Les limites de la démocratie et la participation des populations dans la recherche de solution

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Les étapes de l’extension urbaine

Guéoul est marquée depuis longtemps par des événements qui ont plus ou moins stimulé sa capacité de polarisation. L’extension urbaine de la ville a pris différentes allures suivant plusieurs étapes.
Fondé depuis le 18ème siècle par Barama Séllé NDIAYE, la ville s’est réellement structurée à partir de 1886, la date qui correspond exactement à la mise en place du chemin de fer Dakar-Saint Louis. A partir de cette période, la ville était construite dans la partie Est et Sud-ouest de la voie ferrée c’est-à-dire précisément autour des anciens quartiers Thilla/Escale.
Ces quartiers abrite les bâtiments coloniaux illustrant le rôle joué par Guéoul durant la colonisation à travers l’implantation de maisons commerces françaises et durant la traite arachidière.
Après l’indépendance, l’année 1960 marque la construction de la route nationale n°2 dans la localité. Le passage de cette route participe au redéploiement de la population de part et d’autre des quartiers de Gouye Galle et DVF qui constituent le deuxième pôle d’établissement humains et qui se trouvent autour des axes de communication que sont la route nationale et la voie ferrée. Quant au quartier de Dédiagne et Darou Salam Nimzatt ont connu leur extension avec la mise en place de la route de Ngourane qui fut construite par Mamadou Dia dans les années 1962 et qui a joué un rôle non négligeable dans la desserte des villages comme Bakya, Loyenne, Mbissis, Ndiengue Ngourane, Ngourane Peul, Ngourane Ouolof, Mbarom, Ndjignakh Fall…etc. C’est sans doute cette situation qui a favorisé l’immigration des populations des villages environnants fuyant la crise agricole de 1972.
En 1976, érigée en communauté rurale, Guéoul est confortée dans sa position de carrefour pôle d’attraction. Ainsi, elle devient une zone polarisatrice à l’égard des autres villages dont elle constitue le chef-lieu et le centre des échanges. Ce pouvoir polarisant étant aussi facilité par l’installation des certaines infrastructures de base telles que la construction de la maison communautaire et du foyer des jeunes en 1977 et celle du poste de santé en 1979.
Le décret n°2008-748 du 10 juillet 2008 crée la commune de Guéoul. Ce nouveau découpage donne naissance à deux entités géographiques autonomes à savoir la commune de Guéoul et la communauté rurale de Ngourane Ouolof. Le dernier réaménagement territorial positionne Guéoul dans la voie de la modernisation. Le projet territorial placé est au coeur de la politique de l’Etat et de la municipalité à travers la modernisation des infrastructures.

Les tendances actuelles du développement urbain

Aujourd’hui, l’extension de la commune est caractérisée par un boom immobilier sans précédent. La commune de Guéoul est structurée autour d’une centralité bipolaire. D’une part on a un pôle d’attraction administratif et économique qui constitue le centre-ville et d’autre part les périphéries urbaines résultant de l’expansion de la ville. Le centre administratif et économique se trouve autour des vieux quartiers Thilla-Escale qui abritaient les activités commerciales pendant la colonisation mais aussi les quartiers de Gouye Galle et DVF bâtis de part et d’autre des voies de communications. Il constitue la zone des services et des affaires contrairement au reste de la ville qui est faiblement desservi en services de base.
Par ailleurs, la spécificité de Guéoul est que contrairement aux autres villes, les périphéries urbaines à l’exception des « fakk deuk » ne sont pas totalement des quartiers défavorisés. Cependant le lotissement reste irrégulier presque dans tous les quartiers de la ville. Pour redistribuer les fonctions urbaines et corriger le déséquilibre lié à l’accessibilité, la municipalité tente redéfinir les formes d’occupation au sol avec un emplacement centrifuge des nouvelles infrastructures (la mairie, nouveau lycée, stade municipal, le foirail, le projet d’université). Aujourd’hui, ces nouvelles infrastructures se situant à des niveaux excentriques favorisent la formation de quartiers spontanés qui amorcent l’intégration des villages environnants (Ndékhy Diop dont tous les habitants ont migré vers Guéoul après la communalisation, Gouye Mbaye Sall, Mbarom…etc.) dans le tissu urbain. Tout de même on note une volonté de réorganiser l’architecture urbaine même si le respect de l’aménagement du territoire n’est pas totalement visible à travers un plan d’urbanisation viable. Pour assurer un développement urbain harmonieux la municipalité doit mieux réfléchir sur la régularisation de l’occupation de l’espace urbain. Ce dernier continue de subir la pression des populations autochtones mais aussi des nouveaux arrivants. L’intégration du tissu urbain doit aussi être assurée à travers la mise en place de voies de communication qui permettent de relier les différents quartiers de la ville.

