des espèces
C. Occurrence d’espèces de phlébotomes récoltées
D. La répartition temporelle des espèces de phlébotomes
E. Indice de diversité et la prédominance des espèces de phlébotomes
4. Etude épidémiologique
4.1. Examen direct de la leishmaniose cutanée
4.2. Résultats de l’enquête épidémiologique
A. La répartition du nombre des cas de la LC par communes
B. L’évaluation annuelle des cas de la leishmaniose cutanée
C. Incidence annuelle
D. La répartition mensuelle des cas de la leishmaniose cutanée
E. Réparation de la leishmaniose cutanée selon le sexe
F. Réparation de la leishmaniose cutanée par tranche d’âge
4.3. Impact des facteurs climatiques sur la Leishmaniose cutanée
IV. DISCUSSION
1. L’étude systématique des phlébotomes
2. L’étude écologique
3. L’étude épidémiologique
V. CONCLUSION
VI. REFFERENCES
RESUMES

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