Les investissements et les comptes de gestion

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Les Caractéristiques Agricoles du Mécanisme d’Exploitation

Ces caractéristiques agricoles se manifestent à partir de la phase de plantation, les divers entretiens agricoles jusqu’à la collecte de fruits.

La plantation

Avant de passer à cette phase de plantation, nous d evons choisir alors entre les techniques de marcottage et les techniques de sévrage. Vue le problème d’insuffisance sinon de l’inexistence même de pépinière de litchis dans cette région, nous devons procéder à ces techniques au début pour assurer les plantes nécessaires dansla phase de plantation.
Il se peut donc être possible aussi de coopérer avec ces techniciens agronomes, mais au début, nous pouvons commencer par nous même avec l’exploitationde ces types de marcottages et de sevrage. Le marcottage est une technique le plus souvent utilisé par les paysans. La durée de marcottage varie de 4 mois jusqu’à 5 mois. Dans les trois mois de marcottage jusqu’à 4 mois ou 5 mois, le troisième racine repousse, on coupe les marcottes à quelques centimètres de moches avec un sécateur ou à scie dans le cas d’une grosse branche.
Après cette phase, on prépare ensuite le terrain deculture. Mais, avant de passer à cette phase, il nous semble important d’étudier d’abord l’autre technique de sevrage. Cette technique est peu pratique dans cette région, comme l’on dit sevrage, on procède donc à l’exploitation de sèvre dans cette technique. La phase de trouage tient en même temps sa place. Le piquetage précède d’abord la phase de trouage, il se peut de choisir entre le piquetage en quai cos qui est le plus conseillé par les techniciens agronomes et le piquetage en carrée.
Après ce piquetage, c’est la trouison, la distance entre les troues ou bien les piquets est de 10 m au minimum, il est à conseiller en moyenne la distance de 12 à 14 m. La trouison varie de 60 cm 3 à 1 m3 suivant les types de sols dans notre champs de culture.
Après cette phase de trouage, on procède au rebouchage de ces troues. Nous allons préparer une brouette de fumier par troue à mélanger avec de 500 g de dolomie ainsi que 300 g de NPK 11/22/16 ou 20/10/10 ou 16/16/16. Le plus conseillé d’après les techniciens agronomes est le NPK20/10/10, mais il est possible d’utiliser l’un d es deux autres en cas de non possession de ce type de 20/10/10.
Il est aussi possible de compléter ce rebouchage avec des ordures ou la première couche de ce sol même. Ensuite, nous allons recouvrir ce rebouchagequi doit être à plat mais non en cuvette. La plantation se manifeste à un mois après cette phase de rebouchage. Un ombrage provisoire est aussi bien nécessaire pour éviter la sécheresse au soleilàl’aide des herbes ou des feuilles de plantes ou bien de paillage. L’arrosage de chaque plante est exigé surtout en cas de sécheresse. Après cette phase de plantation, les détourages de nos plantessemblent aussi bien nécessaires pour favoriser leur croissance le plus vite possibles.
Ces plantes, nous exigent ensuite des vulgarisations agricoles avec des produits de traitement que ce soit liquide ou en poudre tels que les simithons, les fenitrithions. Dans le cas de litchis, l’attaque de chenille est très grave car ce chenille élimine lesfeuilles de ces petites plantes et elles risquent de se mourir si on ne les protègent pas à l’aide de cette technique de vulgarisation.
La phase de recepage se manifeste généralement dansles cas des vielles plantes pour aboutir à la régénération de ces plantes. Les nouvelles générations vont reproduire au bout de 5 à 7 ans après cette phase de recepage et le rendement s’améliore de temps en temps.
Il faut donc convaincre les agriculteurs en leur expliquant les avantages de cette technique comme la régénération de ces plantes, la croissance de ndementsre qui entraîne l’augmentation de la quantité produite. Notre principal objectif dans lanouvelle plantation ou dans la technique de recepage est d’améliorer le rendement ainsi bien que d’augmenter la capacité productive en matière de litchis.
Nous devons aboutir donc après cette phase de plantation à la collecte de nos produits, c’est la phase de récolte. Cette phase de récolte est une phase intermédiaire qui se trouve entre la culture et la commercialisation de ce fruit.

La récolte

Dans le système d’exploitation déjà existant, les collecteurs constituent des intervenants très nombreux à cette phase de récolte. Ils assurent la collecte des fruits en matière de litchis. Ces collecteurs négocient directement leurprix d’achat aux producteurs. Ce prix varie donc suivant l’accord de ces deux intervenants directs, ils peuvent fixer librement leur prix.
Les collecteurs assurent l’évacuation des fruits allant de producteurs jusqu’aux exportateurs. Ils peuvent transporter ces produits par leur propres moyens ou à l’aide de location des camionnettes. Quelquefois, il est aussi possible de négocier avecles exportateurs pour assurer les transports de ces fruits suivant l’accord de ces deux intervenants. Mais dans ce cas, le prix de vente aux exportateurs diminue considérablement par rapport à l’autre modalité de contrat. Ce prix varie aussi bien suivant la capacité de production ainsi bien que la fréquence de livraison de produits des exportateurs. La fréquence de livraison, la capacité productive élevée favorise l’augmentation de ce prix de vente aux exportateurs.
