LES INFRASTRUCTURES ECONOMIQUES ET SECTEURS PARA/OU NON AGRICOLES

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LE MILIEU HUMAIN

Comme nous lโ€™avons dit, lโ€™homme joue un rรดle dรฉcisif dans la dรฉtermination de la nature et du niveau de lโ€™activitรฉ รฉconomique. Le problรจme humain sera donc traitรฉ ici dans son double aspect, aussi bien sociologique que dรฉmographique.
Dans son aspect qualitatif, il est ร  signaler que la population de cette rรฉgion nโ€™est pas ethniquement homogรจne. On y rencontre les Betsimisaraka, les Betsileo, les Merina, les Antemoro, les Antandroy, les Antefasy, les Antanosy, les Bara โ€ฆ

Lโ€™organisation de la sociรฉtรฉ

Sur le plan de lโ€™organisation sociale, les Betsimisaraka vivent en communautรฉ vil-lageoise qui est la notion clรฉ de lโ€™organisation des rapports ร  lโ€™intรฉrieur du village : lโ€™organisation hiรฉrarchique traditionnelle fonctionnelle dans toute la rรฉgion betsimisaraka. Cette derniรจre est quelquefois contestรฉe par les jeunes actuellement entraรฎnant un conflit de gรฉnรฉration. La communautรฉ est personnifiรฉe par esl anciens ou ยซ Ray aman-dreny ยป qui sont les dรฉtenteurs du pouvoir dans tous les domaines. Ils sont considรฉrรฉs comme dรฉpositaires de lโ€™autoritรฉ des ancรชtres.
Sur le plan de lโ€™organisation familiale, la sociรฉtรฉ betsimisaraka est endogamie patrilinรฉaire. Sa famille se transmet par les hommes qui, en se mariant avec des femmes du mรชme groupe ethnique, mais dโ€™un lignage gรฉnรฉralement diffรฉrent, fondent leur foyer dans leur propre village. La famille restreinte est composรฉe du pรจre, de la mรจre et des en-fants non mariรฉs ร  laquelle peuvent sโ€™adjoindre des descendants ou des collatรฉraux iso-lรฉs. A Lโ€™intรฉrieur de cette famille, lโ€™autoritรฉ estdรฉtenue par le chef de famille (il sโ€™agit, en gรฉnรฉral, du pรจre). Toute dรฉcision relative aux orientations de la production dรฉpend de lui.
A cรดtรฉ de cette organisation rigoureuse de la sociรฉtรฉ, un certain nombre de prin-cipes est encore en vigueur pour rรฉgir la sociรฉtรฉ dans son ensemble.

