Les méthodes d’enseignement de l’histoire des enseignants du lycée ; la réaction des élèves face à la matière histoire

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L’évolution des métiers techniques

Dans un avenir immédiat, la quasi-totalité de la production des matériels pédagogiques se fera sous forme numérique. L’acte enseignement sera bouleversé avec cette numérisation des outils pédagogiques. En effet, les unités de temps et de lieu qui réunissaient l’enseignant et l’élève sont remises en cause. Tout d’abord, l’unité de temps. « Le cours magistral perd son aura et son omniprésence avec la mondialisation du réseau d’information »29. L’immédiateté d’échanges d’information grâce à l’internet, met les élèves au même niveau d’information que les professeurs. Seulement, il sera difficile pour les élèves de comprendre les informations publiées en lignes et c’est là qu’entrent en jeu les professeurs. Les professeurs seront des facilitateurs de la compréhension, mais non plus des détenteurs de connaissances. Puisque les connaissances, les élèves pourront les trouver sur le Net. Ensuite l’unité de lieu, là aussi, les technologies d’informations et de communications appliquées à l’enseignement (TICE) ont modifié le rapport de distance. En effet, les élèves n’ont plus besoin d’aller à l’école pour acquérir des connaissances puisqu’ils sont en contact permanent avec la connaissance grâce à l’internet.
Bref, en modifiant profondément le rapport à la mémoire, au traitement et au transport des données textuelles, sonores ou iconographiques, les nouvelles technologies de l’information et de la communication (N.T.I.C.) influent directement sur les deux missions fondamentales de l’école que sont la transmission du savoir et la socialisation des jeunes.
Ainsi, les jeunes qui ont grandi avec les TIC ont un comportement et une méthode d’apprentissage différente. Donc un comportement psychologique à part. Ces nouveaux groupes de jeunes compris entre la tranche d’âge [15-25] ans sont considérés par les psychologues comme une nouvelle génération de jeunes qu’ils dénomment : « la génération Y » ou « digital native Génération ». Ce sont donc des jeunes qui ont grandi avec l’informatique et surtout avec l’internet. Ils ont un style de vie bien particulier si nous les comparons avec les jeunes de la génération d’avant. Un conflit s’impose alors, puisque les enseignants appartiennent à la génération d’avant ou « génération X » ou encore la génération du « Baby boomer ». Ces enseignants n’ont pas grandi avec l’informatique. Mais avant d’entrer dans cette mésentente psychologique à l’école, il nous faudra d’abord expliquer ce qu’est la génération Y ou les natifs numériques.