Du point de vue pratique, ces différents intervenants assurent en même temps la phase de récolte des fruits en matière de litchis.La bonne organisation de cette phase dans le but d’éliminer les interventions des collecteurs serait alors en faveur des producteurs mais aussi bien les exportateurs.
En effet, dans toutes leurs interventions, il est indubitable de penser que ces collecteurs doivent chercher et garder leur marge bénéficiaire. Ils n’arrivent pas à travailler pour rien dans cette phase , ce marge bénéficiaire réduit considérablement leixprde vente des producteurs et qui entraîne de grave désencouragement à ces derniers. La mise en place d’une bonne organisation à cette phase de récolte peut encourager alors les agriculteurs parce que le résultat de cette organisation va améliore leur niveau de vie en augmentant leur capacité financière.
La quantité produite en matière de litchis va s’accroître en même temps parce que ces agriculteurs vont bien entretenir leurs plantes et procèdent à la fois à la culture des nouvelles plantes. Cette amélioration de la quantité produite est tout à fait en faveur des exportateurs.
Dans le domaine de l’exportation ; ces exportateurs peuvent négocier l’amélioration de leur prix de vente aux clients étrangers en tenant cette capacité productive élevée. L’amélioration de ce prix de vente à l’extérieur ne reste pas dans le cas de profit et des autres avantages économiques au sein des exportateurs. Elle peut aussi permettre l’accroissement de prix d’achat aux producteurs ainsi que l’entrée massive de devises au réserve de devises ationale.
Nous voyons bien donc que ce phénomène constitue uncercle vicieux entre les producteurs et les exportateurs. Les exportateurs même s’ils détiennenles moyens d’exploitation de ce fruit ne peuvent pas travailler indépendamment sans collaboration avec les producteurs. Dans le système d’exploitation existant jusqu’à nos jours, il s’agi t que ces derniers qui assurent la capacité productive des exportateurs en matière de produits.
Il est important de porter à la connaissance des le cteurs que la quantité demandée chaque année d’exploitation varie autour de milles tonnes. Il n’ est pas facile d’assurer ce millier de tonnes par la production autonome des exportateurs. En conséquence, ils doivent recourir jusqu’à nos jours aux producteurs qui ne produisent qu’avec de façon trad itionnelle. Pour ces exportateurs, il est possible donc de penser au procédé des nouvelle plantationsMais,. il est toujours rappelé à notre connaissance que ces nouvelle plantes n’atteignent pas leur production maximale que dans le dizaine d’année après cette nouvelle plantation.
Dans le cadre de la réalisation pratique de notre projet d’activité d’exploitation de litchis, nous devons par conséquent commencer l’amélioration de al production existante au niveau des agriculteurs en vue d’assurer notre capacité productive au début de notre projet jusqu’à la récolte de la production normale de notre nouvelle plantation.
Comme on a déjà évoqué auparavant, nous devons baser notre exploitation au début de ce projet à la production actuelle des producteurs. Nous ne pouvons pas appliquer intégralement ce technique de recepage à nos plantes actuelles. Mais en outre, les autres entretiens agricoles comme le détourage semblent très nécessaires. Les petits conseils aux producteurs comme l’enlèvement des petites branches après la récolte de fruits paraient aussi importants pour améliorer les quantités produites dans la récolte de l’année prochaine.
Si nous pensons à la récolte dans le cadre de notre projet d’activité économique, l’écoulement de nos produits dans le marché de consommation est parfaitement inoubliable. Dans le cas de Madagascar, ce marché de consommation en matière delitchis peut se manifester en deux caractéristiques différentes. L’importance des marchés locaux dans le domaine de commerce intérieur semble non négligeable vu la facilité decommercialisation de ce fruit au sein de ces marchés locaux et la capacité d’absorption tellemenconsidérable de ces marchés.
Dans le cadre de marchés extérieurs, comme on a déjà évoqué auparavant, la quantité demandée à l’exportation varie le plus souvent en millier de tonnes. Cette quantité est très considérable si on la compare avec notre capacité ed production actuelle.

Les Caractéristiques Commerciales du Mécanisme d’Exploitation

L’étude de ces caractéristiques commerciales de notre projet d’activité nous conduit à répartir notre devoir à la recherche dans le domaine de commerce intérieur ainsi que le commerce extérieur.
En premier lieu comme tous les autres produits, le commerce intérieur tient toujours sa place importante. Il assure l’approvisionnement de demandes des acheteurs au sein des marchés locaux.
Le besoin en matière de litchis ne se multiplie pas non plus , il reste toujours à l’utilité de tous les autres fruits comme le dessert. Il paraît donc insuffisant les demandes des consommateurs locaux s’il n’y a pas diversification de leur besoin commela fabrication de confitures de litchis. Si le commerce intérieur reste toujours limité, en matière de produits exportables comme le cas de notre projet d’activité, il se peut de penser l’extensionde commercialisation de ce fruit à l’extérieur.
Ce commerce extérieur est très intéressant que ceoits dans le cadre de prix de vente aux acheteurs ainsi que la quantité demandée par les consommateur étrangers. Mais, on ne peut pas oublier que la capacité de production de l’exploitant à ce commerce extérieur doit être très élevée parce qu’un contrat avec l’importateur tourne souvent à un mill ier de tonnes. Bref, l’étude de marché est parfaitement indispensable dans le cas de marché intérieur ou extérieur.

