LES INSOMNIES DU JEUNE ENFANT ET DE L’ADOLESCENT

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La qualité du sommeil. [2] [101]

La qualité du sommeil n’est pas liée à sa durée qui peut se modifier selon les âges de la vie. Pour juger de la qualité du sommeil plusieurs facteurs sont pris en compte en plus de l’âge :
– du point de vue de la génétique on se base sur les profils des dormeurs et sur leur changement de rythme,
– l’environnement (les bruits, le stress, la lumière, la température) entraînent une perturbation du rythme de sommeil.
Ainsi, une privation de sommeil de quelques jours aurait un impact sérieux sur l’état physique de la personne ; de même, les activités pratiquées à l’état de veille peuvent influer sur le sommeil quotidien et vice versa ; toute hyperactivité après 20 heures est susceptible d’entraîner des troubles de l’endormissement ; en outre, trop d’inactivité dans la journée affecte la qualité du sommeil.
La qualité du sommeil se modifie au cours de la nuit. En effet le sommeil est meilleur avant minuit car cette première partie de la nuit est plus riche en sommeil lent profond. L’organisme récupère le mieux durant cette phase.
Le sommeil lent léger et le sommeil paradoxal sont proportionnellement plus importants en fin de nuit.
La prise d’hypnotiques agit également sur la qualité du sommeil en diminuant le sommeil lent profond de manière durable et transitoirement le sommeil paradoxal. La consommation d’alcool peut aider à l’endormissement mais des réveils surviennent en deuxième partie de nuit accompagnés le plus souvent de cauchemars.
En résumé, il est bien évident donc qu’un sommeil de qualité se prépare pour en tirer le meilleur profit possible et il se définit par une durée d’endormissement inférieur à 1 heure, un nombre d’éveils nocturnes inférieurs
à deux avec ré- endormissement en moins de 30 minutes, un réveil matinal avec la sensation d’être bien reposé pour la journée.

Le sommeil selon les âges. [6]

L’architecture du sommeil se modifie avec l’âge. Le début de la vie est marqué par une quantité importante de sommeil paradoxal et le nouveau-né dort environ de 16 à 17 heures de temps par 24 heures avec des cycles très nombreux répartis sur toute la journée. Les variabilités inter et intra-individuelles sont cependant très importantes. Mais la durée du sommeil va diminuer rapidement dans les premières années de la vie, c’est-à-dire pendant l’enfance, puis se ralentit. En effet de 1 à 6 (six) mois, le sommeil nocturne s’allonge progressivement à une durée comprise entre neuf (9) et douze (12) heures. A dix 10 ans, l’enfant fait 30% de sommeil profond.
A l’adolescence, les besoins de sommeil sont plus grands, en moyenne de neuf à dix heures. Mais, c’est le rythme du sommeil qui est différent, avec des horaires très variables selon le mode de vie et les horaires différents. C’est l’âge des grands bouleversements hormonaux et des modifications du comportement. IL y a moins de sommeil lent profond et la somnolence diurne s’installe.
Chez l’adulte, en revanche on note une phase de sommeil quotidienne modulée par les différents stades du sommeil et le sommeil profond représente 20% ensuite il disparaît dans la deuxième partie de la nuit. Les profils des dormeurs permettent de faire une distinction.
Avec l’âge, les rythmes veille – sommeil ont tendance à changer. Le sommeil devient plus léger et plus fragmenté. De plus la quantité de sommeil dans la journée augmente avec des siestes plus ou moins prolongées au détriment du sommeil nocturne.
Vers 50 à 60 ans, les éveils se multiplient et les épisodes de sommeil tendent à réapparaître dans la journée. L’endormissement et le réveil deviennent précoces, avec un horaire du sommeil qui se déplace.
A 80 ans, il est exceptionnel de faire encore du sommeil lent profond. Le sommeil devient instable et les micro-éveils6 sont plus nombreux.
Donc les personnes âgées sont ceux qui vivent mal le plus souvent ces troubles du sommeil.

