LES INSECTES DU GENRE CULICOIDES
Thorax
Le thorax est constituรฉ de trois segments (prothorax, mรฉsothorax et mรฉtathorax) avec des pattes courtes et des ailes qui sont dรฉpourvues dโรฉcailles et repliรฉes sur le dos au repos (26). Les adultes ne possรจdent en rรฉalitรฉ quโune seule paire dโailes รฉtroites, membraneuses, la seconde paire est vestigiale et forme des balanciers ou haltรจres (16, 33, 35, 83). Ces structures vibrent avec les ailes mais dรฉveloppent une certaine inertie de par leur poids relativement lourd, ce qui provoque pendant une fraction de seconde une poursuite des vibrations dans la mรชme direction alors que les ailes changent de trajectoire. Ces structures sโattachent ร la cuticule et ร la base de ces attaches sont prรฉsentes des cellules sensorielles qui sont alors stimulรฉes : ceci permet de dรฉtecter des changements de direction et de maintenir une trajectoire droite, un niveau de vol ou de juger dโun angle de rotation (83).
Les ailes prรฉsentent des structures creuses en forme de tiges appelรฉes veines. Celles-ci vont former des dessins complexes qui vont intervenir dans la classification et la diagnose de lโespรจce. On a six veines primaires (costa C, subcosta Sc, radius R, media M, cubitus C et anal A). A celles-ci se raccordent des veines transverses qui vont dรฉlimiter des zones appelรฉes cellules (83, Figure4).
Ces ailes sont pourvues de cellules noires et de cellules blanches constituรฉes de pigments. On note en outre la prรฉsence de deux cellules radiales de mรชme taille (R1 et R2+3 sur la Figure 5), de macrotriches (poils attachรฉs au moyen dโun anneau articulaire dans une petite dรฉpression appelรฉe fossette ou alvรฉole) moins abondants chez le mรขle, de microtriches (poils de trรจs petite taille formรฉs par la cuticule, immobiles). La nervure mรฉdiane est pรฉdiculรฉe, il y a toujours une nervure transverse (26, 70, Figure 6).
Culicoides imicola
Les ratios dรฉfinis prรฉcรฉdemment ont รฉtรฉ utilisรฉs pour caractรฉriser lโespรจce imicola dans une รฉtude de MEISWINKEL et BAYLIS (58) et sont rรฉsumรฉs dans le tableau 1. Dโautres รฉlรฉments morphologiques dโorientation peuvent รชtre utilisรฉs. Le onziรจme segment des antennes prรฉsente rarement (4% selon MEISWINKEL et BAYLIS (58)) des sensilles de type coeloconica, c’est-ร -dire des sensilles formรฉes dโune couronne de quelques soies courtes entourant une dรฉpression centrรฉe sur une protubรฉrance plus ou moins importante. Les mรขles Culicoides imicola prรฉsentent de nombreux spicules variant de 8 ร 145 sur la membrane du sternum 8. Les motifs au niveau des ailes peuvent รฉgalement aider. En effet, une zone pรขle est prรฉsente en avant de la veine alaire M1 et on observe aussi la juxtaposition dโune tache pรขle et dโune tache foncรฉe ร lโextrรฉmitรฉ distale de la veine M2.
Des mรฉthodes PCR et PCR quantitative beaucoup moins fastidieuses et plus rapides, ne se basant pas sur des รฉlรฉments morphologiques, ont รฉtรฉ รฉlaborรฉes pour identifier un insecte du genre Culicoides et les sous-espรจces de Culicoides imicola. Elles sont utilisรฉes sur des fragments dโADN codant lโARN ribosomal qui prรฉsente des rรฉgions hautement conservรฉes entre les diffรฉrentes espรจces de Culicoides alors que dโautres rรฉgions sont variables selon lโespรจce considรฉrรฉe. La sensibilitรฉ et la spรฉcificitรฉ sont satisfaisantes (respectivement 97,5 % et 95 % pour la PCR conventionnelle et 96 % et 92 % pour la PCR temps rรฉel). Cette technique de PCR classique permet ainsi de dรฉtecter un Culicoides imicola parmi 3 200 autres spรฉcimens de Culicoides ou dans 6,5 milligrammes de matรฉriel sec rรฉcoltรฉ ร partir dโun piรจge. La PCR en temps rรฉel en quantifiant le nombre de spรฉcimens permet dโaider ร รฉvaluer le risque et les mesures de contrรดle ร prendre.
