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CONCEPT DE LA MICROFINANCE
Cette section va nous expliquer les grandes idées substantielles de la microfinance, en particulier, les performances sociale et financière et le crédit et l‟épargne.
Généralités sur la microfinance
Nous mettons en évidence dans cette partie la définition, les activités, la composition, la performance, la mission sociale, les objectifs, l‟offre de service d‟intermédiation financière, l‟intermédiation sociale et les fournisseurs de microfinance.
Définition
La microfinance s‟est développée en tant qu‟approche du développement économique qui s‟intéresse spécifiquement aux hommes et femmes à faibles revenus. Le terme désigne l‟offre de services financiers à une clientèle pauvre composée notamment de petits travailleurs indépendants. Les services financiers comprennent généralement l‟épargne et le crédit. Certaines institutions de microfinance proposent néanmoins également des services d‟assurance et de paiement. Au-delà de leur fonction d‟intermédiaire financier, un grand nombre d‟Institutions de MicroFinance (IMFs) jouent un rôle d‟intermédiation sociale à travers le groupement de personnes, le renforcement de la confiance en soi, la formation dans le domaine financier et la gestion des compétences au sein d‟un groupe. Ainsi, la microfinance se définit souvent par les deux fonctions d‟intermédiation sociale et financière. Loin d‟être une simple affaire de banquier, la microfinance est un outil du développement
Les activités de microfinance
Les activités de microfinance comprennent :
des petits crédits, en particulier pour les fonds de roulement,
l‟évaluation informelle des emprunteurs et des investissements,
des formes de garanties spécifiques telles que la caution solidaire ou l‟épargne obligatoire,
l‟accès à des crédits successifs et de montant croissant en fonction de la performance de remboursement,
l‟octroi et le suivi efficace des crédits,
des produits d‟épargne sûrs.
Bien que certaines institutions de microfinance offrent des services d‟appui au développement d‟entreprise (formations techniques et marketing par exemple) et sociaux (alphabétisation et santé publique,…), ceux-ci ne sont généralement pas inclus dans la définition de la microfinance6512.
Qui sont les IMFs
Les institutions de microfinance peuvent être des Organisations Non Gouvernementales (ONG), des coopératives d‟épargne et de crédit, des mutuelles de crédit, des banques d‟Etat, des banques commerciales ou des institutions financières autres que les banques. Les clients de ces institutions sont généralement des travailleurs indépendants, des entrepreneurs aux revenus faibles en zones rurales ou urbaines. Il s‟agit souvent de commerçants, marchands ambulants, petits agriculteurs, petits prestataires de service (coiffeurs, pousse-pousse), artisans et petits producteurs, forgerons ou couturières par exemple. Leurs activités (souvent diversifiées) leur fournissent habituellement des revenus stables. Bien que pauvres, ils ne sont cependant pas considérés comme « les plus Pauvres ».
Performances et la mission sociale de la microfinance
Les performances sociales et la mission sociale des IMFs déterminent leur prospérité et interessent la présente étude.
Les performances sociales
Les performances sociales d‟une institution de microfinance sont la traduction effective de sa mission sociale en pratique (actions, mesures correctives, suivi des résultats).
La mission sociale
La mission sociale de la microfinance est liée à l‟amélioration de la vie des clients pauvres et exclus et de leurs familles et à l‟élargissement de la gamme d‟opportunités socio-économiques pour la communauté.
Pour atteindre sa mission sociale, les objectifs d‟une IMF peuvent reposer sur les principes suivants :
Servir un nombre croissant de pauvres et d‟exclus sur une base durable.
Améliorer la qualité et l‟adéquation des services proposés aux clients ciblés.
Créer des bénéfices pour les clients de la microfinance, leur famille et leur communauté tels que l‟amélioration du capital social et des liens sociaux, l‟augmentation des actifs, des revenus, la réduction de la vulnérabilité, l‟amélioration de l‟accès aux services et la satisfaction des besoins de base.
Engager la responsabilité sociale de l‟institution vis-à-vis de ses employés, de ses clients et de la communauté dans laquelle elle s‟insère.
