Les maladies parodontales 

Problématique de l’école franco-arabe

Les institutions religieuses existent sous diverses formes à travers les pays de religion musulmane. Elles apparaissent tantôt sous forme de foyers, de groupes ou d’associations etc. Au Sénégal, elles sont apparues progressivement avec la percée de l’islam et l’islamisation s’est opérée à partir defoyers culturels et spirituels. Le mouvement est apparu dès le 11 ème siècle dans la partie nord de la vallée du fleuve Sénégal. L’enfant de confession musulmane y recevait une éducation religieuse chezle marabout Hal pulaar.
C’est par la suite que ce mouvement s’est répandu avec l’installation d’écoles coraniques. Ces écoles avaient entre autres rôles l’éducation et la socialisation des enfants. Cependant avec l’évolution de la société devenue moderne, cette socialisation connaît des limites.
En dehors de l’acquisition dusavoir et de comportement vertueux, le talibé ou disciple avait comme seule ouverture à la vie active le « falah » qui signifie « cultivateur ». En effet il était urgent pour la communauté de créer un compromis entre l’islamisation, l’enseignement religieux des enfants et leur préparation à la vie active professionnelle. Un problème qui est à l’origine de la naissance du système franco-arabe qui allie l’arabe et le français(6).

OBJECTIFS

• Evaluation de la santé bucco-dentaire des enfants fréquentant les établissement franco-arabes de la région de Dakar
•Evaluation du niveau de connaissance des mères et des enseignants sur la carie et les parodontopathies

Les fiches d’enquête

Nous avons utilisé pour les mères et les enseignants une fiche d’enquête établie par Poul Erik Petersen (2003)qui comprend deux parties (voir annexe) :
-Pour les mères nous avons un questionnaire de 10 pages avec 22 items sur les caries, le saignement des gencives, l’hygiène alimentaire et dentaire, son enfant et leur niveau d’instruction. A chaque question nous avions plusieurs réponses.
-Pour les enseignants lequestionnaire comprend 5 pages avec 10 items sur les caries, le saignement des gencives, l’hygiène alimentaire et dentaire et si oui ounon les enseignants ont abordé le sujet de la santé bucco-dentaire avecleurs élèves au cours de l’année scolaire et éventuellement le nombre de séances.
Pour toutes les questions il y avait plusieurs modalités de réponse.
Pour les besoins de cette étude est une version courte du questionnaire a été retenue car tousles items n’ont pas été utilisés.
Les enfants ont été examinés etpour le recueil des données nous avons utilisé la fiche d’enquête simplifiée de l’OMS (1986) sur l’évaluation de la santé bucco-dentaire.

Méthodologie

Déroulement de l’enquête

Après autorisation du Ministère de l’Education Nationale, nous avons contacté l’ensemble des directeurs d’écoles franco-arabes de la région de Dakar pour leur faire part de l’étude dont nous voulions mener, leur expliquer les objectifs et les éventuelles bénéfices pour les enfants. Les enseignants ont ensuite été informés. Après cela, nous avons remis les fiches d’enquête accompagnées d’une lettre d’explication aux enfants afin qu’ils les remettent à leurs parents. Une fois l’accord obtenu, nous avons récupéré les fiches des parents et des instituteurs et procédé à l’examen clinique des enfants et au recueil des données.

Critères d’inclusion et d’exclusion

Critères d’inclusion

L’enquête a porté sur des enfants d’âge préscolaire et élémentaire compris entre 3 et 15 ans fréquentant les écoles francoarabe de la région de Dakar et dont les parents ont accepté de participer à l’étude.

Critère d’exclusion

Les enfants handicapés ne sont pas pris en compte par l’enquête, de même que ceux dont les parents ont manifesté le souhait de ne pas être inclus.

Type d’enquête

Cette étude est une enquête épidémiologique de type descriptive et analytique. Un sondage combiné par grappe et par liste été utilisé.

Choix des écoles

Ces critères ci-dessus, nous ont permis de retenir 10 écoles. Toutes les écoles concernées étaient des structures publiques parce qu’au niveau du privé on y trouve que le moyen et le secondaire.

