Les Pathologies de la Muqueuse Buccale

Formes cliniques

Chez l’enfant, l’observation clinique met en évidence différentes formes de destruction coronaire des dents temporaires par la carie. Cependant il y a deux formes plus couramment observées : la carie évolutive et la carie sèche ou arrêtée.
*La carie sèche ou arrêtée: elle se traduit par une évolution en surface, lente et uniforme. Dans ce cas, quelle que soit l’importance de la perte de substance coronaire, elle ne constitue en aucun cas une indication d’extraction.
*Le diagnostic différentiel entre ces deux formes est basé sur les six éléments suivants :
– la localisation ;
– l’étendue ;
– la dentine réactionnelle ;
– la coloration des tissus ;
– la texture des tissus ;
– et la sensibilité.
A coté de ces deux formes principales, nous notons des formes complexes constituées par les caries circulaires, les caries rampantes. Il y a également une forme particulière de carie chez l’enfant, autrefois appelée carie du biberon et dénommée maintenant caries précoces de l’enfance. Ce sont des atteintes polycarieuses de la denture temporaire jeune, ayant pour origine l’utilisation prolongée et/ou nocturne d’unbiberon contenant des liquides riches en sucre ou du lait. Ces caries sont dues à :
– une consommation exagérée et répétée d’hydratesde carbone avant le coucher ou au moment de la sieste ;
-Une consommation importante de sirops médicamenteux pédiatriques ;
– Une infection par les streptocoques mutans ;
– et / ou une persistance d’une alimentation au biberon.
Ce dernier étant considéré par les parents ou par la nourrice comme un facteur favorisant l’endormissement de l’enfant (36 ; 52).

Les malocclusions et malpositions

Le terme de malocclusion est en fait un générique regroupant toutes les perturbations de l’occlusion. Il s’agit en effet d’un engrainement anormal en intercuspidie maximale.
L’étiologie de ces malocclusions peut être dentaire, alvéolaire ou basale.
L’anomalie responsable de la malocclusion peut se situer dans les trois sens de l’espace : vertical, horizontal et transversal.
Des rapports d’occlusions inter dentaires incorrects et des forces occlusales anormales sont causes d’agression à la surface des tissus dentaires et/ou gingivaux et induisent des lésions traumatiques auniveau des structures parodontales de soutien. Il semble cependant que la malocclusion en elle-même n’est pas l’élément étiologique important dela gingivite.
Chez l’enfant d’âge préscolaire, les troubles de l’occlusion les plus fréquemment rencontrés sont liés à des habitudes déformantes telles que la succion digitale (pouce en général),linguale ou labiale,la déglutition atypique (persistance d’une déglutition infantile) ou la respiration buccale.
Les malpositions quant à elles sont trèsvariées et diverses et indiquent une anomalie de position d’une ou de plusieurs dents. Le type de position dentaire ou dystopie peut être précisé par les termes de :
– version : qui indique une position anormale du grand axe dela dent. (mésioversion, distoversion, vestibuloversion, lingoversion) ;
– infraclusion : lorsque la dent est située trop haute par rapport au plan d’occlusion et de supraclusion dans le cas contraire ;
– gression : qui indique une translation du grand axe de la dent qui reste parallèle à lui-même ;
– rotation : qui peut être axiale ou marginale,le bord mésial ou distal étant resté en place. La rotation se traduit par le déplacement d’un des bords de la dent.
Cliniquement, les malocclusions et les malpositions se traduisent chez l’enfant le plus souvent par une béance, une infraclusion, une supraclusion. L’infraclusion peut se traduire par un bout à bout incisif au lieu d’une béance complète.

