Les inondations, les sécheresses et l’intensification des tempêtes tropicales

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Climats dits tempérés

Ce climat est en général caractérisé par les saisons tempérées, ainsi dit une saison froide (hiver) et une saison chaude (été). On le divise en deux grands sous-groupes :

le climat océanique

climat avec des étés frais et des hivers doux et humides influencés par la proximité des océans où l’on retrouve les courants chauds (façade ouest des continents) et le climat continental avec des étés chauds et orageux et des hivers froids et plutôt secs (façade est des continents). Le climat océanique est marqué par une amplitude thermique faible (plus ou moins 10°), qui s’accentue dans l’intérieur des continents (jusqu’à 40°). Les précipitations sont bien réparties. On le retrouve entre 35 et 50 degrés de latitude dans l’hémisphère nord et sudde Berlin en seraient la limite orientale en Europe. Certains auteurs parlent de climat hyperocéanique pour la bande de terre où l’influence de l’océan est journalière par la brume de mer.

Le climat continental

Il se distingue par une amplitude thermique forte (dépassant les 40°) et des précipitations de l’ordre du mètre mais réparties surtout pendant la période estivale. L’influence de l’océan ne pouvant se faire sentir vue la direction générale des vents, c’est l’humidité due à l’évapotranspiration des terres (forêts et marécages) et des lacs qui fournit les précipitations. Les villes côtières des façades orientales subissent surtout ce climat malgré leur proximité des océans (New York, Boston, Washington, Shanghai, Séoul). Certains auteurs parlent de climat hypercontinental pour les régions intérieures des grands continents où seule la terre influence le climat. Les températures extrêmes sont souvent étonnantes (+36 °C et -64 °C pour Snag au Yukon).Il existe également un climat de type méditerranéen caractérisé par des étés chauds et très secs, d’où de nombreux incendies de forêts, et des hivers doux et humides avec des précipitations violentes susceptibles d’entraîner des inondations. Ce climat doit son nom à la proximité de la méditerranée mais peut se rencontrer dans d’autres parties du monde (Afrique du Sud, Chili, etc.)

Climats subarctiques

Ce climat est un intermédiaire entre le climat tempéré et le climat polaire. Les étés sont moins chauds et les hivers plus rigoureux que dans le climat tempéré. La végétation correspond à la forêt boréale ou Taïga. On ne retrouve ce type de climat que dans l’hémisphère nord : partie centrale de tout le Canada, majeure partie de la Russie et nord-est de la Chine. C’est une région peu habitée aux étés courts et frais. Les quelques villes connues sous ce climat sont : Labrador City, Schefferville, Chibougamau, Rouyn-Noranda, Timmins, Uranium City, Fort McMurray au Canada (toutes des villes minières). En Eurasie, la Sibérie occidentale correspond à ce climat et l’on y retrouve peu de villes ou villages connus hormis Moscou qui est à la limite des climats tempéré continental et subarctique. Le climat subarctique correspond à l’appellation « climat tempéré froid sans saison sèche avec aucun mois chaud (+22 °C) ».

Climats polaires

Le climat polaire est caractérisé par des températures froides toute l’année, le mois le plus froid étant toujours au-dessous de -40 °C. La température moyenne mensuelle dépasse -50 °C sur les inlandsis. Vent fort et persistant, le blizzard. Il est caractéristique des côtes nord de l’Amérique, de l’Europe et de l’Asie, ainsi que du Groenland et de l’Antarctique.
Une classification plus simple et plus communément utilisée existe aussi. Elle permet d’identifier un climat par un simple diagramme ombrothermique. Chaque climat, exception faite du climat équatorial, a deux diagrammes types, l’un pour les régions de l’hémisphère nord, l’autre pour l’hémisphère Sud. Si le climat équatorial n’a pas cette caractéristique, c’est qu’il ne connaît pas de saisons, et se trouve près de l’équateur.

Variabilité climatique

Le climat global varie incessamment à toutes les échelles de temps – temps profond géologique (centaine à dizaine de millions d’années), temps du Quaternaire (million d’années), temps de la préhistoire et de l’histoire humaines ( dizaine de milliers à millier d’années), temps de l’époque actuelle ( centaine à dizaine d’années), selon une oscillation non cyclique continue enchaînant des périodes, des stades et des phases plus ou moins longs de chauds et de froids relatifs plus ou moins intenses. Les causes possibles de ces variations sont essentiellement naturelles – activité solaire, mouvements de la Terre, météorites, tectonique globale, orogenèse, volcanisme…, accessoirement humaines – gaz à effets de serre… ; innombrables, la plupart sont inconnues ; quelques-unes qui nous sont plus ou moins accessibles sont les sujets de discussions scientifiques, écologiques, politiques, médiatiques. plus ou moins mêlées, au cours desquelles des opinions apparemment inconciliables sont exprimées, souvent de façon péremptoire mal fondée.

