les cordons sexuels primaires
Peu avant et pendant l’arrivée des gonocytes primordiaux dans la crête génitale (6 e semaine), l’épithélium coelomique prolifère activement et envahit le mésenchyme sous-jacent. Les cellules de cet épithélium se multiplient pour former un certain nombre de cordons de forme irrégulière : cesont les cordons sexuels primitifs. Ces cordons entourent progressivement les gonocytes primordiaux situés dans le mésenchyme. Ils restent en connexion avec lasurface de l’épithélium, et à ce stade du développement, il est impossible de distinguer la gonade mâle de la gonade femelle : c’est le stade de gonade indifférenciée.
Evolution en testicule
La différenciation déterminée par la constitution génétique XY,débute au cours de la 7e semaine du développementintra-utérin. Le chromosome Y, par son effet testiculo-déterminant, stimule laprolifération continue descordons sexuels primaires à partir de l’épithélium coelomique. Les cordons se condensent vers la médullaire de la gonade ; dans la médullaire,ils se ramifient et leurs extrémités profondes se rejoignent, constituant ainsi le reste testis. Ils deviennent progressivement cordons testiculaires puis tubes séminifères, pendant leurs connexions avec l’épithélium coelomique périphérique. Ils sont séparés par une tunique fibreuse dense, l’albuginée, qui est caractéristique du développement des testicules. Vers le 50 e jour, elle émet des cloisons qui divisent le testicule en plusieurs compartiments ou lobules testiculaires. Les portions profondes des tubes séminifères vont constituer les tubesdroits qui convergent vers le reste testis. Les tubes séminifères vont être séparés par le mésenchyme qui donne naissance aux cellules interstitielles de Leydig. Ces dernières vont atteindre leur stade de développement maximal entre le 4e et le 6emois [2].
Dès lors, le testicule devient capable par ses androgènes, d’influencer la différenciation des voies génitales et desorganes génitaux externes, avec l’aided’une enzyme, la 5 alpha réductase qui permet la transformation de la testostéroneinactive en dihydrotestostérone active. La 5 Alpha réductase est androgènodépendante au niveaudes canaux de Wolff, elle est non androgèno-dépendante auniveau des ébauches génitales externes.
Histologie de la gonade : Notion de lobule testiculaire
Le testicule différencié est entouré par l’albuginée dont une portion épaissie au pôle supérieur, formant le corps de Highmore. Partant du corps de Highmore et irradiant vers la périphérie, de fines cloisons conjonctives délimitent des lobules testiculaires, au nombre de 200 à 300 par testicule. Chaque lobule comporte :
Du tissu glandulaire interstitiel ou diastématique (testicule endocrine) formé par les cellules de Leydig disposéesen amas dans du tissu conjonctivovasculaire.
Les tubes séminifères (testicule exocrine) qui contiennentl’essentiel de la masse testiculaire (75%) ; ceux-ci contiennent les cellules de Sertoli et les cellules germinales.
Mécanisme de la spermatogenèse
La spermatogenèse est l’ensemble des phénomènes de multiplication et de différenciation cellulaire qui, des spermatogonies, cellules souches diploïdes (2n chromosomes), aboutissent aux spermatozoïdes, gamètes masculins haploïdes (n chromosomes). Elle se déroule à l’intérieur des tubes séminifères. Tout d’abord, à travers de multiples mitoses, à partir d’une spermatogonie, on en obtient un stock.
Puis la spermatogonie grandit et devient spermatocyte I. A ce stade, ce sont toujours des cellules souches avec 2 n chromosomes. La méiose des spermatocytes I produit des spermatocytes II qui n’ont plus que n chromosomes. La suite de la méiose conduit à des spermatides qui migrent vers la « lumière « du tube. La différenciationde ceux –ci donne finalement les spermatozoïdes, au centre du tube. On dit donc que la spermatogenèse est centripète.
Ce processus est continu, c’est-à-dire que les cellules se transforment successivement et sont remplacées parde nouvelles spermatogonies obtenues par mitose.
Dans les tubes séminifères, on remarque aussi la présence de grandes cellules, les cellules de Sertoli, qui soutiennent et nourrissent les spermatogonies et qui sont donc indispensables à la spermatogenèse.
Les tubes séminifères conduisent, parun système de drainage, au canal épididymaire qui devient canaldéférent en sortant des testicules. Les cellules sont propulsées dans ce canal, et mélangées avec le liquide séminal dans la prostate,pour former le sperme lors de l’éjaculation.Le tube séminifère est limité par unegaine tubulaire mince formée de la lame ou membrane basale, de fibroblastes.