Taille de l’échantillon

Nous avons fixé à 500 enfants soit le quart des effectifs du préscolaire et de l’élémentaire. Cenombre a été obtenu d’après les différentes études sur les enfants car nous n’avons pas de prévalence de la carie au niveau national qui nous aurait permis d’utiliser les formules mathématiques de calcul du nombre d’enfants. Ces enfants ont été répartis entre le préscolaire et l’élémentaire ce qui a donné 250 pour le préscolaire et 250 pour l’élémentaire.

Examen clinique et recueil des données

L’enquête s’est déroulée les matins dans les établissements où nous avions établi la liste des élèves dans chaque classe, puis nous avons fusionné ces listes pour avoir une seule concernant l’ensemble des élèves de l’établissement. A chaque élève un numéro a été attribué sur la liste et nous avons tiré au hasard le nombre d’enfants qui sera concerné par l’enquête.
Dans une salle mise à notre disposition, et à la lumière du jour, nous avons enfin effectué l’examen clinique de l’enfant et recueilli les données sur la fiche d’enquête de l’OMS. Chaque enfant examiné recevait ensuite un questionnaire pour sa mère, celui des enseignants étant déjà donné en classe. Nous sommes ensuite revenus collecter les fiches des mères et des enseignants.

Plan d’analyse des données

* Prévalence : C’est le rapport entre le nombre d’enfants avec au moins une dent cariée et lenombre d’enfants examinés.
* Indice CAO permet de mieux apprécier l’état dentaire : c’est la somme des dents cariées temporaires et permanentes (C), absentes permanentes (A) et obturées temporaires et permanentes (O).

Exploitation des données

L’exploitation des données a été faite grâce au logiciel SPSS 11.0. Dans notre enquête nous avons utilisé l’unité statistique « individu » pour étudier la prévalence de la carie, des parodontopathies, des malocclusions et l’unité statistique « dent » pour étudier la morbidité dentaire dans la communauté des élèves.

Connaissance de la carie dentaire

Causes de la carie

Différentes causes ont été citées, mais 72,7% des parents qui ont répondu à cette question pensent que les caries sont dues aux bactéries et au sucre. Parmi eux, 52,5% pensentque le sucre seul peut être responsable alors que pour 34,3% ce sont les bactéries. Enfin, 25,3% des parents pensent que la carie dentaire est une maladie.

Prévention de la carie

Pour prévenir la carie, 65,7% des parents pensent qu’il faut se laver les dents et aller régulièrement chez le dentiste, pour 56,2% il faut prendre du fluor, et 46,8% pensent qu’il faut se nettoyer les dents avec le bâtonnet frotte-dents.

Facteurs nuisible pour les dents

Les éléments les plus nuisibles pour les dents sont dans l’ordre les bonbons et confiseries (83,1% des parents), le sucre (72 ,5%), le tabac (67,2%), le lait sucré (47,6%),thé sucré (36,0%) et le café sucré (33,9%)

Opinion

Les résultats obtenus montrent que 169 parents (86,2%) pensent qu’il faut faire régulièrement contrôler les dents des enfants par le dentiste, 166 (84,7%) pensent que les parents doivent éviter que les enfants consomment trop de sucreries et de boissons sucrées,160 (81,6%) pensent que les enfants de moins de10 ans doivent se laver les dents avec l’aide d’un adulte 158 (80,6%) pensent que trop de sucre provoque des caries, 157 (80,1%) pensent que le fluor protége contre les caries.

Etat de santé général des enfants selon les mères

Plus de la moitié des mères sont satisfaites de la santé générale de leurs enfants (104 mères soit 52,8%) alors que 86 mères soit 43,7% pensent que leur enfants ont un état général mauvais à très mauvais.

Les enseignants

Connaissance de la carie

Causes de la carie

Les principales causes citées sont les bactéries et le sucre pour 88,2% des enseignants (15 enseignants), 64,7% pensent que les bactéries seules sont responsables de la carie tandis que pour 58,8% le sucre est le facteur principal. Par ailleurs, 7 enseignants soit 41,2% pensent que la carie dentaire est une maladie.

