Les mammites cliniques et leurs conséquences

La mamelle

Définition et Importance

La mamelle ou glande mammaire est uneglande placée sur la face ventrale du tronc des mammifères femelles et dont le rôle consiste à sécréter, après la gestation, le lait. Ce lait, un liquide normalement blanchâtreest un aliment complet qui est destiné à nourrir les jeunes nouveau-nés. Ilconstitue jusqu’à un âge spécifique appelé l’âge au sevrage la seule source alimentaire et, par conséquent, le seul cordon de vie des chevreaux et des agneaux par exemple. Signalons que d’après les travaux de Chineme et Addo (1984),hormis sa richesse en protéine et en calcium, le lait de chèvre a une proportion élevée de globules graisseux de petite taille qui facilitent sa digestion. Il s’avère donc être, sur le plan de la digestibilité, meilleur que le lait des autres espèces animales. En plus, selon les mêmes auteurs, il serait moins allergisant chez les enfants que le lait de vache. Outre cette importance alimentaire fondamentale pour les jeunes surtout, le lait a deux autres importances ; hygiénique et économique.
• Importance hygiénique : le lait par sa forme liquide et son extrême réceptivité aux germes extérieurs, n’est pas stable et est difficile à conserver. En plus, il constitue un émonctoire pouvant renfermer des germes et autres substances ou résidus dangereux pour le consommateur. Pour mieux le rentabilisé, rendre son utilisation plus sûre et garantir une plus longue conservation, il a fallu développer des techniques de conservation, de traitement et de transformation du lait en fromages, yaourt, beurre et d’autres produits laitiers.
• Importance économique : En Afrique, la filière laitière n’est pas encore tout à fait performante. La production laitière ne permet pas de couvrir la demande des consommateurs locaux. Par conséquent, les besoins locaux en lait sont satisfaits par une importation massive du lait en poudre provenant notamment des pays du nord. Au Sénégal, la filière laitière locale approvisionne environ 40 p100 de la demande du marché national. En 2004, selon la direction de l’élevage (DIREL), la production de la filière locale était estimée à 114,2 millionsde litres. Le lait de petits ruminants représentait 18,3 millions de litres soit 16%. La production laitière revêt un intérêt économique énorme qui ne demande qu’à être exploité et développé.
Toutefois, pour pouvoir réussir une amélioration, il est indispensable de comprendre les spécificités de chaque espèce. Par exemple, les mamelles ne sont pas identiques chez toutes les femelles. Elles peuvent différer macroscopiquement, par leur positionnement sur la face ventrale du tronc et par leur anatomie.

Particularités anatomiques de la mamelle des petits ruminants

L’anatomie de la mamelle varie selon les espèces.
– Situation anatomique :
La glande mammaire de la chèvre et de labrebis se situe, comme chez tous les ruminants domestiques, sur l’extrémité distale du ventre entre les membres postérieurs. Proportionnellement à la taille des petits ruminants, cette glande est plus petite que chez les grands ruminants.
– le nombre de quartiers :
Le nombre de quartiers et de mamelons n’est pas le même d’une espèce à une autre. Ces différences sont d’origine génétique. Ainsi, les petits ruminants notamment ont deux quartiers, un à gauche et l’autre à droite et sur chaque quartier se trouve un mamelon ou pis par lequel le petit tète le lait.
Malgré ces variations anatomiques, on constate que, chez toutes les espèces, la glande mammaire est formée d’une multitude d’alvéoles sécrétrices (Figure 1).Ces alvéoles (acini) sont tapissées par des cellules sécrétrices du lait que l’on appelle les lactocytes.