Les Caractéristiques Financières de l’Exploitation du Litchi

En pensant à l’exploitation de litchis, notre proje t d’activité se situe dans le domaine économique. Parfois, en parlant de l’économie, ce ermet aboutit toujours à l’investissement notamment financier. La recherche de financement est une étape très importante et nécessaire dans le but de mieux financer notre activité et de réduire autant que possible les charges financières entraînées par cet investissement.
Si nous voulons mettre en exercice notre projet d’exploitation de litchis, les différents risques se manifestent dans tous les domaines de notre activité. Plusieurs facteurs déterminent l’échec ou la réussite de ce projet et qui constituent par conséquent nos risques dans l’engagement à un investissement pour faire fonctionner notre projet d’activité.
En matière de finance, l’engagement financier à cet investissement semble très important, le montant des investissement ainsi que le mode de financement de notre projet nécessitent une importante analyse dans son étude financière. Ils déterminent notre engagement aux charges financières de l’investissement engagé par notre exploitation.
Dans notre cas, l’exploitation de litchis reste encore jusqu’à sa commercialisation dans son état de fruit, il s’agit alors d’un projet à investissement moyen.
Le mode de financement de ce projet se manifeste à plusieurs formes, il dépend bien de notre possibilité de financement par fonds propres. Il peut être possible de procéder à l’autofinancement de ce projet suivant nos propres moyens financiers.
Mais quoi qu’il en soit, l’étude de rentabilité dece projet nous exige une analyse de taux d’intérêt de capitaux engagés à cet investissement financier dans toutes les différentes possibilités de financement. Le recours au financement extérieur ouendettement paraît aussi bien possible si les charges financières engagées à ces dettes seraient supportables par les produits entendus à l’exploitation de l’activité de ce projet.
Le choix à ces différents modes de financement que ce soit par autofinancement ou financement par fonds propres, soit par recours au financement extérieur ou endettement doit se baser à la comparaison des taux d’intérêts de capitaux empruntés pour l’investissement et le taux d’intérêt bancaire reconnu au moment de l’investissement.
Cet investissement financier entraîne l’entrée massive de fonds dans la localité d’exploitation de l’activité conçue au projet. Il se manifeste dans l’augmentation de niveau de vie de la population, l’amélioration du pouvoir d’achat de peuple notamment les agriculteurs de litchis ainsi que les autres concernés à cette matière. L’impact financier de ce projet est alors considérable dans le domaine économique.

L’étendue de marché
Nous savons bien auparavant qu’à part la côte Est d e Madagascar, seules les grandes villes de la région du haut plateau constituent lesmarchés actuels de litchis.
En procédant alors à l’amélioration de notre politique de distribution accompagnée des efforts en marketing et l’amélioration de la qualité de fruitsofferts aux marchés ainsi qu’une analyse profonde de la motivation d’achat et des comportements des acheteurs, ces non consommateurs relatifs peuvent devenir des consommateurs réels. On peut prétendre en même temps à l’extension de marché à partir d’une pénétration dans d’autres régions. Les chiffres ci-dessous nous illustrent la situation :
capacité d’accueil possible de la zone extérieure :5 000 T, consommation estimée des non consommateurs relatifs: (3 500 T x 60) / 40 = 5 250 T marché réel : 40% marché potentiel : 60% consommation possible des non consommateurs relatifs : (5 250 T x 60) / 100 = 3 150 T
D’après notre politique de vente envisagée et les autres conditions au sein de ce marché intérieur, nous proposons que notre estimation ne sera justifiée qu’à concurrence de 60% de cas.
Cette capacité de 5 000 T envisagée dans la zone extérieure est très intéressante. Mais, en tenant compte des autres conditions et diverses contraintes existantes dans la politique de distribution et de commercialisation, nous pouvons en tirer que la quantité possible de 3 150 T à ces non consommateurs relatifs de la région du haut plateaunous intéresse mieux. Marge bénéficiaire de la zone secondaire : 150 FMG
Résultat excédentaire attendu : 3 150 x 150 = 472 005 000 FMG
A titre d’illustration, cette somme est encore de résultat brut après déduction de frais de transport. Marge bénéficiaire de la zone extérieure : 50 FMG
Résultat excédentaire attendu : 5 000  T x 50 FMG =Résultat brut = 250 000 000 FMG
En comparant ces deux résultats de 472 500 000 FMGet de 250 000 000 FMG; nous pouvons en déduire par différence la somme importante de 222 005 000 FMG.
Par conséquent, nous voyons que la zone secondaireest plus intéressante parce que le résultat attendu tient une somme presque deux fois de celui attendu au marché extérieur.
Il est nécessaire d’apporter une petite illustration dans la distribution de ce 500 T envisagé dans notre projet.
La quantité de 200 T est écoulée par prévision auarchém de la capitale; pour les autres régions
telles que la région d’Antsirabe, Fianarantsoa et Ambositra tient respectivement à leur marché une
capacité d’accueil de 100 T.
Capacité totale : 500 T Capacité du marché Antananarivo : 200 T 200 T / 500 T représente le 2/5 ou bien 40% de la capacité totale.
Marge bénéficiaire de ce marché:1 200FMG–(700+400)FMG = (1 200–1 100)FMG = 100FMG Résultat excédentaire attendu : 200 T x 100 FMG = 02 000 000 FMG Résultat brut : 20 000 000 FMG Capacité du marché Antsirabe : 100 T 100 T / 500 T représente le 1/5 ou bien 20% de la capacité totale.
