Insertion professionnelle
Difficultés pour l’insertion professionnelle
Durant les enquêtes sur l’insertion professionnelle des diplômés des dernières années (2001-2005), certaines difficultés rencontrées pour l’insertion professionnelle ont été rapportées.
Parmi ces difficultés, certaines sont directement liées à la situation de l’élevage dans le pays notamment un environnement défavorable, une capacité financière faible des éleveurs et des organisations professionnelles des producteurs insuffisamment structurées.
D’autres sont liées à la mauvaise organisation de la profession vétérinaire dans les pays notamment l’absence de politique de crédits d’installation en privé, l’absence de dispositifs d’appui à l’insertion ainsi que la concurrence dans leurs activités par des agents non habilités.
D’autres encore sont liées aux Etats avec la diminution des recrutements dans la fonction publique, l’absence de cadre juridique de la profession vétérinaire, l’absence de mandats sanitaires (dans certains Etats) ou des discriminations liées aux lieux de formation des vétérinaires.
A partir de l’enquête « Dires acteurs », certaines idées nouvelles viennent compléter celles citées précédemment, avec notamment l’absence de difficultés lors de l’insertion et de recherche d’emploi (surtout pour les diplômés sortis avant 1990), et difficultés liées à des connaissances insuffisantes dans certains domaines, le manque d’expérience pratique en début de carrière, la méconnaissance de laplace de la profession vétérinaire dans l’économie nationale ainsi que des conflits de génération.
Préparation de l’insertion professionnelle
Les étudiants ont été questionnés pour savoir s’ils considéraient que l’EISMV les préparait correctement à leur future vie professionnelle. Globalement seulement 51% des étudiants pensent que l’école leur apporte une bonne préparation à leur futur métier. Cette moyenne cache en fait une différence significative d’appréciation suivant les promotions. En effet, si près de 70% des étudiants en début de cycle (CPEV, 1 ère et 2 ème A) sont positifs et font confiance à l’établissement, ils sont en revanche 60% en fin de cycle (3 ème , 4 ème et 5 ème A) à juger que les enseignement reçus ne sont pas assez professionnalisant.
Les étudiants qui pensent que l’EISMV ne les prépare pas correctement pour une insertion professionnelle plus facile et aisée ont précisé que la formation esttrès théorique, non professionnelle et souvent inadaptée au nouveau contexted’emploi.
On reproche également à EISMV de ne pas suivre ses diplômés après la sortie pour connaître les difficultés et les facilités qu’ils ont eues pour leur insertion professionnelle.
Ces étudiants ont formulé des recommandations pour faciliter leur insertion.
Ces recommandations s’orientent d’abord vers les Etats membres de l’EISMV qui devraient mettre en place une politique d’appui financier à l’installation et mettre en place des textes réglementant l’exercice de la profession vétérinaire(ou appliquer plus rigoureusement les textes existants).
Elles s’adressent ensuite aux vétérinaires déjà en place qui sont appelés à aider leurs nouveaux confrères en les mettant sur la piste de la profession une fois arrivés sur le terrain.
Il est demandé, en outre, à EISMV de renforcer les exercices pratiques et de permettre aux étudiants d’acquérir des compétences spécialisées pour mieux s’insérer. L’EISMV pourrait également jouer un rôle d’intermédiaire entre les nouveaux diplômés et leurs pays dans le but d’augmenter les chances d’insertion professionnelle.
Les étudiants pensent qu’avoir un projet professionnel durant le cursus universitaires c’est-à-dire s’y apprendre à temps est très important pour leur insertion ultérieure.
Les étudiants ont donné leurs projets professionnels en fonction de leurs aspirations.
Adéquation formation / emploi
Introduction
En général, les productions agricoles sont faibles.
Elles ne peuvent faire face à l’évolution de la croissance démographique ; ceci conduit des pays qui sont confrontés au chômage et à l’exode rural, à importer de façon massive des denrées alimentaires.
Le constat est simple ; la population africaine est rurale mais avec une forte tendance de migration vers les villes, c’est-à-dire un exode rural très prononcé où souvent cette population est condamnée à un chômage
La situation du chômage et du sous emploi
Dans le monde
Le problème de chômage et de sous-emploi des jeunes depuis les années 1980, est un problème social très important qui ne cesse de croître. Selon une étude du Bureau International du Travail en 2004, le chômage des jeunes a explosé à travers le monde au cours des dix dernières années, atteignant le chiffre record de 88 millions. Les jeunes de 15 à 24 ans représentent aujourd’hui près de la moitié des chômeurs de la planète. Les jeunes représentaient 47% des 186 millions de personnes au chômage en 2003, alors qu’ils ne constituent que 25% de la population en âge de travailler (personnes âgées de 15 à 64 ans).