Les mammites cliniques et leurs conséquences

Les Mammites cliniques

Généralités

La mammite est une inflammation de la glande mammaire souvent provoquée par la présence et l’action d’un ou plusieurs micro-organismes. Une mammite est dite clinique lorsque l’atteinte mammaire se traduit par des symptômes locaux et généraux.
Ainsi, elle est caractérisée par l’apparition des signes généraux (fièvre, anorexie, asthénie, coma etc.), locaux (rougeur, chaleur, œdème, gangrène, asymétrie, sclérose, abcès) et des signes fonctionnels (modifications qualitatives ou quantitatives de la production du lait). D’après Bergonier et al. (2003), l’incidence annuelle des mammites cliniques, chez les petits ruminants en France, est habituellement inférieure à 5p 100. Les mammites cliniques surviennentprincipalement lors de la traite mécanique pendant le premier tiers de la lactation.
L’apparition des mammites est favorisée par différents facteurs tels que la traite, les traumatismes, les blessures, les stress, l’inconfort et la malpropreté du bâtiment.

Importance des mammites

Les mammites sont importantes pour quatre raisons majeures :
• Sanitaire : les mammites cliniques provoquent chez l’animal atteint, une morbidité élevée et une mortalitéfaible. Elle se répercute sur l’état général de l’animal et peut dans certain cas atteindre 5 à 10% du troupeau.
• Economique : les pertes financières dues aux mammites sont occasionnées par la mortalité des femelles, le coût du traitement, la chute de la production laitière, la baisse de la croissance des petits, la baisse dela valeur marchande du lait et la réforme de femelles à mammites chroniques..
• Hygiénique : Le lait de brebis et de chèvre en Afrique est principalement autoconsommé frais ou caillé bien qu’il soit aussi utilisé dans la fabrication traditionnelle du fromage. Le lait peut constituer une source d’infection ou intoxication du consommateur s’il contient des bactéries telles que Escherichia coli, Staphylococcus aureus, Listeria monocytogenes, Salmonella spp.
• Réglementaire : la loi est chargée de définir les bases de ce qui est acceptable et considéré comme correct en ce qui concerne la qualité bactériologique et organoleptique du lait et des ses produits. Au Sénégal, par exemple, le décret n.
o 69-891 du 27 juillet 1969 réglemente le contrôle du lait et des produits laitiers destinés à l’alimentation humaine ou animale.
A ces points essentiels, s’ajoute un intérêt génétique de plus enplus grandissant.
En effet, on y inclut désormais, dans les pays du Nord, la résistance aux mammites comme critère de sélection des ovins laitiers et aussi les scores annuels de comptages cellulaires individuels dansl’indexation des béliers (Bergonier et al., 2002). Si les mammites ont autant d’importance (Sanitaires, Economiques, Hygiéniques et Réglementaires), l’étude des agents étiologiques qui sont à l’origine de ces affections contribuerait à la recherche des solutions pour mieux les combattre.

Etiologie

Il est important de souligner qu’il n’existe pas de flore normale de la mamelle.
Logiquement une mamelle en première lactation est donc stérile. Les mammites sont dues aux effets néfastes d’agression de nature diverse (mécaniques et biologiques).
Plusieurs microorganismes tels que les virus, les mycoplasmes, les champignons et surtout les bactéries en constituent la cause majeure (Bergonier et al., 2003). En fonction de l’évolution épidémiologique des mammites cliniques chez les petits ruminants, différents germes ont été identifiés.

Cas Sporadiques

Dans les cas sporadiques, Staphylococcus aureusest prépondérant. Chez la brebis par exemple, selon les travaux de Bergonier et al. (2002), ce germe représente en moyenne 45% des isolements, toutes formes cliniques confondues. Par ordre d’importance décroissant viennent ensuiteles staphylocoques à coagulase négative (SCN), les streptocoques, les entérobactéries, les corynébacteries, les pasteurelles et Pseudomonas spp.

Cas épizootiques ou enzootiques

Les cas d’épizooties ou d’enzooties chez la brebis sont dus outre Staphylococcus aureus, à Streptocococcus uberis, ou à des pathogènes opportunistes multirésistants (Pseudomonas aeruginosa).

