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Caractéristiques de la région d’implantation
Localisation géographique
Le site se trouve dans la région d’Analamanga, il appartient à la sous-préfecture d’Anjozorobe et à la commune rurale de Betatao, vil lage de Betatao. Il se situe à 118km de la capitale suivant la RN3. Il est rattaché à la responsabilité du service Eaux et Forêts d’Anjozorobe. La commune rurale de Betatao se trouve au nord, et au sud, la commune rurale d’Andreba. Il y a aussi des petits villages qui l’e ntourent.
Le district d’implantation a une superficie de 4 292km2. En 2001, son effectif présente 50% de la population d’Imerina centrale, ou 145 410 populations résidentes.
La végétation
Pour la couverture végétale, il est caractérisé parla dominance de la savane dont certaines parties sont boisées.
La géologie
Sur le plan géologique, le sol est composé de granites et migmatites, néogène et lacustre, de sols ferralitiques jaunes et rouges et des roches volcaniques.
Pour le climat, la précipitation annuelle de pluviométrie est de 80 mm à 160 mm, la température moyenne annuelle est de 20°C.
L’activité économique
Les habitants ont pour activité principale l’élevag et l’agriculture. Mais certaines familles assument des activités secondaires comme la maçonnerie et l’artisanat.
Caractéristiques du projet
La dénomination
La gestion et l’aménagement des forêts sont décentralisés à une communauté dénommée « ASAVOARY ».
« ASA » traduit des actions d’aménagement à un lieu mérite d’être surveillé, aménagé et « VOARY » traduit le calme et source de richesse naturelle durable. C’est une forêt sous la responsabilité du service Eaux et Forêt Anjozorobet dans la commune de Betatao.
Cette communauté est considéré comme une entreprisede type éco-social pour la classification juridique. Elle opère dans le secteur primaire.
Le règlement intérieur
On l’appelle aussi : « dina ». Il sert à régir la vie de la communauté, c’est l’ensemble des disciplines et des règles décidées lors de l’Assemblée Générale. Chaque communauté qui veut exercer l’activité de gestion et de protection des RNR doit avoir son propre règlement intérieur pour assurer le bon accomplissement des tâches de chaque membre et pour officialiser sa constitution.
Le règlement intérieur ou dina doit être conformeuamodèle structuré dans la loi 96-025 relative à la protection des RNR (annexe III). La structure de gestion, les ressources financières, les conditions d’adhésion et la division des différentes responsabilités doivent être décrites dans ce dina pour éviter des différends entre les membres. Bref, cet ensemble de textes est donc la base de la constitution de la communauté.
Les détails de ces textes législatifs et institutionnels seront présentés dans l’annexe III.
Cet aménagement est pris parmi la réalisation du PEII. Le but à mettre en œuvre c’est la participation des habitants riverains à la gesti on et à la protection des RNR. Comme on l’a déjà indiqué, ces habitants ont besoin d’une source de revenu qui leur permet la bonne surveillance de la forêt devenue sous leur responsabilité.
ETUDE DE MARCHE
L’étude de marché consiste à identifier les marchéspour les biens et services, identifier les besoins présents et futurs de ces marchés, guider le développement des produits de façon à remplir ces besoins en ces bien s et services avec profit, de livrer, vendre ces produits aux consommateurs dans la meilleure condition pour tous.
Description du marché
Généralité sur le marché
Généralement, le marché est le lieu de rencontre del’offre et de la demande. Sur le marché, il y a la présence des acteurs et des agents économiques procédant à des échanges liés à des produits : l’économiste, le consommateur, l’entreprise, etc. Si on considère l’ensemble des avis de ces entités concernées, le marché est un système d’agents économiques qui cherchent à atteindre leurs objectifs propres en liaison avec un produit. Pour qu’il y ait un marché, il faut ces quatre éléments :
• Un besoin clairement défini ;
• Une demande qui soit prête à payer un produit poursatisfaire un besoin ressenti ;
• Une offre qui propose un produit répondant plus oumoins au besoin exprimé ;
• Un prix correspondant à la valeur d’échange expriméen unité monétaire. Autrement, dit le marché n’existe que par la présence simultanée :
• Du client solvable et motivé ;
• Des fournisseurs présentant leurs produits au lieu et au moment voulus, en quantité et en qualité voulues par le client ;
• Un lieur pour l’échange.