Les facteurs favorisant l’extension urbaine

La commune de Guéoul est une ville qui occupe la position de carrefour entre les différents villages des communautés rurales de Ngourane Ouolof et de Bandègne. Traversée par la route nationale N°2, Guéoul est une escale entre la Région de Dakar et les régions de Louga, Saint Louis, Matam…etc. Elle se situe à mi-parcours entre Kébémer et Louga respectivement entre 17 km et 20 km. Guéoul est très proche de l’océan atlantique (30 km) en allant vers Bandègne.
Sa situation géographique est d’un intérêt capital pour la ville et son hinterland car elle favorise le développement d’activités économiques comme le commerce qui emploie une bonne partie de la population. L’offre de travail et de services favorisent la venue des populations rurales qui finissent la plupart du temps par s’y installer pour se rapprocher des infrastructures. Guéoul a été pendant longtemps un pôle de développement.
Ancienne escale ferroviaire, elle a joué un rôle déterminant dans la traite arachidière durant l’époque coloniale. Guéoul est un grand centre religieux, elle est une des capitales de la confrérie khadrya. Par ailleurs, son pouvoir d’attraction s’est vu renforcé après avoir été promue chef-lieu de communauté rurale dès 1976 puis de commune en 2008. L’offre de services et le développement du commerce favorise la venue des populations des zones environnantes. Le marché hebdomadaire qui a lieu tous les Lundi est l’exemple patent du degré de polarisation de Guéoul. En plus de cela, Guéoul dispose d’infrastructures sanitaires, scolaires, mais aussi des commerces, institutions financières…etc. C’est pour cette raison qu’elle figure parmi les quatre zones de polarisation (Guéoul, Lompoul, Ndande, Darou Mousty) du Département de Kébémer. D’autres atouts sont à noter par rapport à l’accès à l’eau et à l’électricité. Contrairement au village de l’hinterland, les populations accèdent facilement à l’eau pour 74% des ménages et à l’électricité pour 83%.

Les caractéristiques démographiques

La population de la Commune de Guéoul se caractérise par une augmentation rapide mais aussi par une répartition très inégale. Plusieurs facteurs concourent à l’explosion du peuplement parmi lesquels on peut citer en dehors de la croissance naturelle, l’afflux massif de populations rurales.

Les motifs d’installation de la population

Guéoul est une localité habité bien avant la colonisation. Les premiers habitants seraient venus du Fouta. D’autres populations venues d’origine diverse se sont ajoutées aux populations d’origine. Les données du tableau suivant montrent que les motifs d’installation de la population à Guéoul sont multiples. Ces populations proviennent d’origine diverse. Ainsi, sur les 100 ménages interrogés on constate que les 59% sont originaires de Guéoul, les 16% proviennent des villages environnants et les 25% restant sont originaires des autres localités. Concernant les raisons évoquées pour expliquer leurs installations à Guéoul, les motifs avancés sont multiples suivant le lieu d’origine :
 Les ménages originaires de Guéoul donnent les raisons suivantes : le lieu de naissance pour 48 ménages, l’établissement de la famille pour 10% des ménages.
 Les ménages originaires des villages environnants expliquent leur installation par : les raisons professionnelles 4% des ménages, pour se rapprocher des infrastructures 5% des ménages, pour l’aspect religieux et le calme, pour l’établissement de la famille et pour les études on a enregistré 2% des ménages pour chaque citation.
 Les ménages originaires des autres localités évoquent : les raisons professionnelles pour 14% des ménages, pour le mariage 5 % des ménages, à cause des inondations à Dakar 3% des ménages.
Les raisons les plus cités par les ménages non originaires de Guéoul sont les raisons professionnelles, suivis de la disponibilité des infrastructures, le mariage, l’aspect religieux…etc.

Les caractéristiques de l’habitat

Dans la commune, l’habitat tend vers la modernisation. La majorité des constructions est de style moderne mais il existe aussi des maisons traditionnelles qui continuent de loger de nombreuses familles.