Modifications du lait

ƒ Les modifications d’aspect macroscopiquesse caractérisent par le changement de la couleur blanche ou blanc nacré du lait. On observe des modifications légères (lait brunâtre) et des modifications graves (lait verdâtre et rougeâtre). Parfois, le lait devient purulent.
ƒ Les autres changements sont de nature physicochimique, organoleptique, microbiologique et cellulaire. chez la brebis ou la chèvreatteinte, on constate des modifications de la composition du lait tel que rapporté par le Tableau II.
Normalement, le lait qui sort d’une mamelle saine ne contient pas de microbes mais contient des cellules : environ 35 % de cellules mammaires et 65 % de globules blancs.
Le lait provenant d’une mamelle infectée a un nombre de globules blancs fortement augmenté et notamment des polynucléaires qui, peuvent voir leur taux atteindre 80 % des cellules du lait. Ces polynucléaires permettent de lutter contre l’agression microbienne.

Conséquences médicales et prophylactiques

Un animal souffrant de mammite cliniqueest caractérisé par une perte d’appétit, un abattement, un amaigrissement. La croissance de ses petits peut en pâtir s’il ne sont pas bien nourris. La mortalité est moyenne à faible et peut survenir si l’animal n’est pas traité le plus tôt possible. Elle peut également et c’est le cas le plus fréquemment rencontré, évoluer vers une chronicité accompagnée de la perte partielle ou entière de la mamelle.
La prophylaxie reste délicate et difficileà envisager à long terme puisque la vaccination contre les mammites gangréneuses par exemple n’élimine pas le germe mais aide seulement à inhiber sa multiplication. Les possibilités de contamination et de transmission demeurent intactes.

Conséquences hygiéniques

Elles peuvent se situer à deux niveaux :
o Risques d’intoxication
La consommation du lait et/ou des produitsdérivés du lait mammiteux tels que le lait frais, le fromage frais, peut entraîner, chez l’homme, une intoxication grave et même mortelle lorsque le lait contientdes germes pathogènes (salmonelles, staphylocoques et coliformes). Les travaux de Missohou et al. (2004), sur la production et la transformation du lait de chèvre dans la zone des Niayes au Sénégal, illustrent à quel point le lait et ses produits peuvent être contaminés par de tels germes.
Les valeurs tolérées pour les coliformes (un coliforme/gramme de lait) et la flore totale (<2.10 germes /ml de lait) dans le lait frais sont largement inférieures aux valeurs obtenues sur le terrain.

Prophylaxie

Prophylaxie Médicale

Elle n’a pas encore abouti à des résultats satisfaisants selon les avis de la communauté scientifique. Historiquement, elle repose sur l’utilisation d’autovaccins et de vaccins commerciaux dont l’efficacité n’a jamais été prouvée par des essais contrôlés. Néanmoins, de nombreux travaux sont actuellement menés visant à mettre au point des vaccins modernes plus efficaces. D’après les travaux de Amorena et al. (1994),un vaccin espagnol a fait l’objet d’un essai terrain chez les petits ruminants comprenant deux injections dansle mois précédant et dans lemois suivant la mise bas.
Les résultats obtenus montrèrent que la fréquence des mammites cliniques est plus faible dans le lot vacciné. Cependant, pour les mammites subcliniques, la prévalence des mammites entre le lot vacciné et le lot témoin ne fut pas significativement différente.