Les objectifs de la microfinance
La sélection du marché cible s‟effectue en fonction des objectifs de l‟opérateur de microfinance et de la demande estimée en services financiers. Nous trouvons dans chaque pays des entreprises et des ménages dont les besoins ne sont pas satisfaits ou insuffisamment, depuis les personnes les plus pauvres et parfois sans activité économique, jusqu‟aux petites entreprises créatrices d‟emplois dans les communautés où elles opèrent. Cet éventail forme la demande de services de microfinance. Or, souvent, nous ne trouvons pas du côté de l‟offre l‟éventail de services correspondant. Les institutions de microfinance doivent remédier à cette insuffisance en proposant les services qui font défaut afin d‟intégrer dans le marché les groupes de population non desservis. En tant qu‟organisations œuvrant pour le développement, les institutions de microfinance visent à satisfaire les besoins financiers de segments de marchés mal ou non desservis, dans une perspective de développement.
Les objectifs de développement incluent généralement :
La réduction de la pauvreté,
Le renforcement de la position sociale de la femme ou de groupes de population défavorisés,
La création d‟emplois,
Le soutien à la croissance et à la diversification des entreprises existantes,
L‟encouragement à la création d‟entreprise.
Une étude de la Banque mondiale portant sur des projets de crédit s‟adressant aux petites et micro-entreprises a mis en évidence les trois objectifs les plus fréquemment cités (Webster, Riopelle et Chidzero, 1996) :
Générer de l‟emploi et des opportunités de revenus par le biais de la création et du développement de micro-entreprises.
Accroître la productivité et les revenus des groupes socialement vulnérables, en particulier les femmes et les pauvres.
Réduire la dépendance des familles rurales vis-à-vis des risques de sécheresse par le biais d‟une diversification de leurs activités génératrices de revenus.
Etant donné le grand nombre de variables contextuelles dans chaque pays, toute décision de la part d‟une institution de pénétrer ou de servir un marché cible implique une synthèse des conditions propres à ce marché. Nous ne devons pas perdre de vue, lors de cette prise de décision, les deux objectifs à long terme de la microfinance : la portée, c‟est-à –dire servir ceux qui ont été laissés à l‟écart par les institutions financières (les femmes, les pauvres et les populations indigènes et rurales, par exemple), et la pérennité, qui suppose de générer suffisamment de revenus pour couvrir les coûts de l‟offre de services financiers. A chaque marché cible correspondent des coûts particuliers, c‟est pourquoi en fonction du marché choisi, la situation financière de l‟institution en est affectée différemment. Ainsi, les décisions supposent des compromis entre le choix des objectifs et les moyens employés pour les atteindre. La question centrale pour une institution de microfinance est la suivante : quels objectifs peut-elle se permettre d‟établir et pour combien de temps ?
Les institutions de microfinance doivent identifier la demande non satisfaite en services de microfinance et déterminer le marché cible correspondant à leurs objectifs. Le marché cible d‟une institution, dont l‟objectif est d‟atteindre les très pauvres à travers des services financiers et d‟autres types de services, différera par exemple de celui d‟une institution qui souhaite se consacrer à la population pauvre, économiquement active, en ne proposant que des services financiers. Certaines institutions peuvent choisir en outre de se concentrer sur un secteur économique ou un niveau d‟activité économique particulier pour atteindre leurs objectifs.
L’offre de service d’intermédiation financière
La première étape, pour comprendre le contexte dans lequel opère la microfinance, consiste à déterminer ce qui constitue l e système financier.
Le système financier (appelé aussi secteur financier ou infrastructure financière) comprend toutes les opportunités d‟épargne et de financement, les institutions financières qui fournissent ces opportunités, ainsi que les normes et modes de comportements liés à ces institutions et leurs activités. Les marchés financiers sont les marchés – rencontre entre une offre et une demande – sur lesquels les institutions financières proposent leurs services aux secteur s non financiers de l‟économie.
Pour analyser le système financier d’un pays, il faut considérer à la fois la demande et l‟offre de services financiers.