Certains de ces fibroblastes contiennent des filaments contractiles et des fibres de collagène et constituent les cellules myoides ou myofibroblastes. La gaine tubulaire est appelée membrane propre du tube séminifère ou membrana propria. Ces tubes sont entourés de tissu conjonctif (de « remplissage ») et aussi de tissu interstitielformés de cellules de Leydig qui sont, bien sur parcourus par des artérioles etveinules apportant de l’oxygène. Ces cellules endocrines oucellules de Leydig secrètent essentiellement de la testostérone.Elles constituent la glande interstitielle du testicule. La paroi du tube séminifère est formée d’un épithélium stratifié comprenant deux types de cellules :
Les cellules de la lignée germinaledisposées sur 4 à 8 couches
Les cellules de Sertoli, cellules hautes s’appuyant sur la membrane basale et atteignant la lumière du tube par leur pole apical [33].
Dans les tubes séminifères adultes, les différentes couches de cellules germinales représentent les phases de la spermatogenèse qui s’effectuent de façon centripète, depuis la spermatogonie située contre la membrane basale jusqu’au spermatozoïde libéré dans la lumière :sousle microscope, on observe que ces tubes sont remplies de cellules apparemment différentes, organisées en anneaux ; à la périphérie, on trouve des cellules souches (spermatogonies), tandis qu’au centre se trouvent les spermatozoïdes. en fait, les cellules non différenciées se développent pour finalement devenir des gamètes males ou spermatozoïdes. La durée de vie des spermatozoïdes est de 3 à 5 jours dans les voies génitales féminines.
Etude analytique de la spermatogenèse
L’évolution des cellules germinales se fait en 4 étapes successives :
Une phase de multiplication
Elle intéresse les spermatogonies, cellules diploïdes, et elle est caractérisée par une succession de mitoses. Les cellules filles qui en dérivent, aboutissent à la formation de spermatocytes I.
Elles ont une forme grossièrement ovoïde et sont de petite taille (10 à 15µm)
La phase de croissance
Les spermatocytes I vont entrer en phase d’accroissement, caractérisé par un dédoublement du nombre de chromosomes (4n chromosomes ou n tétrades), une augmentation du stock de l’ARN, des protéines et une duplication de l’ADN.
Il en résulte une augmentation de taille, jusqu’à 25µm. Les spermatocytes I, devenus mûrs sont encore appelés auxocytes à la faveur d’une interphase.
La phase de maturation
La maturation se fait grâce à une méiose, qui est une série de deux divisions successives qui donnent naissance à des cellules haploïdes. Les auxocytes subissent une première division méiotique, réductionnelle, appelée division hétérotypique aboutissant à laformation de spermatocytes II à n chromosomes.
Après cette division, les spermatocytes II haploïdes, de taille plus réduite (10 à 12µm) subissent la deuxième division de méiose, qui est équationnelle, ou division homotypique, qui donne naissance aux spermatides.
A la fin de cette phase de maturation chaque spermatocyte I, diploïde, a donc donné naissance à 4 spermatides haploïdes.
La phase de différenciation
Très souvent appelée spermiogenèse, cette phase ne comporte pas de division, mais seulement des modifications morphologiques des spermatides, aboutissant à la formation des spermatozoïdes.
Les spermatides, d’abord ovoïdes et de petite taille (8 à 10µm) subissent une série de transformations nucléaires et cytoplasmiques, en partie simultanées, qui se déroulent dans l’ordre suivant :
Formation d’un acrosome
Formation du flagelle
Condensation du noyau
Formation d’un manchon mitochondrial
Isolement des restes cytoplasmiques
Les hormones
Trois hormones jouent un rôle important lors de la spermatogenèse :
La testostérone
LH (hormone luteinisante)
FSH (hormone folliculostimulante)
LH et FSH sont produites par l’hypophyse tandis que la testostérone est produite dans les cellules de Leydig.
La FSH agit directement sur les spermatogonies et les cellules de Sertoli pour accélérer la spermatogenèse (par assimilation augmentée de testostérone). La LH quant à elle, augmente la production de testostérone qui agit également sur les spermatogonies (et permet en particulier la différenciation finale) et sur les cellules de Sertoli. Si la production de testostérone atteint un certain seuil, les cellules de Leydig envoient un rétrocontrôle négatif à l’hypophyse qui inhibela production de LH et de FSH. C’est donc un système autorégule qui ne permet pas la production excessive de testostérone, etdonc de spermatozoïdes.