l’Effet de serre et gaz à effet de serre

Lorsque le rayonnementsolaire atteint l’atmosphère terrestre, une partie (environ 30 %) est directement réfléchie, c’est-à-dire renvoyée vers l’espace, par l’air, les nuages blancs et la surface claire de la Terre. Les rayons incidents qui n’ont pas été réfléchis vers l’espace sont absorbés par l’atmosphère (20,7 %) et la surface terrestre (51 %).

Cette dernière partie du rayonnement absorbée par la surface du sol lui apporte de la chaleur qu’elle restitue à son tour, le jour comme la nuit, en direction de l’atmosphère. L’effet de serre (Fig. 2) ne s’intéresse qu’à ces rayonnements, qui seront absorbés en partie par les gaz à effet de serre, ce qui contribue à réchauffer l’atmosphère. Puis dans un troisième temps, cette chaleur contenue par l’atmosphère est réémise dans toutes les directions ; une partie s’échappe vers l’espace, mais une autre partie retourne vers la Terre et vient en déduction de l’apport de chaleur de la surface vers l’atmosphère, donc s’oppose au refroidissement de la surface.
Sans effet de serre, la température moyenne sur Terre chuterait à -18 °C. Mais à cette température la glace s’étendrait sur le globe, l’albédo terrestre augmenterait, et la température se stabiliserait vraisemblablement en dessous de -50 °C5.
Les gaz à effet de serre sont des composants gazeuxde l’atmosphère qui contribuent à l’effet de serre (sans perdre de vue que l’atmosphère contient d’autres composants non gazeux qui contribuent à l’effet de serre, comme les gouttes d’eau des nuages sur Terre). Ces gaz ont pour caractéristique commune d’absorber une partie des infrarouges émis par la surface de la Terre.

Le protoxyde d’azote (N2O)

Le Protoxyde d’azote (également appelé Oxyde nitreux) de formule chimique N2O est un puissant gaz à effet de serre qui subsiste longtemps dans l’atmosphère (environ 120 ans.) Il est en partie responsable de la destruction de l’ozone. Le sol et les océans sont les principales sources naturelles de ce gaz, mais il est également produit par l’utilisation d’engrais azotés, la combustion de matière organique et de combustibles fossiles, la production de nylon, l’agriculture contribuerait aux 3/4 des émissions de N2O provenant essentiellement de la transformation des produits azotés (engrais, fumier, lisier, résidus de récolte) dans les sols agricoles. Le N2O est un gaz incolore et ininflammable, stable dans les basses couches de l’atmosphère mais décomposé dans les couches plus élevées (stratosphère) par des réactions chimiques impliquant la lumière du soleil. La contribution du protoxyde d’azote ou oxyde nitreux représente environ 6 % du total des gaz à effet de serre.

L’oxyde d’azote (NOX)

Certains gaz ont seulement une influence indirecte sur le réchauffement. Tel est le cas, par exemple, de l’oxyde d’azote (NOx) qui est la somme de deux gaz nitreux, le NO et le NO2 ensemble appelés « NOx », du monoxyde de carbone (CO), et des composés organiques volatils (COV). Ces polluants ont une influence non seulement sur la formation de l’ozone, mais aussi sur la durée de vie du méthane et d’autres gaz à effet de serre. Il en sera question plus loin dans la mesure où les émissions de NOx comme de monoxyde de carbone sont principalement générées par l’activité humaine.

La vapeur d’eau

Même si c’est ne pas énuméré dans la liste des gaz de protocole de Kyoto, ce gaz est assez souvent, dans le compte des gaz à effet de serre, il s’agit du premier gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Elle représenterait les deux-tiers, voire 60% de l’effet de serre total. En revanche, on la trouve mentionnée parmi les rétroactions de l’intensification des gaz à effet de serre car, en réponse à une augmentation du gaz carbonique, la vapeur d’eau augmente en liaison avec l’élévation de la température. Cette rétroaction a pour effet de doubler le réchauffement initial.

les Conséquences du changement climatique :

Les phénomènes de sécheresse, salinisation et désertification peuvent être aggravés par les modifications du climat, notamment dans le Sahel et le désert de Gobi qui s’étendent. La désertification peut elle-même contribuer à des modifications locales et globales du climat, exemple en favorisant les incendies de savanes ou steppes, en étant une source importante de poussières (aérosols qui peuvent influer sur la pluviométrie) et par leur albédo (plus importante qu’un milieu végétalisé).
Des zones actuellement habitées pourraient devenir inhabitables à cause de la désertification, certains territoires être chassés de ses habitants par l’élévation du niveau de la mer. Des espèces animales et végétales sont menacées d’extinction.