Prophylaxie Sanitaire

Elle est de loin la méthode la plus sûre pour prévenir les mammites cliniques mais elle est difficile à suivre. Sachant qu’ily a deux origines principales des germes responsables de mammites cliniques ; une intrinsèque (la mamelle) et l’autre extrinsèque (l’environnement). Par conséquent, la lutte se base sur une action sur ces deux sources.
9 La première mesure préventive à adopter est d’empêcher l’introduction de la maladie dans le troupeau. A cette fin, il fautaxer sa lutte sur les points suivants :
– D’abord, mener une action contre les sources d’origine environnementale en se conformant aux recommandations relatives à la conception et à l’entretien du bâtiment. Lutter contre les infections cutanées des trayons. Selon Bergonier et al. (1997), le premier objectif doit être d’éviter l’apparition de lésions du tégument de toutes origines : bactérienne, virale ou traumatique. La seconde action consiste à lutter contre la contamination secondaire de ces lésions par des bactéries en faisant une antisepsie régulière des trayons.
– Veiller à ne pas faciliter les mécanismesde transmission des mammites. Ceci consiste à prendre certaines mesures avant, pendant et après la traite. Entre autres, il faut essayer d’installer avant la traite un ordre de traite : traire les femelles primipares avant les multipares ; traire les femelles infectées avec un matériel différent, réservé uniquement pour elles. En casde traite manuelle, s’assurer que la main du trayeur est lavée. Veiller à proscrire la pratique qui consiste à cracher dans la main ou à utiliser les premières gouttes de lait pour lubrifier lemamelon. Pendant la traite, s’assurer qu’il n’y a pas surtraite ou soustraite et après la traite une antisepsie des trayons est préconisée. Nyaga et al. (1982) ; Seydi et Ndiaye (1993)affirment, d’après leurs études sur le lait de vache au Sénégal, que le niveau de contamination élevé serait dû à un manque d’hygiène pendant la traite. Il s’avère, d’après les travaux de Contreras et al. (2003) effectués sur les mammites de la chèvre, que si toutes ces mesures préventives citées plus haut sont appliquées, on constate une meilleure efficacité dans le contrôle des mammites cliniques chez la chèvre. En effet, selon ces auteurs, une bonne stratégie de traite diminue la prévalence des mammites cliniques d’environ 1p 100.

Prélèvements du lait

Avant de faire le prélèvement, nousavons respecté certaines conditions d’asepsie pour éviter que le lait soit contaminé par des germes provenant de la peau de la mamelle ou de l’environnement. Pour réussir un prélèvement de bonne qualité, nous avons désinfecté les mains de l’opérateur et à l’aide de coton trempé dans de l’alcool éthylique ou de l’eau de javel diluée, nettoyé le mamelon de chaque quartier mammaire. Les premiers jets delait étaient observés et jetés afin de nettoyer le canal galactophore de tous les débrisqui auraient pu rentrer dansle pis par voie ascendante.
Enfin, nous avons veillé à ce que l’ouverture des tubes à essai stérilisés au préalable ne touche pas le bout du pis au moment de prélever le lait. Nous avons également étiqueté chaque tube à essai avec des étiquettes portant les abréviations du nom de l’espèce animale, de sa race, de son sexe. Les abréviations du nomdu site, du nom du vétérinaire sur le site et du quartier mammaire atteint figuraient également sur les étiquettes. Ainsi, le prélèvement était constitué du lait de chèvre ou de brebis, recueilli de chaque quartier mammaire. On obtenait donc de chaque animal manifestant les signes cliniques d’une mammite deux prélèvements. Les prélèvements ont été par la suite placés dans une glacière contenant des cryo conservateurs et acheminés sous une chaîne de froid au laboratoire de bactériologie de L’Ecole Inter-Etats des Sciences et
Médecine Vétérinaires (E.I.S.M.V). La conservation au laboratoire, s’est faite dans un congélateur à -20 o C.