L’ovogenèse
L’ovogenèse est le processus aboutissant à la production de cellules reproductrices de la femelle à n chromosome. L’ovogenèse se déroule dans l’ovaire.
Schéma général
Les ovaires sont situés dans la cavité abdominale, de chaque côté de l’utérus,et reliés à la cavité utérine par la trompe. Ils sont de forme ovoïdes et mesurent 3 x5 x3 cm. Leur rôle est double : formation cyclique d’un ovocyte (ou ovule) dont l’union dans l’ampoule tubaire avec le spermatozoïde permet la fécondation, et sécrétion hormonale responsable du fonctionnement de l’appareil génital de la puberté à la ménopause. Cependant l’histoire naturelle desovaires commence bien avant la puberté.
A la naissance, les ovaires contiennent un stock défini d’ovocytes, au nombre de plusieurs milliers. Seulement quelques centaines d’ovocytes vont arriver à maturité et pourront, au moment de l’ovulation, être libérés. Mais la formation des ovocytes débute dès la vie embryonnaire.
Avant la naissance
(De la 15éme semaine au 7 ème mois de la vie foetale chez l’Homme)
Elle débute par l’évolution des cellulesgerminales. Celles-ci vont subir la mitose. Ces cellules sont appelées ovogonies. Toutes ces ovogonies vont entamer la première division de méiose (méiose I).cettepremière phase de la méiose forme des cellules appelées ovocytes I. Ces cellules dictyées ont la particularité d’être en diapause, c’est à dire qu’elles sont bloquées en prophase I au stade dictyé. Ce blocage est du à la sécrétion de substances qui activent les protéines inhibant la méiose. Cette méiose est bloquée jusqu’à la puberté. A ce stade, les femmespossèdent 7 millions d’ovocytes I.
Du septième mois de la vie fœtale à la naissance
Pendant ce temps, les cellules germinaleset les follicules entrent dans une atrésie folliculaire. A la naissance, il ne reste plus que 2millions d’ovocytes I etseulement 400000 à la puberté.
De la puberté au début de la ménopause
Des petits groupes d’ovocytes et de follicules vont être actives. C’est à dire que pour un ovocyte par cycle: il évolue en terminant sa méiose I
Il débute la deuxième division de méiose (méiose II) ou une nouvelle fois la méiose est bloquée;
A ce stade (ovocyte bloqué en meioseII), l’ovocyte quitte l’ovaire, on parle d’ovulation. L’ovocyte rejoint les trompes de fallope. Si à ce moment il y a fécondation, c’est a dire rencontre avec le gamète male ou spermatozoïde, la méiose se termine et il y a formation d’une cellule oeuf, dans le cas ou le gamète male est absent, l’ovocyte ne termine pas laméiose et il est évacué avec les menstruations.
A partir de quarante ans il y a accélération de la dégénérescence pour arriver a zéro follicule: c’est la ménopause.
Le stade blastocyste
On est au 6 ème jour, l’œuf a grossi et se nomme blastocyste. A mesure que le volume liquidien augmente, les cellules se séparent en deux groupes principaux :
Une couche cellulaire externe : le trophoblaste, qui donnera naissance au placenta ;
Une couche de cellules de localisation centrale : le bouton embryonnaire qui donnera naissance à l’embryon proprement dit, la membrane pellucide disparaît.
L’ovo-implantation ou nidation
Chez la femme, les cellules trophoblastiques pénètrent dans la couche cellulaire épithéliale de la muqueuse utérine vers le 6 ème – 7 ème jour. Pour ce fait, l’œuf pénètre dans l’endomètre, c’est la nidation. Au cours de chaque cycle génital féminin, l’endomètre se prépare à la nidation et se trouve au stade optimal de réceptivité morphologique et fonctionnelle aux environs des 20/21 ème jours du cycle, ce qui correspond aux 6/7 ème jours du développementembryonnaire.
Aux 8 ème /9 ème /10 ème jours, l’œuf est implanté aux deux tiers. Au contact de l’endomètre, le cytotrophoblaste se différencie à son tour en un tissu lacunaire àdéveloppement rapide : le syncitiotrophoblaste.