Les fonctions du sommeil

Le sommeil possède plusieurs fonctions particulières qui sont en vérité fortement liées à l’état de veille. Les conséquences d’un mauvais sommeil ont un impact sur le maintien de la vigilance à l’état de veille. Pourtant selon Michel Jouvet, le sommeil est l’une des rares grandes fonctions physiologiques dont on ne connaît pas exactement la fonction principale. [31]
Les chercheurs approchent cette question en étudiant les situations de privation de sommeil et ses effets. [33]
En ce qui concerne le sommeil lent, il posséderait une fonction de repos, de récupération, de restauration tissulaire, et dans une hypothèse récente, de régulation de la température centrale et du métabolisme. [2]
Lors du sommeil, certaines fonctions biologiques sont à leur maximum, notamment la production d’hormones de croissance pendant l’enfance et l’adolescence. C’est pourquoi le besoin de sommeil à cet âge est important. A la puberté, les hormones sexuelles sont sécrétées en sommeil lent profond.
De nombreuses fonctions sont attribuées au sommeil paradoxal :
– rôle dans la restauration psychique,
– rôle dans la maturation et le développement du cerveau,
– rôle de programmation génétique du comportement,
– rôle dans la mémoire et l’apprentissage avec consolidation de la mémoire à long terme et facilitation de l’intégration des acquisitions nouvelles,
– maturation de l’efficience visuelle. [16].

Rôle réparateur :

Ce rôle a longtemps primé sur les autres. Ainsi les travaux d’Oswald avaient conclu à une liaison entre le sommeil et le processus d’anabolisme.
L’ensemble des cellules continue à être actives pendant le sommeil, et en particulier les cellules nerveuses durant le sommeil paradoxal. [75]
Selon Dement, le sommeil paradoxal a la fonction de débarrasser le système nerveux des toxines accumulées au cours de la veille ou du sommeil lent.

Mise en place et réactivation des programmes comportementaux :

Roffwarg, sur l’importance du sommeil paradoxal chez le nouveau-né, a pensé que ce type de sommeil fournirait une stimulation endogène nécessaire à la maturation du système nerveux central au cours de la vie fœtale. [28]. La théorie de programmation génétique du comportement est étayée par les expériences de Jouvet sur les chats. Ces travaux ont montré qu’une abolition des mécanismes d’inhibition motrice au cours du sommeil paradoxal fait apparaître des comportements stéréotypés d’agression ou de défense.
Ceci a conduit à l’hypothèse selon laquelle le sommeil paradoxal serait la période où les comportements innés se mettent en place. [45]

Facilitation de la mémorisation :

Le début de la vie est une période essentielle pour l’apprentissage. Des expériences pratiquées sur l’animal ont mis en évidence une relation entre le sommeil paradoxal et les activités cognitives. En fait les travaux entrepris ont prouvé que l’apprentissage est impossible pendant le sommeil lui-même mais que s’il est immédiatement suivi d’une phase de sommeil, sa mémorisation est bien meilleure. [44]
Donc il faudrait que l’information soit précédemment introduite à l’état de veille pour que l’activation des processus cérébraux qui accompagne le sommeil paradoxal se mette en place. Selon Jouvet et Delorme, l’augmentation du sommeil paradoxal enregistrée chez les sujets ayant bien mémorisé prouve que son rôle dans la mémorisation est bien réel. Ils ont comparé ces sujets à ceux n’ayant pas pu parvenir à une bonne mémorisation et par conséquent n’ont eu aucune modification de leur sommeil paradoxal. [46]
Malgré tous ces résultats sont sources de contradictions. Pourtant le sommeil possède d’autres fonctions que les chercheurs n’ont pas fini de dévoiler. [100]

LES MOYENS D’ETUDE DU SOMMEIL : LA POLYSOMNOGRAPHIE.

