LES MODIFICATIONS PHYSIOLOGIQUES INDUITES PAR LA GROSSESSE

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Les oligoéléments

Les oligoéléments sont des éléments nécessaires mais présent à l’état de traces dans le corps humain de l’ordre du mg jusqu’au µg. Bien que présent à des quantités très limitées, les oligoéléments jouent un rôle fondamental dans la cellule. Leur action principale est de catalyser les innombrables réactions chimiques qui ont lieu dans la cellule au côté des enzymes. En effet, la catalyse enzymatique nécessite souvent une liaison entre l’enzyme et l’oligoélément pour avoir lieu. On retrouve notamment le fer, l’iode, le sélénium, le zinc ….

Le fer

Rôles biologiques :
Dans l’organisme, le fer possède plusieurs fonctions comme le transport de l’oxygène en participant à la constitution de l’hème au sein de l’hémoglobine (protéine des globules rouges) et de la myoglobine (protéine musculaire). (70% du fer)
Le fer est à 30% lié à la ferritine dans les organes de stockage (foie, rate, moelle osseuse et muqueuse digestive.)
Le fer est aussi intégré à la structure de certaines enzymes comme co-substrat (cytochromes, catalases, peroxydases) qui permet la production d’énergie en assurant le transfert des électrons dans la chaine respiratoire et permettant l’inactivation et l’élimination des radicaux libres par oxydoréduction.
Le fer est aussi utilisé comme transporteur d’électrons dans de nombreuses réactions d’oxydoréduction ce qui permet la synthèse des neuromédiateurs (catécholamines) et de l’ADN et le fonctionnement du système immunitaire. (0.5% du fer)
Risques d’un excès :
Une hypersidérémie se définit par une concentration en fer supérieure à 30 µmol/L (VR= 9 à 30 µmol/L). Un excès de fer peut entrainer de la fatigue, des douleurs abdominales et articulaires, des troubles cardiaques et des lésions organiques notamment au niveau du foie. Il faut noter aussi le pouvoir oxydant du fer s’il est présent en trop grande quantité dans notre corps. Une surcharge en fer peut avoir lieu en cas d’apport régulier et prolongé.
L’excès de fer est moins fréquent chez la femme du fait du cycle menstruel qui provoque des pertes de sang chaque mois.
Sources alimentaires et propriétés physico-chimiques :
Dans l’alimentation, le fer est apporté sous forme héminique (Fe2+) par la consommation de viande et sous forme non héminique (Fe3+) par la consommation de végétaux. Les aliments les plus riches en fer sont les abats, le foie, le boudin, le jaune d’œuf, les céréales, les fruits et légumes secs.
L’absorption du fer est différente selon son origine ainsi le fer des aliments d’origine animal est 2.5 fois plus assimilé que le fer d’origine végétale. L’absorption du fer peut être augmentée par la consommation simultanée d’aliments riches en vitamine C mais à l’inverse, elle peut être réduite par la consommation simultanée de thé, de café et de calcium.
Le fer se retrouve quasi exclusivement sous forme liée mais aussi sous forme libre et ionisée dans notre corps.4,5,7–9

L’iode

Rôles biologiques :
La seule fonction connue de l’iode est son rôle dans la synthèse des hormones thyroïdiennes (T3 et T4). Ces dernières font partie du système endocrinien qui de ce fait participe à l’homéostasie de notre corps. En effet, pour maintenir les constantes biologiques stables face à diverses situations physiologiques, les systèmes endocriniens s’adaptent en régulant le taux d’hormones dans notre corps. Pour les hormones thyroïdiennes, il s’agit de l’axe hypothalamo-hypophysaire qui régit leur synthèse.
Les hormones thyroïdiennes jouent donc un rôle très important dans le métabolisme cellulaire et participent au fonctionnement du système nerveux, du cœur, des muscles, des organes génitaux, de la peau et du système digestif.
La sécrétion de ces hormones commence dès le début de la vie du fœtus et participe aux fonctions vitales de l’organisme, notamment au développement et à la croissance du cerveau chez le fœtus et le nouveau-né.
Risques d’un excès :
L’hyperiodémie correspond à une concentration d’iode supérieure à 80 μg/L (VR = 34 à 80 μg/L). Un apport excessif d’iode peut provoquer une hyperthyroïdie ou, paradoxalement, une hypothyroïdie (par rétrocontrôle négatif sur l’axe hypotalamo-hypophysaire) dont les symptômes sont propres à chacune de ces pathologies. Une consommation trop importante d’iode peut aussi entraîner de l’iodisme, une intoxication qui provoque des symptômes tels que des larmoiements, des troubles cutanés et cardiaques voire des œdèmes.
Sources alimentaires et propriétés physico-chimiques :
Les aliments les plus riches en iode sont les poissons et les fruits de mer et certains légumes (ail, haricots, oignons…).
L’iode est absorbé sous forme d’iodure et distribué par le sang sous forme libre pour être capté par transport actif par la thyroïde. A ce stade, les iodures sont oxydés en iode pourrentrer dans la composition des hormones thyroïdiennes. 4,5,7–9

Le sélénium

Rôles biologiques :
Le sélénium est un constituant indispensable de certaines enzymes anti-oxydantes comme le glutathion peroxydase participant ainsi à la lutte contre les radicaux libres. Il a également un effet stimulant sur l’immunité et contribue donc d’une manière générale aux réactions de défense de l’organisme. Les rôles du sélénium ne sont pas encore entièrement élucidés à ce jour.
Risques d’un excès :
Un excès de sélénium correspond à une valeur sanguine supérieure à 120 μg/L (VR = 60 à 120 μg/L) et n’apparait que si la consommation de sélénium dépasse très largement les recommandations (10 fois plus). Bien que rare, un surdosage en sélénium peut provoquer des troubles digestifs (nausées/vomissement), une fatigue associée à une perte de poids, une fragilité des ongles et une perte de cheveux.
Sources alimentaires et propriétés physico-chimiques :
Les aliments les plus riches en sélénium sont les céréales complètes, les viandes, les volailles et les poissons. Le taux de sélénium des céréales varie en fonction de leur provenance (lié à la richesse du sol).
Le sélénium se trouve principalement sous forme liée aux protéines de stockage dans les muscles, le cortex rénal et les cellules sanguines et sous forme circulante liée aux acides aminés soufrés et à une sélénoprotéine dans le plasma. 5,7,8

Le zinc

Rôles biologiques :
Le zinc possède un rôle structural, régulateur ou catalytique d’un grand nombre d’enzymes dans notre organisme. En effet, le zinc intervient dans l’activité de plus de 200 enzymes comme co-substrat. Le zinc stabilise la conformation spatiale des protéines, stimule l’expression des gènes et active certaines enzymes de toutes les classes (oxydoréductases, transférases, hydrolases, lyases).
Le zinc se lie à des enzymes anti-oxydantes qui provoquent l’inactivation et l’élimination des radicaux libres de notre corps.
Le zinc joue un rôle de régulateur de gènes en permettant l’activation des récepteurs nucléaires hormonaux et l’expression des gènes. Le zinc intervient dans de nombreuses fonctions physiologiques d’où son importance dans les phénomènes de renouvellement cellulaire, de cicatrisation et d’immunité, de spermatogenèse…
Risques d’un excès :
L’hyperzincémie est définie par une concentration en zinc supérieure à 1440 μg/L (VR = 590 à 1440 μg/L). L’excès de zinc dans l’organisme peut provoquer des difficultés à la marche, des troubles de l’élocution, des tremblements, des nausées et vomissements. Il entraine aussi une réduction des lipoprotéines de haute densité (HDL) et une diminution de l’absorption du cuivre. Pour atteindre cette toxicité, il faut une ingestion environ 10 fois supérieure aux recommandations.
Sources alimentaires et propriétés physico-chimiques :
Les aliments les plus riches en zinc sont les aliments d’origine animale : viandes, abats, poissons, coquillages, jaune d’œuf, volailles.
Le zinc se trouve dans le compartiment intracellulaire (99%) sous forme liée aux protéines de stockage (os, muscle, foie, peau, prostate) et sous forme liée aux protéines de transport ou sous forme libre ionisée dans le plasma. 4,5,7–9

