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La collecte des données
Pour cette étape de notre recherche, nous consultons les institutions suivantes :
Les bureaux des Communes Rurales (Ambohimiadana, Tankafatra, Fitsinjovana Bakaro)
Ny Foibe Tao-tsaritanin’i Madagasikara ( FTM) à Ambanidia
Ny Jiro sy Rano Malagasy à Tsiazompaniry
La Direction Générale de la Météorologie à Ampandrianomby
L’étude de terrain proprement dite
L’étude sur terrain est axée sur la phase d’observation directe de la zone d’intervention afin de décrypter le fonctionnement de l’érosion dans le bassin versant de Tsiazompaniry. C’est le fait de comprendre l’organisation du paysage naturel et artificiel ainsi que les principaux problèmes du paysage. La localisation des zones érosives est l’objet de notre étude qui prend des temps par rapport à l’étendue de la zone d’intervention.
Les enquêtes à l’échelle villageoise
Elles ont été effectuées dans plusieurs villages de nos quatre communes rurales afin de recueillir des informations sur les rendements des activités économiques de la population, de leur revenu et leur dépense. Nos entretiens sont axés à des personnes et ménages tirés au hasard avec lesquels nous ne nous sommes pas contentées de poser nos questionnaires structurés mais nous passons presque une journée entière avec eux pour comprendre leur vie puisque nous n’avons pas limité nos travaux de terrain. Les questions posées ont concernés non seulement l’érosion des versants mais également les répercutions de cette érosion dans les qualités de leurs terres, les qualités et quantités de leurs rendements, et enfin de leurs souhaits pour améliorer leurs productions. Pour cela, nous avons effectué notre entretien avec 219 ménages de 6 personnes en moyenne et 152 paysans individuels ou en groupes soit 8.12% de la population totale du bassin versant de Tsiazompaniry.
Ces entretiens ont été complétés par les données collectés auprès des communes où les rendements des activités agricoles de chaque Fokontany sont déposés annuellement.
Problèmes rencontrés lors de la recherche
Pendant la recherche bibliographique et les collectes des données auprès des institutions, le travail ne rencontre pas de difficulté. Par contre, l’enquête sur terrain n’obtient pas des réponses favorables à certaines questions, surtout sur le revenu et sur la dépense journalière. D’autres répondent clairement mais demandent la contre partie de leurs réponses face aux problèmes rencontrés à titre d’exemple l’accaparement de leurs terrains par deux enquêteurs fonciers4.
L’analyse des données et le traitement statistique :
La dernière étape du travail s’oriente à l’analyse des données et au traitement statistique avant la rédaction. Cette étape consiste au dépouillement des enquêtes et des données statistiques collectées, puis leurs interprétations et commentaires par rapport au sujet…Le logiciel de traitement de Système d’Information Géographique (intitulé ArcGis) nous aide à les traiter entre autres les cartes diverses comme la feuille topographique Ambohimiadana Q 48 au 1/50 000è de 1971, IGM Paris, centre à Madagascar et la feuille géologique Ambohimiadana Q 48 au 1/ 100 000è de RANAIVOJAONINA (E) en 1962, la carte des ressources en sols de l’I.R.N.T. en 1990, les images satellitaires de 2000 au 1/25 000 et les BD 500 de l’IGM ou FTM) afin d’ élaborer les croquis relatifs au thème. Le traitement par Excel facilite l’analyse des données statistiques.
La rédaction
La rédaction est la phase finale de ce travail développant en chapitres le fruit de toute la recherche. Elle présente les différentes hypothèses concernant les conséquences de l’érosion aux activités de la population dans le bassin versant de Tsiazompaniry-Commune rurale Anosibe Trimoloharano AmbohimiadanaTankafatraFitsinjovana Bakaro, District Andramasina-Région Analamanga. Elle explique ensuite le mécanisme de l’érosion et ses impacts aux occupations de ladite population. Enfin, la rédaction vérifie la relation réciproque entre le danger apporté par l’érosion et l’avenir de la subsistance des habitants de Tsiazompaniry.