Elle – est actuellement utilisรฉe en France pour les identifier lors de piรฉgeages dโinsectes en zone mรฉditerranรฉenne (20, 21). Suite ร la description de la morphologie de ces insectes, on peut se demander quelle peut รชtre leur biologie. 3.1. Principe du cycle biologique Il sโagit dโun dรฉveloppement holomรฉtabole, cโest-ร -dire que larves et nymphes ne ressemblent pas ร lโadulte. Le repas sanguin est une nรฉcessitรฉ pour certaines femelles afin de rรฉaliser un cycle entier (26, 70, Figure 8). Lโautogenรจse qui est la capacitรฉ des femelles ร assurer la maturation des oeufs sans repas prรฉalable riche en protรฉines a รฉtรฉ observรฉe dans une quinzaine dโespรจces, on peut citer : Culicoides obsoletus, Culicoides riethi, Culicoides circumscriptus, Culicoides salinarius, Culicoides impactatus, et Culicoides dendrophilus prรฉsents en Europe ; Culicoides austeni en Afrique ; Culicoides melleus, Culicoides furens, Culicoides bermudensis et Culicoides sanguisuga en Amรฉrique du Nord ; Culicoides bambusicola en Amรฉrique du Sud ; Culicoides waringi, Culicoides mackerrasi et Culicoides marmoratus en Australie. Les autres espรจces sont anautogรจnes : les femelles ont besoin dโun apport de protรฉine au cours de leur repas afin dโassurer la production et la maturation des oeufs pondus.
La parthรฉnogenรจse nโest pas prรฉsente chez les Culicoides (26, 39, 83, 87). La majoritรฉ des espรจces prรฉsente en moyenne deux gรฉnรฉrations par an. Il existe deux diapauses larvaires : une diapause dโhiver et une estivo-hibernation. A ceci sโajoute une quiescence hivernale : la levรฉe de la quiescence larvaire permet aux larves de printemps dโรฉvoluer en imagos. Ceux-ci vont pondre et donner naissance dโune part ร des larves dโรฉtรฉ qui sont en gรฉnรฉral moins nombreuses que les larves de printemps et dโautre part ร des larves qui vont entrer en diapause dโestivo-hibernation qui sera levรฉe au printemps de lโannรฉe suivante. Ceci permet dโassurer la pรฉrennitรฉ de lโespรจce si la gรฉnรฉration de larves dโรฉtรฉ est trรจs faible lors de conditions dรฉfavorables (26). La durรฉe moyenne entre le dรฉveloppement de lโoeuf et lโรฉmergence de lโadulte est variable selon les localisations gรฉographiques et les conditions climatiques.
Une รฉtude de NARLADKAR et al. (66) montre que la durรฉe moyenne du cycle de Culicoides peregrinus et de Culicoides schultzei est respectivement de 15,17 jours et 19,83 jours en Inde. Selon WITTMANN et al. (87) et MELLOR et al. (62), la durรฉe de cycle, fonction de la tempรฉrature, peut aller de sept jours dans les rรฉgions des Tropiques ร sept mois dans les rรฉgions tempรฉrรฉes en raison de la diapause hivernale. – 30 – Aprรจs avoir รฉvoquรฉ des donnรฉes gรฉnรฉrales, il est nรฉcessaire de sโintรฉresser et de dรฉvelopper chaque รฉtape du cycle biologique de cet arthropode : le stade adulte, dโoeuf, de larve et de nymphe 3.2. Description du cycle biologique La majoritรฉ de ces espรจces se nourrissent de nectar et jouent un rรดle non nรฉgligeable dans la pollinisation. Les femelles dโun grand nombre de ces espรจces sont hรฉmatophages (26,33) et on observe รฉgalement de lโentomophagie : certaines femelles sโattaquent ร dโautres insectes (Diptรจres, Colรฉoptรจres, Lรฉpidoptรจres, Hรฉtรฉroptรจres, Odonates, Nรฉvroptรจres) ou des araignรฉes. Elles peuvent aussi se nourrir de sang ingรฉrรฉ par dโautres insectes hรฉmatophages : on peut citer Culicoides anophelis piquant des anophรจles ainsi que Culicoides moreli, Culicoides africanus, Culicoides imicola, Culicoides fulvithorax, Culicoides schultzei (16, 26, 39).