Le changement climatique provoque de nombreuses catastrophes naturelles, impacte nos écosystèmes et pourrait entraîner de nombreux bouleversements à l’échelle planétaire tels que :

L’extinction de la zone et de la flore

La modification ou la disparition des écosystèmes menacent directement de nombreuses espèces. On peut citer l’ours blanc comme exemple emblématique. Le GIEC estime que 20-30% des espèces seront exposées à un risque accru de disparition si la température augmente de 1,5 à 2,5 degrés. Si ce chiffre devait atteindre 3,5, le pourcentage grimperait à 40-70%.
8Par exemple les variations de l’intensité du rayonnement solaire dues aux variations de l’orbite terrestre, ou aux variations de l’activité solaire.
9Svante Arrhenius, « On the Influence of Carbonic Acid in the Air upon the Temperature of the Ground », Philosophical Magazine and Journal of Science, vol. 5, no 41, avril 1896, p. 237-276 [texteintégral [archive] (page consultée le décembre 2009)]

Les inondations, les sécheresses et l’intensification des tempêtes tropicales

Les aléasnaturels liés au climat, comme les inondations, les ouragans, la sécheresse, les incendies de forêt, etc., risquent de s’intensifier, fragilisant encore plus les populations devant y faire face. Ceci pourrait être un frein au développement de nombreux pays, par exemple Madagascar, le Bangladesh.

Les effets sur l’agriculture

Dans un premier temps le GIEC estime que le réchauffement climatique pourrait profiter à l’agriculture des pays tempérés, tandis que les zones arides, devenant de plus en plus sèches, devraient faire face à de grosses difficultés.

La modification du trajet du Gulf Stream

Le Gulf Stream, ce courant marin de l’Océan Atlantique amenant de la chaleur des côtes de Virginie vers l’Europe, pourrait être modifié, voire disparaître. La conséquence pour l’Europe serait un refroidissement brutal du climat. Cette hypothèse est un exemple prouvant que le réchauffement climatique peut avoir des conséquences surprenantes, les causes et les conséquences étant incroyablement complexes.

Les flux migratoires et les conséquences politiques

Pour toutes les raisons citées plus haut, certaines populations n’auront pas d’autre choix que de prendre le chemin de l’exil, n’ayant plus les moyens de survivre dans leur environnement. En cas de disparition complète du pays (par exemple les Maldives), où ces « réfugiés climatologiques » iront-ils ? Leur pays existera-t-il encore ? Jamais l’humanité n’a été confrontée à une telle situation. Le changement climatique pourrait provoquer des bouleversements géopolitiques.

Les Pathologies dominantes

Les trois pathologies dominantes sont identiques dans les 11 communes, avec en tête le paludisme, l’infection respiratoire aigu et la diarrhée. Suivent d’autres maladies d’origine infectieuse, telles que l’infection cutanée, l’infection de l’œil, affectant surtout la population de plus de 5 ans, comme le cas de l’infection respiratoire et l’hypertension qui touche essentiellement les personnes âgées.
A priori, ce sont des maladies liées :
A l’environnement du milieu
A l’accès à l’eau potable
Aux conditions climatiques
A certains us et pratiques hygiéniques
Pour le SIDA, la situation est tout aussi préoccupant, Marovoay ville est de 2, 67% de séropositif si Mahajanga I affiche de 1,49%. Indéniablement, la vigilance s’impose.

La sécurité publique

Une brigade territoriale se trouve à Marovoay. Quelques communes très exposées à l’insécurité ayant des enjeux économiques en disposent également telles que Manaratsandry, Ankazomborona. Ces brigades couvrent souvent plusieurs communes à la fois. Les statistiques de 2010 issues de la gendarmerie révèlent que les criminalités et les actes de banditisme commencent à gagner du terrain dans le district. Néanmoins, comparée aux autres districts de la Province, voire du pays, elle peut encore se vanter de nos jours d’être sécurisée et paisible. En 2010, les cas d’attaques criminelles ou d’actes de banditisme recensés ne dépassent est de 36. De nettes améliorations ont été constatées. Parmi les actes réprimés par la loi, le banditisme tient la première place, suivi de près par les « coups et blessures volontaires » Heureusement, les cas d’homicide sont relativement rares.
Les zones rouges, avec des cas entre 30 et 40 fois par an sont localisées dans les communes de Mahajanga II, de Marovoay et d’Ambato-boeny. Les grands centres urbains, très peuplés, tels que Mahajanga I, Marovoay ville, Ambato-Boeny et Ankazomborona, viennent grossir le rang13.