Connaître le système financier d‟un pays permet aux opérateurs de microfinance de localiser les zones dans lesquelles les servi ces ou produits de microfinance, pour certains groupes de clients, sont inappropriés ou inexistants. Elle permet, en outre, d‟identifier les lacunes institutionnelles et de mettre en évidence les possibilités de partenariats entre différents types d‟instit utions, afin d‟atteindre les pauvres à un moindre coût.
Les intermédiaires offrant des services financiers vont des institutions les plus formelles aux prêteurs privés informels. Connaître la taille, la croissance, le nombre, la gouvernance, et la réglementation de ces institutions est essentiel pour comprendre le fonctionnement du système financier. L’intermédiation financière varie en fonction des produits et services fournis, et dépend, dans une certaine mesure du type d’institution qui les propose. Tou s les marchés ne donnent pas accès aux mêmes produits et services. Déterminer les services financiers présents sur les différents marchés est important pour identifier les clients dont les besoins ne sont pas satisfaits. Les systèmes financiers peuvent généralement être classés en deux secteurs : formel et informel. La distinction entre formel et informel se fonde essentiellement sur l’existence ou non d‟une structure juridique permettant aux prêteurs de bénéficier de recours, et aux épargnants d’être proté gés. Les frontières ne sont pas définies de manière absolue et les cadres réglementaires varient. Les institutions financières formelles ont reçu l’agrément des pouvoirs publics et sont soumises aux mêmes réglementations et contrôles que les banques. I1 peut s‟agir de banques publiques ou privées, de compagnies d’assurances ou encore de sociétés financières. Lorsqu’elles possèdent une clientèle de petits commerçants ou de paysans, il leur est possible d’investir dans le sect eur de la microfinance.
Au sein du secteur formel, les institutions privées se concentrent généralement sur les zones urbaines alors que de nombreuses institutions publiques opèrent à la fois en zones urbaines et rurales. Les institutions privées octroient souvent des crédits individuels de montant élevé à une clientèle de grandes entreprises privées ou publiques, appartenant aux secteurs industriels modernes. Les institutions du secteur formel privé sont habituellement celles qui mobilisent le plus d‟épargne du public. Les institutions rurales publiques octroient souvent des crédits agricoles dans un but de développement du secteur rural. Leurs fonds proviennent des subventions versées par l‟ Etat et des capitaux étrangers, l‟épargne et les dépôts étant des ressources secondaires.
Les intermédiaires financiers informels opèrent, quant à eux, en dehors de tout cadre réglementaire et tout contrôle d‟Etat. Ce sont les prêteurs privés, les prêteurs gages, les groupes d‟entraide et les ONG, mais aussi l‟épargne des membres d‟une famille servant au financement d‟une micro-entreprise. Dans la plupart des cas, ils ne se conforment pas aux pratiques courantes de la comptabilité et ne sont pas prises en compte dans les statistiques officielles sur le volume et la tai lle du secteur financier national. Savoir où et comment fonctionnent ces sources informelles de financement permet de déterminer sur quels services porte la demande.
Ces institutions se concentrent sur le secteur informel, c‟est -à-dire sur les crédits et dépôts qui s‟adressent aux petites entreprises et aux ménages. L‟octroi des crédits s‟effectue souvent sans garantie formelle, en se fondant sur les liens entre le fournisseur et l‟emprunteur. Les sanctions sociales au sein de la famille, du village, ou de la communauté religieuse tiennent lieu de sanctions juridiques. Les conditions du crédit sont habituellement adaptées à la situation du client. Le montant total du prêt comme le nombre et la fréquence des remboursements sont déterminés en fonction des flux de trésorerie prévisibles de l‟emprunteur. Demander un crédit requiert peu de formalité écrite, voire aucune.
Nous trouvons dans le secteur financier en développement diverses combinaisons de ces intermédiaires financiers, qui varient en fonction des fac teurs historiques et du niveau de développement économique du pays. Les études réalisées sur le secteur financier tendent de plus en plus à en montrer la complexité ; les mouvements de fonds à l‟intérieur de ce secteur, d‟un domaine à un autre, sont considérables. L‟identification des fournisseurs de service financier d‟un pays ou d‟une région donnée permet une meilleure compréhension du système financier et peut également révéler des lacunes susceptibles d‟être comblée s par des opérateurs de microfinance.