Le marché intérieur
Le marché intérieur est composé du marché du district d’Anjozorobe et celui d’Antananarivo.
Pour les villages environnants du site, on peut dire que le marché est encore large surtout pour le miel. La filière apicole n’est pas connue là-bas ; il n’y existe pas encore des puissants apiculteurs. Seuls, des gens pouvant chasser et cueillir dans le reste de la forêt non exploitée et non brûlée se partagent la petite quantité de miel récoltée et ils la vendent sur le marché à un prix exorbitant. La concurrence semble donc êtrefaible dans ce district. Ce marché nous présente donc un large créneau ; on prévoit d’installer un magasin de vente dans la commune de rattachement.
Quant au marché d’Antananarivo, on a aussi une large potentialité. En fait, la production provenant des cinq centres de traitement de miel (Toamasina, Manjakandrina, Mania, Fenerive Est, Fandrina Nord) ne suffit pas. Avant de définir la politique de distribution, on va schématiser le circuit de distribution de la cire et du miel sur le marché d’Antananarivo.
La commercialisation de la cire prend le circuit semi-court car d’après le schéma ci-dessus, la production brute provenant de son origine n’est pas encore prête à l’utilisation. Elle a besoin d’une transformation pour servir à des différentes utilisés. On a prévu que les transformateurs sont les principaux clients de ce projet.
Le circuit long aussi sera choisi aussi bien pour le miel comme pour la cire, car nos cibles seront composées de grossistes, de collecteurs fournisseurs des transformateurs comme l’industrie agro-alimentaire, l’homéo pharma ; il y a aussi les restaurateurs, les pâtissiers pour le miel, et les grossistes, les détaillants, les sociétés fabricant des produits cosmétiques, des produits encaustiques pour la cire.
Le marché extérieur
Si on parle tout simplement de la demande des autres pays importateurs de miel comme les pays Arabes, les îles de la Commissions de l’Oc éan Indien (COI), elle est forte. Madagascar peut y accéder, malgré cela, ces pays semblent trop exigeant en qualité et en conditionnement que la grande île va atteindre difficilement. En plus, la production apicole nationale s’affaiblit petit à petit à cause du défr ichement irréversible des forêts. Dans sa totalité donc, l’exportation de miel et de la cire devra être réorganisée.
Par conséquent, l’exportation directe n’est pas encore prévue pour ce projet. Cependant, on pourra participer indirectement à cette exportat ion par l’intermédiaire des divers grossistes comme : l’entreprise MIELY Ambodifilao, l’ABEILLE, entreprise individuelle d’Antananarivo, et les autres qui sont des distributeurs locaux et exportateurs.
Analyse de l’offre et de la demande
A partir de cette analyse, le promoteur arrive à co nnaître si le projet lui donne une rentabilité au niveau du besoin des consommateurs du produit. Ce produit peut être lancé lors des études techniques et marketing, même si l’offresur le marché se montre supérieur à la demande, mais la connaissance de l’offre et de la demande sur un marché à s’adhérer serait un atout et un avantage par rapport aux éventuels concurrents.
Analyse de l’offre
Par définition, l’offre est la quantité et la qualité offertes sur le marché de biens ou de services.
Pour le district d’Anjozorobe, la production apicole reste encore mal connue. On peut penser que les habitants ne considèrent pas cette filière comme lucrative, alors, un village comptant d’une cinquantaine de ménages, n’a qu’un apiculteur avec deux ou trois ruches et un rendement de 10 kg de miel par ruche par an.
Si on parle de la cire, la plupart de la population ne connaît même pas son utilité ; il est donc difficile de définir la quantité produite en cire ansd cette région. Il semble que la production n’est pas faite pour la vente, mais pour la consommation familiale.
