L’allaitement maternel
Les bienfaits et les avantages
L’allaitement est la manière idéale de fournir tous les nutriments nécessaires au bon développement de l’enfant. Ce mode d’alimentation a prouvé sa capacité à diminuer la mortalité et la morbidité infantile (OMS 2018a). Dans leur revue Chantry, Montry et Marcellin (2015) décrivent plusieurs de ces bienfaits. Tout d’abord, concernant le nouveau-né, son développement cognitif est meilleur. D’autant plus si les mères allaitent de manière exclusive et prolongée. Les infections telles que gastro-intestinales, otites aiguës et infections respiratoires sont moins fréquentes. L’enfant allaité est moins exposé au risque de dermatites atopiques de même qu’à l’eczéma. Le risque de développer de l’obésité et des maladies cardiovasculaires associées est diminué. La mort subite du nourrisson semble moins fréquente avec l’allaitement (Chantry et al., 2015, p. 1074). Le lait maternel évolue selon l’âge et les besoins de l’enfant, garantissant un bon développement et une bonne croissance staturopondérale. Il se digère plus rapidement et facilement, environ 48 minutes contre 1h à 1h15 pour le lait artificiel. L’allaitement permet aussi une absorption optimale des éléments minéraux chez le nourrisson (Camus, 2017).Concernant la maman, plusieurs études observationnelles indiquent que l’allaitement maternel permet une perte des kilos de grossesse plus rapide. Le risque de dépression du post-partum est diminué. Cependant, le manque de preuve ne permet pas d’affirmer que l’allaitement est l’unique moyen de prévention de cette maladie. L’incidence du cancer du sein est réduite (Chantry et al., 2015, p. 1074). Ce mode d’alimentation contient également des avantages pratiques, économiques et écologiques. En effet, il n’y a pas de préparation, de dépenses et de déchets. La sécrétion de l’ocytocine favorise l’involution rapide de l’utérus et diminue les risques d’hémorragies du post-partum (Camus, 2017, p. 33; Thirion, 2014, p. 102).Un des autres avantages, comme le souligne Camus (2017), est le lien unique que crée cette pratique entre la mère et son enfant. L’allaitement ainsi que le contact peau à peau rassure le bébé et lui donne de l’affection ce qui renforce l’attachement entre la mère et l’enfant.
La mise au sein précoce est importante, car la première tétée de colostrum favorise le maintien de la glycémie grâce à sa concentration élevée en glucides (oligosaccarides et lactose) et un bon développement du système immunitaire grâce aux immunoglobulines (IgA sécrétoires principalement) qu’il contient. Enfin, grâce à l’équilibre des minéraux, l’hydratation du bébé est assurée. Cette première mise au sein va également favoriser le peau à peau avec tous ses avantages (Camus, 2017, p. 37).
Physiologie de la lactation
Le sein est une glande dont la principale fonction est de produire le lait maternel. La glande mammaire se compose de tissu glandulaire, adipeux et conjonctif. Le volume du sein est déterminé essentiellement par le tissu adipeux et conjonctif. La quantité de lait n’est donc pas reliée à la taille des seins. Les lobes et lobules forment le tissu glandulaire. Chaque glande mammaire se compose de quinze à 25 lobes se divisant en lobules. Ces lobules contiennent des cellules produisant le lait, appelées alvéoles. Celles-ci sécrètent le lait dans les conduits lactifères qui s’ouvrent par un pore situé sur le mamelon. Juste avant d’arriver à l’aréole, chaque conduit se dilate pour former un sinus lactifère où s’accumule le lait entre les tétées (Marieb & Hoehn, 2015, p.1230).Pendant la grossesse, plusieurs changements préparent les seins à l’allaitement. Ce phénomène est appelé mamogenèse. Cela correspond à l’augmentation de la taille et la pigmentation plus prononcée de l’aréole, qui servira de repère visuel pour le bébé. Les tubercules de Montgomery, situés sur l’aréole, contiennent des glandes sébacées permettant de protéger la peau des bactéries. Il existe aussi d’autres petites glandes sébacées et sudoripares sur l’aréole. Celles-ci grossissent et sécrètent une odeur, qui guidera le bébé vers le sein, ainsi qu’une substance lubrifiante