Prévention de la carie

Pour prévenir la carie, il faut aller régulièrement chez le dentiste pour 88,2% des enseignants et selon 64,7% qu’il faut prendre du fluor.
Se laver les dents permet d’éviter lacarie pour 58,8%,alors que pour pensent 52,9% il faut utiliser un bâtonnet frotte-dents.

Nuisible pour les dents

les bonbons et confiseries (94,1%), le tabac (82,4%) le sucre (76,5%) et le lait sucré (35,3%) sont les facteurs les plus nuisibles pour les dents selon les enseignants.

Opinion

L’ensemble des enseignants pensent qu’il faut apprendre aux enfants les principes de l’hygiène dentaire. Ce sont les enseignants qui doivent expliquer aux élèves les causes des caries, du saignement des gencives et qu’il faut régulièrement contrôler les dents (88,2%). Ils estiment dans 82,4% des cas que les parents doivent éviter que leurs enfants ne consomment tropde sucrerie et de boissons sucrées et que le fluor protége les dents contre les caries

Cours sur la santé bucco-dentaire

En classe, 9 enseignants (75%) ont parlé de l’importance de l’hygiène dentaire, 8 (66,7%) ont parlé du lavage des dents et 6 (50%) de l’alimentation équilibrée,du sucre, des dents et de la bouche. Cet enseignement s’est fait eu 2 à 3 séances pour 2 enseignants alors qu’un seul l’a effectué en 4 séances.

Connaissance du saignement des gencives

Cause du saignement

Les résultats montrent que 14 enseignants (82,8%) pensent qu’un mauvais lavage des dents est à l’origine des saignement des gencives, 10 (58,8%) pensent que c’est une maladie, pour 9 (52,9%) pensent c’est la plaque dentaire / les bactéries qui est responsable et 6 (35,3%) pensent que c’est le mélange chaud-froid.

Prévention du saignement

Pour prévenir les saignements, il faut se brosser les dents et aller régulièrement chez le dentiste pour76,5% des enseignants tandis que 64,7% pensent qu’il faut prendre du fluor et 41,2% qu’il faut se rincer la bouche avec de l’eau.

Etat de santé dentaire des élèves

L’état de santé dentaire des élèves est bon à satisfaisant pour 81,4% des enseignants et pour 18,8%, les élèves ont un mauvais à très mauvais état dentaire.

COMMENTAIRES ET DISCUSSION

Contraintes et limites de cette étude

Cette étude a porté sur des enfants fréquentant les écoles franco-arabes de la région de Dakar. La liste de ces écoles a été fournie par les autorités du ministère de l’Education Nationale mais elle est aussi disponible sur lesite internet dudit ministère. De nombreuses difficultés ont cependant été rencontrées pour localiser ces établissements, car les adresses qui figuraient sur la liste ne correspondaient pas toujours à l’implantation réelle des établissements.
Il s’y ajoute que ces adresses étaient souvent incomplètes et ne donnaient pas d’indications précises, surtout pour les écoles qui se trouvent dans la banlieue dakaroise.La contrainte majeure était donc de localiser ces établissements.
Au cours de cette étude, nous avons trouvé beaucoup d’écoles qui ne figuraient pas sur les listes du ministère ni sur son site. Les investigations, ont montré que les listes ne sont pas mises à jour car de nombreuses écoles ont été implantées et ne sontpas encore prises en compte. De plus, d’autres écoles qui avaient une autorisation provisoire et qui n’ont pas encoresubi une inspection en vu de l’autorisation définitive ne sont pas comptabilisées auministère, mêmesi par ailleurs elles fonctionnent depuis de nombreuses années. Ainsi donc les listes ne concernaient que les établissements qui ont un agrément définitif après avoir rempli le cahier des charges fourni par le ministère de l’éducation. Les résultats de cette étude ne concernent donc pas en réalité toutes les écoles franco-arabes de la région de Dakar dont le nombre exact est difficile à trouver.
La seconde limite à cette étude est constituée par le questionnaire lui même qui est une autoévaluation où les personnes enquêtées remplissaient elles-mêmes le formulaire et le renvoyaient ensuite. L’inconvénient majeur de cetype de questionnaire réside dans le fait qu’il faut que la personne enquêtée soit instruite ou bien qu’elle soit aidée.
Une autre limite qui est aussi liéeau niveau d’instruction, est que le questionnaire s’adresse à la mèrequi, dans nos pays en voie de développement, est très souvent analphabète ou tout au plus alphabétisée. C’est ainsi que certaines questions ont été laissées sans réponse, soit parce difficiles, soittouchant des domaines que les gens n’aiment pas souvent révéler, comme le nombre d’enfants, les habitues alimentaires ou les revenus. Le tauxde retour des questionnaires et donc de réponse est aussi en rapport avec l’instruction car lorsque les parents n’en comprennent pas l’utilité, ils ne les remplissent pas ou ne les renvoient pas.
Cependant, la taille de l’échantillon qui représente le quart de l’effectif total des écoles franco-arabes qui setrouvent sur la liste fournie par le ministère, ainsi quela méthode d’échantillonnage ont permis de contourner ces difficultés et d’avoir des résultats fiables.