Intermédiation sociale
Dans de nombreux cas, pour pouvoir tirer profit des services financiers obtenus, les clients doivent posséder des compétences spécifiques dans les domaines de la gestion de la production et de la gestion d‟entreprise tout en bénéficiant d‟un accès plus important aux marchés (Bennett , 1994). L‟offre de services financiers aux personnes à faible revenu nécessite ainsi souvent une intermédiation sociale, c‟est -à-dire « la création d‟un capital social en appui à une intermédiation financière pérenne au service de groupes ou d‟individus pauvres et défavorisés » (Bennett, 1997). La plupart des IMFs proposent une forme d‟intermédiation sociale, en particulier lorsqu‟elles travaillent avec des groupes. Dans certains cas, l‟intermédiation sociale est prise en charge par d‟autres organisations coopérant avec les institutions.
Certaines institutions de microfinance proposent en outre des services d‟appui au développement d‟entreprises tels que des formations techniques ou en gestion d‟entreprise (comptabilité, marketing, et production par exemple) ainsi que des services sociaux dans les domaines de la santé, de l‟éducation, et de l‟alphabétisation élémentaire. Ces services contribuent à améliorer l‟aptitude des hommes et femmes aux revenus faibles à exploiter directement ou indirectement des micro-entreprises.
Les fournisseurs de microfinance
L’offre de microfinance est présente dans les secteurs public et privé. Pour identifier les créneaux du marché, lorsque nous proposons des services financiers aux micro-entrepreneurs, ou lorsque nous envisageons de le faire, il est important de déterminer qui sont les fournisseurs présents et si les besoins du marché sont satisfaits. Pour les bailleurs de fonds, i1 s’agit de repérer les opérateurs de microfinance actifs, et ceux qui pourraient avoir besoin de soutien ou de financements. Pour les opérateurs, il s‟agit de d éterminer, dans les zones où la microfinance est encore inexistante, qui s o n t leurs concurrents et quel est l’impact de ces derniers sur le marché (sensibilisation du public, renforcement de la demande, surabondance de l’offre, saturation ou déséquilibre du marché par exemple).
Effets des programmes gouvernementaux sur les fournisseurs privés et rôle de bailleurs de fonds
Nous abordons ici comment les programmes gouvernementaux affectent les IMFs privées et comment les bailleurs de fonds soutiennent les activités des IMFs.
Effets des programmes gouvernementaux
Selon les approches adoptées, les programmes publics de microfinance peuvent contribuer ou n u i r e à l a réussite des activités de microfinance. Les gouvernements qui mettent en œuvre des programmes de microfinance subventionnés et inefficaces par l’intermédiaire de ministères non financiers exercent une influence négative sur l’offre de services de microfinance pérennes.
Les gouvernements n’ont souvent guère d‟expérience pour la réalisation des programmes de microfinance et n’encouragent pas la pérennité financière à long terme. Par ailleurs, les programmes d‟Etat sont souvent perçus comme des aides publiques par opposition aux efforts de développement économique. Certains deviennent trop importants, souffrent de l’absence de base institutionnelle et ne parviennent pas à coordonner leurs actions avec celles d’organisations non gouvernementales ou de groupes d’entraide locaux.
L‟engagement de l’État dans l‟offre de microfinance soulève bien des débats. Certains affirment qu‟il appartient à l’Etat de créer un environnement favorable tant pour les micro-entreprises que les institutions de microfinance privées, mais que l‟Etat ne devrait pas prêter directement aux pauvres. D’autres soutiennent, au contraire, que l‟Etat doit fournir des services financiers aux micro -entrepreneurs, mais sur des bases commerciales, afin de leur assurer un accès permanent à la microfinance et d’éviter tout déséquilibre des marchés financiers.