L’œuf a totalement pénétré dans l’endomètre aux 11 ème /12 ème jours et le point de pénétration est provisoirement obstrué par un bouchon fibreux.Le trophoblaste a disparu et une double couche de cytotrophoblaste et de syncytiotrophoblaste est en place. Le syncytiotrophoblaste érode les capillaires de l’endomètre dont le sang va remplir les lacunes, inaugurant lacirculation utéroplacentaire.
Aux 13 ème /14èmejours, la réépithélialisation utérine est terminée et le sangmaternel circule dans la totalité des lacunes du syncytiotrophoblaste.
Le siège normal de la nidation est la paroi postéro supérieure de l’endomètre.
La deuxième semaine du développement intra-utérin sera marquée par l’endoblaste qui se différencie aux 6ème /7 èmejours à la face libre du bouton embryonnaire en une couche de cellules aplaties. Aux 8ème /9 ème /10 ème jours, lescellules du bouton embryonnaire situéesjuste au-dessus de l’entoblaste sedifférencient en un feuillet de cellules cylindriques ; l’ectoblaste. Ectoblaste etEntoblaste constituent le disque embryonnaire didermique.
Dans le bouton embryonnaire, des lacunes apparaissent aux 8 ème /9 ème /10 ème jours. Ils sont libérés par le syncytiotrophoblaste, lui permettant d’envahir en profondeur le tissu maternel.
Normalement, l’œuf qui se greffe dans l’utérus maternel est un corps étranger, mais il n’y a pas de rejet de cet œuf parce que :
• Il y a une compatibilité immunologique spécifique :
• Le fœtus est immature immunologiquement (bien que les organes embryonnaires soient très tôt antigéniques) :
• La capacité immunologique de la femme enceinte s’altère :
• Il existe une barrière antigéniqueentre mère et fœtus au niveau du trophoblaste (les cellules trophoblastiques sont dépourvuesd’antigénicité.
Remarque : Anormalement on peut observer des implantations ectopiques dans la trompe, dans le cul-de-sac recto génital, dans les mésons : c’est ce qu’on appelle desgrossesses ectopiques ou extra-utérine. Une fois l’œuf implanté, les modifications se poursuivent avec un nouveau facteur : la participation de lamuqueuse utérine au développement de cet œuf.
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Table des matières
I- 1 ONTOGENÈSE
I-1-1 LES CONDITIONS DE LA REPRODUCTION ET DU DEVELOPPEMENT INTRA-UTERIN
I-1-1-1 CONDITIONS BIO MORPHOLOGIQUES FONDAMENTALES
I -1-1-2 INTEGRITE ANATOMIQUE ET PHYSIOLOGIQUE DU SYSTEME GENITAL SEXUEL HUMAIN
a) Présentation générale du système génital sexuel féminin normal
b) Présentation générale du système génital sexuel masculin normal
I-1-1-3 LA GAMETOGENESE
a) la spermatogenèse (fig1)
b) L’ovogenèse
I-1-2 LE DEVELOPPEMENT INTRA-UTERIN
I-1-2-1 CALENDRIER DU DEVELOPPEMENT INTRA-UTERIN [43]
I-1-2-2 INDUCTION DE LA VIE ET DU DEVELOPPEMENT INTRA-UTERINOU FECONDATION DES ANCIENS AUTEURS [32]. (fig4, fig5, fig6)
a)La segmentation au cours de la migration
b) Le stade blastocyste
c) L’ovo-implantation ou nidation
I-1-2-4 LA PREGASTRULATION [1]
I-I-2-5 LA PERIODE EMBRYONNAIRE OU EMBRYOGENESE
a)morphogenèse primaire
b) morphogenèse secondaire : organogenèse (fig8, fig9)