Cependant, le problème dépasse largement ces chiffres. En effet, le rapport indique que, sur les 550 millions de travailleurs pauvres qui n’arrivent pas à se maintenir avec leur famille au-dessus du seuil de pauvreté de 1 dollar par jour,130 millions sont des jeunes qui doivent lutter pour survivre en travaillant souvent dans les conditions insatisfaisantes de l’économie informelle.
En Afrique
Les taux élevés et croissants du chômage et du sous-emploi, tant dans les secteurs urbains que ruraux, peuvent être considérés comme étant la manifestation de la pauvreté croissante en Afrique. Ils sont intimement liés.
Dans la plupart des pays d’Afrique subsaharienne, les moins de 30 ans représentent plus de 50% de la population urbaine. Dans les grandes villes du Sud, la part des jeunes est supérieure à la moyenne nationale, pourtant déjà importante. Un tel niveau de chômage constitue une menace pour la société, car elle accroît la fragilité des jeunes faisant naître en eux un sentiment d’exclusion et d’inutilité qui les pousse à « des activités nuisibles pour eux-mêmes et pour la société’’. Les jeunes sont aujourd’hui assimilés à une population « à risque ».
La pauvreté, la délinquance, la violence, le chômage sont autant de problèmes auxquels les jeunes sont de plus en plus confrontés.
Une situation intolérable pour eux et, au-delà, pour toute la population. Dans les grandes villes d’Afrique, on retrouve maintenant des enfants et des jeunes qui vivent totalement dans la rue. Cette situation fait qu’ils sont considérés comme délinquants.
Juan SOMAVIA en 2004, affirme « Tant que le potentiel des jeunes ne sera pas exploité de manière productive, ni eux ni la société ne pourront prétendre à un avenir satisfaisant’’. Les difficultés ne touchent pas seulement les moins formés.
La possession d’un diplôme n’est plus un gage d’embauche. Le chômage touche indifféremment non diplômé et diplômé.
Selon Jean Paul LAPORTE, l’exode rural n’est pas une fatalité, il peut être freiné si les candidats à ce phénomène sont installés en situation de production.
Nous le savons ; à l’heure actuel des ajustements structural, c’est la privatisation avec ses nuances et qui dit la privatisation dit les moyens et service de qualité.
Si les demandeurs d’emploi doutent d’eux même, il ne faut pas penser qu’ils vont chercher à s’installer ; ils n’avouerontpas qu’ils ne sont pas surs de leur affaire, mais qu’ils manquent ceci ou cela, se transformant ainsi en « hommes à obstacles ».
Seuls ceux qui ont un savoir faire et un savoir être ,ceux qui ont une qualification reconnue d’abord par eux-mêmes,et qui donc ont confiance en euxmêmes peuvent s’installer ou être facilement employés par les autres
En créant des universités il y a plus de 25 ans, les gouvernements des pays africains avaient des volontés de doter des cadres dont ils avaient besoin, pour essayer de résoudre un certain nombre des problèmes c’est le cas de l’EISMV.
Mais trois décennies après, on se rend compte que le modèle a vécu ; le système éducatif hérité de la colonisation n’est pas bon ; la situation qui prévaut dans le plus part des universités et des grandes écoles africaines en ce moment, ledémontre largement.
L’EISMV, ayant une vocation essentiellement administrative,c’est-à-dire destiné à fournir rapidement des cadres administratifs qui faisaient cruellement défaut, l’Etat était n recruteur des diplômés qui étaient alors intégrés dans la fonction publique avant même leur sortie à l’Ecole. Dans certains cas, l’Etat exigeait des engagements quinquennaux, décennaux ou autres, pour être sur que les bénéficiaires des bourses n’iraient nulle part d’autre, qu’à la fonction publique.
Les moyens humains
Ils sont aussi liés aux moyens de l’Etat
Les recrutements d’une façon générale sont gelés, pénalisant gravement l’avenir des universités et des écoles.
Les premières richesses d’un pays c’est l’homme.
En misant sur la formation adéquate des hommes, on assure indépendance des pays dans la conception et l’exécution des programmes de développement.