Typologie de l’habitat

La modernisation de l’habitat concerne surtout les nouvelles constructions. Le boom immobilier qui a suivi la communalisation est un facteur favorisant ce niveau de modernité. Cependant l’accroissement urbain est aussi à l’origine de la prolifération d’habitats spontanés avec les « fakk deuk » qui sont bâtis sur un lotissement irrégulier et qui ne bénéficient pas d’équipements de base. Concernant la situation du logement on note qu’aujourd’hui dans la commune près 67,0% des ménages sont propriétaires, 14,0% sont locataires, les 11,0% sont des hébergés et les 8,0% restants sont logés dans des maisons familiales.
Le tableau ci-dessous montre la nature du logement et le type de matériaux utilisé dans la construction. En effet, l’enquête ménage montre que 51% des ménages disposent de bâtiments avec toit en béton, 42% des ménages disposent de bâtiment avec toit en zinc et les 6% des ménages restant sont des cases en paille.
Ces résultats statistiques montrent une nette tendance à la modernisation de l’habitat avec la majorité des logements construits en dur. Ces constructions modernes sont surtout l’oeuvre des « Modou-Modou » et des grands commerçants qui privilégient l’investissement dans le secteur immobilier qu’ils considèrent plus sûr et plus rentable.

La situation de l’enseignement

La commune comptabilise dans le public une case des Tout-petits, six écoles élémentaires et un lycée à cycle long qui abrite en son sein un collège d’enseignement moyen (CEM). Dans le domaine privé, on note aussi l’existence d’une école maternelle privée et une école élémentaire franco-arabe.
De manière générale, la commune très bien dotée s en infrastructures éducatives, on note une bonne accessibilité à l’enseignement surtout pour les enfants avec la disponibilité des écoles primaires dans presque tous les quartiers. L’enseignement secondaire est confronté certes aujourd’hui à un manque de salle de classe et d’équipement mais la construction du nouveau lycée pourrait aider à combler les insuffisances.
En réalité, les écoles dans leur globalité font face à des problèmes que sont le manque d’équipements pédagogiques, les abris provisoires, les effectives pléthoriques avec la polarisation des élèves venant des autres villages, (le cas du lycée)…etc. Malgré les difficultés, les écoles de la commune tous niveaux confondus enregistrent de bons résultats parmi les meilleurs établissements de la région.

Le nombre de personnes scolarisées suivant le taille du ménage

Pour étudier le nombre de personnes scolarisées dans les ménages nous avons opté pour une classification avec des bornes. Les échelles que nous avons choisies de façon ascendante, sont comprises entre 00, 1à5, 5à10, et +10. Cela nous permet d’apprécier le nombre de personnes scolarisées ou ayant été scolarisées dans le ménage.
Les conclusions de notre étude nous permettent d’apprécier le niveau de scolarisation des habitants. En réalité les résultats se présentent comme suit :
 2% des ménages ne comptent de personnes scolarisées ;
 61% des ménages sont scolarisés à hauteur de 1 à 5 membres ;
 28% des ménages sont scolarisés à hauteur de 5 à 10 ;
 9 % des ménages comptent +10 membres scolarisés
Cela montre que les ménages constitué de plus 5 membres et ceux de plus 10 membres sont faiblement scolarisés. En effet, plus le ménage est élargi plus le niveau de scolarisation est faible. Cette situation peut s’expliquer par le fait que ces ménages élargis sont confrontés à des problèmes de prise ne charge des frais de scolarités mais aussi il faut noter qu’auparavant l’Etat n’avait pas mis en oeuvre les politiques de scolarisation intégrale et les personnes âgées sont plus touchées par ce problème d’accès à l’enseignement.

Les défis à relever par rapport à l’accès aux services de base

Les défis de l’urbanisation peuvent être mesurés ici en termes de difficultés d’accès aux services sociaux de base. Après une analyse des difficultés d’accès aux services urbains on débouche sur l’identification des véritables problèmes que vivent les populations de Guéoul.