Générations Y et génération immigrée

L’insertion du numérique dans la société et la fracture numérique

« Dans la plupart des foyers, on accumule, on déclasse, on remplace… des télés toujours plus grandes, des consoles plus performantes, des ordinateurs plus hi-tech, des téléphones plus intelligents, utilisés par des virtuoses du numérique toujours plus jeunes »30
Le panorama technologique des vingt dernières années a été marqué par l’avènement du numérique dans notre sphère quotidienne. Les technologies numériques, sous toutes les formes : ordinateur, appareil photo numérique, téléphonie mobile, box ADSL, cadre photo numérique, console de jeux reliés à Internet, etc. ont pénétré le foyer et la cellule familiale. Les réseaux haut débit associés à la démocratisation des lignes ADSL chez l’abonné ont reconfigurés la structure sociétale et modifiés les modes relationnels (renforcés d’ailleurs par la convergence des technologies et des applications). Nous assistons à une société « numérico-consumériste » marquée par la profusion des (Nouvelles) technologies de l’information et de la communication dans notre environnement et dans notre vie quotidienne.
« Cette démocratisation a conduit d’une part à une appropriation quasi naturelle des technologies numériques par toute une génération, les Digital Natives, qui se retrouvent façonnées par les dispositifs socio numériques et d’autre part, à la nécessité de gérer une transition technologique et sociétale par la génération précédente, les immigrants du numérique »31.
Il est intéressant de souligner la question de l’égalité des individus face aux technologies nouvelles. Selon Danah Boyd : “Technology does not determine practice. How people embrace technology has less to do with the technology itself than with the social setting in which they are embedded.” Selon la spécialiste des digital natives, les technologies ne font pas les pratiques, mais c’est bien l’univers dans lequel nous évoluons qui nous influence. Ainsi, avant l’apparition de la génération « y », plusieurs générations se sont succédées selon William Strauss et de Neil Howe32. Il s’agit de :
• La grande génération : 1901 à 1925
• La génération traditionnelle ou silencieuse : 1925 à 1943/45
• La génération des Baby boomers 1944 à 1960 (1945/63)
• La génération X : 1963 à 65/78 dite la génération tampon ou nomade
• La Génération Y ou « Gen Why » (les whyers), ou Web 2.0, ou « génération portefeuille », ou du millénaire ou du « millenium »
Cela dit, autant de générations se sont succédé au cours de l’histoire de l’humanité. L’univers social étant en constant changement depuis les cent dernières années et ce changement en permanence du milieu social a modifié le comportement de la population. Autrement dit, avec ce changement de l’univers social, la psychologie des nouveaux nés change aussi, car le mode d’éducation évolue en même temps. Ainsi, avec l’apparition et la démocratisation des nouvelles technologies numériques, nous assistons à l’apparition d’un nouveau groupe de personne adaptée à ce monde numérique. Cet univers numérique touche en particulier les jeunes de tous les pays du monde.
Seulement, l’impact du numérique ne se fait pas sentir en même temps entre les jeunes du même âge dans un même pays. Mais aussi entre les jeunes du même âge dans différents pays. Il est clair que les différents pays du monde ne sont pas sur le même pied d’égalité sur l’utilisation du numérique. Cette différence se manifeste surtout entre les pays du tiers monde et les pays développés. Ainsi, le terme « génération Y » et « génération immigrée » sera caractérisé par l’influence du numérique sur ces jeunes ou plutôt, l’utilisation du numérique par ces jeunes. C’est Prensky (2001)33, qui a été parmi le premier à dénoncer une discontinuité générationnelle, en énonçant le concept de « digital natives » selon lequel les jeunes sont nés dans le numérique alors que les adultes ne font qu’immigrer dans ce monde (digital immigrants). Cette discontinuité générationnelle se base sur l’utilisation du numérique. Nous parlerons alors de « fracture numérique ». D’après Compiègne Isabelle, « la fracture numérique désigne des différences entre les individus, le sexe, l’âge, le niveau culturel, la localisation géographique et les conditions socio-économiques. Elle pointe en plus des clivages entre régions, États et zones géographiques et elle ne se résume pas seulement à la question de l’accessibilité et aux problèmes de connectivité d’un point de vue infrastructurel 34». La pénétration d’internet et des technologies dans la vie quotidienne ne suffit pas à résorber le fossé. Accéder à l’univers numérique et à tout ce qu’il offre suppose de disposer un capital économique assez élevé. L’accès à l’univers numérique demeure alors l’apanage des familles aisées.