Les pathologies de la muqueuse buccale

La cavité buccale est très fréquemmentle siège de lésions muqueuses dont le diagnostic est souvent difficile en raison de leur extrême diversité et de leur ambiguïté morphologique.
Les problèmes d’identification qui seposent dès l’apparition des lésions deviennent encore plus ardus ultérieurementsous l’effet du milieu buccal qui, par définition septique, transforme l’aspect initial des tissus lésés.
Confronté à ces difficultés d’ordre sémiologique, lepraticien devra néanmoins chercher à tirer le maximum de renseignements de l’aspect macroscopique des lésions en y associant les éléments tirés de l’interrogatoire. A l’examen buccal on ajoutera une exploration corporelle plus étendue. Car nombre de lésions de la muqueuse buccale sont liées à des maladiesdermatologiques à champ d’action plus large (19).
Enfin devant des lésions muqueuses apparemment banales, attribuables à de simples causes locales, il faudra se dire que celles-ci peuvent être aussi l’expression clinique d’affections générales graves. Par conséquent, aux données cliniques de l’anatomie tissulaire il conviendra souvent d’ajouter celles, histologiques, de la biopsie. La radiographie, les prélèvements cytologiques et bactériologiques, voire les analyses biologiques, viendront éventuellement compléter les résultats de l’examen anatomo-pathologique (19).
Ainsi on peut avoir :
-des ulcérations ;
-des lésions blanches : candidoses, lichen plan, leucoplasies ;
-des pathologies localisées : au niveau de la langue, lèvres…. ;
-des pseudo-tumeurs : épulis ;
-des tumeurs bénignes : lipome ;
-des tumeurs malignes : fibrosarcome.
Il faut noter que beaucoup de maladies de l’enfance ont des manifestations buccales, les maladies éruptives notamment. La connaissance desmaladies de la petite enfance, même si celles-ci n’ont que peu ou pas d’influence sur l’état dentaire, permet d’avoir une idée sur les traitements antérieurs (antibiothérapies ou autres).
D’autre part l’observation de leurs manifestations muqueuses ou cutanées peut être à l’origine du diagnostic de ces maladies.
Parmi les maladies infectieuses éruptives, certaines ont des manifestations buccales. On peut citer :
– le Syndrome pied main bouche. Cette maladie se manifeste par une fièvre 1-2 j, puis une éruption maculo-palpuleuse qui vadevenir vésiculeuse dans la bouche, sur la langue, les mains, les pieds et les fesses pendant 1-5j
– la Mononucléose infectieuse :son incubation est de 30-45j. Elle est contagieuse en phase aiguë et l’âge de prédilection se situe après 10 ans. Elle se manifeste par une fièvre variable avec angine, des adénopathies cervicales généralisées, une splénomégalie et quelques fois une éruption maculo-palpuleuse (dans 10% des cas). La durée est de 1 à 3 semaines
– la rougeole :Son incubation 8-15 j et elle est contagieuse au 5°j suivant l’éruption et au pontage. L’âge de prédilection se trouve entre 2-6 ans. Elle se manifeste par une fièvre importante, une touxavec catarrhe oculaire et nasal (nez coule et les yeux qui pleurent) ; au 2-3° j l’éruption d’unexanthème maculo-palpuleux
apparaît d’abord dans les zones rétro-auriculaires puis s’étend à la face et évolue en descendant sur une période de 6-10j. En quelques jours (j5) il se desquame.
– La scarlatine. L’incubation est de 1 à 7 j et contagiosité apparaît au 3°j précédant l’éruption et au 5° j suivant le début de l’éruption. L’âge de prédilection est de 6-9 ans. Les manifestations sont une fièvre importante avec une angine, la langue est saburale puis devient framboisée. Un exanthème diffus apparaît à la nuque et prédomine au niveau des plis etdu tronc puis desquame au 10°j
– La varicelle : L’âge de prédilection est 3-12 ans. Elle se manifeste par une éruption clairsemée qui prédomine au niveau du visage, du tronc et sur le cuir chevelu. Nous avons aussi des éruptions buccales maculaires qui deviennent vésiculeuses en 8 heures, au bout de 24-48 h, elles deviennent croûteuses.