Marge bénéficiaire de ce marché: 1 200FMG–(700+350)FMG = (1 200–1 050)FMG = 150FMG
Résultat excédentaire attendu : 100 T x 150 FMG = 51 000 000 FMG
Résultat brut = 15 000 000 FMG
Capacité du marché Ambositra = 100 T
100 T / 500 T représente le 1/5 ou bien 20% de la capacité totale.
Marge bénéficiaire de ce marché: 1 200FMG–(700+300)FMG = (1 200–1 000)FMG = 200FMG
Résultat excédentaire attendu : 100 T x 200 FMG = 02 000 000 FMG
Résultat brut = 20 000 000 FMG
Capacité du marché Fianarantsoa = 100 T
100 T / 500 T représente le 1/5 ou bien 20% de la capacité totale.
Marge bénéficiaire de ce marché: 1 200FMG–(700+200)FMG = (1 200–900)FMG = 300FMG
Résultat excédentaire attendu : 100 T x 300 FMG = 03 000 000 FMG Résultat brut = 30 000 000 FMG
Si nous basons notre étude au résultat brut, le casde Fianarantsoa nous intéresse en premier lieu. Mais, rappelons bien à notre connaissance que plus, on approche le lieu de production, plus la concurrence s’accentue. Nous allons prendre alors le cas d’Ambositra qui n’écoule que 100 T, moitié de la capacité d’Antananarivo. Néanmoins, les sommede résultats bruts attendus à ces deux marchés ont de même valeur avec une somme de 20 00000 FMG. Or, le problème se manifeste dans l’augmentation de la capacité d’accueil du marché qui semble déjà très limitée à cette quantité de 100 T.
Le marché d’Antsirabe peut être le moins intéressanquand nous ne tenons compte que ce résultat brut qui ne s’élève qu’au montant de 15 000 000 FMG.Mais, en ce qui concerne son lieu géographique et la capacité d’accueil de ce marché.Il est encore possible de penser à l’extension de ce marché.
En dernier lieu, nous allons voir comment on va répartir cette capacité de 200 T envisagée au marché de la capitale.
D’après l’étude que nous avons faite, nous pouvonsévoquer qu’un petit vendeur peut écouler au environ de 10 à 20 Kg par jour. Dans le cas de ce m arché intérieur, nous avons 40 jours dans une
année d’exploitation pour vendre nos fruits.
Capacité du marché : 200 T Nombre de jours ou durée de ventes : 40 joursVente moyenne par jour : 200 T / 40 jours = 5 T/jour.
Nous allons écouler par conséquent 5 tonnes de litchis par jours à Antananarivo si ce n’est que la moitié ou bien 2,5 T respectivement dans les autresmarchés qui représente en totalité 60% du marché intérieur.
Dans ce cas d’Antananarivo, il paraît donc possible d’écouler ce 5 T de litchis par jour d’après notre étude.
Toujours dans le cadre de l’extension de ces segments de marché intérieur, la diversification de besoins de consommateurs comme la fabrication de confitures en boîtes ou en sachets, la mise en œuvre de technique de séchage p eut provoquer la formation de nouveaux besoins et par conséquent l’augmentation de la consommation intérieure. Cela peut aller jusqu’à 10 fois de croissance.
Ce qui nous intéresse à cette politique d’extension va concerner tout le territoire national entier surtout dans le marché de la zone extérieure. Celanous conduit à étudier dans cette petite section suivante l’aire du marché.
L’aire du marché
Dans cette petite section, si on ne tient compte que la situation géographique de ce fruit, la côte est malgache constitue ce qu’on appelle zone primaire en matière de litchis. La zone appelée zone secondaire se situe dans les régions ud haut plateau qui représente à 100% nos marchés dans ce cas. Puis, nous pouvons appeler zone extérieure les autres régions dans le Sud ainsi que dans la côte Ouest de notre île. Zone primaire (côte Est) : LITFRUMAD = 0 Concurrents = 7 000 T Capacité du marché : 7 000 T / 10 500 T = 2/3 = 67%
Cette zone couvre le 2/3 du marché qui représente nvirone 67% de la totalité du marché, mais le
prix semble non intéressant. C’est la raison pour aquelle nous n’envisageons pas d’engager notre
investissement à cette partie de marché.
Zone secondaire: LITFRUMAD = 500 T
Concurrents = 3 000 T
Capacité du marché : 3 500 T / 10 500 T = 1/3 = 33%
Capacité du projet : 500 / 3 500 = 1/7 du marché dans la zone secondaire, soit 14%
Capacité des concurrents : 3 000 / 3 500 = 6/7 du marché, soit 86%
Ces taux nous représentent que notre marché se situe en totalité dans la zone secondaire. Mais, en comparant notre capacité envisagée à celle des concurrents : Capacité du projet500 == 1/6, nous pouvons constater que notre marché ne eprésente 3 000 Capacité des concurrents que le 1/6 de celui des concurrents.
Nous devons donc augmenter notre capacité au sein de ce marché secondaire surtout dans la ville d’Antsirabe.
Si nous allons essayer d’aborder le cas de la zone extérieure, nous pouvons rappeler que ce marché a une capacité possible de 5 000 T mais la rentabilité est douteuse.