Les enfants

Données socio-démographiques

Selon l’âge et le sexe

Notre échantillon d’étude est composé de 500 enfants des deux sexes âgés de 3 à 15 ans avec un âge moyen de 7,15 ±3,5 ans. Il y a une prédominance des filles (262) quireprésentent 52,% des élèves contre 47,6% de garçons (238) (figure 1). Les filles sont plus nombreuses surtout dans la tranche d’âge de 12-15 ans (figure 2).
Cette répartition est différente de ce qu’on rencontre habituellement dans les écoles françaises où le taux de scolarisation des filles est faible et représente souvent le 1/3 de celui des garçons selon les statistiques du ministère de l’Education Nationale.
L’enseignement franco-arabe exerce une attraction de plus en plus grande car en plus de l’arabeet du français, l’enseignement religieux y est dispensé et occupeune place importante. Ce facteur permet de rassurer les parents qui y envoient volontiers leurs filles car ils ont parfois des craintes pour l’enseignement de typeoccidental. On pourrait aussi évoquerla politique du gouvernement pour unescolarisation massive des filles quipar l’intermédiaire du programme décennal de l’éducation et de la formation (PD E F) a permis une augmentation nette de la scolarisationféminine. Il s’y ajoute que les frais de scolarité sont assez abordables ce quipermet à des couches défavorisées de la population de scolariser leurs enfants. Cependant, avec les nouveaux programmes officiels qui permettent maintenant d’entreprendre de véritables études franco-arabes jusqu’à l’université, et pas seulement un enseignement à dominante religieux, les parents de niveaux socio-professionnels élevés y envoient de plus en plus leurs enfants, filles ou garçons.

Selon le milieu et l’ethnie

Environ 2/3 des élèves(63%) qui fréquentent ces établissements sont issus du milieu périurbain (figure 3). Cette disparité dans la répartition géographique s’explique par le fait que la plupart des établissements franco-arabes de la région de Dakar sont situées dans la banlieue et par conséquent scolarisent les élèves qui habitent à proximité. Il faut aussi noter les premiers lieux d’implantation des établissements franco-arabes sont labanlieue, notamment Thiaroye et Pikine.
Tous les groupes ethniques sont représentés dans ces écoles avec une prédominance des wolofs (32%), suivis des Al pulars (28,4%) et des Sérères (11,8%) (figure 3). Cette représentativité ethnique est conforme à la distribution de la population générale sénégalaise où ces ethnies sont retrouvées à ces taux quasi similaires.