La formation est fondamentale pour tout développement ; c’est pourquoi il st urgent de concevoir des bases plus concrètes pour l’évaluation des programmes de celle-ci dans les universités et écoles car les programmes sont inadaptés et donc obsolètes.
Il faut que des enseignements répondre aux besoins sur le terrain
Par ailleurs, les Ecoles de formations professionnelles comme EISMV doivent occuper une place de choix dans le système éducatif.
On est souvent surpris d’entendre dire que certains pays n’ont lus besoin de former par exemple des docteurs vétérinaires ou autres praticiens, autre idée : que tel pays n’a pas besoin des vétérinaires car il n’est pas de tradition pastorale ; au même moment, ledit pays engloutit de l’argent pour importer à presque 100% des produits carnés pour sa population.
Il y a donc beaucoup à faire dans l’enseignement agricole.
Il faut ,comme le pense de plus en plus de nombreux Responsables, que les programmes permettent de former désormais des exploitants agricoles ayant la maîtrise de production ,de conservation et de commercialisation ; ceci permettra aux diplômés de s’insérer facilement et participer au développement du monde rural.
C’est l’option résolument prise par l’EISMV en demandant au Conseil d’Administration, l’élargissement de son mandat initial.
Ainsi ,en plus de son mandat premier ,c’est-à-dire la formation initiale ,d’autres axes de développement ont été retenus .ce sont entre autres : la formation continue , la formation post universitaire , l’expertise/ingénierie , la recherche/développement , la coopération interuniversitaire , la réflexion sur le projet d’établissement avec le système LMD.
Avec des ressources humaines dont elle dispose l’EISMV peut, avec l’appui de tous, devenir un centre d’excellence dans le domaine de la santé et de la production animale en Afrique subsaharienne.
Cas du Rwanda
Aperçu sur le Rwanda
aspect géographique
Situation géographique
Le Rwanda est un pays enclavé situé au sud de l’équateur être les parallèles 1°5’ et 2°51’ de latitude sud et 28°53’ de longitude Est.
Il est limité au Nord par l’Ouganda, à l’Est par la Tanzanie, à l’Ouest par la République Démocratique du Congo et au Sud par le Burundi.
Le territoire national s’étend sur une superficie de 26.338 km .La capitale Kigali se localise à 2200 km de Matadi, port de Kinshasa en RDC.
Les importations du pays passent en grande partie par l’Est du pays via le port de Dar es-Salaam en Tanzanie.
Organisation administrative du pays
Le Rwanda est divisé en quatre provinces, province du sud, du Nord, de l’Est et de l’Ouest sur lesquelles on ajoute la Ville de Kigali. A la tête des provinces il y a des Gouverneurs.
Les provinces sont divisées en Districts dont 7 districts en province de l’Est,… c’est-à-dire 30 districts dans tout le pays.
A la tête des districts il y a des Maires.
Les districts eux-mêmes sont subdivisés en secteurs et on a 420 secteurs dans tout le pays.
L’organisation administrative la plus petite est la cellule.
Le relief rwandais
Le Rwanda est pays montagneux avec un relief accidenté d’où le nom de « pays de mille collines ».
L’altitude moyenne décroît de l’Ouest à l’Est entre 4500 m et 1000m.
Ce relief se décompose en trois unités topographiques :
¾ la crête Congo Nil à l’Ouest qui s’étend sur 160 km et partage les eaux du pays en deux bassins, les bassins du Nil et du Congo.Elle culminede 3000m au Nord de Ruhengeli pour s’abaisser à 1200m à Rugabano puis remonter à 2750 m dans la partie méridionale.
Ce sont des montagnes très raides aux sommets pointus.
C’est une région délaissée par les éleveurs.
¾ le plateau central compris entre 2000 et 1500 m d’altitude et une longueur de plus de 80 km, il couvre la moitié du pays.
Il est constitué de collines aux versants convexes, souvent raides, et aux sommets plus ou moins plats. Cette région a connu une forte occupation des éleveurs.
¾ la zone orientale, vaste et souple, son altitude est comprise entre 1500 et 1000 m.C’est une région propice à l’élevage.
Outre ces trois unités topographiques qui caractérisent le relief du Rwanda, il est important de signaler la chaîne volcanique située au Nord du pays et qui comprend cinq volcans dont le plus important est KALISIMBI avec 4507 m de hauteur.
|
Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : ETAT DES LIEUX
CHAPITRE 1 : L’EISMV et son Projet d’Etablissement
1 L’ EISMV
1.1 Analyse historique de l’’EISMV
1.1.1 La création de l’EISMV et différentes phases traversées
1.1.2 Atouts et les faiblesses de l’EISMV au cours de son histoire et les facteurs d’évolution
1.1.2.1L’appréciation générale sur la qualité de la formation dispensée à l’EISMV
1.1.2.2 Les insuffisances relevées dans la formation dispensée à l’EISMV
1.2 Analyse diagnostique
1.2.1 Vétérinaires formés
1.2.2 Les enseignants
1.2.3Les étudiants
2. Projet d’Etablissement de l’EISMV
CHAPITRE 2 : Les éléments clés fondements de cette étude
1. Profession vétérinaire et les opportunités d’emplois des vétérinaires
1.1 Définition de la profession vétérinaire
1.2 Les opportunités d’emplois des vétérinaires
1.2.1 Les opportunités dans le secteur public et parapublic
1.2.1 Les opportunités dans lesecteur privé
2 Insertion professionnelle
2.1 Difficultés pour l’insertion professionnelle
2.2 Préparation de l’insertion professionnelle
2.3 Insertion professionnelle des diplômés de l’EISMV sortis de 2001 à 2005
3 Adéquation formation / emploi
3.1 Introduction
3.2 La situation du chômage et du sous emploi
3.2.1 Dans le monde
3.2.2 En Afrique
3.3 Le problème, c’est le COMMENT
3.4. Les orientations
3.5 Les moyens
3.5.1 Les moyens financiers
3.5.2 Les moyens humains
CHAPITRE 3 : CAS DU RWANDA
1 Aperçu sur le Rwanda
1.1 : aspect géographique
1.1.1 Situation géographique
1.1.2 Organisation administrative du pays
1.1.3 Le relief rwandais
1.1.4 Climat du Rwanda
1.1.5 Caractéristiques pluviométriques et hydrographie au Rwanda
1.1.6 Flore et Faune sauvage
1.1.7 Situation démographique
1.2. Situation de l’élevage
1.2.1. Cheptel, effectif etproduction
1.2.2 Types génétiques exploitées
2 Les prestations de service en santé animale au Rwanda
2.1 .Introduction
2.2 Etat sanitaire du cheptel du Rwanda
2.3 L’intervention du secteur public
2.3.1 Office rwandais de développement des ressources animales (RARDA)
2.3.1.1 Les objectifs du RARDA
2.3.1.2 Les structures du RARDA
2.3.2 La politique de décentralisation
2.4 L’intervention du secteur privé
DEUXIEME PARTIE : ETUDE SUR LE TERRAIN
CHAPITRE 1 : MATERIEL ET METHODES
1. MATERIEL
1.1 Cadres de l’étude
1.1.1. Ville de Kigali
1.1.2 La province de l’Est
1.1.3 La province du Sud
1.1.4 La province du Nord
1.1.5 La province de l’Ouest
1.2 Période de l’étude
1.3 Matériel technique
1.4 Cibles des enquêtes etentretiens
2 METHODES
2.1 Déroulement de l’étude
2.1.1 Pendant la période pré enquêtes
2.1.2 Pendant la période des enquêtes sur le terrain
2.1.2.1 Durée des enquêtes sur le terrain
2.1.2.2 Personnes ressources
2.1.2.3 Difficultés rencontrées
2.1.2.4 Les solutions
2.2 Traitement et analyse
CHAPITRE 2 : RESULTATS
1. LA SITUATION ACTUELLE DE LA PROFESSION VETERINAIRE ET LA PLACE DES DIPLOMES DE L’EISMV
1.1. CARACTERISATION DES DIPLOMES VETERINAIRES
1.1.1 Aspects quantitatifs
1.1.1.1 Le nombre des vétérinaires dans le pays
1.1.1.2. Lieux de formation et proportions respectives
1.1.1.3 Les vétérinaires rwandais formés à l’EISMV oeuvrant au Rwanda
1.1.1.4 Spécialisations réalisées par les vétérinaires
1.1.2 Aspects qualitatifs