Lโaccouplement, prรฉcรฉdรฉ dโun vol nuptial, se dรฉroule en gรฉnรฉral dans de grands espaces. Ce sont des espรจces eurygames, c’est-ร -dire que le vol nuptial est composรฉ de nombreux mรขles et de nombreuses femelles. Suite ร cet accouplement, la femelle a un besoin accru de sang pour permettre le dรฉveloppement des oeufs et devient trรจs agressive (70).
Pour repรฉrer sa victime, la femelle utilise ses palpes qui sont sensibles aux colonnes dโair chaud, humide, riche en dioxyde de carbone, pour ensuite sโรฉlever au dessus dโelle puis la piquer. La femelle, possรฉdant des piรจces buccales de taille importante, est qualifiรฉe de telmophage c’est-ร -dire que son appareil buccal va provoquer la formation dโun lac sanguin et de lymphe dermique que la femelle va aspirer. Cโest au cours de ce processus quโil est possible de transmettre des agents pathogรจnes ร sa victime (70).
Ces insectes sont mammophiles ou ornithophiles et effectuent leur repas de sang en trรจs grande majoritรฉ le matin ร lโaube et le soir au coucher du soleil. Cependant, certaines espรจces europรฉennes comme Culicoides vexans, Culicoides newsteadi, Culicoides riethi, Culicoides nubeculosus et Culicoides heliophilus peuvent piquer en plein jour et en plein soleil. Dโautres tels que Culicoides obsoletus, Culicoides minutissimus, Culicoides impunctatus, Culicoides pallidicornis, Culicoides subfascipennis piquent de prรฉfรฉrence ร lโombre (26) . Dโaprรจs PERIE et al. (70), la femelle – 31 – Culicoides imicola a des repas exclusivement nocturnes. Chaque ponte est prรฉcรฉdรฉe dโun repas sanguin (87). La production dโoeufs a lieu en moyenne deux jours aprรจs le repas sanguin. La dispersion active ร lโรฉtat adulte de Culicoides est trรจs faible : parfois pouvant atteindre plusieurs kilomรจtres, elle est en gรฉnรฉral de quelques centaines de mรจtres. En revanche, ils peuvent parcourir des distances beaucoup plus importantes par lโintermรฉdiaire du vent (26, 62).
La longรฉvitรฉ moyenne des imagos varie entre 10 ร 20 jours parfois jusque 60 voire 90 jours avec un taux de survie quotidien variant, dโun jour ร lโautre, de 0,7 ร 0,9. Des adultes Culicoides obsoletus ont survรฉcu 50 jours. La durรฉe de vie de Culicoides variipennis aux Etats-Unis est estimรฉe ร un mois et celle de Culicoides imicola en Afrique ร deux mois (26, 70).