La génération Y ou Natif numérique ou digital native génération

Définition et caractéristiques

« Ils ont grandi à l’ère d’internet et font en permanence évoluer l’usage d’un outil qu’ils se sont approprié. Une bonne raison pour les marques d’étudier les attentes de ces ‘‘digitale natives’’ de 15 à 25 ans »35
La génération Y désigne les individus nés entre le début des années 1980 et le milieu des années 1990. Ces adolescents et jeunes adultes ont grandi au moment où l’usage d’internet s’est généralisé : la e-culture est leur royaume et, pour cette raison, on les désigne aussi par le terme de digital natives. Pourquoi « Y » ? Parce qu’ils succèdent à la génération dite « X » celle des quarantenaires qui s’exercent à l’ombre de leurs célèbres aînés, les baby-boomers36.
Parfois appelée génération WHY (jeu de mot sur la phonétique anglaise du Y), ou représentée avec le Y formé par les fils d’un i-Pod encadrant le visage. Dans un article publié en 2001, Marc Prensky avait inventé l’expression «Natifs numériques» pour décrire une nouvelle génération, en général née après 1980, qui est par nature habituée aux nouvelles technologies et compétente dans leur utilisation, une génération qui se sent à l’aise dans le monde «numérique». Cette génération a grandi avec plus d’avancées technologiques que tout autre. Elle traite l’information sur le mode réseau. Les jeunes d’aujourd’hui sont plongés dans une culture numérique. « On peut donner au numérique le titre de culture37 puisqu’il induit de nouvelles pratiques sociales (le courriel, le « chat », le SMS), de nouvelles habitudes (conduite guidée par un GPS, achats en ligne, recherche d’informations, …), des arts nouveaux (l’art numérique), de nouveaux moyens de diffusion de la culture classique, de nouveaux moyens de production et de réalisation de la culture émergente (comme le cinéma numérique, les labels musicaux indépendants) »38. Ainsi, avec l’influence de l’internet, les jeunes de natifs numériques possèdent cinq caractéristiques bien évidentes qui sont :
• « Être connecté
La génération Y est connectée et utilise avec facilité les outils technologiques. Elle pense en réseau et sait qu’à plusieurs on est plus fort. Les réseaux sociaux font partie du quotidien.
• L’individualisme
Les individus de la génération Y sont plus centrés sur eux-mêmes.
• L’équilibre vie privée / vie professionnelle
La génération Y ne vit plus seulement que pour le travail. Elle aspire en permanence à un équilibre entre le privé et le professionnel, pour se réaliser pleinement.
• L’impatience
L’instantanéité du monde numérique a rendu la génération Y impatiente. Cela la conduit à souvent vouloir tout et tout de suite.
• Un rapport différent à l’autorité
Ce ne sont plus les galons qui indiquent que le chef a de l’autorité. L’autorité doit à présent se gagner et n’est plus liée à un statut. L’autorité doit se démontrer par la compétence et par le comportement. Ou alors être naturellement liée au charisme. C’est une autorité d’évidence et de compétence »39.
Cependant, selon Isabelle COMPIEGNE (2010) : « les digitale natives sont des consommateurs de contenus numériques, pas des experts de la technique »40 en effet, ces jeunes ne sont que des consommateurs. Ils ne sont pas des créateurs des outils et applications numériques, la plupart d’entre eux ne connaissent même pas le fonctionnement de l’internet souligne encore Isabelle COMPIEGNE41.

La génération Y et l’utilisation du numérique

Les jeunes dits digital natives sont des jeunes qui sont très à l’aise dans l’utilisation des technologies numériques. En effet, ces jeunes sont hyperbranchés sur internet. Geneviève Patte (2012) affirme que : « Ces jeunes naviguent avec bonheur dans ce monde de l’information et de la distraction permanente »42. Les jeunes natifs du numériques vivent ainsi dans un monde de sons et d’image et aussi d’écrits. Ces jeunes natifs numériques sont émerveillés par la richesse numérique. Dans ce monde numérique, les jeunes peuvent jouer à toutes sortes de jeux et s’instruire librement, selon leurs curiosités. Un jeune natif du numérique trouve toujours des informations nécessaires pour faire ses devoirs grâce à internet. Nuit et jour, un jeune digital native peut entrer en relation avec ses amis grâce à la messagerie instantanée. Pour un jeune digital native, l’usage de l’internet correspondrait donc pleinement à son désir de connaître, à son besoin de s’émerveiller et de s’amuser, à son désir de rencontre. Pour un jeune digital native, lire et écrire, lorsqu’il est devant l’écran n’est pas un problème pour lui. Le jeune internaute surmonte aisément les difficultés rencontrées dans le monde numérique. Par ailleurs, le caractère ludique du maniement d’internet séduit énormément un jeune digital native. En effet, l’internet rend la recherche documentaire plus facile. Mais aussi, rapide et plus particulièrement attrayante. Un jeune digital native trouve tout et n’importe quoi sur internet. Un simple clic et nous avons presque toujours une réponse. Pour un jeune internaute, tout est à disposition. Il zappe, il picore ici et là des informations. Avec l’internet, tout va vite et très vite. Les jeunes internautes n’ont pas le temps de s’ennuyer.

L’apprentissage des natifs numériques

La motivation des natifs numériques

Qu’est-ce qu’une motivation ?