Le rรจgle de fonctionnement de la sociรฉtรฉ

Parmi ces principes dโ€™abord, les coutumes ancestrales, en malgache ยซ Fomban-drazanaยป , restent vivantes dans la commune rurale. Les Betsimisaraka ont encore un at-tachement certain ร  celles-ci. La colรจre des ancรชtr es est toujours crainte si jamais cer-taines rรจgles dโ€™usage ne sont pas respectรฉes6.
A cet effet, les interdits ou tabous, littรฉralement ยซ Fadyยป , transmis de gรฉnรฉration en gรฉnรฉration, demeurent des croyances ancestrales toujours respectรฉes par la popula-tion. Il sโ€™agit essentiellement des jours de travail et/ou de restrictions alimentaires. A titre dโ€™exemple, travailler dans les riziรจres le mardi et le jeudi est ร  รฉviter. De mรชme, lโ€™interdiction de manger des volailles ou de leurs ล“ufs lors des travaux rizicoles est quasi gรฉnรฉralisรฉe dans cette rรฉgion. Selon la croyance, โ€™inobservationl de lโ€™un ou lโ€™autre de ces interdits entraรฎnerait des consรฉquences nรฉfastes sur la rรฉcolte.
A part les ยซ Fadyยป , il existe aussi la cรฉlรฉbration des cรฉrรฉmonies oufรชtes rituelles comme le ยซ Tsaborahaยป dont la cรฉlรฉbration est presque toujours marquรฉe par le sacrifice dโ€™un ou plusieurs zรฉbus. Elles se font gรฉnรฉralementdurant la saison dโ€™hiver, entre le mois de juillet et le mois dโ€™octobre et un jour faste : lundi ou vendredi ou bien samedi.
En dehors de ยซ Tsaborahaยป et dโ€™autres cรฉrรฉmonies traditionnelles, la fรชte des morts est รฉgalement une pratique coutumiรจre ร  Brickaville. Elle est cรฉlรฉbrรฉe par les fa-milles issues de mรชmes ascendants pour nettoyer les alentours de leur tombe ou la rรฉha-biliter. Des boissons sont distribuรฉes et consommรฉes durant la journรฉe de fรชte. La cรฉrรฉ-monie dure jusquโ€™ร  la troisiรจme semaine du mois de novembre. Dans tous les cas, outre lโ€™arrรชt de lโ€™activitรฉ agricole, ces cรฉrรฉmonies et festivitรฉs occasionnent รฉgalement de grosses dรฉpenses :
– sacrifice de bล“ufs
– repas commun servi sur un ยซ lambanan-dravinaยป7.
– animation artistique aussi bien traditionnelle que moderne8
Passons maintenant en revue le problรจme quantitatif de la population, ร  savoir lโ€™รฉtude dรฉmographique de la commune.

Les structures dรฉmographiques

La situation dรฉmographique revรชt une grande importa nce pour apprรฉcier les possibilitรฉs de dรฉveloppement dโ€™une rรฉgion. Mais, du fait de la non disponibilitรฉ dโ€™un cer-tain nombre dโ€™informations, nous ne prendrons en compte ici que quelques รฉlรฉments col-lectรฉs un peu partout.

La Caractรฉristique de la population

En 2005, la population totale de la rรฉgion a รฉtรฉ environ au nombre de 28 697 habitants, soit ร  la densitรฉ moyenne de 57,40 habitants par kilomรจtre carrรฉ. La taille moyenne de mรฉnage varie de 3 ร  7 membres. Si le taux de natalitรฉ se chiffre ร  2,3%9 et que celui de la mortalitรฉ ร  0,5% ; le taux de croissance de la population de la commune est estimรฉ ร  1,7%. Cette population prรฉsente une pyramide trรจs jeune, prรจs de la moitiรฉ dans la classe dโ€™รขge 0 ร  15 ans (voir Tableau 3).
En consรฉquence, si on retient la classe dโ€™รขge de 16 ร  60 ans comme รขge normal dโ€™activitรฉ en milieu rural, nous pouvons dire que la population active reprรฉsente plus de 50% de la population communale. Par ailleurs, il est aussi intรฉressant de donner quelques jugements sur sa structure socioprofessionnelle.
En supposant que le taux de croissance de la population restera constant dans les annรฉes ร  venir, cette population doublera son effectif dans 20 ans. Cet accroissement peut รชtre justifiรฉ par les raisons suivantes :
ยท pratique de la polygamie ;
ยท fรฉcondation prรฉcoce (ร  lโ€™รขge de 13 ans) ;
ยท non adoption du planning familial ;
ยท insuffisance de loisirs ;
ยท considรฉration des enfants comme une richesse ;
Les enfants et les jeunes sont trรจs actifs ; ils participent ร  volontรฉ aux activitรฉs de la famille. Selon le jargon bien connu de tout le monde et les thรฉories de la fรฉconditรฉ : lโ€™enfant est un investissement utile. Cโ€™est un investissement รฉconomique car dans lโ€™agriculture paysanne, tout travail, mรชme celui de s jeunes enfants, est sollicitรฉ. En outre, les enfants fournissent une sรฉcuritรฉ sociale pour al vieillesse10.

Les loisirs

Comme dans tout milieu rural des pays en voie de dรฉveloppement, en particulier Madagascar, les loisirs paraissent inexistants. Mรชm e sโ€™il en existe, ils sont source de re-crudescence de banditisme pour les jeunes gens et de prostitution pour les jeunes filles. Ces loisirs font lโ€™objet des sous- paragraphes ci-aprรจs.

Lโ€™alcool

Le betsabetsa est offert aux hรดtes dโ€™honneur lors des cรฉrรฉmoniesdโ€™entraide pendant les travaux agricoles ; il constitue dโ€™ ailleurs un signe de respect pour accueillir les invitรฉs. En outre, boire le betsabetsa constitue un des passe-temps des jeunes et, en saison chaude, pendant les jeux de dominos. En effet, boire de lโ€™alcool rรฉduit lโ€™assiduitรฉ des jeunes aux travaux agricoles et par consรฉquent, nโ€™ayant aucune source de revenus, ils sโ€™adonnent au pillage des biens des voisins.

la radio et la radio combinรฉ (lecteur CD, radio et cassette)

La radio est lโ€™une des mass medias la plus prรฉfรฉrรฉedes villageois. Elle ne peut pas fonctionner sans piles ni batterie. Dans ce cas, il nโ€™y a que les personnes รขgรฉes seu-lement qui ont la possibilitรฉ de sโ€™approvisionner en piles รฉlectriques et de recharger la batterie. Ils sont avides dโ€™apprendre, tous les jours, ce qui se passe aussi bien au niveau national quโ€™international. Par contre, les jeunes sโ€™intรฉressent ร  la radio combinรฉ pour as-souvir leur soif de musique, accompagnรฉe de la consommation de boissons alcooliques.

Le jiro mena13

Depuis des annรฉes, le jiro mena a pris une place importante parmi les distrac-tions de week-end mรชme dans les localitรฉs les plus reculรฉes. Les jeunes ruraux sont for- tement attires par celles-ci. Cette boite de nuit ambulante reprรฉsente pour eux une dis-traction dโ€™รฉvasion. Or, au lieu de raffermir les liens dโ€™amitiรฉ entre les jeunes, cela pro-voque des bagarres et attise les sentiments de haine

LES INFRASTRUCTURES ECONOMIQUES ET SECTEURS PARA OU NON AGRICOLES

Mรชme si les conditions naturelles sont favorables, ce sont les hommes qui jouent le premier rรดle. La mise en valeur de ce milieu naturel dรฉpend uniquement des hommes, et des techniques acquises. La domination de ce milieu naturel dรฉcoule de leur volontรฉ, laquelle dรฉpend des facteurs internes et externes de la rรฉgion. Cโ€™est le cas de la com-mune rurale de Brickaville. Si certaines activitรฉs ont pu se dรฉvelopper, cโ€™est ร  cause de la demande nationale et internationale pour ces produits agricoles et non agricoles. Et les marchรฉs sont accessibles grรขce ร  lโ€™existence des vo ies de communication mais aussi ร  la prรฉsence dโ€™hommes entreprenants.

LES INFRASTRUCTURES ECONOMIQUES

Les voies de communication et dโ€™รฉchange

Si on parle de voies de communication, cโ€™est le chemin, le circuit qui relie aux autres villes et rรฉgions. La commune rurale de Brickaville possรจde des diffรฉrentes sortes dโ€™infrastructures. Mais dans ce paragraphe nous allons voir particuliรจrement les infrastruc-tures routiรจres et fluviales.

Les infrastructures routiรจres

La Route Nationale 2

La Route Nationale 2 รฉtait doublรฉe par le chemin de fer Antananarivo Cรดte-Est (TCE). Elle a รฉtรฉ la premiรจre ร  relier la capitaleร  la cรดte Est sous forme de piste dโ€™abord puis vers 1905, elle fut ouverte aux voitures. Mais le chemin de fer a accaparรฉ le trafic dรจs la rรฉalisation de sa ligne. Actuellement, il nโ€™y a que cette route qui assure lโ€™รฉvacuation des produits de la commune ร  cause de la vรฉtustรฉ du chemin de fer.

Les routes communales

Les rรฉseaux routiers jouent un rรดle primordial dans la vie socio-รฉconomique dโ€™une rรฉgion car ils facilitent lโ€™รฉvacuation des produits agricoles et les รฉchanges commer-ciaux. La commune est desservie par 119 Kilomรจtres de route dont 45 kilomรจtres de long est goudronnรฉ. Le tableau de la page suivante nous montre les axes routiers de la com-mune rurale de Brickaville.

Les institutions financiรจres

La banque

Lโ€™agriculture dans la commune rurale de Brickaville souffre dโ€™un manque endรฉ-mique de capital qui ne permet pas aux producteurs dโ€™investir. Lโ€™Etat malgache avait crรฉรฉ la banque BTM15 dans le but de relancer lโ€™investissement dans le secteur agricole. Une agence de la BTM fut installรฉe ร  Brickaville, mais ร  partir de 1998, il a รฉtรฉ constatรฉ que cet รฉtablissement ne joue plus son rรดle de banque de dรฉveloppement du monde rural, les paysans nโ€™ont plus accรจs aux crรฉdits. Le responsable du crรฉdit nous a expliquรฉ que cโ€™est lโ€™augmentation du volume des crรฉances douteuses sur les crรฉdits du monde rural qui a conduit la BTM ร  changer le type de financement rural. Le problรจme dโ€™impayรฉ provient de lโ€™inefficacitรฉ dโ€™encadrement dans le domaine agricole. La production obtenue ne peut couvrir les charges ยป 16 .
Actuellement, toutes les banques territoriales de Madagascar sont privatisรฉes. Donc, lโ€™Etat malgache est dรฉpourvu dโ€™une institution financiรจre ayant la capacitรฉ de fournir aux producteurs des crรฉdits en vue de relancer le secteur agricole.

La caisse OTIV ou MEC (Mutuelle dโ€™Epargne et de Crรฉdit)

La Mutuelle dโ€™Epargne et de Crรฉdit est une association regroupant un certain nombre de producteurs ร  faible revenu, laquelle a รฉtรฉ organisรฉe afin que ses membres aient accรจs au crรฉdit. Elle les encourage ร  lโ€™รฉpargne. La formule de coopรฉrative a รฉtรฉ re-tenue ce qui implique que les membres sont ร  la fois propriรฉtaires et clients. Autrement dit, les membres sont propriรฉtaires et usagers.
La mutuelle constitue un outil financier de promotion de lโ€™รฉpargne et de crรฉdit pour le secteur rural. Les caisses sont rรฉgies par les principes de la mutualitรฉ. Elles sont tenues de respecter les rรจgles dโ€™action mutualiste, ร  savoir :
lโ€™adhรฉsion des membres est libre et volontaire ; le nombre des membres est illimitรฉ ;
le fonctionnement est dรฉmocratique et se manifeste dans les caisses de base ;
le vote par procuration nโ€™est possible que dans des cas exceptionnels et les li-mites prรฉvues par le rรจglement ;
la constitution dโ€™une rรฉserve gรฉnรฉrale est obligatoire (les sommes ainsi mises en rรฉserve ne peuvent รชtre lโ€™objet de partage entre les membres) ;
les actions visant lโ€™รฉducation รฉconomique et sociale des membres de la caisse sont privilรฉgiรฉes ; chaque membre souscrit au moins une part.
Lโ€™objectif gรฉnรฉral de lโ€™ouverture de la caisse OTIV17 ou MEC est dโ€™introduire la notion dโ€™รฉpargne dans la culture de la population rurale. Elle encourage les paysans ร  placer leur รฉpargne auprรจs des institutions financiรจres au lieu de la thรฉsauriser dans une bouteille. Le but principal est de briser lโ€™inaccessibilitรฉ des classes dรฉfavorisรฉes au crรฉdit bancaire. Autrement dit, lโ€™objectif est de rรฉduire la pauvretรฉ par des interventions qui peu-vent amรฉliorer les conditions de vie, le revenu et les capacitรฉs dโ€™organisation dans des activitรฉs รฉconomiques.
Les produits courants dโ€™une caisse OTIV ou MEC sont la collecte dโ€™รฉpargne (dรฉ-pรดt et retrait) et lโ€™octroi de crรฉdit. La commune urale de Brickaville possรจde une agence dรฉnommรฉ OTIV VOHITRA lโ€™une des membres de la zone ittorale avec 2 460 membres en 2006.
Les caisses OTIV se livrent ร  la collecte de lโ€™รฉpargne des paysans et ร  lโ€™opรฉration dโ€™octroi de crรฉdit. Lโ€™octroi de crรฉditexige quelques conditions :
lโ€™emprunteur doit รชtre membre de la caisse au moin s 6 mois ; et il doit avoir 25% du montant du capital empruntรฉ.
En gรฉnรฉral, le montant du crรฉdit octroyรฉ par la caisse dรฉpend de lโ€™รฉpargne totale parce que 60% de lโ€™รฉpargne totale uniquement peut faire lโ€™objet de crรฉdit : cโ€™est ce quโ€™on appelle portefeuille de crรฉdit.
Le montant maximum de crรฉdit allouรฉ ร  un membre ne peut excรฉder 5% du mon-tant du portefeuille de crรฉdit.
Chaque caisse a le droit de dรฉfinir sa politique de crรฉdit qui lui est propre en vue de limiter les risques.