Les vitamines

Les vitamines sont des éléments organiques à faible poids moléculaire, sans valeur énergétique propre mais indispensables à la vie car impliquées dans de nombreuses fonctions physiologiques. A l’exception de la vitamine D et K, les vitamines ne sont pas synthétisées par l’homme et se trouvent donc assimilées via l’alimentation.
Treize familles de vitamines ont été définies et classées en 2 catégories : les vitamines hydrosolubles et les vitamines liposolubles.

Les vitamines hydrosolubles

Les vitamines hydrosolubles sont les vitamines du groupe B (B1, B2, B3 ou PP, B5, B6, B8, B9 et B12) et C. Celles-ci sont solubles dans l’eau et se trouvent donc dispersées dans 15 les liquides du corps. Par conséquent, elles sont peu stockées par l’organisme et sont éliminées par les urines si surdosage ce qui les rend très peu toxiques. Elles sont en majorité apportées par les fruits et légumes qui sont gorgées d’eau (agrumes, choux, kiwi…)

Les vitamines du groupe B

D’une manière générale, les vitamines du groupe B fonctionnent sous leur forme active comme cofacteurs de différentes enzymes qui régulent le métabolisme des glucides, des graisses et des protéines.

La vitamine B1 = thiamine

Rôles biologiques :
La vitamine B1 joue un rôle important sur le métabolisme et l’assimilation des nutriments. Elle est nécessaire au métabolisme des glucides, des lipides et des protéines en intervenant notamment dans le cycle de Krebs, voie métabolique qui assure la production de substrats énergétiques indispensables au fonctionnement cellulaire. En effet, la thiamine pyrophosphate (TPP) est une coenzyme dérivée de la thiamine, indispensable au cycle de Krebs.
Elle intervient également dans la transmission de l’influx nerveux. Elle possède des propriétés apéritives. Elle est indispensable à l’oxydation de l’alcool. Elle favorise un bon fonctionnement musculaire et cardiaque.
Sources alimentaires :
Cette vitamine n’étant pas synthétisée par le corps, elle doit être apportée par notre alimentation. Elle est principalement présente dans les végétaux comme les céréales complètes, les légumes, les graines mais aussi certaines viandes et poissons. 10–13

La vitamine B2 = riboflavine

Rôles biologiques :
La vitamine B2 joue un rôle dans la production d’énergie de l’organisme puisqu’on la retrouve sous forme de cofacteurs favorisant le transfert d’électrons et d’hydrogène au cours des réactions d’oxydoréduction au niveau de la chaine respiratoire. Elle permet aussi d’activer certaines enzymes (déshydrogénases) impliquées dans la dégradation et l’utilisation des glucides, des acides aminés et des acides gras. C’est une vitamine anti-oxydante permettant de régénérer le glutathion.
Cette vitamine joue un rôle important pour la protection et le maintien de la vision, des muqueuses et des tissus inhérents à l’œil chez l’homme. Elle intervient dans la santé de la peau, des cheveux (élasticité de la kératine) et des ongles. Elle permet l’activation de la vitamine B6 et la synthèse de la vitamine PP à partir du tryptophane.
Sources alimentaires :
Pour satisfaire les besoins de l’organisme, cette vitamine doit être apportée par notre alimentation. On la retrouve dans de nombreux aliments d’origine végétale (céréales, fruits secs, légumes…) et d’origine animale (viande, œuf, poisson…) 5,7,8,14