Quant à l’offre nationale, le tableau ci-après va m ontrer la quantité produite des ruches à caractère formel de Madagascar.
Sur le plan international, comme nous l’avons indiqué plus récemment, Madagascar était le premier fournisseur mondial en miel et en cire. En l’année 1929, la grande île avait produit 90.000 tonnes de miels liquides en 1096 tonnes de cires. Ces produits étaient exportés vers la France, le pays hollandais, la RFA et les îles voisines comme la Réunion, les Comores. Pourtant, en 2001, la production n’est que 25,28 tonnes de miels et 48,08 tonnes de cires
L’analyse de l’offre doit permettre à l’entreprise de se situer par rapport à ses concurrents en termes de part de marché, de type de clientèle, de capacité de production, d’avance technologique, d’image et de politique de marketing : étude de la qualité par exemple.
Concernant cette qualité, à partir des études concernant les contraintes et les blocages exerçant sur la commercialisation et l’utilisation des produits apicoles, on peut définir les attentes des utilisateurs et consommateurs du produit ; on peut en tirer quelques leçons :
La date de livraison doit être étudiée et décidéear ples partis contractants de la vente. Le respect de cette date montre au client que son fournisseur est crédible
Les coordonnées sont aussi importantes pour un contrat de vente, surtout en présence d’une collaboration permanente
Concernant le prix : il faut bien étudier le rapport qualité-prix en tenant compte de l’environnement de la société (son concurrent, sesclients), et les autres différents contextes.
Analyse de la demande
A l’inverse de l’offre, la demande est la quantité que le consommateur veut pour la satisfaction de son besoin.
Comme le miel et la cire servent à des multiples ut ilités, ces produits paraissent très recherchés des villages environnants du site, surtout le miel. On l’utilise comme médicaments, pour traiter les légères blessures notamment chez les enfants, les plaies et surtout comme aliment. En sachant que le miel est trouvé rarement, la demande s’accroît de temps en temps. Il est donc difficile de mesurer la quantité demandée dans cette région, tout ce qu’on peut dire c’est que la production loc ale n’arrive jamais à couvrir la demande depuis la disparition des colonies d’abeilles sauvages du fait des feux de brousse et de l’exploitation des forêts.
Sur le marché national et international, la demande est très importante depuis des années.
Selon l’enquête, les non consommateurs relatifs ne représentent que 15 % de la population active, et parmi ces 15 %, le taux des non consommateurs est de 0 %.
La quantité ne suffit pas pour mesurer la demande, il faut aussi analyser la qualité. Pour ce fait, les utilisateurs du produit seront satisfaits si son fournisseur prend en considération de ces trois choses :
• La qualité du produit ;
• La qualité de l’emballage ;
• La régularité de l’approvisionnement.
Analyse de la concurrence
Elle est très importante pour la détermination de al place du produit par rapport à ses concurrents. Dans l’analyse concurrentielle, les produits de substitution doivent être pris en compte. Mais pour cette filière, après avoir analysé l’utilité et le contenu du miel et de la cire d’abeilles, ces produits ne peuvent pas être remplacés par d’autres produits.
Avant d’approfondir cette analyse, il faut tout d’a bord connaître les concurrents et leurs zones de production :
– Hauts plateaux : Manjakandrina, axe sud Ambositra et Fianarantsoa
– Côte Ouest : Befandrina Nord, Antsohihy, Mahajanga, Morondava
– Cote Est : Toamasina, Mania, Fénérive-Est.
– Un groupement de production de miel : union des groupements d’apiculteurs de Manakara (UGAM).
Parmi ces producteurs, selon les informations provenant du ministère de l’Elevage, le miel de Manjakandrina et celui de Mania sont considérés comme miel de qualité.
