LES MOYENS POUR ATTENUER LES RISQUES DE NON REMBOURSEMENT

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LES INSTRUMENTS DE LA GESTION FINANCIERE

La comptabilité générale produit des documents de ynthèses qui constituent le point de départ de la gestion financière. Ces documents constituent le point de départ de la gestion financière. Ces documents constituent un instrument privilégié, de communications pour l’entreprise. En effet, celle-ci établit les documents dans le but de transmettre des informations de nature comptable et financière à différents interlocuteurs.

Analyse des dossiers de crédits corporates

L’analyse met en exergue les points faibles et les points forts de chaque dossier suivant des éléments bien précis:
La qualité du dirigeant : sa compétence, son successeur.
La qualité de l’environnement : la notoriété de lasociété, son emplacement.
Le produit et le marché : produit facile ou de haute technologie, nouveau ou démodé, diversification ou unicité. Marché porteur, marchéinternational. La qualité de la structure financière
Les perspectives : sa crédibilité, financement adéquat.
Les garanties proposées.

LES RISQUES LIES A LA BANQUE

Ce risque correspond au risque de trésorerie pour le banquier.Cette trésorerie découle de ses rapports avec les déposants et se situe du côté ressources dans son bilan.Il est intrinsèque à toute opération de crédit puisqued’après la définition même , la banque utilise les fonds déposés par la clientèle apporteuse de ressources : les particuliers , les entreprises , les correspondants bancaires et financières.
Et comme nous le savons déjà , les ressources d’une banque proviennent en majeur partie de ses clients déposants.
Pour répondre aux besoins de financement de sa clientèle, elle collecte des dépôts qu’elle va prêter sous forme de divers crédits.
Les fonds empruntés ne lui appartiennent donc pas entièrement mais à des tiers qui peuvent demander à tout instant son remboursement . Pour cela , la banque s’expose à des retraits inopinés.Le risque d’immobilisation naît ua moment où le crédit est consenti et persiste c’est à dire que son remboursement n’a pas lieu à l’échéance convenue.
Dans ce cas le risque d’immobilisation consiste pour le banquier de se trouver dans l’obligation de faire face aux retraits des dépôts .
En d’autre termes , il s’agit d’un risque de liquidité se manifestant par un excès de retrait de billets ou de tirage sur les avoir en compte.Dans la mesure où les avoir en caisse où à la banque centrale ne permettent pas de faire face à un solde négatif de flux , la banque tirée doit se refinancer en mobilisant des créances qu’elle détient dans son portefeuille d’actif.
Etant condiséré comme risque exclusif à la banque, il est indispensable pour la banque de trouver des moyens pour réduire son risque tout en accomplissant sa tâche de distribuer aussi largement que possible des crédits pour avoir une meilleure rentabilité et de collecter beaucoup plus de dépôts car ce sont les dépôts qui contribuent largement à la rentabilité financière.Notons que le profit d’une banque vient de la différence entre le côut des ressources et le produit des emplois. Pour le banquier ,ce risque se traduit sur plusieurs plans :
– Le concours immobilisé ne comporte pas en lui mêm e de risque de non-remboursement , mais il se peut qu’il en est l’annonciateur et beaucoup de créances commencent à être comptabilisées comme immobilisées avant de devenir douteuses.
– Le concours immobilisé accroît involontairemental durée des emplois de la banque .Le banquier doit alors trouver sur le marché un refinancement supplémentaire , qui ne sera pas aussi bien adapté que le refinancement précédent.De cela , il prend un risque de taux.
– Sur le plan purement règlementraire , le classement du crédit en”créances immobilisées”va détériorer les ratios prudentiels de la banque elle-même.

LES RISQUES LIES AUX CLIENTS : LE NON REMBOURSEMENT

Le risque de non-remboursement se définit dans tous les cas pour l’entreprise par un seul et même événement : la crise de trésorerie.
La crise de trésorerie peut être due aux probabilit és suivantes :
– Il y a tout d’abord le risque né d’événement exceptionnel .
– Puis les risques tenant au débiteur et lié à son secteur d’activité.
En premier lieu, nous allons voir les risques qui mettent en cause la solvabilité de l’entreprise.

Le risque né d’événement exceptionnel

Ce risque peut être causé par le problème de succession, la mésentente entre les dirigeants, la suppression brutale du marché .

Les crises de succession

Ces risques apparaissent lorsque la succession n’est pas préparée à savoir la valeur des successeurs ou s’il n’y a pas de cadre capable d’assumer la relève ou s’il n’est pas prévu une cession à un groupe « ami » , encore si l ’actionnariat n’est pas susceptible de reprendre l’affaire.

La mésentente entre les dirigeants

Le désaccord entre les associés peut mener à la cessation pure et simple de toute activité parce que seule l’entente entre eux permet une unicité de vue sur les grandes orientations de l’entreprise : création de nouveaux produits, acquisition de nouveaux moyens, rapprochement vers d’autres établissements, nomination du dirigeant.