Selon le dictionnaire Larousse, la motivation est « L’ ensemble des motifs qui expliquent un acte »51. La motivation peut être définie aussi selon le dictionnaire Larousse comme un « Processus physiologique et psychologique responsable du déclenchement, de la poursuite et de la cessation d’un comportement » 52 . Motivation, ensemble des causes, conscientes ou inconscientes, qui sont à l’origine du comportement individuel. A cet effet, HOUSSAYE (J) affirmait : « la motivation est habituellement définie comme l’action des forces conscientes ou inconscientes qui déterminent le comportement »53 En effet, la conduite humaine repose sur des choix conscients et sur des pulsions auxquelles obéit l’inconscient. Les théories psychologiques distinguent d’une part la motivation « primaire », destinée à satisfaire les besoins de base comme la nourriture, l’oxygène, l’eau, et d’autre part la motivation « secondaire » qui incite l’individu à satisfaire ses besoins sociaux telles la compagnie et la réussite. Les besoins primaires doivent être satisfaits pour que l’organisme puisse traiter les instincts secondaires. De nombreux psychologues de l’école béhavioriste pensaient que l’organisme recherche la stimulation minimale et qu’il se comporte de manière à favoriser l’état de non-stimulation. Des théories cognitives récentes indiquent cependant que l’être humain recherche plus à optimiser sa motivation qu’à la minimiser. Ces théories offrent ainsi une meilleure explication des comportements de curiosité et d’exploration, des goûts esthétiques et de recherche de la variété. Dans le domaine scolaire, la motivation de l’élève est issue de deux composantes motivationnelles. À savoir : motivation intrinsèque et motivation extrinsèque.

Motivation intrinsèque et motivation extrinsèque

Les travaux réalisés dans le domaine psychologique ont montré que le comportement d’un individu dépend de modification interne et des excitants externes agissant sur le cerveau.
« Ces modifications internes et influences externes font partie d’un ensemble de facteurs dynamiques qui déterminent la conduite d’un individu »54. Or, c’est là est la définition de la motivation. Ainsi, la motivation peut donc être interne ou intrinsèque, mais aussi externe ou extrinsèque.
 Motivation extrinsèque
La motivation extrinsèque se définit comme suit : le sujet agit dans l’intention d’obtenir une conséquence qui se trouve en dehors de l’activité même ; par exemple, recevoir une récompense, éviter de se sentir coupable, gagner l’approbation sont des motivations extrinsèques. Dans le monde scolaire, les exemples de ce type de motivation ne manquent pas : travailler pour obtenir de bonnes notes ou pour éviter les mauvaises, ou encore pour faire plaisir à ses parents, voire à son ou ses professeurs. Pour les digital natives, la motivation extrinsèque se traduit tout simplement par prestige obtenu d’être considéré comme le meilleur.
 Motivation intrinsèque des digitale natives
Dans la motivation intrinsèque, les comportements sont uniquement motivés en vertu de l’intérêt et du plaisir que le sujet trouve dans la pratique de l’activité, sans attendre de récompense extrinsèque à l’activité ni chercher à éviter un quelconque sentiment de culpabilité. Pour motiver intrinsèquement les digitale natives, il faut leur fournir des activités scolaires dans laquelle ils trouvent du plaisir à apprendre. Ainsi pour susciter la motivation intrinsèque des digitale natives dans le processus d’apprentissage de l’histoire, il faudra leur offrir une activité qui soit à leur goût. Le professeur peut mobiliser le passé en fonction du goût des élèves. le professeur pourrait offrir à ses élèves une étude du passé à caractère ludique dont le récompense est l’estime de soi. C’est bien suffisant pour ces jeunes qui cherchent à se démarquer au sein du groupe humain. Car « Pour eux, l’important dans la vie est de faire une différence plutôt que de gagner sa vie »55.
La motivation que ce soit intrinsèque ou extrinsèque dépend en particulier du but poursuivi par l’école. Bien évidement, un élève sera motivé intrinsèquement dans une école qui poursuit un but d’apprentissage tandis que dans une école qui valorise le but d’évaluation, l’élève sera motivé extrinsèquement, car l’élève n’a qu’un objectif, avoir de bonnes notes. Les notes données par le professeur seront comme un élément extérieur de l’élève qui anime sa motivation.