La vitamine B3 = vitamine PP = acide nicotinique

Rôles biologiques :
La vitamine B3 joue un rôle important dans le métabolisme énergétique en participant à la dégradation des lipides, glucides et protéines. En effet, la vitamine B3 est transformée en 2 coenzymes actifs de nombreuses déshydrogénases : le NAD (Nicotinamide Adénine Di nucléotide) et le NADP (Nicotinamide Adénine Di nucléotide Phosphate) qui interviennent dans de grandes réactions métaboliques comme la glycolyse, le cycle de Krebs … qui permettent la production d’énergie de notre corps. La vitamine B3 est impliquée dans le métabolisme de certains acides aminés nécessaire à la production de certains neurotransmetteurs (dopamine, noradrénaline, sérotonine). Elle intervient dans l’intégrité de la peau et des muqueuses en stimulant la synthèse de kératine.
Sources alimentaires :
Une petite partie de la vitamine B3 peut-être synthétisée directement par l’homme à partir du tryptophane. Cette synthèse ne recouvre pas ses besoins donc il est nécessaire de l’apporter via l’alimentation. La vitamine PP se retrouve donc principalement dans les céréales, la volaille, le lait et les œufs, les légumes et les fruits frais. 5,7,8,14

La vitamine C = acide ascorbique

Rôles biologiques :
La vitamine C permet par son action anti-oxydante de lutter contre le vieillissement cellulaire. Elle intervient dans le renouvellement de la vitamine E, principal antioxydant de notre organisme. Elle participe également au renforcement de notre système immunitaire en stimulant nos défenses lors d’attaques microbiennes (synthèse d’anticorps et prolifération des globules blancs). La vitamine C est la vitamine la plus réputée pour son action stimulante et tonifiante. Elle posséderait également des actions anti-inflammatoires en prévenant la formation d’histamine, composé impliqué dans les réactions inflammatoires.
La qualité du sperme et le nombre des spermatozoïdes sont également dépendants de cette vitamine mais elle favorise aussi le développement des follicules et du corps jaune des ovaires et stimule la sécrétion d’hormones corticostéroïdes.
La vitamine C transforme les métaux lourds, les substances cancérigènes (pesticides, dioxyde de carbone, tabac…) en substances plus facilement éliminables par l’organisme.
La vitamine C participe à l’assimilation et à la fixation du calcium nécessaire à la croissance des os et à leur maintien. Elle favorise l’absorption du fer en le réduisant permettant une meilleure absorption de celui-ci.
Elle intervient également dans la synthèse de certaines hormones, elle favorise la synthèse de collagène et est indispensable pour la réparation des tissus (peau, cartilage, os, dents et muscles).
Sources alimentaires :
La vitamine C doit être apportée par l’alimentation puisqu’elle n’est ni synthétisée ni stockée par l’organisme. C’est une vitamine que l’on retrouve couramment dans notre alimentation notamment dans les fruits comme les agrumes et le kiwi. Cependant, la vitamine C est la plus fragile de toutes les vitamines donc elle est facilement détruite. Les aliments doivent être consommés frais et crus de préférence pour garder leur teneur maximale en vitamine C. 5,7,8,14,16