assurant une protection naturelle du mamelon. Les alvéoles se multiplient arrivant, en fin de grossesse, avec un nombre de 3000 à 100 000 cellules prêtes à produire le lait. L’aréole se charge en élastine pour résister à la tétée (Camus, 2017, p. 18; Leloux, 2015, p. 112).La lactation est un processus complexe permettant la préparation des glandes mammaires, le déclenchement de la production du lait, son éjection ainsi que le maintien de sa production (Marieb & Hoehn, 2015, p. 1284). Le lait est fabriqué principalement à partir d’éléments de la circulation de la maman. Il est sécrété en continu dans les alvéoles puis stocké jusqu’à son éjection au niveau des canaux galactophores. Le lait est produit grâce à deux hormones principales, la prolactine et l’ocytocine. La prolactine stimule les alvéoles à produire le lait. De son côté, l’ocytocine permet l’éjection du lait en provoquant la contraction des cellules myoépithéliales des seins. Le stress et la douleur chez la mère peuvent inhiber la libération de cette hormone (Camus, 2017 ; Marieb & Hoehn, 2015, p.1284). La formation du lait passe par trois stades. En premier, à partir du 4ème mois de grossesse, le colostrum se forme progressivement. Le stade II, après l’accouchement, correspond à la montée de lait liée à la chute de la progestérone et à l’augmentation de la prolactinémie. Pour finir, il y a le maintien de la sécrétion du lait par une stimulation adéquate du mamelon (Leloux, 2015, p. 114). Durant la grossesse, les taux élevés d’œstrogènes provenant du placenta empêchent la prolactine de jouer son rôle. Par conséquent, ce n’est que lors de l’expulsion du placenta, après l’accouchement, que la prolactine va entrer en action. Ceci va permettre la montée du lait survenant dans un délai de deux à trois jours. Entre-temps, et à la fin de la grossesse, le colostrum est sécrété. Quelques semaines après l’accouchement, la prolactine revient à son taux de base et la production de lait dépend de la stimulation mécanique des mamelons provoquée par la tétée. Les mécanorécepteurs du mamelon envoient des influx nerveux afférents à l’hypothalamus qui va stimuler la sécrétion de prolactine par l’adénohypophyse (de dix à 20 fois supérieure à son taux de base) pendant environ une heure et la production de lait nécessaire pour la tétée suivante. La stimulation visuelle ou auditive liée à l’allaitement peut également déclencher l’émission du lait. Ces influx nerveux stimulent aussi la sécrétion de l’ocytocine par la neurohypophyse. (Leloux, 2015, p. 114; Marieb & Hoehn, 2015).
Composition du lait maternel
Le lait est composé principalement d’eau (87,5%). Ce qui explique pourquoi il n’est pas nécessaire de donner de l’eau à un enfant allaité. Toutefois, de nombreuses autres substances, parfaitement adaptées aux besoins de l’enfant, sont présentes. Celles-ci sont des protéines (caséine, immunoglobulines, lactosérum), des glucides (lactose, oligosaccharides), des lipides, des vitamines, des hormones, des acides aminés, des enzymes, des sels minéraux et des oligo-éléments. La composition du lait varie en fonction du bébé et de la période (Camus, 2017, p. 24‑ 25).Le liquide sécrété pendant trois à cinq jours après l’accouchement est appelé le colostrum. Son goût et son odeur ressemblent au liquide amniotique. Cette odeur familière guidera le bébé vers le sein. Ce liquide épais et jaunâtre contient moins de lactose que le lait maternel et pratiquement pas de matières grasses mais beaucoup plus de protéines, de vitamine A et de minéraux. Sa composition évolue également en fonction des besoins du bébé. Le colostrum est très riche en protéines, en lactose et en oligosaccharides. Les IgA sécrétoires (immunoglobulines), présentes en grande quantité, protègent le tube digestif du bébé en empêchant les pathogènes de se fixer sur sa paroi. Le lactose favorise l’équilibre de la flore intestinale, augmente le transit et acidifie le bol intestinal. L’absorption de certains sels minéraux et oligo-éléments est facilitée grâce à cette acidification. Le lactose permet aussi d’éviter l’hypoglycémie et favorise l’épuration de la bilirubine. Les oligosaccharides