CADRE D’ETUDE

Cette étude a été effectuée dans les établissements préscolaires publics et privés francophones de la région de Dakar quidépendaient du Ministère de la petite enfance et de la case des tout-petits. Actuellement ce ministère n’existe plus et l’enseignement préscolaire dépend du Ministère de l’Eduction où elle est gérée par la direction de l’Education préscolaire.
L’éducation préscolaire accueille les petits enfants qui n’ont pas encore atteint l’âge de la scolarité dans l’enseignement polyvalent (31).Son objectif est :
– d’ancrer les enfants dans les langues et les valeurs culturelles nationales, en vue de consolider leur identité et de les prémunir contre les risques d’aliénations culturelles ;
– de favoriser le développement de leurs différentes aptitudes psychomotrices et sociales, pour leur permettre d’épanouir leurpersonnalité propre et de construire les bases des apprentissages culturels.
L’Education nationale est placée sousla responsabilité de l’Etat, qui garantie aux citoyens la réalité du droit à l’éducation par la mise en place d’un système de formation. Les collectivités locales et publiques contribuent à l’effort de l’Etat en matière d’éducation. L’initiative privée, individuelle ou collective, peut, dans les conditions définies par la loi,concourir à l’œuvre d’éducation et de formation. (article 3) (31).
L’Education nationale est laïque : elle respecte et garantit à tous les niveaux, la liberté de conscience des citoyens (33)
Ces différentes dispositions ont posé les conditions de l’émergence d’un enseignement préscolaire privé laïc etreligieux. De nombreux établissements préscolaires ont ainsi vu le jour à Dakar et à l’intérieur du pays. Ils scolarisent des enfants issus de toutes les couches de la population.
Au moment de cette étude, la directrice de l’Education préscolaire nous a donné la liste des établissements préscolaires publics et privéscatholiques de la région de Dakar ; une étude similaire a déjàété réalisée dans les établissements préscolaires franco-arabes de la même région.

MATERIEL ET METHODE

Procédure administrative

A la suite d’un entretien avec la directrice de l’éducation préscolaire, nous avons obtenu son accord de principe et une lettre d’introduction qui nous a permis
d’avoir l’autorisation du Ministre délégué chargé de la petiteenfance et de la case des tout-petits. Nous avons obtenu ensuitela liste de tous les établissements préscolaires publics et privés de la région de Dakar
Dans un second temps, munie de la lettre d’autorisation, nous avons rendu visite aux directrices de ces différentesécoles. Cette démarche nous a permis :
– d’abord de connaître l’emplacement exact des écoles, puisque les adresses qui figuraient sur les listes du ministère ne correspondaient pas toujours à l’emplacement indiqué.
– ensuite d’expliquer à chaque directrice le but de notre visite.
Une demande d’autorisation accompagnée d’une lettre d’explication a été ensuite déposée chez ces chefs d’établissements, afin de solliciter l’accord des parents pour examiner leurs enfants.
– Enfin, c’est seulement après l’accorddes parents que les enfants choisis ont été examinés. Tous les enfants dépistés et présentant des caries ont été orientés au Centre Hospitalier National d’Enfants Albert Royer de Fann afin d’y recevoir des soins gratuits.

Echantillonnage

Nombre d’écoles concernées

La directrice de l’éducation préscolaire nous a remis la liste des 56 écoles dont 16 publiques et 40 privées de la région de Dakar, ce qui nous a permis de dresser deux nouvelles listes numérotées de :
-1 à 16 pour les écoles publiques
-1 à 40 pour les établissements privés.
Nous avons ensuite tiré au hasard, sur laliste, la moitié des écoles, soit 28 écoles dont 8 publiques et 20 privées. Les écoles tirées et non retrouvées, ou certaines dont les autorités administratives n’ont pas accepté de participer à l’enquête ont été remplacées.
La région de Dakar est divisée en plusieurs Inspections Départementales de l’Enseignement Elémentaire (IDEN), comprenant chacune un certain nombre d’établissements préscolaires privés et publics. La répartition des écoles selon leur appartenance à une inspection est donnée dans le tableau II.