Méthode instrumentale et technique d’un enregistrement du sommeil : [3, 7, 8, 25, 47, 56, 80].
La structure du sommeil n’est connue que depuis une dizaine d’années, et la première exploration du sommeil a été réalisé au moyen d’un seul paramètre : l’activité électroencéphalographique : E.E.G.
L’utilisation de cette seule variable physiologique permit à Loomis de distinguer 5 stades de profondeur différente.
La découverte en 1953 par Aserinsky et Kleitman du sommeil avec mouvements oculaires, associé à la production de rêves, allait être à l’origine de la classification de Dement et Kleitman en 1957, qui distinguèrent quatre stades de sommeil sans mouvements oculaires (NREM chez les anglo-saxons et sommeil lent chez les francophones) et un stade de sommeil avec mouvements oculaires ou REM.
Dés lors l’exploration du sommeil nécessitait l’association d’un autre paramètre :
– l’activité oculaire ou électro-oculogramme (E.O.G.)
Par la suite Jouvet et Michel en 1959 montrèrent que chez le chat, le sommeil avec REM était accompagné d’atonie musculaire. Découverte qui fut confirmée chez l’homme par Berger en 1962. Ce qui ajouta un troisième paramètre à l’exploration du sommeil :
– l’électromyogramme (E.M.G.)
L’utilisation de ces trois paramètres simultanément permet un bon enregistrement polygraphique du sommeil. Ce qui permit à Rechtschaffen et Kales en 1968 de publier un manuel définissant les critères nécessaires pour reconnaître le sommeil avec mouvements et le sommeil sans mouvements oculaires.
– Selon le manuel, il est absolument impossible de scorer une partie du sommeil sans E.E.G. alors qu’il est possible de le faire sans E.O.G ni
E.M.G.
– La présence de mouvements oculaires est indispensable pour reconnaître le sommeil REM du sommeil NREM. Donc une bonne analyse du sommeil et un bon endormissement requièrent l’utilisation de l’E.O.G.
Enfin le manuel recommande l’utilisation des mouvements mentonniers comme témoin de l’activité musculaire au cours du sommeil. L’utilisation d’autres groupes musculaires (muscles intercostaux, jambes antérieures, deltoïdes, masséters…), est réservée à l’exploration de pathologies diverses (apnées du sommeil, mouvements périodiques des membres, bruxisme…).

DESCRIPTION ET ORGANISATION PHASIQUE DU SOMMEIL.

Description des différents stades du sommeil. [6, 30, 48, 84]

La vie de l’homme est rythmée par les états de veille et de sommeil, deux états physiologiques fondamentaux. Le sommeil n’est cependant pas une interruption d’activité de l’organisme, « Il s’agit d’un changement d’activité cérébrale » et, suivant cette définition, nous allons découvrir ses différentes variations qui forment chacune un stade plus ou moins long au cours de la nuit.
Selon Pierre Fluchaire, la veille peut prendre deux aspects suivant que le sujet est actif, yeux ouverts ou relaxé, yeux fermés. A l’état d’éveil, notre activité cérébrale est composée d’ondes très rapides mais possède un voltage très faible. Ces ondes de veille active sont appelées bêta. Les mouvements oculaires sont nombreux, rapides et amples. Une fois couchés, les yeux fermés et dans une détente physique et psychologique, d’autres ondes font leur apparition mais cette fois-ci moins rapides (de 8 à 10 Hz) que les précédentes. Leur amplitude est beaucoup plus élevée. Ces ondes de veille passive sont appelées alpha.
Mais cette phase est très fragile et au moindre bruit, la personne ouvre les yeux et revient à l’état de veille, entraînant le passage des ondes bêta aux ondes alpha. Par contre si la personne reste un certain temps en ondes alpha, elle va basculer dans l’endormissement et se retrouver dans le stade 1. Ces ondes alpha sont remplacées par des ondes thêta nettement plus lentes de 4 à 7 Hz, avec un voltage par contre élevé. Cependant le sommeil de l’individu est toujours aussi fragile et pas totalement protégé des bruits.
Le stade 1 ne dure environ que quelques minutes et l’individu entre en stade 2 ou stade de sommeil léger. Ce stade est caractérisé par des ondes sigma plus rapides de 10 à 14 cycles par secondes d’amplitude comprise entre 10 et 50 microvolts. Cette phase dure environ une vingtaine (20) de minutes. Il faut noter la présence de spindles7 et de complexes K8 considérés comme éléments discontinus.
Selon Karila et Layet, les stades 1 et 2 représentent 50% du sommeil total et sont nommés sommeil léger car le dormeur est sensible à l’environnement physique qui l’entoure.
Ensuite l’individu entre dans un sommeil lent profond composé des stades 3 et 4. Au cours de la phase 3, stade de sommeil lent profond discontinu, les ondes appelées delta apparaissent et sont très lentes de fréquence comprise entre 1 à 3 Hz ; l’amplitude est cependant très forte (75µv).
Le sommeil du dormeur s’approfondit et laisse la place au stade 4 ou stade de sommeil lent profond continu avec plus de 50% d’ondes delta lentes (2Hz). Cette étape dure environ 1 heure au terme duquel le dormeur revient au stade léger. Les mouvements oculaires sont très lents et rares. Durant ces deux stades, les fonctions vitales comme la respiration, les battements cardiaques sont au plus bas, mais en outre l’organisme sécrète des hormones indispensables pour la restauration tissulaire.
Selon Sylvie Royant-Parola, cette phase est la plus récupératrice sur le plan physique et représente 20 à 30% du sommeil total. Le dormeur émerge difficilement de son état de sommeil profond.
Le stade 4 laisse la place à un autre état au cours duquel on note la présence d’ondes alpha. Le tracé E.E.G. est également riche en ondes thêta et on parle « d’ondes en dents de scie ». C’est le sommeil paradoxal au cours duquel le sommeil s’approfondit davantage. Le tonus musculaire est relâché, les mouvements oculaires sont rapides, la respiration s’accélère et le corps est paralysé. Le dormeur se met alors à rêver. Ces rêves conditionnent le bon équilibre psychique et une bonne mémorisation.
Ce stade dure, selon Fluchaire, 10 à 15 minutes et à son terme le dormeur peut revenir pendant un court laps de temps environ 1 à 2 minutes à l’état d’éveil. Eveils souvent multiples dont il n’a aucun souvenir précis. Si par contre le réveil se précise cela peut être dû à un inconfort physique ou tout simplement à un éventuel stimulus extérieur.
La porte est alors ouverte sur un nouveau cycle avec les mêmes stades que précédemment cités. Ces cycles peuvent survenir au cours de la nuit cinq (5) ou six (6) fois et chacun d’eux étant facilement réversible.

Les mécanismes du sommeil : [2, 52]

Nous savons que le sommeil se divise en plusieurs rythmes et que les phases se succèdent durant une heure à deux heures. Aussi chaque cycle se répète quatre ou cinq fois durant la nuit. Au fur et à mesure que la nuit avance la composition des cycles va évoluer.
L’endormissement s’effectue en cinq à quinze secondes. Il se caractérise par des bâillements, une certaine somnolence et un relâchement des muscles.
Le sommeil lent léger, où la personne commence petit à petit à perdre conscience : il dure vingt minutes ; mais c’est un sommeil qui reste fragile, car un bruit aussi léger soit-il peut réveiller le dormeur. L’endormissement et le sommeil lent sont déclenchés par la mise en activité de neurones du raphé qui libèrent de la sérotonine. Et la destruction de ces neurones entraîne une insomnie de longue durée.
Quant au sommeil lent profond, il survient environ trente minutes après le début du sommeil. C’est une période très importante où la plupart des fonctions vitales de l’homme sont à leur niveau le plus bas. Sa durée est de cinquante à soixante minutes environ.
Enfin le sommeil paradoxal, se traduit par une intense activité cérébrale où les rêves apparaissent. Cette phase dure quinze à vingt minutes ; et elle est suivie d’une phase d’éveil très brève qui est somme toute normal, car la personne peut se réveiller plusieurs fois au cours de la nuit sans qu’il en ait eu connaissance. Juste après, le dormeur refait un nouveau cycle de quatre phases.