LES MUTATIONS ECOLOGIQUES ET CHANGEMENT SOCIO ECONOMIQUE DANS LE BASSIN VERSANT DE TSIAZOMPANIRY
Les formes d’érosion observées sur le paysage du bassin versant de Tsiazompaniry résultent visiblement de l’érosion. Elles en sont considérées comme des séquelles directes. En principe, l’érosion se manifeste toujours dans des versants à pentes. Mais le processus ne peut se déclencher que s’il y a présence de l’eau que ce soit de pluie ou de source. Les formes d’érosion se distinguent suivant leur profondeur ou leur incision dans le sol. De même, les rendements agricoles se diminuent indirectement suivant l’état de l’érosion. Ces différents exemples observés dans la zone d’intervention le prouvent.
Les mutations écologiques dans le bassin versant de Tsiazompaniry
Les traces de l’érosion dans le bassin versant de Tsiazompaniry
Les petites formes d’érosion
« L’effet splash » provoque ces petites formes d’érosion. En d’autres termes, il désigne le résultat direct des gouttes d’eau dans le sol. Ce type d’érosion est renforcé par les pentes et facilité par la sensibilité des sols. La période où l’on assiste fréquemment à ce phénomène d’érosion correspond essentiellement aux temps de labours des champs. Par conséquent, les gouttes d’eau prennent avantage à inciser le sol de 2 à 5cm de profondeur. Outre les traces observées sur les champs de culture nouvellement labourés, les gouttes accumulent également des éléments fins sous les feuilles et le long de tronc d’arbres, ainsi que sous les racines déchaussées ou des arbres.
Les griffures d’érosion et les colluvions
La photo ci-après peut illustrer ce que l’on appelle griffure d’érosion dans le bassin versant de Tsiazompaniry. Elle a été prise à Ambohijanaka en Janvier 2010.
Au premier plan existent les griffures d’érosion observées sur les dépôts suivis d’un éboulement de terrain.
Au deuxième plan se trouvent les jeunes pousses d’Eucalyptus.
Au troisième plan, le cliché montre l’horizon brun rouge à brun jaune du sol.
Ces formes d’érosions peuvent être classées parmi les formes moyennes d’érosion à cause de leur taille comprise entre 4 à 10cm de profondeur. Elles peuvent être facilement saisies sur les matériaux meubles et les versants mis en culture.
Les grandes formes
Elles sont des entailles plus ou moins remarquables de grande profondeur pouvant aller de 30cm à plusieurs mètres. Parmi ces grandes formes, on peut citer :
Les rigoles des entailles peu profonde du relief ayant la forme de petite ravine ;
Les ravines des entailles profondes et irrégulières du relief provoquées par l’accumulation et l’écoulement d’une grande quantité d’eau devant être évacuée en court temps. Les ravines peuvent être aussi appelées torrent passager résultant de forte chute de pluie.
le changement de comportement écologique dans le bassin versant de Tsiazompaniry
La dégradation des sols
Composition et fonction du sol
Avant de voir les différents types de dégradation de sol dans le bassin versant de Tsiazompaniry, il semble évident de préciser leurs compositions et leurs fonctions.
Un sol est quelque chose d’assez complexe ayant des constituants solides (argiles, sables, limons,…) résultant de l’altération des roches ; des constituants minéraux servant de la réserve énergétique, des substances humiques et de la colle faisant le lien entre ces minéraux ; mais existant aussi des organismes vivants (ver de terre, bactéries, …). Ces êtres vivants fertilisent le sol, mélangent ses composants et caractérisent ses qualités biologiques et physiques.
Le sol est un milieu favorable pour le développement des plantes. Il assume également la fonction épuratrice de la végétation, c’est à dire capable d’épurer la végétation par le support physique qu’il constitue, par la circulation des fluides, par les êtres vivants à transformer toute une série de produit qu’on lui apporte, notamment les produits qu’on veut débarrasser. Il assure aussi la fonction de support et de dépôt restituant les eaux et les minéraux suivant les besoins des plantes.
Nous pouvons donc parler de dégradation des sols au moment où l’une de ces fonctions est altérée ou privée.
Les formes de dégradation du sol
• L’acidification des sols
Lorsqu’il pleut beaucoup, on assiste à un appauvrissement naturel des sols. Car une partie de ses éléments est entraînée en profondeur où les plantes ne peuvent pas les utiliser. Le PH d’un sol diminue ainsi sous l’action de la pluie tandis que le sol s’acidifie.
