LES PERSPECTIVES POUR LES JEUNES EN MATIERE DE LOGEMENT

LES PERSPECTIVES POUR LES JEUNES EN MATIERE DE LOGEMENT

La question de l’accès au logement des jeunes est liée à celle de la décohabitation, autrement dit au départ du domicile familial. Des études statistiques du Ministère des Affaires sociales et de la Santé (Drees) révèlent que la décohabitation diffère selon différents critères tel le genre, la situation socio-professionnelle. Aujourd’hui, plusieurs études montrent aussi que les parcours des jeunes ne sont pas linéaires, mais ils sont faits d’aller-retour. Les jeunes rencontrent, en effet, des difficultés spécifiques d’accès au logement autonome liées notamment à la précarité de l’emploi, à une insuffisance des revenus ainsi qu’à une inadaptation de l’offre et des conditions d’accès au logement, d’où une cohabitation parfois forcée.

LES JEUNES ET LE LOGEMENT : DES BESOINS SPECIFIQUES

Pour définir les besoins des 18-30 ans en termes d’accès au logement, il est nécessaire de comprendre le profil particulier des jeunes d’aujourd’hui, en France métropolitaine. Quelles sont les caractéristiques démographiques, socio-économiques, en matière de formation et d’accès à l’emploi des jeunes en âge de décohabiter ? En quoi ces caractéristiques induisent elles des besoins spécifiques d’accès au logement ?