La suppression brutale du marché

Le marché peut être mis à terme par voie autoritai re selon la décision de l’Etat ou par substitution dans le marché.
Ces risques nés d’évènements exceptionnels peuvent provoquer une cessation voir même une chute brutale de l’activité et que le banquier ne dispose d’aucun délai. C’est l’un des points qu’on doit avoir à l’esprit en examinant la solvabilité de l’entreprise.

Les risques classés par ligne de crédit

Afin de financer leurs besoins d’exploitation et leurs besoins d’investissement, le client peut demander à la banque des crédits par décaissement qui sont les crédits par caisse ou encore les crédits de trésorerie.
Il peut également remettre à la banque des effets de commerce non échus contre paiement du montant, dans ce sens on parle d’escompte.
En se portant caution c’est à dire en prêtant sa si gnature, la banque fait crédit à ses clients, c’est le crédit par cautionnement ou crédits par signature.
Quelque soit les lignes de crédits demandées, le banquier court toujours un risque sur l’octroi de crédit .Pour ce faire, il doit prendre des risques normaux et s’efforcer de bien peser ou écarter les risques anormaux.
Ainsi, les fluctuations de prix des produits formant la base d’un crédit, la défaillance du débiteur, une autre destination du fonds qu’il a emprunté forment les risques normaux. Pour cela, le banquier doit tenir compte du montant de concours et il doit se protéger pour réduire les risques.
De l’autre côté, si l’emprunteur dispose déjà d’unconcours assez important chez d’autres banquiers, ou si le client figure parmi les clients trouvant dans la liste des écartés ( à cause des faits précédents par exemple : non remboursement ) , le banquier se trouve alors dans un risque majeur car s’il accorde son financement il doit faire peser au maximum ses conditions .
Pour ressortir les nuances de risque, nous allons entrer en profondeur dans notre étude des risques classés par famille : Ils sont destinés à financer des besoins d’exploitation et les besoins d’investissements.

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Table des matières

PARTIE I : PRESENTATION GENERALE
CHAPITRE I : LA BNI MADAGASCAR
SECTION 1 : GENERALITES
SECTION 2 : HISTORIQUE, PRESENTATION JURIDIQUE ET PHYSIQUE
SECTION 3 : OBJECTIFS ET MOYENS
SECTION 4 : CONCURRENTS
CHAPITRE II : LES ASPECTS THEORIQUES ET PRATIQUES 
SECTION 1 : PRINCIPE ET DEFINITION
SECTION 2 : DIAGNOSTIC FINANCIER
SECTION 3 : LES INSTRUMENTS DE LA GESTION FINANCIERE
SECTION 4 : ANALYSE DE L’ACTIVITE/ RATIOS
SECTION 1 : ANALYSE DES DOSSIERS DE CREDITS CORPORATES
SECTION 2 : ANALYSE DES CREDITS DESTINES AUX PARTICULIERS
PARTIE II : LA PROBLEMATIQUE et L ‘ANALYSE DES RISQUES LES POINTS A ANALYSER
CHAPITRE I : ANALYSE DES RISQUES BANCAIRES ¨ LES RISQUES BANCAIRES
SECTION 1 : LES RISQUES LIES AU CLIENT
SECTION 2 : LES RISQUES LIES A LA BANQUE ¨ L’ANALYSE DE CES RISQUES
SECTION 1 : LES RISQUES LIES AUX CLIENTS : LE NON REMBOURSEMENT
SECTION 2 : LES RISQUES LIES A LA BANQUE
CHAPITRE II : ANALYSE DE LA SITUATION EXISTANTE
SECTION 1 : PROBLEMES AU NIVEAU DE L’ORGANISATION
SECTION 2 : LE NON CONFORMITE DES DOCUMENTS PRESENTES
SECTION 3 : PROBLEMES AU NIVEAU DU RESEAU DE TELECOMMUNICATION
PARTIE III : GESTION DES RISQUES ET SUGGESTIONS
CHAPITRE I : LES SOLUTIONS PROPOSEES
A. SOLUTIONS RELATIFS AUX RISQUES DE CREDIT BANCAIRE
SECTION 1 : LES MOYENS POUR ATTENUER LES RISQUES DE NON REMBOURSEMENT
SECTION 2 : CONCERNANT LES RISQUES LIES A LA BANQUE
B. SOLUTIONS APPORTEES SUR LES PROBLEMES DE LA SITUATION EXISTANTE
SECTION 1 : AU NIVEAU DE L’ORGANISATION
SECTION 2 :SOLUTION RETENUE SUR LA CONFORMITE DES DOCUMENTS
CHAPITRE II : RECOMMANDATIONS
SECTION 1 : LES PRINCIPES D’ATTENUATION DES RISQUES
SECTION 2 : RECOMMANDATIONS GENERALES
SECTION 3: LES RESULTATS ATTENDUS
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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