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Climat
Le climat tropical d’altitude prend dans cette région du Vakinankaratra avec une saison sèche d’Avril à Septembre et une saison chaude et humide d’Octobre à Avril qui constitue la principale période de production. Selon les chiffres fournis par la poste météorologique d’Ambohibary, la pluviométrie annelle atteint en moyenne 1 500 mm. Elle est soumise à de très fortes variations d’une année à l’autre ; parfois de 30 à 40% du volume total des précipitations. La température moyenne s’élève à 11,35 °C. C’est incontestablement un des chiffres les plus bas de Madagascar. Les maxima atteignent 25°C en Décembre ou en Janvier; tandis que les minima en saison sèche sont de 4,4 °C.
Ambohibary constitue un climat pluvieux et irrégulier. Mais en saison sèche, il présente des températures relativement basses. Celle-ci de Mai à Octobre est en effet rigoureuse. Pendant les mois de Juillet et Août, les gelées nocturnes son t fréquentes surtout en zone montagneuse,où elles peuvent encore apparaître au mois de Septembre. La température moyenne ne dépasse guère 10°C et l’amplitude diurne a une valeur très élevée de 16°C; nous avons connu un minimum nocturne absolu de -6°C à Ambohibary. Bien qu’il ne pleuve que fort rarement, la nébulosité reste importante ; le ciel reste souvent gris, pénétré d’un crachin maussade et vaguement humide tandis que les Alizés venus de l’Est soufflent avec violence. La saison
chaude et humide a des précipitations annuelles près de 80%. Les pluies tombent presque chaque jour sous la forme d’averses violentes en fin de journée. La foudre et la grêle sont des fléaux particulièrement redoutés des paysans ; mais la température moyenne oscillant autour de 20°C est clémente et favorable aux mises en cultures.
La Commune Rurale d’Ambohibary apparaît douée d’une grande personnalité physique par la rigueur de ses rythmes climatiques et elle se prête au développement d’un microclimat original où les phénomènes d’inversion de température ne sont probablement pas à négliger.
Les jours de pluies, pendant la saison sèche, sont plus nombreux dans la plaine que sur les sommets. Pour la précipitation, il pleut plus souvent en Juin ou Juillet à Ambohibary que sur les autres zones de Vakinankaratra.
Hydrographie
L’un des aspects physiques qui caractérisent Ambohibary consiste l’approvisionnement en eau. En effet, les rizières se trouvent traverser la plupart par des rivières de la plaine d’Ambohibary.
Les rivières qui traversent la Commune Rurale d’Ambohibary sont : Trimoanala, Antsampandrano, Andalantso, Amborompotsy, Nanohazana, Ambohimadinika et Ampitamala.
La Commune dispose 22 barrages dont 16 des barrages modernes en dur et 6 bâtis traditionnellement à leur façon . (Annexe 2)
Couverture végétale
Les types de végétation n aturelle ou sub-spontanée qu’on retrouve à Ambohibary confirment les nuances pédologiques de la zone.
La partie montagneuse du territoire connaît deux (2) grands types de formations végétales :
• Sur le sommet et les pentes de l’éperon montagneux s’étend une brousse très dense constituée d’arbustes de Mimosas hauts de 1,5 à 2m, associés à une prairie. Ces Mimosas sont d’un intérêt pédologique discutable. Ils jouent un rôle dans le maintien des sols face aux eaux de ruissellement en limitant les effets de l’érosion, mais ils ne l’enrichissent pas pour autant. Les paysans se plaignent en outre de leur caractère envahissant et en posent des difficultés pour leur défrichement.
• En revanche sur les versants proches de la cuvette rizicole ou à proximité du village, les maquis de Mimosas font place à une végétation buissonneuse formée d’Helychrisum associé à une prairie constituée surtout de Cynodon Dactilon « chiendent ».
Les sols « sous rizières » de la cuvette fixent une végétation de type différent. Les solsmarécageux et engorgés sont recouverts par une végétation herbacée plus ou moins aquatique, tandis que le Cynodon colonise les jachères du bourrelet alluvial.