L’accès aux structures de santé

Dans la commune de Guéoul, près de 58% des ménages accèdent facilement à une structure de santé en faisant moins de 30 minutes de marche contre 22% des ménages qui doivent faire plus de 30 minutes de marche. Le reste des ménages dont un pourcentage de 20% sont obligés de prendre un véhicule pour accéder à un service de soins. Ces ménages sont généralement situés dans des quartiers périphériques (Nguéoul à 1 km du centre de santé) et ou ont des malades en besoins de soins tertiaires, ainsi ils doivent se déplacer vers Louga, vers Thiès ou vers Dakar. La difficulté des populations se pose en termes d’accessibilité au centre de santé surtout pour les quartiers périphériques.
Ces disparités liées à l’offre de soins doivent être prises en charge à travers le relèvement du plateau technique du centre de santé afin d’éviter aux populations de toujours se déplacer vers Kébémer, Louga, Thiès ou vers Dakar.

L’accès à la couverture maladie

L’enquête sur la couverture maladie révèle que plus de la moitié des populations ne bénéficie pas de couverture maladie. En effet, 61% des ménages n’accèdent pas à une assurance maladie contre seulement 39% des ménages qui arrivent à se soigner sans beaucoup de difficultés.
Les contraintes financières poussent les populations à se faire consulter tardivement en cas de maladie. Pour favoriser, l’accès aux soins de santé aujourd’hui on note l’existence de beaucoup d’organisations communément appelé mutuelle de santé qui en dehors de l’Etat tente d’organiser les travailleurs et les particuliers pour leurs permettre de bénéficier des soins sanitaires.
Pour bénéficier de ces prestations il faut verser des cotisations qui permettent de compenser une part déterminée proportionnellement au taux en vigueur et suivant les sommes dépensées.
Ces populations bénéficiaires sont soit des agents de l’Etat ou des particuliers affiliés aux mutuelles de santé. (Exemple la mutuelle de santé « Yombal fadju de Guéoul »).
Toujours dans la même dynamique, l’Etat élargit le Plan Sésame et lance la couverture maladies universelles qui peut soulager les populations sans ressources et les enfants pour leur permettre d’avoir accès plus facilement aux soins.

L’accès à l’éducation et la formation

Sur le plan scolaire, l’accès à l’éducation ne se pose pas totalement à Guéoul. En effet, la commune bénéficie d’un certain nombre d’infrastructures permettant à la jeunesse de pouvoir terminer leur cursus scolaire sans avoir besoin de se déplacer vers d’autres localités. Cependant, il se pose un problème d’équipement des infrastructures scolaires.
Les problèmes sont entre autres l’absence de raccordement au réseau électrique des salles de classe, difficulté d’accès à l’eau, effectifs pléthoriques, vétusté du mobilier scolaire, absence infirmerie, manque d’équipements pédagogiques, exigüité des locaux qui continuent d’accueillir un nombre sans cesse croissant d’élèves venant des villages environnants.
Par ailleurs, le véritable problème que rencontre la commune dans ce domaine concerne la formation. Ainsi il n’y a pas d’école de formation ni de chambre de métiers dans la Commune et cela défavorise aussi bien les jeunes qui quittent l’école que les femmes. Ces derniers arrivent ainsi devant le marché de l’emploi mais se retrouvent sans formations.
Pour pallier ce problème, les Groupements d’Intérêts Economiques (GIE) et les Groupements de Promotion Féminine (GPF) tentent avec leurs maigres moyens d’assurer une formation à leurs membres.

L’accès à l’eau

L’accès à l’eau est facile pour la majorité de la population (74%), mais la difficulté majeure est liée aux problèmes de desserte des quartiers périphériques. En réalité, 26% des ménages accèdent difficilement à l’eau. Parmi ces personnes, certaines évoquent la cherté des taxes concernant l’obtention des compteurs, les lenteurs au niveau de la SDE, d’autres parlent du manque de volonté politique.
Pour revenir aux difficultés d’accès à l’eau, le quartier le plus défavorisé est Nguéoul où 9 ménages sur 10 ne disposent pas de robinet domiciliaire mais aussi les autres quartiers que sont Gouye Galle, Darou Salam Nimzatt et Thilla/Escale sont confrontés à des problèmes d’approvisionnement en eau.