Par ailleurs, les plantes semblent des pompes d’eau et d’éléments nutritifs du sol. Elles agissent également sur l’acidification des sols. Car certaines racines ont la capacité d’acidifier leur milieu.
• La compaction ou déshydratation des sols
Cette forme de dégradation se manifeste par l’apparition en surface des horizons sous jacentes comme l’horizon B. Elle est le plus souvent liée aux engins agricoles et forestiers mais le surpâturage et la sur-fréquentation de l’homme en particulier ses pratiques agricoles (aménagement des versants par les cultures de manioc, maïs, patates douces,…) facilitent à accélérer sa mise en place. Cette mise en culture des versants déjà exposés à l’atmosphère à cause de la quasi-absence de végétations augmente le ruissellement de l’eau. Prenons le cas des ruissellements sur le champ de maïs et de haricot. Sur le champ, les cultures sont espacées et y restent seulement quatre mois dans l’année, et le reste du temps, le sol est à nu durant lequel, il n’y a pas de retour de matières organiques et d’énergies au sol. C’est là que présente la compaction du champ de culture.
• L’asphyxie des sols
La compaction du sol limite la circulation de l’eau dans le sol. Elle bloque aussi la circulation de l’air. Ce qui rend le sol impropre au développement des populations micro organiques. A ce stade, on peut parler d’une asphyxie des sols et ce dernier est devenu infertile car l’influence de l’aération du sol sur sa fertilité est conditionnée par les teneurs relatives de ceci en O2 et en CO2 et le développement des êtres vivants en dépendance de sol devient négatif.
La diminution de la fertilité des sols
La fertilité est un indicateur de la qualité des sols par laquelle les sols peuvent être classifiés comme riche ou pauvre. L’érosion réduit cette fertilité parce qu’elle arrache les substances minérales des sols. Pour le bassin versant de Tsiazompaniry, la fertilité des tanety est représentée dans le croquis n°02 suivant.
La dégradation de la flore et de la faune
Le changement floristique
La capacité d’infiltration et de rétention de l’eau diminue à cause de l’érosion. Par conséquent, l’accès en eau pour les plantes est réduit, et elles ne résistent pas face à la pénurie de l’eau. Elles se fanent rapidement et donnent des récoltes nuisibles. Ce résultat implique la formation des végétations secondaires caractérisées par ses capacités d’adaptation au nouveau type de sol rajeuni. Ces nouvelles espèces végétales paraissent moins résistantes à la pénurie de l’eau, jaunâtres. Ses tailles varient suivant le niveau de dégradation de sol. En effet, cet état de sol ne permet pas la végétation à s’accroitre normalement.
L’extinction d’espèce animale
Le remplacement de la végétation primitive dite climacique par une végétation secondaire conduit à une perte de la diversité faunique, parce que ces végétations constituent une sorte des habitats pour certains animaux. A la suite, seules les espèces capables à l’adaptation de ce nouvel couvert végétal y résident. Les micro-organismes évoluent aussi et changent suivant le degré de la dégradation des sols. Par conséquent, ils n’arrivent plus à décomposer les matières organiques. Or les matières organiques mal décomposées se transforment en produits phyto-toxiques (sulfure, nitrite, méthane) rendant le sol plus acide.
La perte d’éléments nutritifs du sol
Dans le bassin versant de Tsiazompaniry est enregistrée une forte pluviométrie, la diminution de la capacité de rétention de l’eau peut avoir comme conséquence le lessivage d’éléments nutritifs. Etant donné qu’une partie de l’eau infiltrée dans le sol n’est pas retenue, elle s’écoule vers la profondeur ou dans la nappe aquifère. Ainsi, une partie des éléments nutritifs dissous dans l’eau du sol se perdent et deviennent inaccessibles aux racines des plantes. De même, sous l’effet de la déforestation et du défrichement, le ruissellement emmène avec lui une quantité énorme de substances stockées dans la couverture forestière. Ce dégât devient dangereux durant des années après la déforestation mais il est réduit aux parcelles vétustes. En revanche, l’érosion agit indirectement à la diminution d’éléments nutritifs. Car les nouvelles couches du sol font apparaître de nouvelle formation végétale adaptée à ce sol. Cette transformation se fonctionne ainsi par la modification de l’humus ainsi que par le taux des matières organiques.