Cette répartition des associations végétales e st révélatrice du degré de fertilité des sols. On s’accorde en effet à reconnaître que les Aristida poussent surtout sur les sols dégradés, tandis que les buissons d’Helychrisum, appelés « rambiazana » en malagasy et le Cynodon caractérisent des sols plus fertiles et témoignent d’une ancienne mise en culture ou cycle de jachère.
Occupation des sols
La Commune Rurale d’Ambohibary est dominée par une large étendue de culture sèche. Nous y trouvons également une surface rizicole assez importante concentrée à l’Est de la zone. Cette dernière est bordée par une grande agglomération d’habitations. En autre, quelques parcelles de forêts existent encore dans le lieu. (Annexe 1)
Encadrement agricole
Plusieurs organismes étatiques et privés interviennent dans la Commune Rurale d’Ambohibary. Ces organismes ayant pour objectif commun : le développement rural par le biais des techniques agricoles améliorées. Cet environnement technique favorable contribue en partie à la récep tivité de la population. De plus, les paysans sont contraints d’intensifier et de diversifier leurs activités à cause de la pression démographique et foncière. Cette réceptivité de la population se manifeste par une certaine facilité à adopter les innovati ons (agricoles ou non) qui pourraient apporter un supplément de revenus monétaires.
Le riz constitue la base de notre nourriture, plusieurs mesures ont été prises et d’autres en cours pour avoir un grand développement de production rizicole non seulement en terme d’encadrement mais aussi en tant que recherche.
PRESENTATION DE LA CULTURE ETUDIEE
Evolution dans le temps et dans l’espace
Depuis la fin du XVIIIème sièc le jusqu’en 1970, le système rizicole a fortement dominé la région de Vakinankaratra comme dans une bonne partie de Hautes Terres de Madagascar, ce qui entraine pour les Malagasy comme pour plusieurs pays Africains et Asiatiques un raisonnement sur le développement à base de riz.
Le riz est introduit dans la Grande Ile vers le Xème siècle probablement par les migrants venant de l’Asie du Sud Est. Il a commencé à gagner l’Imerina au début du XIIème siècle et s’est propagé dans le Vakinankaratra tout au long du XVIIème, XVIIIème et le XIXème siècles.
Généralités sur la culture
Classification botanique
Le riz cultivé est une plante autogame et appartient principalement à l’espèce Oryza sativa. Deux grands groupes de variétés sont distingué s à partir de la caractérisation morphologique et physiologique de cette espèce :
• groupe indica à grains demi-ronds à longs, à tallage fort, adapté au climat tropical, chaud et humide, généralement sensible à la photopériode
• groupe japonica à grains ronds, à taille courte et a tallage faible, adapté au climat tempéré, insensible à la photopériode et plus tolérant au froid.
De nombreux intermédiaires ou races éco géographiques existent entre les deux groupes, par exemple, le type javanica caractérisé par des grains longs, une taille haute et un faible tallage. Cependant, sur la base de marqueurs enzymatiques et moléculaires qui ont permis de mieux caractérisé les différentes variétés , ce type à été classé récemment dans le groupe japonica. Les deux grands groupes et ses différents intermédiaires sont tous rencontré s à Madagascar.
Quoique deux espèces de riz existent à Madagascar, nommément Oryza longistaminata et Oryza punctata, celles-ci sont sauvages, c’est-à-dire se reproduisent spontanément. Néanmoins, en amélioration génétique , Oryza longistaminata connue pour sa résistance à la panachure jaune du riz, a pu donner par croisement avec Oryza sativa, des descendants qui sont actuellement cultivés dans les régions où sévit cette maladie virale, la seule qui existe à Madagascar. Des lignées issues d’hybridation avec Oryza glaberrima, une espèce cultivée en Afrique, et appelées NERICA (de l’anglais New Rice for Africa), sont aussi cultivées dans l’ile depuis quelques années.
Description
La plante de riz est constituée par des tiges rondes et creuses, des feuilles plates et des panicules terminales. Elle comprend des organes végétatifs (racines, tiges, feuilles) et des organes reproducteurs (la panicule constituée d’un ensemble d’épillets).
Organes végétatifs
• Les racines
– Les racines explorant l’horizon (0-40 cm)
– Les racines embryonnaires ou séminaires poussent à la germination et ne survivent pas au-delà de la 7ème feuille.