Isolement

L’isolement a été réalisé par ensemencement du lait décongelé sur gélose au sang de mouton. Chaque prélèvement a été ensemencé sur deux boîtes de pétri. Ensuite, les deux boîtes ont été incubées pendant 24 à 48 heures à 37o C, l’une dans une atmosphère oxygénée et l’autre dans une atmosphère anaérobie. Cette gélose enrichie au sang, apporte des nutriments et des facteurs de croissance aux germes dans le lait et l’incubation des boîtes de pétri dans un milieu aérobie et anaérobie offre un maximum de chance à toutes les bactéries présentes dans le prélèvement de pousser. Il arrive que dans certaines boîtes il n’y ait pas de croissance à l’issue de l’incubation de 24 heures, d’où la nécessité d’incubation les tubes contenant le lait. Cette incubation, contribue à l’enrichissement des prélèvements pauvresen germes. Ainsi, après 24 heures d’incubation, les boîtes dans lesquelles les bactéries n’ont pas poussé sont identifiées et les laits correspondant aux mentions de ces boîtes sont réensemencés. Ce n’est qu’à l’issue de ce deuxième ensemencement que, le prélèvement est déclaré négatif en l’absence de colonie dans la boîte de pétri.

Purification et Identification

A partir des bactéries isolées on réalise des cultures pures. Une série d’opération, nous ont permis d’aboutir à l’identification des souches purifiées.
L’identification est d’abord générale, puis au fur et à mesure, elle devient plus spécifique. La caractérisation macroscopique, qui constitue latoute première étape de l’identification permet de déterminer la forme des colonies et le pouvoir hémolytique de la bactérie. L’étape suivante consisteà faire une coloration de Gram qui nous permet de différencier au microscope les coques et les bacilles. A titre d’exemple, la Figure 5 présente les étapes suivies pour l’identification des coques à Gram positif.

Antibiogramme

C’est le résultat de l’étude in vitro de la sensibilité d’une bactérie à différents antibiotiques. L’antibiogramme est indiqué dans deux circonstances :
o Avant l’utilisation pratique d’un nouvel antibiotique. Dans ce cas, il permet de préciser le spectre d’activité de l’antibiotiquec’est-à-dire les bactéries qui lui sont sensibles. Il permet également de déterminer l’intensité del’action : inhibition de la multiplication (bactériostase) ou destruction (bactéricidie), de l’antibiotique sur les diverses catégories de bactéries sensibles.
o Bien réalisé, il permet de guider la thérapeutique de l’infection. Pour un traitement que l’on veut efficace, il est nécessaire de savoir à quels antibiotiques, la souche bactérienne responsable de la pathologie et isolée, se révèle sensible.
En définitive, l’antibiogramme permet d’éviter les risques d’antibiorésistance qui sont le fruit d’une utilisation abusive et inappropriée des antibiotiques.
Cette étude de l’antibiosensibilité qui a porté sur dix antibiotiques (Tableau IV) parmi lesquels ceux utilisés le plus couramment par les vétérinaires cliniciens à Dakar dans le traitement des mammites, a été réalisée par la méthode de diffusion sur milieu gélosé. Il s’agit de déposer des disques d’antibiotique sur une gélose Mueller Hinton précédemment ensemencée par inondation avec une suspension de la bactérie à étudier. Il s’établit dans la gélose un gradient de concentration d’antibiotique autour de chaque disque. Après 24 heures d’incubation, unhalo clair d’inhibition, dont le diamètre sera mesuré, est créé autour de chaque disque d’antibiotique. Une comparaison des différents diamètres obtenusaux diamètres critiques publiés par des organisations reconnues tel que le comité del’antibiogramme de la Société Françaisede Microbiologie (CASFM) permet de répondre qualitativement si la souche bactérienne étudiée peut être classée comme sensible (S) ou résistante (R) à l’antibiotique présent sur chaque disque(Annexe II)