La dégradation de la qualité de l’eau et de l’habitat des organismes aquatiques.
Le bassin versant de Tsiazompaniry possède un patrimoine naturel remarquable, notamment par la diversité des milieux aquatiques et humides (rivières, marais, fonds de vallée). L’érosion peut sensiblement affecter ces richesses.
La dégradation de la qualité de l’eau
Selon le décret n° 2003/464 du 15 avril 2003 portant la classification des eaux de surface et la réglementation des rejets d’effluents liquides,
Article 1 : le présent texte porte sur la classification des eaux de surfaces et sur les normes de rejet d’effluent aqueux dans le milieu naturel.
Article 3 : les eaux de surface (cours d’eau, lacs et tous plans d’eau) sont classées de la manière suivante :
¾ Classe A : bonne qualité, usages multiples possible
¾ Classe B : qualité moyenne, loisirs possibles, baignades pouvant être interdites
¾ Classe C : qualité médiocre, baignades interdites
¾ HC : Hors Classe, contamination excessive, aucun usage possible à part la navigation. La présence de germe pathogène désigne directement une catégorie hors classe.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
Première partie : DEMARCHE ET MUTATIONS MULTIFORMES DES LIEUX
Chapitre I : METHODE ET TECHNIQUES DE RECHERCHE
I.1.1) Choix de la zone d’étude et du thème
I.1.2) Les objectifs de la recherche
I.1.3) Les limites de la recherche
I.2) L a démarche et les techniques de recherches utilisées
I.2.1) La démarche de la recherche
I.2.2) La documentation
I.2.3) L’analyse bibliographique
I.2.4) La collecte des données
I.2.5) L’étude de terrain proprement dite
c) Les enquêtes à l’échelle villageoise
d) Problèmes rencontrés lors de la recherche
I.2.6) L’analyse des données et le traitement statistique
I.2.7) La rédaction
Chapitre II: LES MUTATIONS ECOLOGIQUES ET CHANGEMENT SOCIO ECONOMIQUE DANS LE BASSIN VERSANT DE TSIAZOMPANIRY
II.1) Les mutations écologiques dans le bassin versant de Tsiazompaniry
II.1.1) Les traces de l’érosion dans le bassin versant de Tsiazompaniry
d) Les petites formes d’érosion
e) Les griffures d’érosion et les colluvions
f) Les grandes formes
II.2.) Le changement de comportement écologique dans le bassin versant de Tsiazompaniry
II.2.1) La dégradation des sols
a) La composition du sol
b) Les formes de dégradation du sol
c) La diminution de la fertilité du sol
II.2.2) La dégradation de la flore et de la faune
II.2.3) La dégradation de la qualité de l’eau et de l’habitat des organismes aquatiques
a) La dégradation de la qualité de l’eau
b) La dégradation de l’habitat des organismes aquatiques
II.3) Les modifications climatiques et de la dynamiques de l’écoulement naturel des eaux
II.3.1) Les changements du climat local
a) La variation des précipitations
b) La tendance générale du climat
II.3.2) La modification de la dynamique de l’écoulement naturel des eaux
a) Le débordement fréquent des diguettes
b) la réduction de la largeur du lit des cours d’eau
c) La détérioration de la profondeur du barrage
Chapitre III : LES REPERCUTIONS POLYMORPHES SUR LES LIEUX
III.1) Les répercussions de l’érosion sur l’agriculture
III.1.1) L’ensablement des rizières
III.1.2) Le manque d’eau d’irrigation et la perturbation du calendrier cultural
a) Le manque d’eau d’irrigation
b) La perturbation du calendrier cultural
III.1.3) La réduction des rendements agricoles
III.1.4) Les maladies phytosanitaires
III.2) Les conséquences de l’érosion des sols sur les autres sources de revenus
III.2.1) Diminution de la qualité de pêche
III.2.2) Diminution de nombre de bétail à élever
III.2.3) Pénurie en chaume de toiture et diminution en qualité et quantité de l’artisanat
a) Pénurie en chaume de toiture
b) Diminution en qualité et quantité de l’artisanat
III.3) Les conséquences de l’érosion des sols sur la population
III.3.1) pauvreté de la population
e) Le revenu agricole des ménages ruraux
f) Le revenu extra-agricole des ménages ruraux
g) Les dépenses annuelles des ménages ruraux
h) Le bilan budgétaire des quelques ménages ruraux dans le bassin versant de Tsiazompaniry
III.3.2) La malnutrition et maladies
a) La malnutrition
b) Les maladies
III.3.3) Analphabétisation et arrêt de scolarisation
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
Deuxième partie : CAUSES, STRATEGIES PAYSANNES ET PERSPECTIVES D’AVENIR DU BASSIN VERSANT DE TSIAZOMPANIRY
Chapitre IV : LES ORIGINES DE L’EROSION DANS LE BASSIN VERSANT DE TSIAZOMPANIRY
IV.1) Un élément naturel facilitant l’érosion dans le bassin versant de Tsiazompaniry
IV.1.1) L’influence de la topographie et de la géologie sur l’érosion des sols du bassin versant de Tsiazompaniry
c) les aspects topographiques et l’érosion des sols
d) la nature géologique et l’érosion des sols
IV.1.2) Le sol, l’hydrologie et l’érosion des sols dans le bassin versant de Tsiazompaniry
c) les caractères intrinsèques du sol et l’érosion
d) les caractéristiques des eaux aux régimes des hautes eaux
IV.2) Le climat : moteur du déclenchement de l’érosion des sols
IV.2.1) Caractéristique du climat dans le bassin versant de Tsiazompaniry
IV.2.2) Les relations climat-érosion dans la zone étudiée
c) la quantité d’eau précipitée et l’érosion des sols
d) L’intensité de précipitation et l’érosion
V.2.3. la concentration pluviométrique
IV.3) les responsabilités humaines dans le déclenchement de l’érosion des sols
IV.3.1) la population du bassin versant de Tsiazompaniry
IV.3.2) la destruction de la couverture végétale
IV.3.3) les façons culturales
IV.3.4) les travaux d’élevage, la pêche et l’artisanat
Chapitre V : MESURES PRISES PAR LES PAYSANS POUR FAIRE FACE AU PROBLEME D’EROSION DANS LE BASSIN VERSANT DE TSIAZOMPANIRY
V.1) Emploi des engrais chimiques
V.1.1) l’accessibilité en engrais chimique
V.1-2) l’utilisation de l’engrais chimique
V.1-3) les facteurs influençant l’utilisation et l’adoption en engrais chimique
c) La maitrise de l’eau
d) Le prix des produits
V.2) Adoption de nouveaux systèmes et techniques de culture
V.2-1) système et technique de culture
c) Système de culture
d) techniques de culture
V.2.2) utilisation de fertilisants organiques
a) la fumure d’élevage
b) le compost
V.3) L’artisanat
Chapitre VI : OPINION PERSONNELLE ET SUR L’AVENIR DU BASSIN VERSANT DE TSIAZOMPANIRY
VI.1) le développement de l’agriculture
VI.1.1) l’amélioration des productions des zones irriguées
VI.1.2) le développement de l’utilisation de fumures organiques
et du compost
VI.2) l’évacuation des produits agricoles
VI.2.1) la recherche des marchés
VI.2.2) le désenclavement du bassin versant de Tsiazompaniry
VI.3) la protection des terres de production
VI.3.1) les cultures suivant les courbes de niveau et la culture en bande
c) La culture suivant les courbes de niveau
d) La culture en bande
VI.3.2) le « mulch » et l’engrais vert
c) Le « mulch »
d) L’engrais vert
VI.2.3) la culture multiple ou multiple cropping
VI.4) Mesures à appliquer dans les différents systèmes de cultures.
VI.4.1) La rotation de culture et la jachère
c) La rotation de culture
d) La jachère
VI.4.2) Le reboisement
c) La fonction de protection
d) La fonction d’amélioration hydrique
VI.4.3) La vulgarisation du SRI et du SRA
c) Le SRI ou Système de Riziculture Intensive
d) Le SRA ou Système de Riziculture Amélioré
VI.5) Les mesures à appliquer contre l’érosion des sols
VI.5.1) les terrasses
VI.5.2) la gestion communautaire
VI.5.3) le réaménagement de l’espace
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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