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Table des matières

SIGLES ET ABREVIATIONS
INTRODUCTION GENERALE
PROBLEMATIQUE
Justification du cadre d’étude
Intérêt de l’étude
Objectif général de l’étude
Objectifs spécifiques
Hypothèse
METHODOLOGIE
La recherche documentaire
Les travaux de terrain
Cadre conceptuel et théorique de l’étude
PREMIERE PARTIE : Présentation d’une commune en difficulté
Chapitre I : Les caractéristiques spatiales et humaines
1- Les caractéristiques spatiales
1.1- Les étapes de l’extension urbaine
1.2- Les tendances actuelles du développement urbain
1.3- Les facteurs favorisant l’extension urbaine
2- Les caractéristiques démographiques
2.1- Les motifs d’installation de la population
2.2- Répartition de la population
2.3- Composition de la population selon l’ethnie et la religion
2.4- La migration
3- Les caractéristiques de l’habitat
3.1- Typologie de l’habitat
3.2- Mode d’éclairage
3.3- L’approvisionnement en eau
3.4- Energie pour la cuisine
Chapitre II : Les principaux secteurs sociaux
1- La santé
1.1- la fréquentation des services de santé
1.2- Les motifs de consultation
1.3- Les difficultés pendant la consultation
2- L’éducation
2.1- La situation de l’enseignement
2.2- Le nombre de personnes scolarisées suivant le taille du ménage
2.3- Le niveau d’instruction du chef de ménage
3- Assainissement et gestion de l’hygiène publique
3.1- Système d’assainissement des sanitaires
3.2- La gestion des eaux usées du ménage
3.3- Gestion des ordures
DEUXIEME PARTIE : Le développement urbain
Chapitre I : Les défis à relever
1- Les défis à relever par rapport à l’accès aux services de base
1.1- L’accès aux structures de santé
1.2- L’accès à la couverture maladie
1.3- L’accès à l’éducation et la formation
1.4- L’accès à l’eau
1.5- L’accès au crédit
2- Les disparités de développement socio-économique
2.1- La situation de l’emploi
2.2- Situation économique des ménages
2.3- Perception de la pauvreté
2.4- Sources de revenus des ménages
3- Dégradation de l’environnement et insécurité : deux fléaux rampants
3.1- Tentative d’identification des problèmes par les populations
3.2- Les risques liés à l’environnement et au cadre de vie
3.3- La recrudescence de l’insécurité
Chapitre II : Les limites de la démocratie et la participation des populations dans la recherche de solution
1- Niveau d’implication des populations dans la gestion locale
1.1- Faible participation de la population dans gestion des problèmes
1.2- Appréciation des politiques municipales par les populations
2- Les solutions préconisées par les populations
TROISIEME PARTIE : La gouvernance urbaine : le rôle des acteurs
Chapitre I : La présentation des acteurs : rôle et responsabilité
1- Rôle et responsabilité de l’Etat et de la municipalité
1.1- L’Etat et les services déconcentrés
1.2- Les collectivités locales
2. Rôle et responsabilité des autres acteurs
2.1- Le mouvement associatif
2.2- Les partenaires au développement
Chapitre II : Les interventions des principaux acteurs
1- Actions et appuis de l’Etat
2- Les actions menées par la municipalité
2.1- Les stratégies mises en oeuvre par la municipalité
2.2- Les domaines d’intervention et le bilan des réalisations de la municipalité
2.2.1- Santé
2.2.2- Education
2.2.3- Actions sociale
2.2.4- Sécurité
2.2.5- Environnement
2.2.6- Economie
2.2.7- Equipements et infrastructures
3- Les organisations de la société civile
3.1- Les Groupements de Promotion Féminine (GPF)
3.1.1- Nurul Islam
3.1.2- Takku ligguey Ndiobène
3.2- Les Associations Sportives et Culturelles (ASC)
3.2.1- L’Association Guéoul Football Club
3.2.2- L’ASC Mankoo
3.3- Les Groupements d’Intérêt Economique (GIE)
3.3.1- Le GIE Entente Guéoul
3.3.2- Le GIE Dékkal Garab
3.3.3- Le GIE Sétal Guéoul
3.4- L’association des parents d’élèves (APE)
4- Les mutuelles de crédit
4.1- La mutuelle d’épargne et de crédit de Guéoul (MEC Guéoul)
4.2- Le Crédit Mutuel du Sénégal (CMS)
4.3- La Fédération des Associations de Développement Communautaire (FADEC)
5- Les partenaires au développement
5.1- Les partenaires techniques
5.1.1- L’Agence Régionale de Développement
5.1.2- La Maison de Développement Local MDL
5.1.3- Le GIC (groupement d’intérêt communautaire)
5.2- Les partenaires financiers
5.2.1- Le PNDL
5.2.2- Friends of Guéoul
5.2.3- ONG Plan international
5.3- Les autres partenaires au développement
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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