La sécurité alimentaire

Pour Marovoay, la grande partie de la production est destinée à la consommation domestique. Avec 570 000 habitants, les besoins annuels en riz sont de 18 018 Tonnes (en se basant sur la consommation annuelle d’un adulte à Madagascar à 119 kg par an, la moitié pour un enfant moins de quatre ans) Avec une production annuelle de paddy à 155 340 tonnes par an (statistique agricole, 2011). Suit la quantité annuelle produite en manioc, elle-même non négligeable, avec 5 821 tonnes par ans la moyenne (annuaire agricole de 1997 à 2008). En théorie, la pêche devrait également contribuer à la sécurité alimentaire de la région. Or, aucun chiffre sur la production de la pêche traditionnelle n’est jusqu’à ce jour disponible. En tout cas, au moins pour Marovoay, l’activité pourrait leur être une source d’apport continu en protéines. Quoique, il faille tout de même signaler que l’utilisation de techniques non appropriées engendre des préjudices en chaîne :
1- perte de la valeur nutritive des produits halieutiques, due essentiellement au système de traitement et de stockage utilisé. Car, pour l’instant, à défaut d’énergie, le séchage et le fumage à base de bois de chauffe sont les techniques les plus répandues dans la majorité des communes productrices.
2- perte de la valeur commerciale des captures, et par conséquent, diminution du revenu des pêcheurs traditionnels.
3- nuisance à l’environnement, par l’utilisation du bois de chauffe comme énergie, d’où atteinte au renouvellement des ressources. Par ricochet, et à terme, les pêcheurs traditionnels s’exposent ainsi à l’insécurité alimentaire.

L’élevage

L’élevage demeure encore actuellement contemplatif dans les districts de Marovoay. D’ailleurs, peu d’éleveurs se tournent réellement vers la filière de viande bovine et de lait. Les activités pastorales sont souvent considérées comme des activités d’appoint des activités agricoles, notamment pour l’élevage des volailles, de porcins et d’ovins/caprins. Elles sont destinées à renforcer les revenus familiaux durant les périodes de soudure ainsi qu’aux funérailles, les fêtes familiales ou cultuelles.
Les animaux sont élevés de façon sauvage, en liberté dans la nature et rarement réunis dans des lieux clôturés. L’intégration des bons géniteurs et des vaches laitières est très faible.

L’élevage de volaille et des ovins :

L’élevage de volaille est au début considéré comme des activités destinées aux femmes mais au fur et à mesure que le cout de la vie augmente, l’activité ne reste pas aux femmes seulement mais aussi aux hommes.
La commune d’Ankazomborona détient la première place pour l’ensemble du district avec 215 000 têtes. La pratique de l’élevage est encore du type traditionnel. A chaque côté des maisons on remarque l’existence d’une petite case souvent construit par des branches des bois dont le toit est couvert des végétaux sèches ou des tôles inutiles souvent plein des trous. Les volailles sont resté à l’air libre pendant le jour et tricote des débris des riz pendant la journée. Certain propriétaire leur donne un poigné de riz ou de maïs. C’est un geste effectué soit le matin après la libération de volaille ou le soir avant de rentrer à la case. Il s’agit d’un geste pour faire le suivi des animaux et pour faire habituer les volailles à se rassembler. Pendant la période de soudure la vente de volaille qui assure à la famille de couvrir les petits besoins comme l’achat de pétrole, l’achat des médicaments. Les volailles sont les premiers à vendre avant de vendre les autres biens.

L’élevage porcin

La pratique de l’élevage traditionnel est toujours prédominante. C’est à Marovoay qu’on rencontre quelques éleveurs avoir adopté la nouvelle technique. Dans les autres communes par contre les éleveurs pratiquent l’élevage traditionnel.
A Marovoay, la majorité des porcheries ont des murs en bois, un sol en terre et un toit en chaume ou en végétaux secs. Quand il s’agit d’un élevage amélioré, le sol est en bois ou parfois en ciment et les murs sont en bois et très rarement en briques ou en ciment.