– Les racines secondaires adventives se développent directement à partir des nœuds de la base des chaumes (tiges) [5]
Les racines servent de support (ancrage) à la plante ; elles ont pour fonctions principales d’absorber et de stocker l’eau et les éléments nutritifs. Le système racinaire de la plante de riz,
comme la plupart des graminées, est peu profond. [6]
• La tige (ou chaume)
La tige du riz est formée par une alternance de nœuds et d’entre nœuds. Chaque nœud porte une feuille et bourgeon qui peut se transformer en talles. Les entre-nœuds sont creux, avec une surface lisse. Les entre-nœuds inférieurs sont plus courts que ceux supérieurs. Plus l’écart entre les nœuds inférieurs est réduit plus la plante résiste à la verse. La hauteur du plant de riz à maturité est fonction du nombre d’entre-nœuds. Elle est mesurée de la base des plantes au sommet des fouilles (ou des panicules). [5]
Les tiges ont pour fonctions principales de transporter les éléments nutritifs et l’eau et d’approvisionner les racines en air. La robustesse des tiges (diamètre) et leur taille sont aussi
des critères de résistance à la verse.[6]
• Les talles
À partir des nœuds de la tige principale naissent de façon alternative d’autres tiges appelées talles secondaires qui peuvent à leur tour porter des talles tertiaires. L’ensemble des talles produit par un seul plant constitue la touffe de riz. Elle peut porter ou non une panicule (talle fertile ou stérile). [6]
L’importance du tallage est en fonction de la variété mais est influencée par les conditions et pratiques culturales (espacement et quantité d’azote). [5]
• Les feuilles
Les feuilles se développent alternativement sur le chaume, une à chaque nœud. La feuille qui émerge après toutes les autres , juste sous la panicule est appelée feuille paniculaire ou «drapeau ». La feuille se compose de limbe, de la gaine, de la ligule et de l’auricule.
La gaine est la partie de la feuille qui entoure la tige. Au point de jonction entre la feuille et la gaine (collet), se trouvent deux structures appelées auricule et ligule.
L’auricule est une sorte d’appendice de 2 à 5 mm, en forme de croissant, garnie de poils.
La ligule est une sorte de membrane dont la longueur et la forme sont fonction de l’espèce et de la variété. Le riz est la seule graminée qui possède à la fois la ligule et l’auricule, ce qui
permet de le distinguer des mauvaises herbes, au stade plantule. [5]
La feuille est le moteur de la croissance, elle capte les radiations solaires et les transforme en hydrate de carbone. La plante respire et transpire par la feuille. Le port de la feuille peut être érigé, oblique ou retombant ; ce caractère (port de la feuille) qui dép end de la variété, joue généreusement sur la pénétration des radiations solaires. [6]
Organes de reproduction
• La panicule
C’est le nom donné à l’inflorescence du riz qui est porté par le dernier entre-nœud du chaume.
La panicule est composée de ramifications primaires qui portent des ramifications secondaires portant les pédicelles qui, à leur tour portent, les épillets. Le nombre de ramifications primaires et secondaires peut être fonction de l’espèce et de la variété. Une panicule peut
porter entre 50 et 500 épillets. Cependant pour la plupart des variétés utilisées, le nombre d’épillets se situe entre 150 et 350. Il existe des différences variétales entre la longueur, la forme et l’angle des panicules. [6]
• Les épillets
C’est l’unité basale de l’inflorescence, communément appelé grain ou paddy.
Cycle de développement
Le développement du riz, de la germination à la maturité , se fait en trois (3) phases : croissance ou végétative, reproduction et maturation.
Phase végétative
Durant la phase végétative, la plante passe par les stades phénologiques suivants :
• La levée : c’est la germination de la graine et de la première tige ou brin maître avec les quatre (4) premières feuilles.
• La plantule qui se traduit par l’apparition de la 5ème feuille.
• Le tallage marqué par la tige principale qui se ramifie en talle de premier rang, ensuite sur les talles ayant déjà poussés, talles des 2 ème, 3ème et 4ème rangs.