I-1-2-6 FOETOGENESE OU PERIODE FŒTALE [1, 11]
a) La foetogenèse qualitative (fig10)
b) La foetogenèse quantitative (fig11)
I-1-2-7 RELATIONS MATERNO-FOETALES
a) La formation du placenta [36]
b) la circulation foeto-placentaire [36, 48]
c) les échanges fœto-placentaires [32,57]
d) le rôle du placenta [32]
I-1-3 LE DEVELOPPEMENT EXTRA-UTERIN
I-1-3-1 LA NAISSANCE
I-1-3-2 L’ENFANCE
I-1-3-3 LA PUBERTE
I-1-3-4 L’AGE ADULTE
I-1-4 MECANISME DE L’ONTOGENESE : la mitose (division cellulaire normale) [32]
I-2 ONCOGENESE
I-2-1 HISTOIRE GENERALE DU CANCER [31]
I-2-1-1 ETAPES INITIALES (fig17)
I-2-1-2 PROGRESSION DU CANCER (fig18)
I-2-1-3 LA MULTIPLICATION CELLULAIRE [31] (fig19, fig20)
I-2-1-4 LA DIFFERENCIATION CELLULAIRE (fig21)
I-2-1-5 L’INVASION LOCALE
I-2-1-6 L’INVASION TUMORALE [31]
I-2-1-7 L’ANGIOGENESE (fig17)
I-2-1-8 INVASION LYMPHATIQUE
I-2-1-9 LES GANGLIONS PATHOLOGIQUES (fig23)
I-2-1-10 METASTASES A DISTANCE (fig19)
I-2-1-11 AUTRES PREDILECTIONS [31]
I-2-1-12 HISTOLOGIE DES METASTASES
I-2-1-13 CHRONOLOGIE DES METASTASES
I-2-1-14 REACTIONSGENERALES
a)Anorexie
b) Cachexie
c) Fièvre
I-2-2 MECANISME DE L’ONCOGENESE [61]
I-2-2-1 L’ADN, SIEGE DES ALTERATIONS SUCCESSIVES
I-2-2-2- MISE EN EVIDENCE DES ONCOGENES
a- Filière virale
b- Pouvoir transformant
c- Filière cytogénétique
I-2-2-3 CONSEQUENCES DE L’ACTIVATION DES ONCOGENES : LES PROTEINES ONCOGENIQUES
a)Les protéines analogues de facteurs de croissance cellulaires
b) Les protéines analogues de récepteurs de facteurs de croissance
c ) Les protéines impliquées dans une activité enzymatique
d) Les protéines à activité nucléaire
e) Les protéines des anti-oncogènes
I-2-2-4- CARACTERE »MULTI-ETAPES » DE LA CANCEROGENESE
a) Arguments cliniques et biologiques
b) Démonstrations
I-2-3 CLASSIFICATION DES CANCERS [31]
I-2-3-1METHODOLOGIE GENERALE
I-2-3-2 CLASSIFICATION EN STADES
I-2-3-3 CLASSIFICATION TNM
I-2-3-4 CLASSIFICATION DEL’ETAT GENERAL [31]
I-2-3-5 CLASSIFICATION HISTOLOGIQUE
a)Les tumeurs solides
b) Les tumeurs neuroectoblastiques
c) Les tumeurs de structure embryonnaire
d) Les tumeurs hématopoïétiques
I-2-4 DEPISTAGE ET PREVENTIONDES CANCERS
I-2-4-1 LES CANCERS DEPISTABLES
I-2-4-2 EFFET TEMPS
I-2-4-3 CANCERS D’INTERVALLE
I-2-4-4 DEPISTAGE DU CANCER DU SEIN
I-2-4-5 DEPISTAGE DU CANCER DU COL UTERIN
I-2-4-6 DEPISTAGE DU CANCER COLO-RECTAL
I-2-4-7 DEPISTAGE DU CANCERPROSTATIQUE
I-2-4-8 PREVENTION DU CANCER
I-2-5 TRAITEMENT DU CANCER [31, 61]
I-2-5-1 LA CHIRURGIE
I-2-5-2 LA RADIOTHERAPIE
I-1-5-3 LA CHIMIOTHERAPIE
a)Procédures detraitement
b) Modes d’administration
c) Effets secondaires.
II-1 CONSIDERATIONS GENERALES SUR LES MEDICAMENTS
II-1-1 DEFINITION DE L’ARTICLE L- 511 DU CODE FRANÇAIS DE LA SANTE PUBLIQUE
II-1-2 CLASSIFICATION DES MEDICAMENTS [51]
II-1-2-1 CLASSIFICATION USUELLE EN 3 GROUPES
II-1-2-2 CLASSIFICATION SELON LA TOXICITE
a) classification ancienne en 3 tableaux
b) Nouvelle classification qui remplace les tableaux par des listes (décret français du 29 décembre 1988, arrêtés
du 22 Février 1990 publiés au Journal officiel français du7 juin 1990).