UNE POPULATION IMPORTANTE INEGALEMENT REPARTIE SUR LE TERRITOIRE NATIONAL

La part des 18-29 ans représente 14% de la population française métropolitaine au 1er janvier 2016 (source : INSEE). Notre étude concerne par conséquent plus de 9,3 millions de personnes potentiellement à la recherche d’un logement : 5,3 millions pour les 18-24 ans (8%) et 3,9 millions pour les 25-29 ans (5,9%).
Dans un contexte de vieillissement de la population française, ces dernières années, le pourcentage des moins de 30 ans diminue. A titre d’exemple, il était égal à 17,5 en 2013 contre 14 en 2016.
Cette population juvénile est inégalement répartie sur le territoire national. Une étude réalisée en 2010 par l’INSEE sur des données de 2006 a montré que la répartition géographique des moins de 30 ans est fonction de leur âge et de leur cycle de vie. En effet, les variations de concentrations géographiques sont liées notamment à l’offre de formation et à l’emploi.
L’INSEE a remarqué que les 18-24 ans sont concentrés dans des villes de taille importante (cf. figure 1). Les aires urbaines de Paris, Lyon, Marseille-Aix, Lille, Toulouse, Bordeaux, Nantes, Nice, Rennes, Strasbourg, Montpellier, Grenoble, Rouen et Nancy concentrent la moitié des jeunes de 18 à 24 ans et trois quarts d’entre eux vivent dans 30 des 354 aires urbaines. Ils sont localisés dans des villes qualifiées d’étudiantes car à cet âge, deux millions des jeunes de 18 à 24 ans sont étudiants (environ la moitié de la tranche d’âge).
Le pouvoir d’attraction de ces villes est cependant inégal. La région Rhône-Alpes est classée5e des régions attractives pour les étudiants par l’INSEE , les deux régions les plus attractives sont l’Ile-de-France et Midi-Pyrénées. Les habitants de Rhône-Alpes déménagent rarement dans une autre région pour poursuivre leurs études.
Quant aux 25-29 ans, leur demande en logement se concentre davantage vers les grands pôles économiques (cf. figure 2). En effet, à cet âge, 75% des 3,8 millions de jeunes se déclarent en emploi. Les densités sur les deux cartes, notamment celles « très supérieures » sont différentes. Au sein de l’espace urbain, un quart des jeunes de25 à 29 ans a changé d’aire urbaine de résidence au cours des cinq années précédant le recensement de 2006. Dans les plus petites aires urbaines de province, un tiers des jeunes de25 à 29 ans n’y résidait pas cinq ans plus tôt. Sur les trente villes étudiantes, certaines restent attractives (Paris, Toulouse, Metz, Marseille-Aix, Lyon et Strasbourg) et d’autres moins (Angers, Poitiers, Brest, Reims, Besançon, Dijon et Nancy). Les villes étudiantes ne concentrent plus que la moitié des 25-29 ans. Les zones transfrontalières deviennent attractives pour cette catégorie de population.
La forte mobilité résidentielle s’accompagne de décohabitation ;néanmoins ces phénomènes de décohabitation sont inégaux selon les territoires.
Les moins de 30 ans sont plus mobiles que les plus âgés : leur taux de mobilité était de 28% en 2006 contre 16 % pour les 30-39 ans et 7 % pour les 40-49 ans. Le pic de cette importante mobilité résidentielle se situe entre 22 et 25 ans (enquête logement, 2002). La mobilité résidentielle juvénile, due à la poursuite des études et du marché précaire de l’emploi, s’accompagne souvent de déménagements vers un logement différent de celui des parents.
Ces déménagements sont souvent multiples du fait de la succession des contrats à durée déterminée et des « carrières estudiantines » (ANIL, 2011). Selon les chiffres de l’Observatoire de la vie étudiante (OVE) de 2006, les étudiants qui restent habiter chez leurs parents à temps complet pendant leurs études représentent seulement 36,5% de la population étudiante. Ce phénomène reste néanmoins inégal selon les territoires et dépend de la diversité de l’offre de formation. A titre d’exemple, en 2006, un étudiant sur deux est logé dans le cadre familial à Paris, Metz, Arras, Marseille et Saint-Étienne. C’est seulement le cas d’un tiers des étudiants à Poitiers, Toulouse ou Rennes (source : INSEE 18).
La conséquence de cette mobilité hétérogène est notable : l’offre (durée de bail, garanties, solvabilité) ne correspond plus à une demande de courte durée, parfois imprévisible (ANIL, 2011).
Les moins de 30 ans résident majoritairement dans les villes–centres des pôles urbains (cf. figure 3). En 2006, la demande de la moitié des jeunes de 18 à 24ans qui a emménagé dans des villes étudiantes tend à se concentrer à moins de trois kilomètres de leur lieu d’études quel que soit le type de logement (chez leurs parents, en logement indépendant ou en structure d’hébergement collectif).
Le poids de la population étudiante dans certaines villes conduit à une forte pression sur le marché du petit logement de moyenne gamme ; une concurrence apparaît ainsi avec les jeunes à faibles ressources. L’étude de l’INSEE (citée précédemment) montre inversement que le coût du logement et de l’offre en hébergement collectif peut influencer aussi en retour le choix du lieu d’études.

UNE POPULATION PLUS PAUVRE ET PLUS PRECAIRE QUE L’ENSEMBLE DE LA POPULATION

Une autre des difficultés pour la mise en relation des besoins des jeunes en logement avec l’offre la plus adaptée est liée à la question des ressources. Selon le Cerema , ce point apparaît même comme le frein principal, notamment en raison de l’absence de droit au Revenu de Solidarité Active (RSA)pour la majorité des moins de 25 ans.