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Table des matiรจres

INTRODUCTION
PARTIE I : CONTEXTE GEO-PHYSIQUE DE LA COMMUNE RURALE DE BRICKAVILLE
CHAPITRE I : LES CONTEXTES SOCIO-PHYSIQUES DE LA COMMUNE RURALE DE BRICKAVILLE
SECTION I : LE MILIEU PHYSIQUE
SECTION II : LE MILIEU HUMAIN
SECTION III : LES INFORMATIONS SOCIALES ET CULTURELLES
CHAPITRE II : LES INFRASTRUCTURES ECONOMIQUES ET SECTEURS PARA/OU NON AGRICOLES
SECTION I : LES INFRASTRUCURES ECONOMIQUES
SECTION II : LE SECTEUR PARA/NON AGRICOLE
SECTION III : LA STRUCTURE DE LA COMMERCIALISATION
CHAPITRE III : LES ACTIVITES AGRICOLES
SECTION I : LES FACTEURS DE PRODUCTIONS
SECTION II : CARACTERISATION DES ACTIVITES AGRICOLES
SECTION III : LES ACTIVITES EXTRA-AGRICOLES
PARTIE II : LE DEVELOPPEMENT DE LA COMMUNE RURALE DE BRICKAVILLE SERAIT-IL IMPOSSIBLE ?
CHAPITRE I : LES OPPORTUNITES ECONOMIQUES ET LES CONTRAINTES DE DEVELOPPEMENT AGRICOLE DE LA COMMUNE
SECTION I : LA PREDOMINANCE DE LA SOCIETE AGRO PASTORALE
SECTION II : LES OPPORTUNITES LIEES AU DEVELOPPEMENT DE LA COMMUNE
SECTION III : LES CONTRAINTES LIEES AU DEVELOPPEMENT DE LA COMMUNE
CHAPITRE II : PROPOSITIONS DES STRATEGIES POUR PROMOUVOIR LE DEVELOPPEMENT DE LA COMMUNE RURALE DE BRICKAVILLE
SECTION I : STRATEGIE RELATIVE A LA REGULATION SOCIALE ET CULTURELLE
SECTION II : STRATEGIE RELATIVE A LA REGULATION ECONOMIQUE
SECTION III : STRATEGIE SUR Lโ€™AMELIORATION DE LA PRODUCTION
CHAPITRE III : Lโ€™INTERVENTION DU MCA MADAGASCAR DANS LA REGION ATSINANANA
SECTION I : LE PROGRAMME MCA
SECTION II : LE MCA MADAGASCAR DANS LA REGION ATSINANANA
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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