STRUCTURES NERVEUSES ET ANATOMIQUES RESPONSABLES DU SOMMEIL.

LES METHODES EXPERIMENTALES CHEZ L’ANIMAL.

Expériences de sections étagées du tronc cérébral.

Ces expériences constituent une base excellente dans l’étude du tronc cérébral et permettent de comprendre les syndromes lésionnels alternes dans toute leur précision. Il s’agit de coupes perpendiculaires au grand axe du tronc cérébral.

Section intercolliculaire : section A [14]

Les expériences de section de Bremer sur le chat ont conduit à la préparation dite « cerveau isolé ». Un sommeil permanent s’installe chez le chat et en réalité il est irréversible. C’est plutôt sous la forme d’un coma assimilé à un sommeil lent qu’il se présente.
Ce sommeil est dû au fait que la plus grande partie du centre de la veille est exclue par la section intercolliculaire et également parce que les seules afférences visuelles et olfactives ne seraient pas suffisantes pour activer ce qui reste de ce centre après l’intervention.

Section mipontine : section C. [5]

Elle réalise une préparation dite « médiopontine prétrigéminale ». La section se fait un peu en arrière des tubercules quadrijumeaux, au niveau du pont de VAROLE et devant le point d’émergence du nerf trijumeau.
Batini et collaborateurs réalisent cette préparation chez le chat et enregistrent un E.E.G. désynchronisé de veille.
Il s’agit bien d’un état vigile car le chat est capable de suivre des yeux un objet qui bouge dans son visuel, de dilater la pupille de manière réflexe lorsqu’on lui montre un objet chargé de signification pour lui. Il se trouve donc en état d’insomnie permanente.

Section sous bulbaire : section D [14]

Cette préparation dite « encéphale isolé » est réalisée chez le chat par Bremer. Il y a section du tronc cérébral au niveau de la première vertèbre cervicale. L’encéphale isolé présente des périodes d’éveil et des périodes de sommeil avec sommeil lent et sommeil paradoxal, comme un cerveau normal.

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Table des matières

 INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR L’INSOMNIE
CHAPITRE I
: LE SOMMEIL NORMAL DE L’ADULTE
I. LE SOMMEIL
A. DEFINITION
1. Quantité du sommeil
2. La qualité du sommeil
3. L’évolution du sommeil selon les âges
4. Les fonctions du sommeil
a. Rôle réparateur
b. Mise en place et réactivation des programmes comportementaux
c. Facilitation de la mémorisation
B.
LES MOYENS D’ETUDE DU SOMMEIL :
C. DESCRIPTION ET ORGANISATION PHASIQUE DU SOMMEIL
1. Description des différents stades du sommeil
2. L’organisation phasique du sommeil
3. L’ hypnogramme du sommeil
4. Les mécanismes du sommeil

II. LES STRUCTURES NERVEUSES ET ANATOMIQUES DU SOMMEIL
A. METHODES EXPERIMENTALES CHEZ L’ANIMAL
1. Expériences de sections étagées du tronc cérébral.
a. Section intercolliculaire
b. Section mipontine
c. Section sous-bulbaire
2. Expériences de stimulation et de destruction
B. PRINCIPALES STRUCTURES IMPLIQUEES DANS LA REGULATION DES ETATS DE VIGILANCE
1. La formation réticulée et la réaction d’éveil
2. Les noyaux du raphé et le sommeil lent
3. Le locus coeruleus et le sommeil paradoxal
C. LES PHENOMENES NEUROCHIMIQUES AU COURS DU SOMMEIL
1. L’éveil et les catécholamines
2. Le sommeil lent et la sérotonine
3. Le sommeil paradoxal et ses neurotransmetteurs
4. Autres médiateurs
III. LES GRANDES FONCTIONS PHYSIOLOGIQUES AU COURS DU SOMMEIL
IV. LES REVES
V. CONCLUSION