Néanmoins, par extension d’idée, nous pouvons mêmeécouler cette quantité de 5 000 T fabriquée ou bien transformée en confitures en partie et de litchis séchés en partie.
Nous voyons alors que dans ce domaine de marché intérieur, les segments de marché qui nous intéressent se focalisent dans les grandes villes telles que Tuléar, Majunga, Antsiranana, Ambositra, Antsirabe, Fianarantsoa et Antananarivo. Dans la zone primaire, le marché est facilement accessible mais la concurrence est très forte.
Nous pouvons en tirer de cette étude concernant l’aire du marché que la zone secondaire nous intéresse particulièrement à notre projet.
A la fin de cette étude de marché dans le domainentérieur, nous allons essayer l’étude quantitative et qualitative de ce marché.
Etude quantitative du marché intérieu r
Comme nous avons évoqué auparavant, ce marché intérieur représente environ dans 33% de nos marchés actuels de litchis avec une capacité d’absorption de 500 T. Il paraît que cette capacité semble encore insuffisante en comparant avec la capacité totale de 3 500 T. Capacité totale du marché secondaire : 3 500 T
Marchés actuels du projet : 500 T : 14%
Marchés des concurrents : 3 000 T : 86%
Nous ne tenons actuellement que le 1/7 du marché secondaire mais il est déjà difficile de faire écouler ce 500 T de litchis sur ces marchés.
LES TECHNIQUES DE PRODUCTION
Dans le domaine agricole comme le cas de notre projet d’activité, une production se base dans le rendement de la culture d’un produit qui n’est que le litchi dans notre cas. Nous avons déjà mentionné auparavant quele litchi fait partie des arbres fruitiers très reconnus par le Malgache. C’était à l’année 1940, c’est-à-dire des années avant notre indépendance que les agriculteurs Malgaches ont déjà su cultiver les litchis. Sa culture ne pose tellement des grandes difficultés à ces agriculteurs.
Mais, en tenant compte des diverses caractéristique de sols ainsi que les conditions climatologiques à Madagascar, la côte Est de notre île constitue la zone écologique de ce fruit, elle est très favorable à la culture de litchis soit au point de vue sol, soit son climat, la zone allant de Sambava jusqu’à Fort Dauphin. C’est la ra ison pour laquelle, nous avons choisi la région de Manakara comme lieu de recherche ainsi que notre localité d’exploitation dans la réalisation pratique de ce projet d’activité.
Les Techniques Agricoles
Dans la partie de ces techniques de production agricole, notre production se base dans la première décennie de la mise en exercice de ce projet au rendement de nos anciennes plantes parce que la production de la nouvelle plantation ne va pas, tout de suite après la phase de culture, satisfaire le besoin ressenti auprès de nos acheteurs ou bien des consommateurs actuels. Le rendement de nos nouvelles plantes n’atteint pas un bon niveau qu’après une dizaine d’années de sa culture. Il nous semble nécessaire alors d’entretenir ces anciennes plantes dans le but d’améliorer leur rendement dans le maximum possib1e parce que leur production est en majorité déjà médiocre.
La Vulgarisation
Le traitement de nos plantes avec des produits en poudre ou liquide nous semble utile dans le but de protéger les feuilles, le repousse et la fructuation de ces plantes à I’attaque des divers parasites.
Cette technique de vulgarisation nous semble alors nécessaire surtout en cas d’existence d’une attaque à nos plantes afin qu’on puisse améliorer à mieux que possible la quantité ainsi que la qualité de notre production.
Mais, la dispersion de nos plantes aux divers agriculteurs nous pose de problème dans la réalisation technique de cette vulgarisation. Par conséquent, nous ne pouvons pas assurer la vulgarisation entière de toutes ces plantes, il nous faut alors segmenter nos producteurs potentiels ou bien les plus productifs d’entre eux.
Vous vous demandez comment segmenter ces producteurs potentiels. Nous pouvons en tenir comptes divers critères mais c’estce qui nous intéresse et considéré comme premier critère compte sur le nombre de pieds de litchis à chaque producteur.
Dans notre cas nous allons tenir comme critère de segmentation par nombre une dizaine de pieds de litchis par producteur. D’après le sondage que nous avons fait auprès de nos producteurs ou bien des agriculteurs qui détiennentde pieds de litchis, nous connaissons que 30 à 40% de nos producteurs détiennent une dizaine de pieds ou plus.
Les rendements de ces producteurs potentiels avec leurs pieds de litchis peuvent nous assurer jusqu’à un milliers de tonnes de production dans la récolte d’une campagne d’exploitation. Il nous semble très important d’entretenir ces producteurs afin que nous puissions maintenir une capacité productive très élevée qui tient une place importante dans l’obtention d’un marché notamment dans le domaine de l’exportation.
L’éloignement entre les producteurs et notre pointd’exploitation tient aussi une place importante dans cette politique de vulgarisation agricole.
En effet, il nous semble intéressant dans le futur de notre exploitation d’encadrer nos producteurs situés si près du local de notre organisation et d’entretenir en même temps leur production en matière de litchis. Notre objectif dans la réalisation de ces techniques d’entretien et d’encadrement se situe à la sensibil isation de ces producteurs à cultiver intensivement les litchis et de les aider dans l’amélioration de leur production.