Selon le cycle d’étude

Les élèves du cycle préscolaire sont âgés de 3 à 7 ans et sont répartis en 3 sections mais la grande section, avec 102 enfants soit 41% des élèves, est plus fortement représentée (figure 4). Au niveau du cycle secondaire, l’âge des élèves est compris entre 5 et 15 ans, avec 4,8% d’enfants âgés de14 à 15 ans (figure 5).
Au niveau de ces différents cycles d’étude, nous observons l’âge avancé de certains élèves (7 ans pourle préscolaire et 14 -15 ans pour l’élémentaire). A 7 ans il est habituel de voir les enfants à l’école élémentaire et à 14 ans au secondaire. Cependant, lefaible nombre
d’enfants de ces âges ne permet pas de tirer une conclusion évidente quant à la cause, surtout qu’au niveau de ces mêmes établissements nous avons des enfants âgés de 5 ans qui fréquentent déjà l’école élémentaire.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières
INTRODUCTION 
CHAPITRE I : RAPPELS SUR LA CAVITE BUCCAL
1.1 – ANATOMIE DESCRIPTIVE
1.2 – ECOSYSTEME BUCCAL
1.3 – LES PATHOLOGIES BUCCO-DENTAIRES
1.3.1 – La carie dentaire
1.3.2 – Les maladies parodontales
1.3.2.1 – Les gingivites
1.3.2.2 – Les parodontites
1.3.3 – Les lésions dela muqueuse buccale
1.3.3.1 – Stomatites non spécifiques
1.3.3.2 – Stomatites non spécifiques
1.4 – LES ANOMALIES ORTHODONTIQUES
1.4.1 – Les anomalies morphologiques
1.4.2 – Les anomalies fonctionnelles
1-5 – L’ENSEIGNEMENT FRANCO ARABE A DAKAR
1.5.1 – Organisation administrative
1.5.2 – Organisation socio-économique
1.5.3 – Problématique de l’école franco-arabe
CHAPITRE II : ENQUETE EPIDEMIOLOGIQUE
2.1- OBJECTIFS
2.2 – CADRE D’ETUDE
2.3 – MATRIELS ET METHODE
2.3.1 – Matériels
2.3.1.1 – Matériels d’examen clinique
2.3.1.2 – Matériels de nettoyage et de désinfection
2.3.1.3 – Les fichesd’enquête
2.3.2 – Méthodologie
2.3.2.1 – Déroulement de l’enquête
2.3.2.2 – Critères d’inclusion et d’exclusion
2.3.2.3 – Type d’enquête
2.3.2.4 – Choix des écoles
2.3.2.5 -Taille de l’échantillon
2.3.2.6 – Examen clinique et recueil des données
2.3.2.7 – Plan d’analyse des données
3.2.6 – Exploitation des données
2.4- RESULTATS
2.4.1 – Les enfants
2.4.1.1 – Données socio-démographiques
2.4.1.1.1 – Répartition selon le sexe
2.4.1.1.2 – Répartition selon latranche d’âge et le sexe
2.4.1.1.3 – Répartition selon l’ethnie et le milieu
2.4.1.1.4- Répartition selon le cycle d’étude
2.4.1.2 – Bilan bucco-dentaire
2.4.1.2.1- Détermination de laprévalence de la carie dentaire
2.4.1.2.2 – Bilan parodontal
2.4.2 – Les mères
2.4.2.1- Données socio-démographiques
2.4.2.1.1. Niveau d’instruction
2.4.2.1.2 – Position des enfants dans la famille
2.4.2.2 – Connaissance de la carie dentaire
2.4.2.3 – Connaissances sur lesaignement des gencives
2.4.2.4 – Etat dentaire actuel des enfants selon les mères
2.4.2.5 – Etat de santé général des enfants selon les mères
2.4.3 – Les enseignants
2.4.3.1 – Connaissance de la carie
2.4.3.2 – Connaissance du saignement des gencives
2.4.3.3 – Etat de santé dentaire des élèves
2.5 – COMMENTAIRES ET DISCUSSION
2.5.1 – Contraintes et limites de cette étude
2.5.2 – Les enfants
2.5.2.1 – Données socio-démographiques
2.5.2.1.1 – Selon l’âge et le sexe
2.5.2.1.2 – Selon le milieu et l’ethnie
2.5.2.1.3 – Selon le cycle d’étude
2.5.2.2 – Le bilan bucco-dentaire
2.5.2.3 – Bilan parodontal
2.5.3 – Les mères
2.5.3.1 – Données socio-démographiques
2.5.3.2 – Connaissance de la carie dentaire
2.5.3.3 – Connaissances sur le saignement des gencives
2.5.3.4 – Etat dentaire actuel des enfants selon les mères
2.5.4 – Les enseignants
2.6 – RECOMMANDATIONS
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE

Lire le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *