LES INVESTISSEMENTS DIRECTS ETRANGERS DANS LES PAYS EN DEVELOPPEMENT 

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Les facteurs déterminants les IDE à Madagascar

Les facteurs fondamentaux qui favorisent les IDE sont nombreux :
Les facteurs tenant aux coûts
Les facteurs tenant aux marchés La stabilité macro- économique L’instabilité politique

Les facteurs tenant aux coûts

Les facteurs tenant aux coûts tiennent compte de la taille du marché et du coût de la main d’œuvre.
La taille du marché
Les investisseurs étrangers qui veulent investir dans un pays accordent une plus grande importance à la taille du marché. Elle est expriméeen PIB. Un marché est plus large si le PIB est supérieur ou égal à 36 milliards de dollars. Par conséquent, la taille du marché de Madagascar est faible, c’est pourquoi elle est la dernière visée des IDE en Afrique. Car les investisseurs sont beaucoup plus incités à investir dans un pays ou le marché est plus large, donc facile pour l’écoulement des produits. Ils prennent en compte aussi du nombre des concurrents sur le marché où ils veulent s’implanter. Car devant une forte concurrence, il faut être compétitif pour conquérir le marché. Tout cecicrée des risques pour les investisseurs.
Ainsi, pour attirer les investisseurs étrangers, il faut développer et mettre en place une stratégie assurant le bon mécanisme du marché et que l’économie nationale se fonde sur la loi du marché. Le coût de la main d’œuvre
Une des raisons de l’implantation à l’étranger est la recherche du meilleur profit. En effet, les investisseurs étrangers s’intéressent à un pays ou le coût de la main d’œuvre est le plus favorable. Dans le cas de Madagascar, le coût de la main d’œuvre est bon marché, comparé au coût de la main d’œuvre des pays développés qui sont plus chers. Par conséquent, les IDE des cherchent à minimiser leur coût de production afin de tirer le maximum de bénéfice dans les pays à faible revenu. Cependant, la qualité de ces mains d’œuvre reste aussi déterminante dans la décision d’investissement. Car la concurrence sur le marché exige la qualité des Produits, c’est-à-dire la compétitivité. Cela nécessite des mains d’œuvre qualifiée. Mais pour ces multinationales, mieux vaut avoir une main d’œu vre assez qualifiée pour que les dépenses en formation et apprentissages ne soient pas élevées.
A Madagascar, toutes ces conditions tenant aux coûts sont plus ou moins réunies pour que les investisseurs s’intéressent à notre pays.

Les facteurs tenants aux marchés

Avantages comparatifs sur les ressources naturelles
Les investisseurs étrangers s’implantent dans un pays où ils trouvent leur matière première, un pays doté de ressources naturelles abondantes ; comme le cas de notre pays, les investisseurs étrangers peuvent bénéficier à la fois de matière remièrep sur place à cause de notre faune, flore et sous- sol très enrichis, il y a aussi des ressources humaines disponibles et après à travailler dans n’importe quel secteur d’activité. Cela rend les firmes multinationales plus compétitives sur le marché.
Madagascar dispose des énormes ressources naturelles : comme les produits miniers comme le saphir qui malgré tout exploiter de manière illégale. A part la saphir, il y a aussi les ilménites qui sont déjà exploiter par le projet QITMadagascar Minerals SA (QMM). Il y a aussi le grand projet d’extraction de cobalt et de nickel entrepris par la société Dynatec à Ambatovy,
Il y a aussi des cultures de rente comme la vanille, huiles essentielles, cacao, poivre.
L’existence d’un climat favorable

Les fiscalités

L’incitation fiscale attire les investissements étrangers. Quand ils décident de s’investir, ces investisseurs doivent payer des impôts et taxes rel atifs à leurs exercices. Ils souhaitent qu’il y ait plus d’incitations fiscales dans le pays accueillant que dans d’autres.
A Madagascar, des mesures d’incitations fiscales ont été adoptées pour promouvoir l’investissement privé et l’activité économique deproduction. Ces mesures peuvent regroupés en deux catégories :
– Le régime de droit commun régi par le code généraldes impôts pour les entreprises exerçant sur le marché local sauf dans les zones franches industrielles.
– Un régime fiscal privilégié pour les entreprises agrée régies par le code des investissements qui a pour objectifs d’inciter les capitaux étrangers et nationaux à s’investir dans les activités productives et celles directement liées à la production. Pour les entreprises franches, elles bénéficient detrès larges exonérations fiscales, des régimes assouplies pour les échanges et des régimesd’implantation franchise de droit d’équipement, des matières premières. Pour d’autrespays, ils maintiennent un régime fiscal largement tolérant pour attirer les investisseurs étrangers puisqu’un taux d’imposition élevé décourage celui-ci

L’amélioration de l’efficacité de l’administration

L’Etat joue un rôle important dans l’attrait des in vestisseurs en favorisant un climat incitatif à l’investissement. La transparence, la r apidité, et la simplification des procédures administratives sont autant de caractères pris en compte par les investisseurs. La mise en place du guichet unique des investissements montre la volonté du pays à accroître l’efficacité de l’administration. En effet, les reformes entreprises dans les structures de l’Etat à Madagascar contribuent tous à la mise en place d’une administr ation efficace. Les investisseurs étrangers se dirigent couramment dans la gestion des affaires publiques. Ces reformes, sont surtout au niveau de la justice, des douanes, donc un plus pour l’Etat malgache qui peut espérer un accroissement du nombre d’investisseurs dans le pays.
Ainsi, pour notre pays, les résultats de ces reformes commencent à être concrets, mais les autres services nécessitent encore des changements surtout au niveau de la lutte contre la corruption. On peut dire que l’efficacité de l’administration malgache constitue un des facteurs déterminants qui favorisent les investissements étrangers.
Ces facteurs constituent des critères des sélection pour les investisseurs étrangers et rendent les firmes plus compétitives sur le marché.

Stabilité macro-économique

L’Etat vise toujours la croissance des IDE et des exportations dans le cadre de sa politique de croissance économique. De ce fait, les investissements ont pu bénéficier d’une sécurisation, de l’amélioration du cadre juridiquedes affaires, d’un système d’information sur la technologie et sur les nouveaux marchés qui estlise à la disposition des opérateurs.
Madagascar dispose d’atouts et de grandes potentialités de développement. Des mesures s’imposent pour la mettre dans la place où elle devait être. Ainsi, la politique d’investissement adoptée repose sur les principes de la libre entreprise et la libre circulation des biens, des personnes et des capitaux. Le secteur privé est donc appelé à jouer pleinement et de façon efficace son rôle moteur de la croissan ce économique.
On peut dire que les chocs macro-économiques qui peuvent toucher les pays d’accueil de ces IDE sont aussi un autre problème d’entrée des flux de ces capitaux étrangers. Il y a aussi les déséquilibres macro-économiques comme l’inflation ou la balance des paiements ou autres indicateurs économiques y rattachées.
Pour créer un cadre réglementaire accueillant pourl’IDE, on doit assouplir le régime applicable à l’entrée sur le marché et aux participations étrangères, et améliorer le traitement accordé aux firmes étrangères.
Les investisseurs peuvent également ne pas souhaiter investir dans un pays où l’Etat intervient largement dans les activités économiques, que ce soit par le biais de contrôles de prix, de mesures de recouvrement des rentes produites par l’exploitation des ressources naturelles et des monopoles ou d’un vaste secteur d’entreprises publiques. Les méthodes de privatisation peuvent avoir d’importants effets directs, et indirects, positifs sur les entrées d’IDE.
Le système du commerce libéral influence égalementla mobilité des IDE. La libéralisation du commerce les attire car elle permet de profiter des ressources naturelles, les ressources humaines et les infrastructures. Elle permet aussi aux investisseurs d’importer librement les biens d’équipement et des matières premières aux prix sur le marché mondial et de produire aussi bien pour le marché national qu’international à des qualités et prix compétitifs.
La libéralisation du régime commercial élargit ainsla possibilité de l’entreprise e par la suite l’amélioration de sa rentabilité. Cette libéralisation implique l’élimination ou la réduction de toutes sortes de barrières commerciales, qui entravent la circulation des produits et des moyens de production.

La stabilité politique

Les décisions d’investissements étrangers nécessitent un cadre politique aisé et réglementaire, les indicateurs économiques selon la motivation recherchée et le cadre de facilitation des affaires. Les pays accueillants doivent donc impérativement afficher une stabilité sur le plan politique, l’Etat doit mettre en place un cadre réglementaire clarifier et non contraignant concernant les entrées de capitaux et les opérations, respectant esl normes de traitement et d’accueil des investisseurs étrangers. L’Etat doit aussi prendre des mesures favorisant le bon fonctionnement des marchés (notamment les lois sur la concurrence, sur les fusions ainsi que les acquisitions, etc.), la mise en place d’une politique de privatisation fondée sur la transparence est aussi souhaitable
La corruption aussi est une variable explicative qui détermine les IDE dans un pays déterminé. Les données sont basées sur des observations directes des actes de corruption mais l’information vacante est seulement indirecte en raison de la complexité des transactions et de leur clandestinité pour mesurer la corruption les auteurs comme Dincer et Gunalp ont suggérés qu’il existe deux indicateurs : les indicateurs objectifs et les indicateurs subjectifs. Les indicateurs objectifs ont des tentatives de mesures directes de la corruption qui sont représentés par le nombre des fonctionnaires accuséde cas de corruption, les montants de pots de vins versés dans les transactions de corruption entre les fonctionnaires et les entreprises ou bien encore l’écart entre les quantités physiques des infrastructures et le prix cumulé payé par le gouvernement sur le stock de capital. La limite de ces indicateurs c’est qu’ils s’appliquent sur le plan micro-économique et ne sont disponible sur le plan macro-économique.

Les caractéristiques de l’IDE à Madagascar

Les modes de financements et les différents acteurs des IDE à Madagascar

Avant d’entamer au sujet nous allons tout d’abord d éfinir ce qu’on appelle flux et stock.
Le stock d’investissement est la situation ou le montant des investissements faits par une unité de production à une date donnéeT. A Madagascar le stock d’IDE se concentre sur trois branches d’activités comme « l’activité extractive », « l’activité financière » et la « fabrication ». celles-ci constituent 47,0% des stocks d’IDE en 2005 et plus de 65% en 20067.
Le flux d’investissement est constitué par les mouvements, les modifications de la valeur des investissements faits par une unité de production durant une période donnée. Le flux d’IDE constitue une composante importante du compte des opérations financières de la Balance des Paiements. La connaissance du flux d’IDE permet de savoir le mouvement de capitaux observé au cours d’une période donnée.
Les flux d’investissements directs sont ventilés en trois catégories selon leur nature :
– Les opérations en capital social
Ce sont les créations, acquisitions et extensions d’entreprises réalisées sous forme d’acquisition d’actions, de titres de participation ou d’actifs productifs, les subventions d’équilibre, les consolidations de prêts, prêts subordonnés et prêts participatifs du secteur bancaire, les investissements immobiliers.
– Les bénéfices réinvestis
Ils correspondent aux résultats nets des entreprise investies au cours d’un exercice comptable diminués des dividendes versés à la maison mère aucours du même exercice.
– Les autres opérations
Elles regroupent, en principe, toutes les opérations de prêts, avances, dépôts, à court et long termes, y compris les crédits commerciaux (créditsfournisseurs), et les opérations sur titres ne figurant pas parmi les opérations en capital (achats de titres obligataires…) entre sociétés affiliées, c’est-à-dire entre les investisseurs directs et leurs filiales et succursales, à l’exceptio n des crédits e dépôts entre les banques résidentes teleurs correspondants étrangers (enregistrés avec les « autres investissements »).
Avant d’aborder le sujet nous allons représenter sous forme de tableau les entreprises d’IDE crées en 2005, ainsi que leur taille et la répartiton.

La situation des flux d’IDE à Madagascar

Les flux d’IDE d’investissements directs sont venti lés en trois catégories selon leur nature :
– Les opérations en capital social :
Ce sont les créations, acquisitions et extensions d’entreprises réalisées sous forme d’acquisition d’actions, de titres de participation ou d’actifs productifs, les subventions d’équilibre, les consolidations de prêts, prêts subordonnés et prêts participatifs du secteur bancaire, les investissements immobiliers.
– Les bénéfices réinvesti s :
Ils correspondent aux résultats nets des entreprise investies au cours d’un exercice comptable diminués des dividendes versés à la maison mère aucours du même exercice.
– Les autres opérations :
Elles regroupent, en principe, toutes les opérations de prêts, avances, dépôts, à court et long termes, y compris les crédits commerciaux (créditsfournisseurs), et les opérations sur titres ne figurant pas parmi les opérations en capital (achats de titres obligatoires … ) entre sociétés affiliées, c’est-à-dire entre les investisseurs directs et leurs filiales et succursales, à l’exceptio n des crédits et dépôts entre les banques résidenteset leurs correspondants étrangers (enregistrés avec les « autres investissements » )
Si le stock contribue à calculer la position extérieure de Madagascar, le flux constitue une composante importante du compte des opérations financières de la Balance des Paiements. Le tableau suivant donne la situation du flux d’IDE à Madagascar de 2002 à 2006. En 2005, les flux d’IDE ont représentés 2% du PIB aux prix courants et en 2006 cette part a augmentée jusqu’au 4 % du PIB.

IDE : solution au double déficit

L’IDE permet de résoudre le problème du double déficit mais cela est soumis à des conditions :
• Les investissements étrangers doivent substituer aux Investissements locaux
(privatisation debt/équity Swaps). L’accroissement des IDEs réduit les investissements locaux et cela est dû à la concurre nce.
• Les investissements étrangers doivent rapatriés desprofits, ainsi que des royalties, cela a pour conséquence de faire ressortir des capitaux.
• L’IDE c’est le moins coûteux que les emprunts, ici, on devrait faire la comparaison à travers les charges financières des IDEs comme le rapatriement des profits et du principal plus les paiements des royalties, l’importation moins exportation sur capital investit .il va falloir donc vérifier si les charges financières des emprunts qui sont composés du taux d’intérêt par rapport aucapital empruntés soient inférieures aux charges financières des IDEs. Si nous prenons le cas de Madagascar ; les entreprises franches (fabrication) qui font des exportations, la plupart des IDEs sont tournés vers le marché intérieur (secteurs pétroliers par exemple) qui est évalué à 26% des importations. Concernant la valeur ajoutée, en 2006, 659 milliards d’Ariary sont repartis dans 73% des filiales c’est-à-dire plus de 50% de participation étrangère. Le taux de la valeur ajoutée par rapport au chiffre d’affaire s’étend à 58,3% en 2006 qui concerne le secteur pétrolier, financière, fabrication, TELECOM.
Le tableau suivant nous montre donc la répartition du taux de la valeur ajoutée par branche d’activité.