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Table des matières
Introduction
Première partie : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : La mamelle
1.1. Définition et Importance
1.2. Particularités Anatomiques de lamamelle des petits ruminants
1.3. Fonctionnement physiologique de la mamelle
1.3.1. Mécanisme de la sécrétion du lait
1.3.2. Spécificité de la chèvre
1.4. Les Mécanismes de défense de la mamelle
1.4.1. La défense locale
1.4.1.1. Les moyens physiques
1.4.1.1.1. Les moyens passifs
1.4.1.1.2. Les moyens dynamiques
1.4.1.2. Les moyens bactéricides
1.4.2. La défense générale
1.4.2.1. Les moyens cellulaires
1.4.2.2. Les moyens non cellulaires
CHAPITRE II : Les mammites cliniques et leurs conséquences
2.1. Les mammites cliniques
2.1.1. Généralités
2.1.1. Définition
2.1.2. Importance des mammites
2.1.2. Etiologie
2.1.2.1. Cas sporadiques
2.1.2.2. Cas épizootiques ou enzootiques
2.1.3 Pathogénie
2.1.3.1. Invasion de la mamelle
2.1.3.2 Destruction du tissu alvéolaire
2.1.4. Epidémiologie
2.1.4.1. Epidémiologie Descriptive
2.1.4.1.1. Taux d’atteinte : prévalence et persistance
2.1.4.1.2. Facteurs de variation du taux d’atteinte
2.1.4.2. Epidémiologie Analytique
2.1.4.2.1. Réservoirs des germes
2.1.4.2.2. Facteurs dela susceptibilité
2.1.4.2.2.1 Facteurs de réceptivité
2.1.4.2.2.2. Facteurs de sensibilité
2.1.4.2.3. Modalité de la transmission
2.1.5. Etude Clinique
2.1.6. Diagnostic
2.1.6.1 Diagnostic clinique
2.1.6.2. Diagnostic étiologique
2.2. Conséquences des mammites cliniques
2.2.1. Modification du lait
2.2.2. Conséquences médicales et prophylactiques
2.2.3. Conséquences hygiéniques
2.2.4. Conséquences économiques
CHAPITRE 3 : Lutte contre les mammites cliniques
3.1. Prophylaxie
3.1.1. Prophylaxie médicale
3.1.2. Prophylaxie Sanitaire
3.2. Traitement
3.2.1. Antibiothérapie
3.2.1.1. Traitement par voies intra mammaires
3.2.1.2. Traitement par voie générale ou parentérale
3.2.2. Traitements complémentaires
Deuxième partie : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : La zone d’étude
1.1. Présentation de la zone et des sites de l’étude
1.2. Systèmes d’exploitation et productions
1.2.1. Systèmes d’exploitation
1.2.2. Productions
CHAPITRE II : Matériel et Méthodes
2.1. Matériel
2.1.1. Sur le terrain
2.1.1.1 Animaux
2.1.1.2. Fiches d’enquête
2.1.1.3. Matériel de prélèvement
2.1.2 Au laboratoire
2.2. Méthodes
2.2.1. Sur le terrain
2.2.1.1. Les Enquêtes
2.2.1.2. Examen clinique
2.2.1.3. Prélèvements du lait
2.2.2. Au laboratoire
2.2.2.1. Préparations des milieux de culture
2.2.2.1.1. Milieux d’isolement
2.2.2.1.2. Milieux d’identification
2.2.2.1.3. Milieu pour antibiogramme
2.2.2.2. Isolement
2.2.2.3. Purification et Identification
2.2.2.4. Antibiogramme
2.2.3. Analyses des données
CHAPITRE III : Résultats et Discussion
3.1 Résultats
3.1.1. Sur le terrain
3.1.1.1. Caractérisation de l’échantillon
3.1.1.2. Résultats de l’examen clinique
3.1.1.3. Utilisation d’antibiotique
3.1.2. Au laboratoire
3.1.2.1. Résultats bactériologiques
3.1.3. Résultats de l’antibiogramme
3.2. Discussion
3.2.1. Choix de la zone d’étude
3.2.2. Choix des animaux
3.2.3. Méthodologie de l’étude
3.2.3.1.Sur le terrain
3.2.3.2. Au laboratoire
3.2.4. Résultats bactériologiques
3.2.4.1. Résultats globaux
3.2.4.2. Résultats par espèce
3.2.5. Résultats de l’antibiogramme
3.2.5.1. Résultats globaux
3.2.5.2. Résultats par espèce
Conclusion
Références bibliographiques
Annexes

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