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Table des matières

INTRODUCTION
I. QU’EST-CE QUE LA MICRONUTRITION ?
A. LA DEFINITION DE LA MICRONUTRITION
B. LES MINERAUX
1. Les macroéléments
a. Le calcium
b. Le magnésium
c. Le phosphore
d. Le potassium
e. Le sodium
2. Les oligoéléments
a. Le fer
b. L’iode
c. Le sélénium
d. Le zinc
C. LES VITAMINES
1. Les vitamines hydrosolubles
a. Les vitamines du groupe B
i. La vitamine B1 = thiamine
ii. La vitamine B2 = riboflavine
iii. La vitamine B3 = vitamine PP = acide nicotinique
iv. La vitamine B5 = acide pantothénique
v. La vitamine B6 = pyridoxine
vi. La vitamine B8 = biotine
vii. La vitamine B9 = acide folique
viii. La vitamine B12 = cyanocobalamine
b. La vitamine C = acide ascorbique
2. Les vitamines liposolubles
a. La vitamine A = rétinol
b. La vitamine D = calciférol
c. La vitamine E = tocophérols
d. La vitamine K = phylloquinone
D. LES OMEGAS
1. Les acides gras oméga-3
2. Les acides gras oméga-6
E. LES PROBIOTIQUES ET LES PREBIOTIQUES
II. LES MODIFICATIONS PHYSIOLOGIQUES INDUITES PAR LA GROSSESSE
A. LES GRANDES ETAPES DE LA GROSSESSE
1. Les modifications physiologiques de la femme enceinte
a. Les modifications générales
b. Les modifications endocriniennes
c. Les modifications cardio-vasculaires et hémodynamiques
d. Les modifications respiratoires
e. Les modifications hématologiques
i. La volémie
ii. L’érythropoïèse et la numération de la formule sanguine
iii. L’hémostase
f. Les modifications rénales
g. Les modifications digestives
h. Les autres modifications
2. Le développement de la vie
a. La période embryonnaire
i. La période pré-embryonnaire
ii. La période embryonnaire
b. La période fœtale
3. Les complications de la grossesse
a. L’avortement spontané = fausse couche spontanée
b. L’hypertension artérielle gravidique et ses complications
c. La prématurité
d. Le retard de croissance intra-utérin
B. LES GROSSESSES PARTICULIERES
1. La grossesse durant l’adolescence
2. La grossesse multiple
3. La grossesse rapprochée
4. La grossesse végétarienne et végétalienne
5. La grossesse avec comportement à risques
a. L’alcoolisme
b. La toxicomanie
III. LA MICRONUTRITION EN ACCOMPAGNEMENT DE LA GROSSESSE
A. LES MICRONUTRIMENTS NECESSAIRES AU DEVELOPPEMENT FŒTAL
1. L’intérêt des vitamines
a. Les vitamines du groupe B
i. Les folates
ii. Les autres vitamines du groupe B
b. La vitamine C
c. La vitamine A
d. La vitamine D
e. La vitamine E
f. La vitamine K
2. L’intérêt des minéraux
a. Le calcium et le phosphore
b. Le magnésium
c. Le sodium et le potassium
d. Le fer
e. L’iode
f. Le sélénium
g. Le zinc
3. L’intérêt des acides gras
4. L’intérêt des probiotiques
B. LES MICRONUTRIMENTS, ALLIES DE LA FEMME AU COURS DE LA GROSSESSE
1. L’amélioration de la fertilité
a. Les folates
b. Le zinc
c. Les vitamines anti-oxydantes
2. La constitution des réserves de la mère
a. L’acide folique
b. Les acides gras oméga-3
3. La résolution de quelques maux de la grossesse
a. Les nausées et la vitamine B6
b. Les crampes et le magnésium
c. Les infections uro-génitales et les probiotiques
C. LES MICRONUTRIMENTS DES LA NAISSANCE
1. Les micronutriments indispensables
a. La vitamine D
b. La vitamine K
2. Les micronutriments pour combattre les maux de l’enfant
a. Les probiotiques
i. Les coliques du nourrisson
ii. Les diarrhées du nourrisson
iii. La dermatite atopique
b. Les oméga-3 et -6
i. Le développement cérébral de l’enfant
ii. La dermatite atopique
D. LA QUALITE MICRONUTRITIONNELLE DES ALIMENTS CONSOMMES PAR LES FEMMES ENCEINTES
1. La stabilité des micronutriments
a. Les vitamines
b. Les minéraux
c. Les oméga-3 et -6
d. Les probiotiques
2. La pauvreté micronutritionnelle de nos aliments
a. Les pertes micronutritionnelles liées aux méthodes de culture
b. Les pertes micronutritionnelles liées aux procédés industriels utilisés par l’agro-alimentaire
i. Les méthodes de conservation
ii. Le raffinage des aliments
3. L’évolution du mode de vie des femmes occidentales
CONCLUSION
LISTE DES ABREVIATIONS
BIBLIOGRAPHIE

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