L’engagement de l‟Etat dans la microfinance permet, entre autres, d‟étendre les programmes à une plus grande échelle et d‟obtenir des soutiens politi ques, d’en élargir le cadre politique et de traiter le problème de la réglementation ; il permet également de réunir des fonds très importants.
Rôle de bailleurs de fonds en microfinance
L‟intérêt que portent les bailleurs de fonds à la microfinance s‟est considérablement accru au cours des dernières années. Pratiquement tous les bailleurs de fonds, notamment les bailleurs de fonds publics locaux, bilatéraux et multilatéraux ainsi que des ONGs locales ou internationales soutiennent des activités de microfinance d‟une façon ou d‟une autre en apportant l‟un des services suivants :
Subventions pour le renforcement de capacités institutionnelles,
Subventions pour couvrir les pertes d‟exploitation,
Subventions en fonds de crédits ou en fonds propres,
Prêts subventionnés pour financer l‟activité de crédit,
Lignes de crédit,
Garanties pour emprunts bancaires,
Assistance technique.
Les bailleurs de fonds représentent la première source de financement de microfinance (dans la mesure où la plupart des institutions ne collectent pas l‟épargne et ne sont pas suffisamment viables sur le plan financier pour avoir accès aux ressources commerciales).
L’épargne et le crédit
L‟épargne et le crédit sont les produits les plus importants des IMFs. La connaissance exhaustive de leur substantialité contribue à la clarification de l‟origine de l‟autofinancement des IMFs et en conséquence de leurs performances sociale et financière.
Définition de l’épargne
D‟une manière générale, l‟épargne est la partie du produit de l‟activité d‟une personne qui n‟est pas consommée ou utilisée immédiatement mais conservée aux fins de consommation ou d‟investissement différés.
L‟épargne peut revêtir une forme monétaire et non monétaire. Par ailleurs, sous sa forme monétaire, les Nations Unies en donnent une définition lors d‟un séminaire à Stockholm en 1971 :
L‟Epargne des ménages, c‟est le solde monétaire des revenus d‟un individu, une fois satisfaits ses besoins essentiels de consommation et ceux de ses dépendants ».16613
L‟épargne rurale peut être déterminée sous deux critères :
D‟abord, l‟origine et la destination de l‟épargne. Ici, le critère géographique est pris en compte. En effet, tout acte d‟épargne effectué par des personnes en milieu rural est considéré comme une épargne rurale.
Puis, l‟appartenance socio-professionnelle des épargnants en zone rurale. Des générateurs d‟épargne sont les producteurs, les actifs du secteur primaire (agriculture – élevage) ou de l‟artisanat.
L‟épargne peut revêtir diverses formes, elle peut être volontaire lorsque l‟individu prend de son plein gré l‟initiative de mettre de coté de l‟argent. L‟épargne volontaire peut être en nature, c‟est-à-dire sous forme de bijoux ou de bétails, cette forme présente l‟avantage que nous voyons sous les yeux nos biens, et c‟est la plus pratiquée par les malgaches car avoir plusieurs bétails, en l‟occurrence, des bœufs est signe de richesse, pourtant, elle a le désavantage de bloquer l‟épargne puisque celle-ci n‟est pas réinjectée dans le circuit économique. Les gens épargnent aussi en espèces, c‟est-à-dire sous forme monétaire. Mais, l‟épargne monétaire est un peu risquée, car nous pouvons toujours être sujet à un vol ou cambriolage, d‟ailleurs, nous pouvons succomber facilement aux dépenses ostentatoires et dépenser totalement l‟argent épargné.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : APPROCHES THEORIQUES ET METHODOLOGIE
CHAPITRE 1 : APPROCHES THEORIQUES
CHAPITRE 2 : METHODOLOGIE
CONCLUSION PARTIELLE N°1
DEUXIEME PARTIE : RESULTATS D’INVESTIGATION ET DISCUSSIONS
CHAPITRE 3 : RESULTATS D’INVESTIGATION
CHAPITRE 4 : DISCUSSIONS
CONCLUSION PARTIELLE N°2
CONCLUSION GENERALE
TABLE DES MATIERES
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
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