1.1.2.1L’insertion professionnelle par domaines d’activités
1.1.2.2 Stabilité des domaines d’activités
1.1.2.3 Niveau de rémunération selon les domaines d’activité
1.1.3 Analyse des questions ouvertes
1.1.3.1Les difficultés rencontrées par les vétérinaires
1.1.3.2Les solutions envisageables
1.1.3.3 Conseils aux jeunesen formation
1.1.3.4 Les points forts et points faibles des vétérinaires dans le pays
1.1.4 Les itinéraires d’insertion des diplômes de l’ EISMV
1.1.4.1 Situation de l’insertion avant et après 1990
1.1.4.2 Capacités d’intervention des anciens de l’EISMV
1.1.4.3 Dispositifs d’appui à l’insertion professionnelle
1.2 CARACTERISATION DES PARAS VETERINAIRES
1.2.1 Aspects quantitatifs
1.2.2 Aspects qualitatifs
1.2.2.1 Lieux de formation des paras vétérinaires
1.2.2.2 Le personnel enseignant de ces paras vétérinaires
1.2.2.3 Les domaines d’activité des paras vétérinaires
1.2.2.3 Niveau de rémunération
1.2.3 Analyse des questions ouvertes
1.2.3.1 Relations entre les paras vétérinaires entre eux et entre les vétérinaires
1.2.3.2 Itinéraire et dispositifs d’appui à l’insertion
1.2.3.3 Les raisons d’un choix d’un domaine d’activité
1.2.3.4 Les principaux problèmes
1.2.3.5 Les paras vétérinaires ayant des employés
1.2.3.6 Variation du nombre des clients
1.2.3.7 Forces, opportunités, menaces et faiblesses
1.2.3.8 Les évolutions prévisibles dans leurs activités
2 LES ORIENTATIONS ACTUELLES DE LA POLITIQUE SECTORIELLE DE L’ELEVAGE, LES PRIORITES ETLE ROLE JOUE PAR LA PROFESSION VETERINAIRE
2.1Tendances du secteur d’élevage
2.1.1 Les points forts et faiblesses du secteur d’élevage
2.1.2 Les opportunités et les menaces du secteur d’élevage
2.1.3 Principales orientations de la politique actuelle de développement dans le secteur d’élevage
2.1.4 Les aspects d’élevage enfonction des espèces
2.1.4.1 L’élevage des bovins dans le pays
2.1.4.2 L’élevage des petits ruminants
2.1.4.3 L’élevage des volailles
2.1.4.4. L’élevage des porcs et des lapins
2.1.4.5 La pêche au Rwanda
2.1.4.6 L’apiculture
3 LES PERSPECTIVES D’EVOLUTION DE LA PROFESSION VETERINAIRE
31 Les besions quantitatifs
3.2 Les besoins qualitatifs
CHAPITRE 3 : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
3.1 DISCUSSIONS
3.1.1 CARACTERISATION DE DIPLOMES VETERINAIRES
3.1.1.1 Aspects quantitatifs
3.1.1.2 Aspects qualitatifs
3.1.1.3 La perception de la profession vétérinaire dans le pays
3.1.1.4 Dispositifs d’appui à l’insertion professionnelle
3.1.1.5 Les créneaux porteurs de la profession vétérinaire
3.1.2 CARACTERISATION DES PARAS VETERINAIRES
3.1.2.1 Aspects quantitatifs
3.1.2.2 Aspects qualitatifs
3.1.3 LES ORIENTATIONS ACTUELLES DE LA POLITIQUE SECTORIELLE DE VETERINAIRE L’ELEVAGE, LES PRIORITES ET LE ROLE JOUE PAR LA PROFESSION VETERINAIRE AU PAYS
3.1.4. LES PERPECTIVES D’EVOLUTIONS DE LA PROFESSION
3.1.4.2 Les besoins quantitatifs
3.1.4.2 Les besoins qualitatifs
3.1.4.3 Les propositions d’amélioration pour l’EISMV
3.1.5 COMPARAISON AVEC DES RESULTATS EXISTANTS
3.2 RECOMMANDATIONS
3.2.1 Recommandations d’ordre général
3.2.2 Recommandations envers l’Etat
3.2.2.1 Organisation de la profession vétérinaire dans le pays
3.2.2.2 Accompagnement juridico institutionnel
3.2.2.3 Conditions du crédit
3.2.2.4 Consolidation des ressourceshumaines vétérinaires
3.2.2.5 Mise en place du mandat sanitaire
3.2.2.6 Augmentation des moyens financiers alloués à l’élevage
3.2.3 Recommandations envers l’EISMV
3.2.4 Recommandations envers les étudiants futurs vétérinaires
CONCLUSION
REFERENCES
ANNEXES