II-1-3 ACTION PROPREMENT DITE DES MEDICAMENTS (fig29)
II-2 MEDICAMENTS A EFFETS FAVORABLES SUR LA GROSSESSE
II-2-1 LE FER [49]
II-2-2 L’INSULINE [7]
II-2-3 LES SELS MINERAUX ET LES VITAMINES [53]
II-3 EFFETS TERATOGENES DE CERTAINS MEDICAMENTS
II-3-1 MEDICAMENTS A HAUT RISQUE
II-3-1-1 LA THALIDOMIDE (fig29 )
II-3-1-2 LES VACCINS VIRAUX VIVANTS [25]
a)Vaccins anti-poliomyélite Sabin per- os
b) Vaccins anti-rubéoleux [25]
c) Vaccin anti-rougeoleux
d) Vaccin antivariolique
e) Vaccin anti-herpétique
f) Vaccin antidiphtérique, Vaccin anti-typhoïde A et B, Vaccin anti-coquelucheux
II-3-1-3 LES HORMONES ANDROGENES (stéroïdes) [12]
II-3-1-4 L’OESTROGENOTHERAPIE
II-3-1-5 LES ANTICANCEREUX
a) Les antimitotiques de synthèse
b) les antimitotiques naturels
II-3-1-6 LA WARFARINE [66]
II-3-2 MEDICAMENTS A RISQUES IMPORTANTS
II-3-2-1 LES CORTICOIDES: ANTI-INFLAMMATOIRES STEROÏDIENS (AIS)
II-3-2-2 LES ANTI-INFLAMMATOIRES NON-STEROIDIENS (AINS)
II-3-2-3 LES ANTIDIABETIQUES ORAUX
II-3-2-4 LES PSYCHOTROPES
a) Les neuroleptiques [59]
b) Les troubles extrapyramidaux
c) Le lithium : régulateur d’humeur
d) Les psycho stimulants et anorexigènes
II-3-2-5 LES ANTIEPILEPTIQUES
II-3-3 LES MEDICAMENTS A RISQUE NOTABLE ET DISCUTE
II-3-3-1 LES PSYCHOTROPES
a) Les tranquillisants et anxiolytiques
b) Les antidépresseurs tricycliques
II-3-3-2 LES HORMONES GENITALES
II-3-3-3 LES SULFAMIDESANTI-INFECTIEUX
II-3-3-4 DOPA ET DERIVES ANTIPARKINSONNIENS
II-3-3-5 L’ACIDE ACETYLSALICYLIQUE
II-3-4 LES MEDICAMENTS DONNANT DES AFFECTIONS AUTRES QUE DES ETATS
MALFORMATIFS
II-3-4-1 LES MEDICAMENTS IODES
II-3-4-2 LES DERIVES THIAZIDIQUES [5]
II-3-4-3 LES ANTICOAGULANTS ORAUX
II-3-4-4LES ANTIBIOTIQUES
a) les bètalactamines
b) les tétracyclines
c) Le chloramphénicol
d) les aminosides
II-3-4-5 LES EDULCORANTS DE SYNTHESE
II-3-4-6 LES ANALGESIQUES MORPHINIQUES[30]
II-3-4-7 LES BARBITURIQUES [26,30]
II-3-4-8 LES ANTIPALUDIQUES ET AUTRES ANTIPARASITAIRES
a)la quinine
b) la pyriméthamine (MALOCID®) ou (Daraprime®)
c) Les autres anti-parasitaires
II-4 MEDICAMENTS ANTICANCANCEREUX
II-4-1 LES ANTIMETABOLITES [31]
II-4-1-1 MEDICAMENTS ANTI-FOLIQUES
a) Le Méthotrexate®
b) Autres médicaments antifoliques
II-4-1-2 LES SUBSTANCES LEURRES
a) les anti-pyrimidiques
b) Les anti-puriques
II-4-2-1 LES ALKYLANTS MONO-FONCTIONNELS
II-4-2-2 LES SELS DE PLATINE
a)Topo-isomérasesde type I
b) Topoisomérase de type II
II-5 PHARMACOCINETIQUES
II-5-1 RESORPTION MEDICAMENTEUSE
II-5-1-1 GASTRO-INTESTINAL
II-5-1-2 PULMONAIRE
II-5-1-3 INTRAMUSCULAIRE
II-5-2 DISTRIBUTIONS MEDICAMENTEUSES
II-5-2-1 LE VOLUME SANGUIN
II-5-2-2 LE DEBIT CARDIAQUE
II-5-2-3 LE COMPARTIMENT ACQUEUX
II-5-3 ELIMINATION MEDICAMENTEUSE
II-6 CONSEQUENCES DE LA PRISE MEDICAMENTEUSE PENDANT LA GROSSESSE
II-6-1 PERIODE PRE-IMPLANTATOIRE
II-6-2 PERIODE EMBRYONNAIRE
II-6-3 PERIODE FŒTALE