Les obstacles des IDE à Madagascar

Le contexte économique

L’inexistence d’établissements financiers
Cela représente un obstacle à l’arrivée des investisseurs spécialisés puisque les investisseurs ne peuvent pas assurer la sécurité de leurs investissements. En effet, à Madagascar, même s’il existe quelques établissements financiers qui peuvent accueillir les investissements, ils ne sont pas préparés à une somme plus élevée. On remarque ueq les établissements financiers spécialisés qui exercent à Madagascar se concentren surtout dans la capitale et dans les quelques grandes villes. Or, si les investisseurs décident d’effectuer un investissement dans une région situé loin des grandes villes, ils ont ud mal d’accéder à leur fonds.
Le manque d’infrastructure
La croissance accélérée impliquerait un accroissement massif des volumes d’exportations par rapport à leurs niveaux actuels. Pour atteindre un tel accroissement, Madagascar devra procéder à une importante remise en état de son infrastructure en particulier dans les secteurs de transport. Même si l’Etat fait de son mieux, Madagascar est caractérisée par une déficience en infrastructure routière, entraînant dans les domaines de transport des coûts élevés, et à cela s’ajoutent les délais de livraison des marchandises qui ne sont pas respectées.
De plus, la fiabilité et l’aptitude du secteur privé à déplacer d’importants volumes de marchandises sont également remises en causes. Or, le respect des délais, la fiabilité et l’aptitude à déplacer d’importants volumes de marchandises sont des éléments vitaux de la compétitivité à l’exportation. Donc, l’insuffisance en infrastructure constitue une perte de compétitivité à Madagascar.
Le manque d’instruments financiers
Les établissements financiers spécialisés à Madagascar ne possèdent pas encore une plus large variété d’instruments financiers offerts aux clients. En effet, les financements à moyen et long terme font défaut, et au contraire les financementsà court terme sont nombreux. Pourtant, un projet d’investissement représente en général un investissement à long terme. Ainsi, c’est un obstacle au développement des IDE à Madagascar donc un handicap qu’il faut voir de près. Notons aussi que le manque d’instrument financier constitue une entrave au développement des flux d’investissement puisque les investisseurs en acceptant d’investir dans notre pays doivent donc se contenter des services offerts par les établissements financiers, cela se passe surtout lors de rapatriements des bénéfices, de l’importation des équipements et enfin lors de l’exportation de la production. En, effet en plus de l’insuffisance d’instruments financiers, ils ne sont plus adaptés aux transactions actuelles, vul’évolution de la technologie.
En somme, les établissements financiers jouent un rôle important en favorisant le choix de la destination des investissements étrangers. A Madagascar, ils constituent un obstacle au développement de ces derniers puisque en plus de leur faible diversité, ils ne peuvent pas suivre les avancés technologie.

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Table des matières

Introduction
PARTIE 1. LES INVESTISSEMENTS DIRECTS ETRANGERS DANS LES PAYS EN DEVELOPPEMENT 
Chapitre.I. Approches théoriques des IDE entrants dans les PED et à Madagascar en particulier
1. Concept d’IDE
1.1. Définition et typologies d’investissement
1.2. Caractéristiques des IDE
1.3. Les différents types d’IDE
1.3.1. IDE verticaux
1.3.2. IDE horizontaux
1.4. Rôles des IDE dans les PED
1.5. IDE faces aux contraintes rencontrées dans les pays en développement
2. Les déterminants des IDE à Madagascar
2.1. Les facteurs déterminants les IDE à Madagascar
2.1.1. Les facteurs tenant aux coûts
2.1.2. Les facteurs tenants aux marchés
2.1.3. Stabilité macro-économique
2.1.4. La stabilité politique
Chapitre.II. Les caractéristiques de l’IDE à Madagascar
1. Les modes de financements et les différents acteurs des IDE à Madagascar
1.1. Les modes de financements
1.1.1. La situation des flux d’IDE à Madagascar
1.2. Les principaux acteurs de financements des IDE
2. Utilités des IDE
2.1. Pourquoi l’IDE ?
2.1.1. IDE : solution au double déficit
3. Les obstacles des IDE à Madagascar
3.1. Le contexte économique
3.2. Le rôle excessif de l’Etat
PARTIE 2. Les apports et contributions de l’IDE dans l’économie malgache
Chapitre.I. L’économie Malgache face aux flux entrants d’IDE
1. IDE et compétitivité
1.1. Possibilité de diversifications des produits
1.1.1. Amélioration de la productivité et de la qualité
1.1.2. Augmentation de la capacité d’exporter : commerce extérieur
1.2. La valeur ajoutée
2. L’IDE et les Transferts (effets indirects)
2.1. En termes de technologie
2.2. Efficiences dues à la concurrence
2.3. Effets de liaison en amont et en aval
3. L’IDE et l’emploi (effets directs)
Chapitre.II. Les rôles des IDE sur le développement économique
1. Les IDE et la richesse nationale
1.1. Les contributions des IDE sur le secteur tourisme à Madagascar
1.2. Participation au budget de l’Etat en termes de devises
1.3. Contribution à la croissance économique
2. Les limites des IDE à Madagascar
2.1. La pauvreté
2.2. Les transferts non automatiques
2.3. L’exploitation des employés
2.4. Le coût des IDEs
2.5. Le chômage
Conclusion
Annexe
Bibliographie

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