Forces et faiblesses des concurrents
Les forces
En prenant le cas de Manjakandrina et de Mania, comme déjà énoncé plus haut que leurs produits sont ceux de qualité, leur force est donc la qualité. L’analyse ne peut pas rester à la connaissance du point fort des concurre nts, mais on droit chercher les causes de ces forces ; d’où la question qui se pose : pourquoi le miel de cette région est un produit de quantité ? La réponse est :
Les producteurs ont la compétence et la capacité pour cette activité
Les matériels de production et d’extraction sont suffisants et modernes La température et le climat sont adaptés à l’élevag des abeilles
Les faiblesses
Pour Manjakandrina et Mania, la faiblesse est leur prix connu élevé. Pour les régions côtières, l’accès au marché d’Antananarivo semble difficile à cause du frais de transport, par conséquent, le prix va aussi augmenter.
L’analyse marketing mixe
Pour bien définir la situation concurrentielle, ilnous faut une analyse de la stratégie de 4P ou le marketing mixe. Comme son nom l’indique, la stratégie marketing mixe s’appuie sur le produit, le prix, le placement et la promotion, mais on doit aussi tenir compte de la force de vente.
Les produits
Dans cet œuvre, il s’agit d’une étude de marché de la production apicole, il n’y a pas de l’analyse du marché des produits forestières parce que la forêt en question n’est pas à but d’exploitation, elle est réservée pour atteindre lafinalité décrite plus haut et pour rendre meilleur la production de miel.
Le produit à étudier se divise donc en deux parties : le miel, et la cire.
Il y a trois types de stratégies qu’on peut appliquer sur un produit.
• La stratégie d’adaptation : c’est la mise en conformité des produits aux besoins des consommateurs et en fonction des produits de la concurrence ; c’est-à-dire qu’on joue le rôle de suiveur ;
• La stratégie de positionnement : c’est une stratégie qui consiste à donner une place au produit dans l’esprit des consommateurs par rapport aux concurrents ;
• Stratégie d’innovation : c’est de mettre en place des services de recherche et de développement pour créer ou modifier un produit (qualité, emballage, forme, service après vente). Cette dernière stratégie est appliquée pour les produits déjà existants.
On a choisi la stratégie de positionnement dans notre cas, car il s’agit ici le lancement d’une société nouvellement créée, en plus, notre nezo d’action n’est pas encore bien connu pour la production de miel, l’essentiel sera donc de faire mieux connaitre la société ainsi que son activité et ses produits.
Le prix
C’est l’un des facteurs significatifs du marché et de l’activité concurrentielle.
La fixation du prix est un élément déterminant dea lstratégie de l’entreprise. Le prix a des conséquences directes sur le volume de vente ou résultats commerciaux et sur la rentabilité ou résultat financier.
Sur le plan international, le prix du miel conforme aux normes des Etats-Unis est de 1,01 US la quantité de 200g (prix FOB ; dernière donnéeen 2002). Pour les normes européennes, le prix est fonction de la base mellifère : le miel de litchi, le 500g se monte à 5.000 ariary, le miel à base des fruits tropicaux e st de 3.600 ariary, et celui d’eucalyptus : 2.880 ariary. La cire brute varie entre 6.000 à 8.0 00 ariary.