accroissent la flore protectrice de la muqueuse intestinale. Le colostrum contient aussi des enzymes (lysozyme, lipase, lactase) permettant une digestion rapide, des cellules immunitaires et des facteurs de croissance qui luttent contre les infections et les allergies (Camus, 2017, p. 26‑ 27). Son effet laxatif naturel favorise l’expulsion du méconium et des fèces contribuant à l’élimination de la bilirubine. Par conséquent, le risque d’ictère est diminué (Camus, 2017, p. 27; Marieb & Hoehn, 2015, p. 1284). Etant un lait très concentré, avec une valeur nutritive importante, le nouveau-né n’a besoin que d’une petite quantité de colostrum, à chaque tétée, pour répondre à ses besoins nutritionnels. Le colostrum représente environ 670 kilocalories par litre. Son volume s’adapte à la capacité de l’estomac du bébé et varie selon les mères. Par exemple, au 5ème jour, la capacité de l’estomac du petit sera de 45 à 55 ml et la quantité de colostrum excrétée sera de 600 ml environ contre 25 à 55 ml au premier jour (Camus, 2017, p. 27).Le lait de transition apparait à partir de la montée laiteuse jusqu’à quinze à 21 jours environ. Sa composition reste proche du colostrum mais il s’enrichit en glucides. Le lait mature après le lait de transition va évoluer et s’adapter, au fil des semaines et des mois, à la croissance de l’enfant pour répondre à ses besoins. Ce lait s’appauvrit en protéines mais les lipides et les glucides augmentent. Au cours de la tétée, la qualité du lait ne change. Il s’enrichit en graisses au moment de la vidange du sein (Camus, 2017, p. 28‑ 29).
Les moyens et conditions d’un allaitement réussi
Afin de réussir et d’apprécier ce moment qu’offre l’allaitement entre une mère et son enfant, il est important de connaître certaines conditions et quelques conseils. Leloux (2015) en donne quelques-uns. Comme par exemple, proposer le sein à l’éveil et non aux pleurs pour favoriser la détente, la bonne prise du sein et limiter l’usage de la tétine. Des connaissances pertinentes et une installation adéquate contribuent au bon déroulement de l’allaitement et préviennent les complications (Camus, 2017, p. 47; Leloux, 2015, p. 114‑ 115). En effet, Leloux (2015) et Camus (2017) confirment qu’adopter des positions confortables, dans un environnement calme, assurent la production adéquate et une extraction de lait efficace. Plusieurs positions présentées en annexe IV existent. L’important est que le corps de la maman et celui de son bébé soient soutenus pour éviter les tensions. L’utilisation de coussins, d’une serviette roulée ou d’un coussin d’allaitement peuvent être utiles (Camus, 2017, p. 47). Varier les positions est une condition également importante afin de prévenir les douleurs et les lésions mammaires. La mise au sein est possible grâce aux réflexes archaïques du bébé (réflexes de fouissement et des quatre points cardinaux). Le bébé ouvre instinctivement la bouche lorsqu’il est stimulé par le toucher. La maman doit amener son bébé au sein et non l’inverse afin de réduire le risque de douleurs au niveau du mamelon, du dos et des épaules. La position du bébé est essentielle. Il ne doit pas avoir besoin de tourner la tête car cela rend la déglutition difficile. La prise en bouche du sein est adéquate lorsque le bébé a la tête légèrement défléchie, la bouche grande ouverte, les lèvres inférieures et supérieures retroussées sur le sein en recouvrant une grande partie de l’aréole. Son menton touche le sein en premier et son nez est dégagé (Camus, 2017, p. 51). La durée des tétées varie d’un bébé à un autre mais dure en général de 10 à 45 minutes. Par rapport au nombre de tétées par 24 h, le nourrisson va se réguler lui-même selon ses besoins (Camus, 2017, p. 68‑ 72).Leloux (2015) affirme que « Plus le bébé tète, plus le lait est fabriqué. Plus le sein est vidé, plus il se remplit rapidement » (p.112). Il paraît difficile de savoir si l’enfant tète efficacement. Cependant, Camus (2017) explique les signes d’une tétée efficace à observer. Des déglutitions audibles et visibles, les joues de l’enfant plutôt arrondies et non creuses et l’apaisement du bébé sont des exemples (p.62).