La durée de cette phase est variable en fonction des variétés. Elle est influencée par les températures basses, la photopériode, et la sensibilité des variétés fa ce à ces deux facteurs écologiques. La plupart des pratiques culturales s’opèrent durant les phases végétatives, notamment la lutte contre les mauvaises herbes, la fertilisation, la lutte contre les insectes et les maladies. [7]
Phase reproductive
La phase reproductive comporte trois stades à savoir :
• L’initiation paniculaire, marqué par la formation d’ébauche de la paniculaire dans la graine de la feuille supérieure.
• La montaison caractérisée par un ronflement notable de la tige.
• L’épiaison marquée par le dégagement de la panicule hors de la graine de la feuille paniculaire.
La naissance de la panicule et le développement des épillets et des organes reproducteur caractérisent ce stade, qui a une durée relativement fixe comprise entre 19 et 25 jours, quelques soient la variété et la saison. La photopériode n’affecte pas la phase reproductive, par contre elle est très sensible aux températures basses, à la sécheresse et à la salinité, qui peuvent occasionner la stérilité des organes reproducteurs des ép illets, ce qui se traduit par des grains vides. [7]
Phase de maturité
Elle est constituée par :
• Le stade de floraison marqué par l’ouverture des glumelles. Leurs anthères libèrent les grains de pollen pour faire la pollinisation directe sur l’ovule.
• Le stade laiteux se produit de manière que la matière incolore des grains s’épaissit et prend une couleur laiteuse.
• Le stade pâteux se manifeste quand la matière laiteuse se change en molle puis durcit.
• Le stade de maturité défini par la couleur des glumelles et la dureté du grain.
Sa durée est de 30 à 42 jours, quelques soient les variétés et la saison. Elle est sensible aux aléas climatiques tels que les températures élevé es, les vents violents et la sécheresse (déficits hydriques) durant les 15 premiers jours qui suivent la floraison (stade pâteux). Le drainage des parcelles ou arrêt de l’irrigation au stade pâteux n’a pas d’influence négative sur la production, il en est de même bénéfique pour le riz, il homogénéise la maturation de la récolte. [7]
Ecologie de la plante
La condition écologique de la production rizicole sont extrêmement diverses de par le monde, le riz étant une plante particulièrement plastique, que l’on cultive de l’équateur jusqu’à plus de 45° de latitude ; du niveau de la mer jusqu’à 1500m et plus d’altitude ; dans les sols les plus divers, les plus argileux comme les plus limoneux ; en culture aquatique comme en culture sèche.
A Madagascar, on trouve du riz pratiquement dans toutes les régions de la grande île sauf l’extrême Sud. Les conditions écologiques ne sont pas toujours satisfaites et de ce fait les rendements ne sont pas toujours très bons. Les paysans sont attachés à cette culture qui leur assure la base de leur nourriture.
Facteurs climatiques
La culture du riz est influencée par quelques facteurs climatiques qui sont :
• Température [8]
La température est déterminée par la latitude et l’altitude. Les températures élevées et sensiblement constantes des zones équatoriales et semi -équatoriales sont particulière ment favorables à la culture du riz et permettent même plusieurs campagnes (2 et même 3) dans l’année.
Par contre, en zone tropicale et subtropicale de basse altitude, les températures moyennes et extrêmes sont pratiquement toujours suffisantes mais la température diminuant avec l’altitudepeut constituer même en climat tropical un facteur limitant de la culture du riz, soit du fait des faibles températures de début ne pouvant assurer la germination et de fin de campagne, soit éventuellement des possibilité s d’abaissement de température en cours de végétation.
Le besoin en température varie selon le stade de développement :
– A la germination : les minima sont de l’ordre de 13°C. l’optimum se situe entre 30 et 35°C.
– Au tallage : la vitesse de cette phase s’accélère quand la température passe de 15 à 30°C. L’optimum de température est situé entre 30 et 32°C.
– Au développement des organes floraux : la plante est très sensible à des températures basses, qui lui sont défavorables et retardent le développement des inflorescences. La température doit être supérieure à 17°C.