Les mangeoires et abreuvoirs sont le plus souvent fabriqués en bois et sont très rarement fixés. Dans de très rares élevages l’abreuvoir est en ciment ou en bois fixé au sol. Enfin, beaucoup d’éleveurs ont une seule auge servant de mangeoire et d’abreuvoir. Tous les éleveurs séparent les truies allaitantes des autres animaux mais seule une minorité d’éleveurs sépare véritablement les porcs selon les classes d’âge.

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Table des matières

TABLE DE MATIERE
INTRODUCTION GENERALE :
CHAPITRE I : GENERALITES SUR LE CLIMAT
I.1 Cause du climat
I.2 Les différents climats :
I. 2.1 Climats tropicaux humides
I.2.3 Climats subtropicaux
I.2.4 Climats dits tempérés
a) Le climat océanique
b) le climat continental
I.2.5 Climat de type méditerranéen
I.2.6 Climats subarctiques
I.2.7 Climats polaires
I.3 Variabilité climatique
I.4 Effet de serre et gaz à effet de serre
I.4.1 Le dioxyde de carbone (CO2)
I.4.2 Le méthane (CH4)
I.4.3 Le protoxyde d’azote (N2O)
I.4.4 L’oxyde d’azote (NOX)
I.4.5 La vapeur d’eau
I.4.6 L’ozone (O3)
I.4.7 Le pétrole
I.4.8 Les halocarbures
I.5 Changement climatique
I.5.1 Conséquences du changement climatique
I.5.2 L’extinction de la zone et de la flore
I.5.3 Les inondations, les sécheresses et l’intensification des tempêtes tropicales
I.5.4 Les effets sur l’agriculture
I.5.5 La modification du trajet du Gulf Stream
I.5.6 Les flux migratoires et les conséquences politiques
CHAPITRE II : LE CLIMAT DU DISTRICT DE MAROVOAY
II.1 LE DISTRICT DE MAROVOAY
II.1.1 La démographie
II.1.2 L’éducation
II.1.3 Les infrastructures sanitaires
II.1.4 Le Centre Hospitalier de District II (CHD II) de Marovoay
II.1.5 Les Pathologies dominantes
II.1.6 La sécurité publique
II.1.7 La sécurité alimentaire
II.1.8 L’élevage
II.1.9 L’élevage de volaille et des ovins
II.1.10 L’élevage porcin
II.1.11 L’élevage de bovidé
II.2 LE CLIMAT DE MAROVOAY
II.2.1 La température
II.2.1.1 La transformée de Fourier
II.2.2 La Pluviométrie
a) Définition
b) Mécanisme de formation de pluie
II.2.3 L’Humidité spécifique de l’air
a) Définitions:
CHAPITRE III : LES PRODUCTIONS DANS LE DISTRICT DE MAROVOAY
III.1 La plaine, la population agricole et le calendrier cultural de Marovoay
III.1.1 La plaine de Marovoay
III.1.2 La population Agricole
III.1.3 Le calendrier cultural
III.2 La production de riz
III.3 Culture de maïs
III.4 Culture de manioc
III.5 Culture de patate douce
III.6 Culture d’arachide
III.7 Culture de canne à sucre
CAHPITRE IV : CADRE CONCEPTUEL DE L’ETUDE :
IV.1 Concepts de la réduction des risques de Catastrophes (RRC)
b) Catégories et types de risques
IV.1.1 Le risque de catastrophe
a) Définition du risque
IV.1.2 Le risque à l’inondation
IV.1.3 Le risque à la sècheresse
IV.1.4 Le risque à l’élévation de la température
IV.1.5 Le risque aux Cyclones
IV.1.6 Le risque de la production face aux Changements climatiques
IV.7 La vulnérabilité de l’agriculture face aux changements climatiques
IV.7.1 Définition de la vulnérabilité aux Changements climatiques
IV.1.2 La vulnérabilité de l’agriculture de Marovoay
IV.8 Les Mesures d’adaptation et d’atténuation
IV. 8.1 Les mesures d’adaptation
IV.8.2 Les mesures d’atténuation
a) Les négociations internationales
b) Présentation de la Convention Cadre de Nations Unies pour le
Changement Climatique (CCNUCC) Le protocole de Kyoto
c) Poznán : une étape sur la route de Copenhague (COP14 – décembre 2008)
d) Le processus de négociation depuis Copenhague
e) Au niveau national
f) IV.9 Quelques remarques sur l’agriculture et le changement climatique
IV.9.1 L’agriculture victime du changement climatique
a) Le processus de négociation depuis Copenhague
b) Au niveau national
IV.9 Quelques remarques sur l’agriculture et le changement climatique
IV.9.1 L’agriculture victime du changement climatique
Conclusion
BIBLIOGRAPHIE

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