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Table des matiรจres
LISTE DES CARTESย
LISTE DES FIGURES
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES ANNEXES
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : LES INSECTES DU GENRE CULICOIDES
1.Taxonomie
2.Description morphologique
2.1. Gรฉnรฉralitรฉs
2.1.1. ลufs
2.1.2. Larves
2.1.3. Nymphes
2.1.4. Imagos
2.1.4.1. Tรชte
2.1.4.2. Thorax
2.1.4.3. Abdomen
2.1.4.4. Pattes
2.2. Les espรจces
2.2.1. Gรฉnรฉralitรฉs
2.2.2. Culicoides imicola
3.Cycle biologique
3.1. Principe du cycle biologique
3.2. Description du cycle biologique
3.2.1. Adultes
3.2.2. ลufs
3.2.3. Larves
3.2.4. Nymphes
3.3. Facteurs de variation
3.3.1. Vol actif et passif
3.3.2. Le vent
3.3.3. La tempรฉrature
3.3.3.1. Effet de la tempรฉrature sur les adultes
3.3.3.2. Effet de la tempรฉrature sur le dรฉveloppement
3.3.3.3. Survie hivernale
3.3.4. Lโhumiditรฉ
3.3.5. La pluie
4.Localisation
4.1. Habitat
4.2. Rรฉpartition gรฉographique
4.2.1. Un genre prรฉsent en Europe
4.2.2. Un genre prรฉsent en dehors de lโEurope
4.2.3. Un genre en mouvement
5.Un agent responsable de la transmission de maladies
5.1. Dรฉfinitions
5.2. Transmission vectorielle
5.2.1. Notion de compรฉtence vectorielle
5.2.2. Notion de capacitรฉ vectorielle
DEUXIEME PARTIE : MALADIES TRANSMISES PAR LES INSECTES DU GENRE CULICOIDES
1.Fiรจvre catarrhale ovine et peste รฉquine : deux Orbiviroses
1.1. Etiologie
1.1.1. Classification
1.1.2. Structure
1.1.2.1. Gรฉnรฉralitรฉs
1.1.2.2. Le gรฉnome
1.1.2.3. Les protรฉines structurales
1.1.2.4. Les protรฉines non structurales
1.1.3. Propriรฉtรฉs physico-chimiques
1.1.3.1. Gรฉnรฉralitรฉs
1.1.3.2. Donnรฉes relatives au virus de la fiรจvre catarrhale du mouton
1.1.3.3. Donnรฉes relatives au virus de la peste รฉquine
1.1.4. Propriรฉtรฉs immunologiques
1.1.4.1. Gรฉnรฉralitรฉs
1.1.4.2. Cas de la fiรจvre catarrhale ovine
1.1.4.3. Cas de la peste รฉquine
1.1.5. Cycle viral
1.1.5.1. Gรฉnรฉralitรฉs
1.1.5.2. Les รฉtapes du cycle viral
1.1.5.2.1. Adsorption et pรฉnรฉtration du virus
1.1.5.2.2. Dรฉcapsidation
1.1.5.2.3. Transcription du gรฉnome viral
1.1.5.2.4. Rรฉplication des ARN double brin
1.1.5.2.5. Traduction des ARN messagers
1.1.5.2.6. Assemblage des virions
1.1.5.2.7. Libรฉration des virions
1.1.5.3. Rรฉassortiment
1.1.6. Pouvoir pathogรจne
1.2. Pathogรฉnie
1.2.1. Mรฉcanismes
1.2.1.1. Schรฉma gรฉnรฉral
1.2.1.2. Particularitรฉs de la fiรจvre catarrhale ovine
1.2.1.3. Particularitรฉs de la peste รฉquine
1.2.2. Virรฉmie
1.2.2.1. Cas de la fiรจvre catarrhale ovine
1.2.2.2. Cas de la peste รฉquine
1.3. Diagnostic de laboratoire
1.3.1. Prรฉlรจvements
1.3.2. Hรฉmatologie
1.3.3. Mise en รฉvidence de lโagent viral
1.3.3.1. Isolement du virus
1.3.3.1.1. Inoculation ร des oeufs embryonnรฉs
1.3.3.1.2. Cultures cellulaires
1.3.3.1.3. Autres procรฉdรฉs dโisolement viral
1.3.3.2. Identification antigรฉnique
1.3.3.2.1. Gรฉnรฉralitรฉs
1.3.3.2.2. Techniques ELISA
1.3.3.2.3. Test ร lโimmunoperoxydase
1.3.3.3. Identification du gรฉnome viral
1.3.3.3.1. Technique dโhybridation in situ
1.3.3.3.2. Technique PCR
1.3.4. Mise en รฉvidence dโune rรฉponse sรฉrologique
1.3.4.1. Technique dโimmunodiffusion en gรฉlose
1.3.4.2. Tests immuno-enzymatiques
1.3.4.3. Rรฉaction de fixation du complรฉment
1.3.4.4. Tests de sรฉroneutralisation
1.4. Traitement
1.5. Prophylaxie
1.5.1. Principe
1.5.2. Prophylaxie sanitaire
1.5.2.1. Mesures de prophylaxie sanitaire en zone indemne
1.5.2.2. Mesures de prophylaxie sanitaire en zone infectรฉe
1.5.2.2.1. Modifications de la conduite dโรฉlevage
1.5.2.2.2. Mesures de contrรดle du vecteur
1.5.2.3. Autres mesures
1.5.3. Prophylaxie mรฉdicale
1.6. Rรฉglementation sanitaire
1.6.1. Rรฉglementation internationale
1.6.2. Rรฉglementation europรฉenne
2.Particularitรฉs de la fiรจvre catarrhale ovine
2.1. Etude clinique
2.1.1. Ovins
2.1.1.1. Forme aiguรซ
2.1.1.2. Forme subaiguรซ
2.1.1.3. Forme inapparente
2.1.2. Caprins
2.1.2.1. Forme classique
2.1.2.2. Forme inhabituelle
2.1.3. Bovins
2.1.3.1. Gรฉnรฉralitรฉs
2.1.3.2. Particularitรฉs de lโinfection par le sรฉrotype 8
2.1.4. Effets sur le fลtus
2.1.5. Animaux sauvages
2.2. Etude nรฉcropsique
2.2.1. Lรฉsions macroscopiques
2.2.2. Lรฉsions microscopiques
2.3. Diagnostic
2.3.1. Diagnostic clinique et nรฉcropsique
2.3.2. Diagnostic diffรฉrentiel
2.4. Prophylaxie mรฉdicale
2.4.1. Gรฉnรฉralitรฉs
2.4.2. Vaccins vivants attรฉnuรฉs
2.4.2.1. Prรฉparation des souches vaccinales
2.4.2.2. Avantages et inconvรฉnients
2.4.2.3. Efficacitรฉ
2.4.3. Vaccins inactivรฉs
2.4.3.1. Prรฉparation des souches vaccinales
2.4.3.2. Avantages et inconvรฉnients
2.4.3.3. Efficacitรฉ
2.4.4. Vaccins recombinants
2.5. Rรฉglementation sanitaire
2.5.1. Rรฉglementation internationale
2.5.1.1 Notion de pays et de zone indemne
2.5.1.2. Notion de pays et de zone non indemne
2.5.1.3. Notion de zone saisonniรจrement indemne
2.5.1.4. Mouvements dโanimaux
2.5.1.4.1. Importations en provenance de pays ou de zones indemnes
2.5.1.4.2. Importations en provenance de pays ou de zones saisonniรจrement indemnes
2.5.1.4.3. Importations en provenance de pays ou de zones infectรฉs
2.5.1.5. Mouvement des embryons et de la semence
2.5.1.5.1. Importations en provenance de pays ou de zones indemnes
2.5.1.5.2. Importations en provenance de pays ou de zones infectรฉs
2.5.1.5.3. Importations en provenance de pays ou de zones saisonniรจrement indemnes
2.5.2. Rรฉglementation europรฉenne
2.5.3. Rรฉglementation nationale
2.5.3.1. Mesures de police sanitaire
2.5.3.2. Vaccination
3.Particularitรฉs de la peste รฉquine
3.1. Etude clinique
3.1.1. Forme pulmonaire
3.1.2. Forme cardiaque ou oedรฉmateuse
3.1.3. Forme intermรฉdiaire
3.1.4. Forme fรฉbrile
3.2. Etude nรฉcropsique
3.2.1. Lรฉsions macroscopiques
3.2.1.1. Forme pulmonaire
3.2.1.1.1. Lรฉsions thoraciques
3.2.1.1.2. Lรฉsions abdominales
3.2.1.2. Forme cardiaque
3.2.1.2.1. Lรฉsions du tissu conjonctif
3.2.1.2.2. Lรฉsions thoraciques
3.2.1.2.3. Lรฉsions abdominales
3.2.1.3. Forme intermรฉdiaire
3.2.2. Lรฉsions microscopiques
3.3. Diagnostic
3.3.1. Diagnostic clinique et nรฉcropsique
3.3.2. Diagnostic diffรฉrentiel
3.4. Prophylaxie mรฉdicale
3.4.1. Vaccins ร agent viral vivant attรฉnuรฉ
3.4.2. Vaccins ร agent viral inactivรฉ
3.4.3. Vaccins recombinants
3.4.4. Stratรฉgie vaccinale
3.5. Rรฉglementation sanitaire
3.5.1. Rรฉglementation sanitaire mondiale
3.5.1.1. Notion de pays et de zones indemnes
3.5.1.2. Notion de zones infectรฉes
3.5.1.3. Mouvements des animaux
3.5.1.3.1. Importations en provenance de pays ou de zones indemnes
3.5.1.3.2. Importations en provenance de pays ou de zones infectรฉs
3.5.1.4. Mouvements de semence et dโembryons
3.5.1.4.1. Importations en provenance de pays ou de zones indemnes
3.5.1.4.2. Importations en provenance de pays ou de zones infectรฉs
3.5.2. Rรฉglementation sanitaire europรฉenne
3.5.3. Rรฉglementation sanitaire nationale
3.5.3.1. Mesures de police sanitaire
3.5.3.2. Mesures de surveillance sanitaire
4.Autres maladies
4.1. Maladies virales
4.1.1. Maladie รฉpizootique hรฉmorragique du cerf
4.1.2. Infection ร virus Palyam
4.1.3. Encรฉphalose รฉquine
4.1.4. Virus de la fiรจvre รฉphรฉmรจre bovine
4.1.5. Maladie dโAkabane
4.1.6. Infection ร virus Warrego et Wallal
4.2. Maladies parasitaires
TROISIEME PARTIE : ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE
1.Epidรฉmiologie de la fiรจvre catarrhale ovine
1.1. Epidรฉmiologie descriptive
1.1.1. Historique
1.1.2. Situation actuelle
1.2. Epidรฉmiologie analytique
1.2.1. Sources de virus
1.2.1.1. Animaux domestiques
1.2.1.2. Animaux sauvages
1.2.1.3. Rรฉservoir
1.2.2. Matiรจres virulentes
1.2.3. Transmission
1.2.3.1. Gรฉnรฉralitรฉs
1.2.3.2. Transmission vectorielle
1.2.3.2.1. Espรจces vectrices
1.2.3.2.2. Conditions de la transmission
1.2.3.2.3. Survie hivernale
1.3. Epidรฉmiologie synthรฉtique
1.3.1. Evolution dans le temps
1.3.2. Evolution dans lโespace
2.Epidรฉmiologie de la peste Equine
2.1. Epidรฉmiologie descriptive
2.1.1. Historique
2.1.2. Situation actuelle
2.2. Epidรฉmiologie analytique
2.2.1. Sources de virus
2.2.1.1. Espรจces atteintes
2.2.1.2. Rรฉservoir
2.2.2. Matiรจres virulentes
2.2.3. Transmission
2.2.3.1. Intervention vectorielle
2.2.3.2. Conditions de la transmission virale
2.3. Epidรฉmiologie synthรฉtique
2.3.1. Evolution dans le temps
2.3.2. Evolution dans lโespace
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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