Le Détourage
Dans les techniques de production agricole, le détourage fait partie des entretiens agricoles  nécessaires dans le but d’améliorer ainsi que d’augmenter la quantité et la qualité de la production. Mais, cette technique de détourage exige des moyens humains tellement complexe. Par conséquent, nous ne pouvonspas engager ces moyens en faveur de nos producteurs potentiels parce que notre engagement à ces moyens va entraîner des charges considérables à notre exploitation dans le paiement de nos employés.
Dans la réalisation de cette technique de détourageen vue d’améliorer notre production, il nous suffit de sensibiliser nos producteurs notamment potentiels de procéder à cette technique et de les convaincre à l’utilité ainsi que I’intérêt de cette technique dans l’augmentation et I’ amélioration de la qualité deleur production. Nous pouvons mettre en oeuvre ce procédé de sensibilisation en même tempsavec la réalisation pratique de notre campagne de vulgarisation agricole.
Jusqu’à ce point, notre technique de production reste toujours dans le cadre de I’entretien agricole dans le but d’une amélioration technique de notre production. Dans ce cas, la technique de recepage nous semble aussi non négligeable en vue d’augmenter notre capacité productive et d’améliorer la qualité de nos fruits.
Le Recepage
Cette technique consiste à enlever les branches inu tiles ou mortes dans chaque plante parce que ces branches empêchent ou dérangent le développement de nouvelles branches qui vont produire plus que ces anciennes dans la prochaine récolte. Il nous semble intéressant de procéder à cette technique de recepage après la campagne de chaque récolte il faut piquer nos fruits en grappes, le repoussement des nouvelles branches nous intéresse à notre prochaine campagne parce qu’elles produisent à bon rendement.
Mais, si le rendement devient très médiocre, il estaussi intéressant de couper les vieux arbres à 40 ou 50 cm du sol et attendre la régénération. Avant de procéder à I’ étude de techniques de récolte et de collecte de nos fruits, en appuyant la production de la régénération de ces vieux arbres, il nous semble intéressant aussi dans notretechnique de production, la plantation en vue d’améliorer notre propre production après une écennied de notre première exploitation à ce projet.
En effet, en plus de la régénération de vieux arbres existants actuellement, nous pensons de procéder à la culture de plantes de litchis parce qu’après quelques années, ces plantes vont nous procurer de production autonome. L’existence de cette production autonome nous semble très important à notre exploitation parce qu’elle améliore notre capacité de production et facilite la conception d’un bon système organisationnel adéquat à notre exploitation en matière de litchis. Dans cette phase de plantation, nous avons besoins de moyens humains et matériaux agricoles. En effet, la plantation et l’entretien de ces nouvelles plantes nous exigent des employés agricoles qui vont assurer ces travaux avec ces moyens matériels tels que les charrues tirées par des bœufs, les bêches qui noussemble nécessaire comme dans la phase de trouage, de détourage, de scie ou de sécateur pourle recepage ainsi que les autres matériaux et outillages qui nous semblent nécessaires quelquefois dans notre exploitation agricole.
La phase de récolte et de collecte constitue une phase intermédiaire entre la production agricole et la distribution ainsi que la commercialisation de nos fruits.
La Récolte et la Collecte de Produits
Avant d’écouler nos fruits dans un marché que ce soit intérieur ou extérieur, la récolte et collecte de nos fruits nous semblent, indispensable dans l’exploitation de la production. En vue d’améliorer notre système de récolte et d’activer la collecte, la formation dans l’encadrement technique des employés temporaires nous semble intéressant.
Il se peut que quelques uns d’entre nous négligentl’embauche et la formation de ces employés destinés temporairement à la récolte. Mais le résultat de cette technique tient une importance considérable en matière quantitative de notre exploitation parce que le système de récolte utilisé par ces employés réduit considérablement s ledéchets de nos fruits tout au long de récolte et améliore en même temps la fructuation deplantes dans la prochaine récolte qui augmente considérablement la quantité produite. Laqualité de produits change aussi en faveur de sa normalisation internationale parce que la grosseur ou bien le calibre de fruits s’agrandit. A cet effet, l’existence de ces employés nous favorise bien à résoudre ce problème de temps parce que ces employés peuvent accélérer en respectant en même temps la qualité, notre récolte et cette rapidité dans la récolte augmenteaussi notre capacité de production. Si on étudie la récolte de nos fruits, la collecte de produits tient aussi sa place non négligeable à cette partie.
La dite collecte se manifeste juste après la récolte de ces fruits à leurs plantes jusqu’à leur livraison au lieu de triage et de traitement. Le transport de produits allant de nos producteurs jusqu’à notre localité d’exploitation fait partie alors de cette phase de collecte.
Dans le but de mieux organiser notre système d’exploitation, il serait à notre faveur de ramasser les produits auprès de nos producteurs et d’assurer le transport de ces fruits vers notre localité d’exploitation. En vue de réaliser ec transport, nous avons besoins des camionnettes qui sont de préférences à louer parceque nos besoins restent jusqu’à nos jours temporaires ou plus précisément au moment de collecte.
La Commercialisation
Notre technique de production sert à rien si nous n e procédons pas à la commercialisation de nos produits. Pour maintenir l’équilibre entre les charges et les produits qui nous semble indispensable dans la détermination de résultats etde rentabilité de notre exploitation, cette commercialisation paraît nécessaire dans le calcul de produit de notre activité.