Méthode d’étude

Cette étude a eu lieu dans la région de Dakar du 15 avril au 10 juin 2004.
Nous avons utilisé la fiche d’enquête OMS simplifiée pour l’évaluation de l’état de santé bucco-dentaire (1986). Cette fiche comporte des informations sur l’état civil, la malocclusion dentaire, l’état du parodonte, l’état des dents et les traitements nécessaires (Fiche annexe I).
L’examen clinique bucco-dentaire a été effectué par observations directes ou indirectes au moyen d’un miroir buccal, d’une sonde 6 ou 17, à la lumière du jour, dans le but de déceler les dents cariées, obturées ou absentes. Nous avons travaillé dans une salle mise à notre disposition, avec l’enfant assis sur une chaise en face de nous.
Le matériel d’examen était contenu dansun plateau d’examen et était rangé dans des boites à instruments après nettoyage à la fin de chaque séance. Ces boites ont été déposées pour stérilisation le soir à l’hôpital d’enfants Albert Royer de Fann et récupérées le lendemain matin pour une autre utilisation.
Les indices utilisés :
– Le CAO : il permet d’évaluer le degré d’atteinte carieuse et les besoins en soins dentaires :
* C = cariée : est considérée comme cariée toute dent qui présente une cavité visible ou qui accroche la sonde 6 ou 17.
*A = absente : concerne toute dent absente pour cause de carie
*O = obturée : il s’agit d’une dent obturée sans carie
En denture temporaire on utilise le co : c = cariée et o = obturée.
Au niveau du parodonte nous avons apprécié l’état de la gencive pour détecter la présence de saignement et l’hygiène. Nous avons utilisé l’indice gingival de Silness et Loe (1967) et l’indice quantitatif d’hygiène (ou de plaque) de Loe et Silness (1964) qui mesure l’accumulationde plaque et comporte une échelle de quatre scores.
Le niveau de connaissance des mères et desenseignants concernant la carie et les gingivites a été évalué grâce au formulaire de Poul Erik Petersen(2003).(Fiche annexe II).
Ce formulaire comprend pour les mères un questionnaire de 10 pages avec 22 items portant sur les caries, le saignement des gencives, l’hygiène alimentaire et dentaire de l’enfant et le niveau d’instruction. Il y a plusieurs réponses pour chaque question.
Pour les enseignants, c’est un questionnaire de 5 pages qui comprend 10 items sur les caries, le saignement des gencives, l’hygiène alimentaire et dentaire, la discussion sur l’hygiène bucco-dentaire avecles élèves au cours de l’année scolaire, le nombre de séances et enfin la provenance des informations. Comme pour le formulaire des mères, il y a eu plusieurs modalités de réponses.
Dans cette étude, nous avons utilisé une version simplifiée ou courte de ce questionnaire, car tous les items n’ont pas été exploités.
Ainsi, 577 formulairesont été distribués aux mères sur les 616 enfants recensés, certaines ayant plus de 2 enfants dans les établissements. Ces écoles emploient 80 enseignants à qui nous avons remis des formulaires. Les données ont été recueillies sur Excel puis traitées avec le logiciel Epi Info 6.0. Nous avons ensuite calculé les moyennes et écart-types, les fréquences, et pourcentages, puis avons appliqué l’ANOVA pour comparer les moyennes avec un seuil de significativité p=0,05.
Les résultats sont présentés sous formes de tableaux et de graphiques.

PRESENTATION DES RESULTATS

Les enfants

Données socio-démographiques

Dans les 28 écoles maternelles publiques et privées, nous avons examiné 577 enfants des deux sexes, dont l’âge moyen était de 4,37 ±1,11 ans avec un minimum de 3 ans et un maximum de 8 ans. La répartition selon l’âge est donnée par la figure1.

Connaissance de la carie

Les questions sur la connaissance de la carie portent essentiellement sur ses causes, les moyens de la prévenir et sur le rôle du sucre dans sa survenue. Les mères estiment dans 49,7% que la carie est causée par les bactéries et le sucre.
Pour éviter la carie, 14% des mères pensent qu’il faut se rincer la bouche avec de l’eau, pour 45,18% il faut aller régulièrement chez ledentiste et enfin pour 39,5% il faut prendre du fluor.
Le sucre est incriminé dans les caries et 46,8% des mères pensent qu’il est mauvais pour les dents contre 5,7% qui pensent le contraire. Le lait sucré est aussi cité et 25,8% pensent qu’il est mauvais pour les dents. Par contre, 16,5% pensent que le lait sucré n’est pas mauvais pour les dents.
Les bonbons et confiseries sont mauvais pour les dents pour 60,7% des mères.
Enfin, 60,7% disent qu’il faut régulièrement faire contrôler les dents des enfants par le dentiste.