LES MOINS DE 30ANS,UNE POPULATION PLUS PAUVRE QUE LES AUTRES

La notion de pauvreté est liée au niveau de vie, qui dépend de la somme des revenus disponibles de chaque individu constituant le ménage. Ces revenus sont de plusieurs natures : ceux issus des bourses d’études versées à titre personnel (et pas aux parents), les revenus de remplacement (indemnités de chômage, de maladie ou de maternité), les revenus du travail. Ils sont parfois complétés par des transferts sociofiscaux (crédit d’impôts,…) et des aides au logement.
Le taux de pauvreté des jeunes de 18 à 29 ans (hors ménages étudiants) est supérieur à celui des plus âgés. S’il diminue sensiblement entre 2012 et 2013, de 20,6 à 18,6 % (comme pour l’ensemble des 18 ans ou plus), il reste relativement constant depuis 2007 (cf. figure 4).
Le niveau de vie médian des jeunes de 18-29 ans augmente : de 0,6 % en euros constants entre 2012 et 2013 (cf. figure 5). Parmi ces jeunes adultes, la pauvreté recule surtout chez les chômeurs (- 4,2%) puis chez les actifs occupés (-2,2%). En 2013, les jeunes adultes représentent 26,4 % de la population pauvre, contre 29,2 % en 2012 (seuil de 60% du niveau de vie médian).

UN PARC PUBLIC ET PRIVE ET DES MODALITES D’ACCES AU LOGEMENT DE DROIT COMMUN QUI SEMBLENT INADAPTES AUX BESOINS DES JEUNES

Les moins de 30 ans n’ont pas beaucoup de revenus, comme nous l’avons vu précédemment.
De plus, ils ne disposent pas en général du capital nécessaire afin de devenir propriétaire. Par conséquent, quand un jeune recherche un logement, il a la plupart du temps deux possibilités : le parc social (public) et le parc privé.
Au regard de ces constats, leur place serait principalement dans le parc social où les loyers sont plus modérés que dans le parc privé. Mais comme le montre la figure 13, ce n’est pas le cas : 14% des ménages « jeunes » disposent d’un logement dans le parc public. La plupart des jeunes se sont installés dans le parc locatif privé (53%). Leur proportion dans le parc social est assez faible (8%) par rapport aux autres tranches d’âge plus âgées. D’après une étude de l’ANIL (2011), la part du locatif privé décroît avec l’âge : 80%pour les 18-21 ans, 69% pour les 22-25 ans, un peu moins de 50% au-delà, au profit du locatif social et surtout de l’accession à la propriété (cf. figure 13).

UNE OFFRE D’HEBERGEMENT ADAPTEE POUR LES JEUNES EN GRANDE DIFFICULTE SOCIALE

Le tableau de la page suivante (p.36) présente un panorama de l’offre d’hébergement , en précisant le public visé, la durée d’occupation et les formes d’habitat. Toutes les offres ne sont en général pas réservées spécifiquement aux jeunes mais ils y ont accès suivant leur situation, plus ou moins liée à l’urgence, à leurs revenus et à leur situation familiale. Cependant, il existe des offres en hébergement accueillant exclusivement des jeunes, ou encore des places dédiées aux jeunes en ALT ou en CHRS. Certaines structures s’étant consacrées à un public particulier ont dû développer un accompagnement adapté (cf. Cerema, op. cit.)
Il existe deux principaux types d’hébergement : l’hébergement d’urgence et l’hébergement d’insertion (cf. tableau, panorama de l’offre d’hébergement).
Le premier est inconditionnel : il n’y a pas de conditions réglementaires de ressources, pas de sélection des publics accueillis, et notamment pas de condition de régularité du séjour. Avant, ce type d’hébergement offrait surtout un lit en dortoir entre 19h et 8h du matin. Cependant, l’humanisation à l’œuvre des centres permet d’améliorer les conditions de sécurité, de confort et de respect de la vie privée (suppression des dortoirs notamment46 ).
Le deuxième est soumis à une admission préalable ; l’objectif est de construire un projet de réinsertion. La forme d’habitat, dans ce cas, est plus variable. Quand le logement est diffus, le locataire est le centre d’hébergement et le loyer est payé par ce dernier au propriétaire.
L’institution ou l’association qui gère le centre est le responsable en cas de dégâts au logement. C’est elle qui est chargée de remettre en état le lieu d’hébergement.