CHAPITRE II : LES TROUBLES DU SOMMEIL
I. DEFINITION
II. CLASSIFICATION
III. EPIDEMIOLOGIE
IV. DIAGNOSTIC
4. Examen clinique
5. Examens complémentaires
V. CONCLUSION
CHAPITRE III : L’INSOMNIE DE L’ADULTE, DE L’ENFANT, ET DE LA PERSONNE AGEE
I. GENERALITES SUR L’INSOMNIE
1. Définition
2. Prévalence
3. Les causes de l’insomnie
4. Les conséquences de l’insomnie
5. La classification des différentes insomnies
6. Evaluation d’un insomniaque
II. QUELQUES INSOMNIES A CONNAITRE
A. LES INSOMNIES OCCASIONNELLES ET A COURT TERME
1. L’insomnie due à une mauvaise hygiène de vie
2. L’insomnie liée à des facteurs environnementaux
3. Les insomnies à court terme
B. LES INSOMNIES CHRONIQUES
1. Les insomnies primaires
a. L’insomnie psychophysiologique
b. L’insomnie idiopathique

2. Les insomnies secondaires
a. Les insomnies organiques liées au sommeil
ƒ Le syndrome des jambes sans repos
ƒ Le syndrome des mouvements périodiques nocturnes
ƒ Le syndrome d’apnées du sommeil
b. Les insomnies organiques non liées au sommeil
ƒ Les insomnies neurologiques et post-traumatiques
c. Les insomnies somatiques
C. LES INSOMNIES PSYCHIATRIQUES
1. La dépression
2. L’épisode maniaque
3. Les troubles anxieux
4. La schizophrénie
D. LES INSOMNIES LIEES AUX MEDICAMENTS
E. LES TROUBLES DES RYTHMES CIRCADIENS
III. LES INSOMNIES DU JEUNE ENFANT ET DE L’ADOLESCENT
IV. L’INSOMNIE DES PERSONNES AGEES
V. CONCLUSION
CHAPITRE IV : LES TRAITEMENTS DE L’INSOMNIE
I. LES HYPNOTIQUES
A. GENERALITES
B. LES BENZODIAZEPINES
C. LES APPARENTES BENZODIAZEPINIQUES
D. LES ANTIDEPRESSEURS
E. LES ANTIHISTAMINIQUES
F. AUTRES MEDICAMENTS

II. LES TRAITEMENTS NON MEDICAMENTEUX
III. CONCLUSION
DEUXIEME PARTIE : METHODOLOGIE D’UNE ENQUETE SUR L’INSOMNIE DANS LA REGION DE DAKAR
I. PRESENTATION DE LA VILLE DE DAKAR
A.
Données physiques
B. Données climatiques
C. Urbanisation
II. INTRODUCTION
III. METHODOLOGIE DE L’ENQUETE
Choix de la population
Déroulement de l’enquête
IV. RESULTATS
A. LA POPULATION ETUDIEE
1. En fonction du sexe et de l’âge
2. En fonction de l’activité
3. En fonction de l’habitat
B. CARACTERISTIQUES DES TROUBLES DU SOMMEIL
1. Comment notre population vit-elle son sommeil ?
a. En fonction du sexe
b. En fonction de l’âge
c. En fonction de l’activité
2. Quelles peuvent être les habitudes de sommeil ?
a. Comment se passe l’endormissement ?
b. La durée du sommeil

c. L’irrégularité des horaires de coucher et de lever
d. A propos de la somnolence
e. Nombre de réveils durant la nuit
3. Les insomnies liées à des phénomènes organiques
a. Le phénomène d’apnées du sommeil et le ronflement
b. Le syndrome des jambes sans repos
4. Les parasomnies : cauchemars, peur ou cri
5. Les troubles des rythmes circadiens
6. Les médicaments du sommeil
7. Combien sont-ils à pratiquer le sport ?
V. DISCUSSION
BIBLIOGRAPHIE

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