• Eau
Le riz est une plante hydrophile, pendant son cycle, une bonne alimentation en eau et un contrôle continu de l’eau est nécessaire. Celle-ci est utilisée pour lutter contre les mauvaises herbes, pour régulariser la température du sol et de l’air. Elle est le véhicule des éléments fertilisants. Un excès d’eau ou une inondation prolongée plus d’une semaine devient un grand fléau pour la riziculture, notamment pendant la floraison. Les besoins en eau du riz varient suivant l’époque de son développement. Ils sont élevés de la germination à l’épiaison, pour diminuer de la fin de l’épiaison jusqu’à la maturation. [4]
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE 1 : CADRES D’ETUDES
I.1. PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE
I.1.1. Situation géographique
I.1.2. Relief et sols [12]
I.1.3. Climat [12]
I.1.4. Hydrographie
I.1.5. Couverture végétale [12]
I.1.6. Occupation des sols
I.1.7.Encadrement agricole
I.2. PRESENTATION DE LA CULTURE ETUDIEE
I.2.1. Evolution dans le temps et dans l’espace
I.2.2. Généralités sur la culture
I.2.2.1. Classification botanique [18]
I.2.2.2. Description
a) Organes végétatifs
b) Organes de reproduction
I.2.2.3. Cycle de développement
a) Phase végétative
b) Phase reproductive
c) Phase de maturité
I.2.2.4. Ecologie de la plante
a) Facteurs climatiques
b) Facteurs abiotiques
c) Zone de culture
I.3.TECHNIQUE CULTURALE
I.3.1. Calendrier culturale
PARTIE 2 :METHODOLOGIE
II.1.PARAMETRES METEOROLOGIQUE
II.1.1. Données de température
II.1.2. Données de précipitation
II.1.3.Acquisition des données
II.2. OUTILS INFORMATIQUES
II.2.1. Présentation du modèle CROPWAT 8.0
II.2.2. Mode de fonctionnement
II.2.2.1.Les données d’entrées [10]
a) Les données climatiques
b) Les données pluviométriques
c) Les données sur le type de culture
d) Le module des propriétés du sol
II.2.2.2.Les sorties du modèle
a) Les besoins en eau
b) Calendrier
II.3. CALCUL DES PARAMETRES CLIMATIQUES
II.3.1. Evapotranspiration potentielle ou ETo
II.3.1.1. Définition
II.3.1.2. Calcul de l’ETo
II.3.2. Précipitations
II.3.2.1. Définition
II.3.2.2. Calcul des précipitations efficaces
II.3.3. Besoin en eau de la culture
II.3.3.1. Définition
II.3.3.2. Calcul du besoin en eau de la culture
II.3.4. Hydrologie du sol
II.3.4.1. Définition
II.3.4.2. Equation bilan
II.3.5. Bilan hydrique d sol
II.3.5.1. Définition
II.3.5.2. Equation du bilan hydrique
II.3.6. Besoin en irrigation
II.3.6.1. Définition
II.3.6.2. Calcul des besoins en irrigation
II.4. LES CATASTROPHES NATURELLES
II.5. MALADIES ET RAVAGEURS
II.5.1. Les maladies
II.5.2. Les ravageurs
PARTIE 3 : RESULTATS ET INTERPRETATIONS
III.1. RESULTATS OBTENUS
III.1.1. Analyse climatique
III.1.1.1. Les périodes agroclimatiques
a) Période pré-humide
b) Période humide
c) Période post-humide
III.1.1.2. Début de la saison culturale
III.1.2. Evapotranspiration potentielle ou ETo
III.1.3. Précipitations efficaces
III.1.4.Besoin en eau de la culture
III.1.4.1. Besoin en eau moyenne
III.1.4.2. Besoin en eau par phase de culture
III.1.5. Etude du bilan hydrique
III.1.6. Besoin en irrigation
III.2. RENDEMENTS
III.2.1. Rendement et facteurs climatiques
III.2.1.1. Rendement et température maximale
III.2.1.2. Rendement et température minimale
III.2.2. Caractéristique des températures pour les variations du rendement
III.2.2.1. Saison culturale avec rendement élevé
a) Rendement et température maximale
b) Rendement et température minimale
III.2.2.2. Saison culturale avec rendement faible
a) Rendement et température maximale
b) Rendement et température minimale
III.2.2.3. Propriétés du rendement en fonction des températures
III.2.3. Estimation du rendement
III.2.4. Hypothèse
III.2.5. Techniques d’amélioration
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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