DU FOYER LOGEMENT A LA RESIDENCE SOCIALE-FJT

LES ORIGINES DES FJT :DES PREMIERES FORMES DE « FOYERS»A LA CREATION DE L’UFFJT

La création des premiers foyers constitue d’abord une réponse à la mobilité de jeunes travailleurs, qu’il s’agisse des apprentis compagnons au Moyen-âge ou des migrants agricoles à la recherche d’un emploi dans les villes à l’ère industrielle du 19e siècle. A cette époque, les
transits étaient majoritairement définitifs. La situation des jeunes, coupés de leur famille, a interpellé une partie des patrons qui cherchaient attirer et à fixer les salariés. Les mouvements chrétiens, quant à eux, se préoccupaient plus de la jeune fille et de sa « protection » (morale et physique). Le foyer permettait donc de gérer une transition spatiale. Durant le 20 e siècle, les foyers se multiplient selon des formes et des modalités variables au gré d’initiatives locales. Par exemple, en 1941 à Tours est créé un premier foyer « dirigé par les jeunes ouvriers, eux mêmes, et pour eux » (entretien avec l’URHAJ, 2016).
Après la deuxième guerre mondiale, les conditions d’émergence d’un mouvement national sont présentes. La pénurie de logements est très prégnante et commence la période de reconstruction massive. Pourtant la situation des jeunes salariés n’est pas abordée en tant que telle par les pouvoirs politiques. Pour faire valoir les besoins spécifiques des FJT, à l’échelon national, des militants ont créé, en 1955, l’Union Française des Foyers de Jeunes Travailleurs (UFFJT). L’union prônait la construction de foyers, comme logement social, avec des aides de l’Etat et des normes de qualité minimales. Il s’agissait aussi d’obtenir de l’Etat une politique pour la jeunesse. L’union est une association, une structure à laquelle les foyers adhèrent librement. Très rapidement, elle a réuni la presque totalité des foyers français de jeunes travailleurs qui existaient sur le territoire national même si leurs gestionnaires étaient idéologiquement et culturellement très différents.