Les difficultés
L’allaitement, malgré tous ces avantages, peut devenir un acte douloureux et compliqué. C’est pourquoi, il semble important d’informer les jeunes mères des complications possibles et surtout des astuces et moyens à adopter dès le début. Les principales difficultés qu’une mère peut rencontrer sont celles liées à son état psychologique, à la production de lait et à l’état de ses seins (Camus, 2017; Marcellin & Chantry, 2015).Au niveau psychologique, comme le souligne Camus (2017), le bouleversement hormonal ainsi que la fatigue dûe à l’accouchement et aux fréquents réveils peuvent décourager la mère dans la poursuite de l’allaitement. Cet auteur affirme qu’essayer de dormir au rythme du bébé, faire la sieste, limiter les visites et se faire aider permettent d’y remédier (p.96).Concernant les difficultés liées à la production de lait, les mères peuvent être confrontées à une insuffisance ou un excès de lait. Pour stimuler la production de lait, Marcellin et Chantry (2015) expliquent dans leur revue que le bas niveau de preuves scientifiques ne permet pas de recommander l’utilisation d’un tire-lait, d’un traitement par ocytocine ainsi que de boire des boissons galactogènes à base de plantes. La consommation de bière avec ou sans alcool n’est pas recommandée (p. 6-7). Selon Camus (2017), différentes mesures peuvent pallier à ce problème. Ces moyens sont : allaiter à la demande, assurer une bonne position du bébé, augmenter la fréquence et la durée des tétées, stimuler les deux seins à chaque tétée, se reposer car le stress agit sur la lactation, utiliser des tisanes d’allaitement et éviter les tétines. Dans le cas contraire, un excès de lait peut entraîner un engorgement mammaire. Pour pallier à ce problème, le tire-lait peut être un bon moyen pour conserver le lait et le donner au bébé ou dans un lactarium (p.97).L’engorgement, la mastite, l’abcès, les mamelons douloureux avec ou sans lésions et la mycose du sein sont des désagréments pouvant apparaître au cours de l’allaitement. Lors de la montée laiteuse, deux à trois jours après l’accouchement, les seins se remplissent de lait. Par conséquent, leur taille et leur poids augmentent et présentent un gonflement, un œdème diffus, une chaleur et une rougeur cutanée. L’œdème entraîne une compression des canaux galactophores conduisant à une éjection de lait compliquée. Ce phénomène, qu’on appelle engorgement, est physiologique et se produit en général entre le deuxième et le quatrième jour mais peut se manifester également plus tard. Cependant, celui-ci peut être une source d’inconfort et de douleurs. S’il n’est pas traité ou limité, une mastite peut se développer et compromettre l’allaitement. La prévention et des soins adaptés paraissent donc essentiels (Camus, 2017; Marcellin & Chantry, 2015). Marcellin et Chantry (2015) ainsi que Camus (2017) soulignent l’intérêt de la prévention de ce problème. Ils mettent en avant l’importance des tétées fréquentes et efficaces, à la demande, sans limitation ainsi que l’extraction du lait manuellement ou à l’aide d’un tire-lait. Comme le dit Camus (2017), une douche chaude ou des massages dilatent les canaux galactophores et permettent un écoulement du lait plus facile. L’application de cataplasmes froids sur les seins comme des compresses froides ou des feuilles de choux refroidies permettent de diminuer l’inflammation et les douleurs (p.99). Toutefois, Marcellin et Chantry (2015) affirment qu’aucune étude n’a prouvé les bénéfices de ces traitements topiques (p.1089).La mastite est une réaction inflammatoire des vaisseaux lymphatiques avec ou sans infection. Elle se manifeste par une douleur au sein, une tension mammaire, un œdème unilatéral, une chaleur et une rougeur locale (Marcellin & Chantry, 2015, p. 1089). Une mastite peut se manifester suite à un engorgement, des infections ou une compression locale. Elle peut également être due à un mauvais drainage du