Les facteurs agissant sur la motivation des élèves natifs numériques

La plupart des enseignants sont préoccupés par le problème de la motivation parce qu’ils estiment qu’elle joue un rôle déterminant sur l’investissement de leurs élèves dans l’apprentissage, et donc sur leur maîtrise et leur réussite. Mais il est important d’ajouter que le fait de maîtriser et de réussir influence aussi fortement la motivation. En ce qui concerne la génération de natif numérique, pour que ces nouveaux groupes d’élèves soient motiver dans le processus d’apprentissage, il faut tenir compte de leur caractéristique. Ainsi, pour motiver les digital natives, il faudra que le professeur crée un lien individualisé avec ces élèves. cela est presque primordial puisque ces jeunes accordent une grande importance aux relations interpersonnelles. Apprendre les noms, prendre les présences, donner une rétroaction périodique personnalisée sur les apprentissages effectués en classe, reconnaître et valoriser les efforts investis sont quelques moyens pour y parvenir. Ces élèves ont davantage besoin que leurs enseignantes et enseignants les soutiennent, les écoutent et prennent du temps pour eux. Ensuite, ces élèves souhaitent que leurs enseignantes et enseignants se préoccupent d’eux en tant qu’individus. Toutefois, il est possible que les enseignants aient à accompagner ces élèves dans leur apprentissage à faire face aux conséquences de leurs décisions. En plus, ces élèves digital natives ont parfois besoin d’être poussés à stimuler leur créativité. Ils voudront aussi comprendre l’importance de ce qu’ils ont à apprendre. Par ailleurs, il faudra faire comprendre à ces jeunes qui craignent l’échec que ce n’est pas essentiel de toujours obtenir 100% pour considérer ce qu’ils font comme une réussite. De cette façon, plusieurs abandons par crainte de ne pas réussir pourraient être évités. Ces élèves ont aussi besoin d’apprendre à gérer eux-mêmes leur agenda, afin d’intégrer à leurs multiples activités de bonnes habitudes de vie. Enfin, pour motiver encore plus ces élèves digital natives il faudra privilégier le travail de groupe car ces élèves apprécient énormément de travailler en équipe en classe. Puisque ces élèves sont à l’aise de communiquer avec des groupes de pairs, nous pouvons saisir cette opportunité afin de mettre en place des groupes d’entraide et du tutorat par les pairs. En un mot, nous pouvons résumer les besoins des natifs numérique envers leurs professeurs comme suit :
– « Sois mon leader!
– Donne-moi des défis!
– Laisse-moi travailler en équipe!
– Amusons-nous!
– Respecte mes idées, même si je suis jeune! »56

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Table des matières

INTRODUCTION GÉNÉRALE
Première partie La nouvelle génération des jeunes : caractéristiques et style d’apprentissage
Premier chapitre : la mutation psychologique des jeunes : « les natifs numériques ou génération Y »
I. Le rôle des nouvelles technologies sur la transformation des caractères psychologiques des jeunes et l’avènement des générations digital natives
II. Générations Y et génération immigrée
Deuxième chapitre : les méthodes d’enseignement et apprentissage des natifs numériques
I. Le mode d’apprentissage des natifs numériques
II. Enseigner la génération Y, présente-t-il un défi pour les professeurs ?
Conclusion de la première partie
Deuxième partie les méthodes d’apprentissage de l’histoire des jeunes malgaches ; leur réaction face à la matière histoire et les méthodes d’enseignement de l’histoire dans les lycées
Troisième chapitre : les méthodes d’apprentissage des jeunes Malgaches
II. Les méthodes de l’apprentissage de l’histoire des jeunes lycéens d’Antananarivo
Quatrième chapitre : Les méthodes d’enseignement de l’histoire des enseignants du lycée ; la réaction des élèves face à la matière histoire
I. Les méthodes d’enseignement de l’histoire des enseignants du lycée
II. Les nouvelles technologies et la transmission des connaissances
III. La réaction des élèves face à la matière histoire
Conclusion de la deuxième partie
Troisième partie Les nouvelles perspectives de l’enseignement de l’histoire dans les lycées
Cinquième chapitre : Susciter la motivation des élèves dans l’enseignement/apprentissage de l’histoire
I. Donner un sens à l’apprentissage de l’histoire
II. Raconter l’histoire pour enseigner les élèves est-il nécessaire ?
Sixième chapitre : Favoriser l’usage des TIC dans l’éducation des jeunes natifs numériques
I. Corrélation entre NTIC et motivation scolaire
II. Les NTIC au service de l’éducation
III. Les TIC et les relations maîtres/élèves
IV. Les types d’enseignement utilisant les TIC
Septième chapitre : favoriser le travail de groupe dans l’éducation des jeunes de natifs numériques
I. Les finalités du travail de groupe dans l’éducation des digital natives
II. Les stratégies de l’enseignant pour permettre à l’épanouissement de l’élève digital native dans l’apprentissage par groupe
III. Les TIC au service du travail de groupe
Huitième chapitre : les autres utilisations des TIC pour l’enseignement de l’histoire
I. Les TIC pour la communication d’information aux élèves
II. Les outils et application virtuelle au service de l’apprentissage de l’histoire
Conclusion de la troisième partie
CONCLUSION GÉNÉRALE

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