En effet toutes les parties agricoles telles que la plantation, la vulgarisation, le détourage, le recepage, la récolte et la collecte constituent lescharges de notre exploitation.
Dans le but de pouvoir supporter ces charges, nous devons écouler nos fruits sur les divers marchés parce que nos ventes sur ces marchés vont onstituerc nos produits.
Nous voyons alors que cette phase de commercialisation tient une place considérable dans la continuité ou non de notre exploitation parce que,quoique ce soit sa forme juridique ainsi que sa taille, une activité économique doit toujours veiller à sa rentabilité et son résultat. L’importance de notre politique de distribution et de commercialisation est un facteur déterminant dans le résultat de notre exploitation.La raison en est que même si notre production agricole s’élève considérablement mais otren politique de distribution et de commercialisation est mal conçue, il se peut que no tre activité aboutit toujours à un résultat perte. La persistance de ce résultat perte au niveau de l’activité de notre organisation va entraîner le recours à la faillite de cette dernière. La continuité et le développement de notre exploitation constitue l’un de nos principaux objectifs à cette organisation.
Par conséquent, nous devons concevoir des techniques de distribution et de commercialisation adéquates à notre production agricole.
Comme nos fruits mis en exploitation font partie d’un produit très périssable et par conséquent difficile à conserver, il nous semble intéressant de mettre en place dans les réseaux de distribution nos propres représentants uiq vont assurer particulièrement la prescription si nécessaire à la conviction de nos clients acheteurs ainsi que la distribution de nos produits. Il serait mieux de limiter cette technique au sein du marché intérieur au début de notre projet.
Après cette phase de triage qui élimine les déchetsde nos produits en vue de satisfaire le mieux possible nos consommateurs, nous allons mettre en cageot nos fruits pour faciliter ce mode de transport en camion. Il se peut de conseiller la fabrication de ces cageots en bois au début de notre exploitation pour réduire à meilleurcoût les frais de fabrication de ce cageot.
Nos distributeurs qui s’éparpillent sur les divers marchés agricoles de consommation reçoivent ces fruits et assurent leur distribution sur les divers points ou localités de ventes. L’existence des vendeurs auprès de ces points ou localités de ventes dans nos divers marchés nous intéresse bien aussi dans ‘écoulement de nos fruits auprès de consommateurs.
Ces vendeurs vont assurer la commercialisation ou plus précisément la vente de nos produits. Nous avons besoins de ces derniers pour faciliter l’organisation de notre activité notamment dans le cadre de commercialisation ainsi que de pouvoir inciter le mieux possible la quantité demandée par nos consommateurs. La rémunération deces distributeurs et vendeurs se fait par des conventions dans les marges commerciales en accordant avec eux des parties de nos marges. Ces techniques de distribution et de commercialisation nous amènent à l’étude de notre capacité de production dans cet aspect technique.
LA CAPACITE DE PRODUCTION ENVISAGEE
Dans une activité comme le cas de notre projet, il ne nous suffit pas d’envisager des techniques de production et de procéder de suite à l’exploitation que ce soit dans le domaine agricole ou commercial. Il nous faut estimer au début de notre projet notre capacité productive à partir de l’évaluation de la quantité demandée possible par nos consommateurs sur les marchés en question dans notre projet d’activité. C’est pourquoi nous avons étudié auparavant nos marchés possibles en matière de litchis afin que nous puissions estimer la quantité optimale à produire à cette ma tière. Il se peut que cette quantité demandée au niveau de ce marché dépasse largement notre capacité de production en tenant compte de nos moyens financiers, matériels et humains.
Nous voyons alors que la disponibilité de ces moyens au sein de notre organisation en faveur de l’exploitation de notre activité détermine à cecas l’ampleur de notre capacité de production. Ces moyens matériels, financiers et humains peuventse manifester dans le domaine agricole et commercial de notre activité d’exploitation.
Dans le cas de ce projet, nous allons essayer d’envisager notre capacité de production à partir de nos moyens disponibles notamment dans le domaine agricole. Puis nous allons analyser avec cette capacité productive les diverses quantités demandées dans notre étude auprès de chaque marché prévu.
Nous allons analyser donc en premier lieu les divers moyens requis notamment matériels et humains dans le cadre de notre exploitation agricole. Ils vont se manifester dans les divers entretiens nécessaires dans notre exploitation ainsi que la nouvelle plantation jusqu’à la récolte de notre production. L’existence et les techniques d’exploitation de ces moyens de production détermine dans ce cas notre capacité. A la fin de cette partie, nous allons voir notre capacité commerciale avec la production attendue à ces moyens en vue d’envisager notre capacité.
La Capacité de Production Agricole
Comme nous avons déjà évoqué auparavant, cette capacité de production agricole détermine la quantité produite envisagéeansd notre activité d’ exploitation en matière de litchis. Dans la partie de I’étude de techniquesde production, nous avons déjà analysé de long à large notre technique de production agricole adéquate à notre activité. Nous avons connu dans cette partie que notre activité se base dans la mise en œuvre des diverses techniques agricoles.