Sur le plan national, voici le récapitulatif de la saisonnalité du miel sur le marché
d’Antananarivo.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I – PRESENTATION DU PROJET
Section 1. Historique du projet
1.1. Le programme national d’action environnementale
1-2. Le contrat de gestion à adopter : la GELOSE
1-3-1. Définition de la GELOSE
1-3-2. Brève historique de la GELOSE
Section 2. Caractéristiques de la région d’implantation
2-1. Localisation géographique
2-2. La végétation
2-3. La géologie
2-4. L’activité économique
Section 3. Caractéristiques du projet
3-1. La dénomination
3-2. Le règlement intérieur
CHAPITRE II – ETUDE DE MARCHE
Section 1. Description du marché
1-1. Généralité sur le marché
1-2. Le marché intérieur
1-3. Le marché extérieur
Section 2. Analyse de l’offre et de la demande
2-1. Analyse de l’offre
2-2. Analyse de la demande
3-1. Forces et faiblesses des concurrents
3-1-1. Les forces
3-1-2. Les faiblesses
3-2. L’analyse marketing mixe
3-2-1. Les produits
3-2-2. Le prix
3-2-3. Le positionnement du produit
3-2-4. La promotion
CHAPITRE III – THEORIES GENERALES SUR LES CRITERES D’EVALUATION
Section 1. L’évaluation du projet par les bénéficiaires
1-1. Evaluation par la COBA
1-2. Evaluation par le conseil communal
1-3. Evaluation par le chef de district
Section 2. Evaluation des impacts
2-1. Les impacts directs et indirects
2-2. Les impacts positifs et négatifs
2-3. Les impacts cumulés
2-1. La valeur actuelle nette (VAN)
2-2. Le taux interne de la rentabilité (TIR)
2-3. L’IP ou indice de profitabilité
2-4. Le délai de récupération du capital investi ou DRCI
PARTIE II CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I – TECHNIQUE DE PRODUCTION
Section 1. Les modes de repeuplement des ruches
1-1. L’achat
1-2. La capture
1-3. L’essaimage artificiel
1-4. Evaluation du choix
Section 2. Les besoins en facteur de production
2-1. Les matériels d’élevage
2-1-1. La ruche traditionnelle
2-1-2. La ruche moderne
2-1-3. L’évaluation du choix
2-2. Les matériels de récolte
2-3. Les matériels de traitement des produits
2-4. Le bâtiment
Section 3. Les mesures de réussite à l’apiculture
3-1. L’emplacement du rucher
3-2. L’aménagement du rucher
3-2-1. Le nettoyage
3-2-2. Entretien et exploitation
3-3. La récolte
CHAPITRE II – CAPACITE DE PRODUCTION ENVISAGEE
Section 1. Aspect qualitatif et quantitatif de la production
1-1. Aspect qualitatif
1-2. Aspect quantitatif
Section 2. Situation de production sur une période de cinq ans
Section 3. Evolution du chiffre d’affaires
CHAPITRE III – ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section 1. Organisation des moyens humains
1-1. L’organisation par fonction envisagé
1-3. Description des principales fonctions et tâches
Section 2. Gestion du moyen financier
2-1. Les ressources financières
2-2. Le résultat financier
Section 3. Le chronogramme d’activité
3-1. Schéma n° 4 – Processus de l’activité apicole
3-2. Calendrier de réalisation des activités
PARTIE III ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I – COUTS DES INVESTISSEMTNS ET COMPTES DE GESTION
Section 1. Coûts des investissements
1-1. Les immobilisations incorporelles
1-2. Les immobilisations corporelles
1-2-1. Le terrain
1-2-2. La construction
1-2-3. Les matériels et équipements de production
1-2-4. Les matériels et mobiliers de bureau et de logement
1-3. Le fonds de roulement initial ou FRI
Section 2. Le plan de financement
2-1. Le financement interne
2-2. Le financement externe
3-2. Remboursement des emprunts
Section 4. Les comptes de gestion
4-1. Les comptes des charges
4-1-1. Les petits outillages
4-1-2. Les achats non stockés
4-1-4. Les emballages
4-1-5. Les impôts et taxes
4-1-6. Les charges financières
4-1-7. Les dotations aux amortissements
4-2. Les comptes de produits
CHAPITRE II – ETUDE DE FAISABILITE ET DE RENTABILITE
Section 1. Le compte de résultat prévisionnel
Section 2. Les bilans prévisionnels
Section 3. Les flux de trésorerie
Section 4. Analyse de la rentabilité
4-1. La capacité d’autofinancement ou CAF
4-2. La valeur ajoutée
4-3. Les ratios de performance
4-4. Le seuil de rentabilité ou SR
CHAPITRE III – EVALUATION DU PROJET
Section 1. Evaluation financière du projet
1-1. La valeur actuelle nette ou la VAN
1-2. Le taux de rentabilité interne ou le TRI
1-3. Le délai de récupération du capital investi ou le DRCI
1-4. L’indice de profitabilité ou l’IP
Section 2. Evaluation économique des impacts du projet
Section 3. Evaluation sociale des impacts du projet
CONCLUSION
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