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Table des matières

LISTE DES ABREVIATIONS
INTRODUCTION
1. LES PERSPECTIVES POUR LES JEUNES EN MATIERE DE LOGEMENT
1.1. LES JEUNES ET LE LOGEMENT:DES BESOINS SPECIFIQUES
1.1.1. Une population importante inégalement répartie sur le territoire national
1.1.2. Une population plus pauvre et plus précaire que l’ensemble de la population
Les moins de 30 ans, une population plus pauvre que les autres
Le taux de pauvreté des moins de trente ans n’est cependant pas réparti de manière
égale sur le territoire national
Des revenus individuels faibles, dépendants du niveau d’études
Des aides complémentaires nécessaires : transferts sociofiscaux et aides familiales
Une population plus précaire
1.1.3. Une composition familiale variée
Conclusion
1.2. UN PARC PUBLIC ET PRIVE ET DES MODALITES D’ACCES AU LOGEMENT DE DROIT COMMUN QUI SEMBLENT INADAPTES AUX BESOINS DES JEUNES
1.2.1. un parc social inadapté pour les jeunes
1.2.2. Un parc privé trop cher
1.2.3. Des contraintes et des discriminations subies mais difficilement avouées et démontrables
1.2.4. Les manifestations du mal-logement
Conclusion
1.3. DES DISPOSITIFS SPECIFIQUES DEDIES AUX JEUNES
1.3.1. Des aides et des services pour faciliter l’accès au logement de droit commun
Des aides financières
Des services de garantie
Le CLLAJ : Une structure pour les jeunes
1.3.2. Une offre subsidiaire dont une partie est spécifique aux jeunes
Une offre d’hébergement adaptée pour les jeunes en grande difficulté sociale
Des mesures pour favoriser l’intermédiation avec les bailleurs (colocations,…)
La mobilisation d’une offre de logement adapté (accompagné)
2. LES FOYERS DE JEUNES TRAVAILLEURS:LE MODELE EN QUESTION
2.1 LES FJT :UN OBJET EN PERPETUELLE EVOLUTION,UN MODELE AUJOURD’HUI EN
QUESTION
2.1.1. Un foyer de jeunes travailleurs : un toit mais pas seulement
2.1.2. Du foyer logement à la résidence sociale-FJT
Les origines des FJT : des premières formes de « foyers » à la création de l’UFFJT
Les années 60 : une multiplication d’initiatives
Les années 70-80 : la reconnaissance des FJT et de leur rôle socio-éducatif
Les années 90 : le droit au logementet les résidences sociales
Les années 2000-2010 : la protection renforcée des résidents et la rénovation des procédures
Conclusion
2.2 UN OBJET PAS TOUJOURS BIEN APPREHENDE
2.2.1. Un manque de connaissances des établissements
2.2.2 Une gouvernance en redéfinition du fait de la réforme territoriale
Une réorganisation des services et des réseaux
Une gouvernance locale incertaine
2.3 LES FJTEN RHONE-ALPES:UNE PREOCCUPATION DES ACTEURS INSTITUTIONNELS ET ASSOCIATIFS
2.3.1. Etat des lieux des jeunes en mobilité
2.3.2. Etat des lieux de l’offre en logementde droit commun pour les jeunes
2.3.2 Les offres spécifiques pour les jeunes
L’offre classique pour les étudiants et les apprentis
Information Logement
L’offre FJT et ses difficultés
CONCLUSION
3. L’ESCALE LYONNAISE:UN REVELATEUR DES TENSIONS ACTUELLES QUI TRAVERSENT LES FJT 
3.1. UN FOYER QUI TRAVERSE L’HISTOIRE
3.1.1. Les origines religieuses et ouvrières : un foyer pour jeunes filles
3.1.2. Création de l’association, avènement de la laïcité et de la mixité
3.2. LE PROJET ACTUEL:UN EQUILIBRE SOCIAL ET ECONOMIQUE EN QUESTION
3.2.1 La réhabilitation : des choix en termes de bâti
3.2.2. Un projet social qui privilégie lamixité
Les accès directs : une large variété deprofils, une sélection interne
Du gré à gré avec la Métropole de Lyon pour assister les jeunes sortant du système de la protection de l’enfance
Des réservations par la Maison de la Veille Sociale (MVS) et pour le Dispositif Aide aux Jeunes (DAJ)
Des partenariats issus de réseaux
3.2.3. Des choix en termes d’accompagnementet de fonctionnement qui contraignent le modèle économique
Une équipe particulière pour un accompagnement adapté
Le restaurant collectif (self) : un support socio-éducatif
Une politique tarifaire pour un bilan financier difficilement positif
Pour les résidents
Pour les extérieurs
3.3. UN FONCTIONNEMENT QUOTIDIEN REVELATEUR DE « TENSIONS»
3.3.1. Le public accueilli : des profils, des histoires très diverses
3.3.2.…qui remettent en question le modèle économique et la réhabilitation
3.3.3. Un logement qui ressemble davantage à un hébergement
Un séjour de courte durée…versun logement autonome
Une typologie créant des revendications
Des règles plus strictescontraignantes
3.3.4. Un lieu d’intégration et de socialisation
Une augmentation des situations d’isolement et de souffrance psychique nécessitant un accompagnement renforcé
Les limites de l’accompagnement et de la vie collective
Une place à (re)trouver pour l’équipe
CONCLUSION
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
ANNEXE 1
Exemple de guide d’entretien personnalisé (directrice Escale Lyonnaise)
ANNEXE 2
Liste des entretiens réalisés formalisés
Liste des rendez-vous informels
ANNEXE 3
Les activités visées par les différents agréments
ANNEXE4
Différents projets pouvant être élaborés par un FJT
DEFINITIONS

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