sein lui-même causé par des douleurs, des mauvaises positions et des succions non-adéquates du bébé. Les moyens de prévention pour cette complication sont cités ci-après. Une hygiène correcte,des tétées sans limitation de fréquence et de durée avec une bonne prise de sein et un soutien-gorge adapté (Camus, 2017, p. 102‑ 103). En présence de fièvre et d’inflammation, des anti-inflammatoire (AINS) sont prescrits. Si le problème persiste au-delà de 24/48h, une antibiothérapie est nécessaire. Cependant dans leur revue, Marcellin et Chantry (2015) affirment qu’aucune étude n’a prouvé les bénéfices des AINS sur la mastite (p.1089).Lorsqu’une mastite n’est pas traitée, un abcès peut apparaître. Une douleur localisée intense avec présence d’une masse palpable, dure et sensible, de la fièvre avec parfois du pus dans le lait, sont les signes d’un abcès. Le traitement consiste en la prise d’antalgiques, d’antibiotiques et un drainage du pus. L’allaitement doit être interrompu temporairement du côté affecté (Camus, 2017; Marcellin & Chantry, 2015).Les douleurs aux mamelons peuvent être évitées en adoptant et en variant les positions d’allaitement. Des lésions peuvent se former à la surface de l’aréole et du mamelon. Cellesci, appelées crevasses, sont causées par des positions inadaptées et/ou une mauvaise prise du sein. Des pommades type Lanoline, l’application du lait maternel sur les bouts du sein, ne pas comprimer le sein, retirer le sein de la bouche sans tirer dessus sont des exemples de moyens de prévention (Camus, 2017, p. 111‑ 114).Les mycoses sont induites par une macération, un manque d’hygiène, certains traitements ou par contagion via le bébé. Ces infections fongiques responsables de démangeaisons et de picotements peuvent être prévenues par une hygiène adéquate et en évitant au maximum toute macération (Camus, 2017, p. 118).
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Table des matières
1 Introduction
1.1 Problématique
1.2 Question de recherche
1.3 But de la recherche
2 Cadre théorique
2.1 L’allaitement maternel
2.1.1 Les bienfaits et les avantages
2.1.2 Physiologie de la lactation
2.1.3 Composition du lait maternel
2.1.4 Les moyens et conditions d’un allaitement réussi
2.2 Les difficultés
2.2.1 Les accessoires de l’allaitement
2.3 Le concept d’attachement
2.3.1 Création de l’attachement en lien avec l’allaitement
2.3.2 Le rôle du père
2.4 L’accompagnement des professionnels de la santé
3 Méthode
3.1 Devis de recherche
3.2 Collecte des données
3.3 Sélection des données
3.4 Analyse des données
4 Résultats
4.1 Description de l’étude 1
4.1.1 Validité méthodologique
4.1.2 Pertinence clinique et utilité pour la pratique professionnelle
4.2 Description de l’étude 2
4.2.1 Validité méthodologique
4.2.2 Pertinence clinique et utilité pour la pratique professionnelle
4.3 Description de l’étude 3
4.3.1 Validité méthodologique
4.3.2 Pertinence clinique et utilité pour la pratique professionnelle
4.4 Description de l’étude 4
4.4.1 Validité méthodologique
4.4.2 Pertinence clinique et utilité pour la pratique professionnelle
4.5 Description de l’étude 5
4.5.1 Validité méthodologique
4.5.2 Pertinence clinique et utilité pour la pratique professionnelle
4.6 Description de l’étude 6
4.6.1 Validité méthodologique
4.6.2 Pertinence clinique et utilité pour la pratique professionnelle
4.7 Synthèse des principaux résultats
4.8 Discussion
4.8.1 Discussion des résultats
4.8.2 Discussion de la qualité et de la crédibilité des évidences
4.9 Limites et critiques de la revue de la littérature
5 Conclusions
5.1 Propositions pour la pratique
5.2 Propositions pour la formation
5.3 Propositions pour la recherche
6 Références bibliographiques
7 Annexes
I. Glossaire méthodologique
II. Tableaux de recension des études
III. Pyramides des preuves
IV. Les diverses positions de l’allaitement
V. Les dix conditions pour obtenir le label IHAB
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