Nous avons besoins des moyens humains très important dans le cadre de la mise en oeuvre sur terrain nos diverses techniques. Dans la partie plantation, ces moyens humains nous semblent indispensable dans la phase de trouage, arrosage, détourage en tenant compte du niveau de nos investissements prévu à ce projet d’activité enquestion. Nous avons besoin aussi de ces moyens humains en vue d’une réalisation pratique denotre technique de recepage. Nous allons assurer l’enlèvement des branches inutiles par des procédés manuels accompagnés des matériels et outillages simples.
Néanmoins, en tenant compte de l’importance de notre exploitation, ces moyens humains nous semblent insuffisants. Nous devons par conséquent acquérir des moyens matériels aussi bien que des moyens financiers pour assurer à mieux que possible notre exploitation.
Le Moyen Humain
Dans le cas de notre projet, il est très difficile à évaluer ce moyen parce qu’il varie toujours suivant le moment et la phase de notre exploitation ainsi que les techniques mises en oeuvre à cette exploitation. Dans ce cas nous devons par conséquent étudier au étaild
à chaque technique proposée les besoins en moyen humain dans notre exploitation agricole de ce projet.
Si nous commençons notre étude dans la phase de plantation, nous envisageons de cultiver 20 000 pieds de litchis dans un terrain de 60 km² en totalité. Il n’est pas possible d’acquérir la totalité de ce terrain en un endroit, mais nous devons assurer notre culture sur divers terrains situés aux alentours de notre région d’exploitationprévue à ce projet. Il nous semble intéressant de signaler en faveur de lecteurs que la production d’un pied de litchis tourne environ dans le 100 kilogrammes de litchis. En vue d’assurer la culture de ces 20 000 pieds de litchis, nous allons embaucher 20 employés temporaires dans la phase de préparation de terrain qui s’exécute en mois de Février par conseil et la plantation en mois de Mars.
Nous avons besoins de ces employés tout au long d’une année de la plantation en vue d’ assurer 1’entretien de nos petites plantes à cette première année de culture comme I’arrosage et le détourage à temps continue dans cette année.
Dans le but de réduire à mieux que possible notre charge engagée à la rémunération de ces employés, nous allons choisire lmode de paiement par taux horaires mais payés mensuellement. Ce taux horaire est fixé à 806FMG par heure.
Il est opportun de porter à notre connaissance que nous n’allons plus licencier ces 20 employés après cette année de plantation mais leurattribution va changer dans d’autres activités de notre exploitation. Il serait aussi opportun à notre exploitation ce mode de rémunération par taux horaires parce que nos employés vont connaître de temps à temps qu’ils vont gagner plus de rémunération suivant I’ importance de leur temps de travail, leurs connaissances à ce mode de rémunération vont les inciter à travailler à temps complets. Si nous allons estimer à travailler dans les huit heur es de temps par jour pendant 25 jours par mois, il se peut que notre charge mensuelle par employé tourne autour de 160 000 FMG.

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Table des matières

INTRODUCTION
Première Partie : Vue générale sur le mécanisme d’exploitation du litchi
Chapitre I : Présentation du mécanisme d’exploitation
Section 1 : Historique du mécanisme d’exploitation
Section 2 : Les caractéristiques du mécanisme d’exploitation
2.1. Les caractéristiques agricoles
2.1.1. La plantation
2.1.2. La récolte
2.2. Les caractéristiques commerciales
2.3. Les caractéristiques financières
Chapitre II : Etude du marché de litchis
Section 1 : Généralités sur le marché
Section 2 : Le marché intérieur
2.1. L’état de marché intérieur
2.1.1. L’étendue du marché
2.1.2. L’aire du marché
2.2. Etude quantitative du marché intérieur
2.3. Etude qualitative du marché intérieur
Section 3 : Le marché extérieur ou d’exportation
Deuxième Partie : L’aspect technique du mécanisme
Chapitre I : Les techniques de production
Section 1 : Les techniques agricoles
1.1. La vulgarisation
1.2. Le détourage
1.3. Le recepage
1.4. La récolte et collecte de produits
Section 2 : La commercialisation
Chapitre II : La capacité de production envisagée
Section 1 : La capacité de production agricole
1.1. Le moyen humain
1.2. Les moyens matériels
1.3. Les moyens financiers
Section 2 : La capacité de distribution et de commercialisation
2.1. La capacité de distribution
2.2. La capacité de commercialisation
Chapitre III : Le système organisationnel de l’activité
Section 1 : La structure dans l’exploitation agricole
Section 2 : La structure du système d’exploitation commerciale
Troisième Partie : Analyse de faisabilité financière et comptable de l’activité
Chapitre I : Les investissements et les comptes de gestion
Section 1 : Fonds de roulement initial
Section 2 : Le plan de financement
2.1. Présentation du plan de financement de ce projet
Section 3 : Tableau des amortissements
Section 4 : Tableau des remboursements des dettes
Section 5 : Les comptes de gestion
5.1. Les charges
5.2. Les produits
Chapitre II : Analyse de la rentabilité et étude de faisabilité
Section 1 : Le compte de résultat prévisionnel
Section 2 : Le plan de trésorerie
2.1. Présentation schématique du plan
Section 3 : Le bilan prévisionnel
Chapitre III : Evaluation du projet d’activité
Section 1 : Evaluation économique
Section 2 : Evaluation financière
2.1. Valeur nette actualisée
2.2. Indice de profitabilité
2.3. Taux de rentabilité interne
2.4. Durée de récupération de capitaux investis
Section 3 : Evaluation Sociale
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE

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