Habitudes alimentaires

Elles concernent la consommation d’aliments ou de boissons riches en hydrates de carbones tels que le lait sucré, les jus de fruit, les barres chocolatées.
Ainsi, 37,3% des mères disent donner à leurs enfants du lait sucré une fois par jour et 2,3% rarement ou jamais.
Le jus de fuit est donné rarement ou jamais par 4,7% des mères. Par contre, 25,8% en donnent à leurs enfants parfois et 3,1% d’entre elles leur en donnent plus de deux fois par jour.
Les barres chocolatées sont données deuxfois par jour par 5,7% des mères alors que 14,6% n’en donnent jamais à leurs enfants.

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Table des matières
INTRODUCTION
CHAPITRE I :GENERALITES SUR LA SANTE BUCCODENTAIRE
I.1 RAPPELS D’EMBRYOLOGIE BUCCODENTAIRE
I.1.1 Embryologie Dentaire
I.1.2 Embryologie du Parodonte
I.1.3 Embryologie de la Muqueuse Buccale
I.2 RAPPELS D’ANATOMO-PHYSIOLOGIE BUCCODENTAIRE
I.2.1 Anatomo-Physiologie des Dents
I.2.2 Anatomo-Physiologie du Parodonte de l’Enfant
1.2.2.1 Le parodonte en denture lactéale
1.2.2.2 Le parodonte de la dentition mixte à la dentition permanente jeune
I.2.3Anatomo-Physiologie de la Muqueuse Buccale
1.2.3.1 Anatomie de la muqueuse buccale
1.2.3.2 Histologie
I.3 PATHOLOGIES Bucco-dentaires
I.3.1La Carie Dentaire
1.3.1.1 Définition
1.3.1.2 Etiopathogénie
1.3.1.3 Formes Cliniques
I.3.2 Les Parodontopathies
I.3.3 Les Malocclusions et Malpositions
I.3.4 Les Pathologies de la Muqueuse Buccale
CHAPITRE II : ENQUET EPIDEMIOLOGIQUE
II.1 OBJECTIFS
II.1.1 Objectif Général
II.1.2 Objectifs Spécifiques
II.2 CADRE D’ETUDE
II.3 MATERIEL ET METHODE
II.3.1 Procédure Administrative
II.3.2 Echantillonnage
2.3.2.1 Nombre d’Ecoles Concernées
2.3.2.2 Type d’Etude
2.3.2.3 Taille de l’Echantillon
2.3.2.3.1 Calcul de la Taille
2.3.2.3.2 Critères d’Inclusion
2.3.2.3.3 Critères d’Exclusion
2.3.2.3.4 Taille par Etablissement
II.3.3 Méthode d’Etude
II.4 PRESENTATION DES RESULTATS
II.4.1 Les Enfants
2.4.1.1 Données Socio-Démographiques
2.4.1.2 Etat Bucco-Dentaire
2.4.1.3 Etat Parodontal
II.4.2 Les Mères
2.4.2.1 Connaissance de la Carie
2.4.2.2 Habitudes Alimentaires
2.4.2.3 Habitudes d’Hygiène BuccoDentaire
2.4.2.4 Connaissance sur le Saignement des Gencives
2.4.2.5 Connaissance de l’Etat de Santé Dentaire des Enfants
2.4.2.6 Repas et Collations
2.4.2.7 Etat de Santé Général de l’Enfant
2.4.2.8 Provenance des Informations
II.4.3 Les Enseignants
2.4.3.1 Connaissance de la Carie
2.4.3.2 Etat de Santé Dentaire des Elèves
2.4.3.3 Besoins en Soins des Elèves
2.4.3.4 Provenance des Informations
II.5 DISCUSSIONS
II.5.1 Limites et contraintes de l’étude
2.5.1.1 L’Echantillonnage
2.5.1.2 La Fiche D’Enquête de Poul Eric Petersen
2.5.1.3 La Méthodologie
II.5.2 Les Enfants
2.5.2.1 Données Socio-Démographiques
2.5.2.2 Etat Bucco-Dentaire
II.5.3 Les Mères
2.5.3.1 Connaissance de la Carie et des Gingivites
2.5.3.2 Etat de Santé Général et Etat Dentaire des Enfants
2.5.3.3 Provenance des Informations
II.5.4 Les Enseignants
CONCLUSION
REFERENCES

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