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L’accumulation du capital public (Barro 1990)7 et (Barro, Sala i Martin 1992)
Il correspond aux infrastructures de communication et de transport. Elles sont au cœur du modèle élaboré par R.J Barro. En théorie, le capital public n’est qu’une forme de capital physique. Il résulte des investissements opérés par l’Etat et les collectivités locales.
La convergence des infrastructures vers la formation du capital privé
Le mécanisme par lequel les infrastructures publiques affectent la croissance de la productivité se trouve dans la formation de capital privé. En effet, l’augmentation de la productivité marginale des facteurs de production, en augmentant le capital public, entraine une augmentation du taux de rendement du capital privé, et par là, incite le secteur privé à investir de plus. Par exemple, la mise en place d’un bon réseau de télécommunication, d’un bon réseau routier ou encore d’une bonne infrastructure électrique augmente le taux de rendement d’une usine et incite le secteur privé à investir davantage dans le capital privé.
La corrélation entre la croissance économique et les investissements en infrastructure est très claire grâce aux résultats des recherches empiriques des auteurs ci-dessous8 :
D. Aschauer (1989)9 étudie la relation entre la productivité nationale aux USA et le stock des dépenses publiques. A l’aide d’une fonction de Cobb Douglas et en utilisant les données relatives à la période 1945/1985, il met en évidence l’effet de la dépense publique sur la production privée et la productivité totale des facteurs.
Une hausse de 1 % du capital public, autre que militaire, génère une hausse de la productivité allant de 0,39 % (1949 – 1981) à 0,56 % (1949-1967); l’élasticité de la productivité totale des facteurs aux dépenses publiques a varié quant à elle de 0,36 % (1949-1967) à 0,49 (1968-1985). A l’inverse, la baisse de productivité entre 1971 et 1985 résulte d’une réduction des dépenses publiques en capital public
Les calculs de A. MUNNELL (1990) confirment les résultats précédents quoique la relation établie entre le capital public et la production du secteur privé est moins robuste : une augmentation de 1% du stock de capital public provoque une augmentation de 0,34% de la production9. En 199210, le même auteur met en évidence que la relation entre dépenses d’infrastructures est plus robuste lorsqu’on passe d’un espace régional localisé à une région plus vaste (nation). Dans le cas des USA, l’élasticité de la production aux dépenses d’infrastructures passent de 0.34-0.39 à l’échelle nationale, à 0.15-0.20 au niveau des Etats et à 0.03-0.08 au niveau des métropoles.
Pour Wang, une hausse de 1 % des dépenses en capital public augmenterait la production privée de 0,2 %. Dans le même ordre d’idées, l’auteur conclut qu’une hausse de 1 % de la production privée accroît la demande de capital public de 0,8 % à 1,08 %.
En revanche, ces infrastructures ne suffisent pas, à elles seules, pour que les acteurs privés puissent continuer à faire du profit, il leur faut aussi un climat social non dégradé, l’Etat de droit respecté, les salariés bien qualifiés et en bonne santé.
Le modèle VAR, AGENOR11, lors du teste de la relation entre stock du capital public et investissement privés dans la région MENA(Algérie), peut défendre cet argument. La conclusion revient à dire que le peu de significativité des résultats ne doit pas être imputé aux infrastructures mais à la qualité de l’environnement dans lequel opère le secteur privé.qui est finalement évincé par une mauvaise gouvernance et non par le capital public lui-même. Ainsi le problème posé change la nature des relations entre public et privé et pose la problématique des institutions au premier plan. La question de l’environnement des affaires est aussi cruciale que celle qui consiste à disposer d’un réseau d’infrastructures.
Catégorisation des infrastructures
Sur le plan conceptuel, deux types d’infrastructures sont distingués. Il s’agit des infrastructures sociales ou immatérielles (dans les secteurs de la santé, de l’éducation et de la culture), et les infrastructures physiques ou matérielles (les transports, l’énergie, les technologies de l’information et de la communication, l’irrigation, l’eau potable et l’assainissement). « Les infrastructures jouent dans l’économie deux rôles principaux. Elles fournissent des services essentiels, fondements non seulement de la réduction de la pauvreté (eau potable, électricité, mobilité), mais aussi de la capacité de l’individu à réaliser une activité productive », a souligné El Hadji Fall, Economiste Principal du PNUD. C’est pourquoi, la programmation des infrastructures doit mettre l’accent à la fois sur les services qu’elles produisent et sur les effets d’entraînement que leur mise en place génère sur l’activité économique.
Effets des dépenses d’infrastructures physiques ou matérielles dans l’économie
Les infrastructures de transport (les routes, les autoroutes, les chemins de fer, les ports, les aéroports de même que les rues), les infrastructures de l’énergie (les réseaux de distribution d’eau, l’électricité), et les infrastructures de télécommunication sont des actifs publics qui sont reconnus depuis longtemps comme partie intégrante et importante de la richesse des nations. Ces infrastructures sont présentées comme des biens qui facilitent les échanges, améliorent la productivité des autres intrants dans la production et maintien la qualité de vie de la population. Le caractère productif des infrastructures passe également par les externalités qu’elles génèrent entre entreprises, régions ou activités.
L’objet de cette étude est axé particulièrement sur les infrastructures de transport et leurs effets sur le développement. Cependant, il est important de rappeler brièvement la place qu’occupent les autres types d’infrastructures matérielles (les infrastructures de télécommunication et celles de l’énergie) dans le développement.
Les infrastructures de la télécommunication
Premièrement, la télécommunication est un bien non homogène qui se subdivise en deux sous produits : l’accès au réseau, satisfait le besoin de pouvoir être atteint, et l’utilisation du réseau, satisfait le besoin d’appeler d’autres personnes. Deuxièmement, l’offre en matière des télécommunications se subdivise aussi en deux : en infrastructures, réseau et appareils de connexion, et en communication. Le bon fonctionnement de ces infrastructures permet d’améliorer les contacts entre les différents pays, de réduire l’asymétrie informationnelle, et surtout de faciliter les entretiens ou échanges d’idée tout en évitant les coûts de transport (y compris le temps de parcours). Le rôle de la télécommunication dans la société évolue dans le temps. Au début elle se limite seulement à la simple relation à distance entre les personnes. A présent, avec la mondialisation, le TIC (Technologie de l’Information et de la Communication).a connu de plus en plus d’envergure où elle touche aussi l’activité économique. Pour illustrer à cela, l’avènement de la vente par réseau où il n’est plus nécessaire d’aller plus loin pour acquérir des biens recherchés est devenue une tendance mondiale. On peut aussi parler de la possibilité de transférer des dossiers par Internet a réduit la nécessité d’envoyer des copies papier ou à faire des déplacements physiques. Par ailleurs, il existe des moments où des contacts face à face ne peuvent pas être remplacés par la télécommunication.
Les infrastructures aux services de l’énergie
Elles constituent un impact direct sur la vie de la population ainsi que sur les activités productives (industrielles ou agricole) qu’elles s’agissent de l’électricité ou de l’adduction d’eau.
L’amélioration des infrastructures favorables à un approvisionnement en eau est soulevée par l’UNICEF lors du discours de la décennie « l’eau, source de vie », afin d’atteindre l’OMD (Objectif du Millénaire pour le Développement) relatif à l’eau potable et à l’assainissement. Le non adéquation de ces approvisionnements provoque, au premier plan, une carence dans la santé de l’ensemble de la population, pas d’hygiène et pas hydratation. Au second plan il affecte la productivité agricole, d’une part, à cause de l’imperfection du système d’irrigation des cultures qui s’étend jusqu’à l’insécurité alimentaire. Le troisième plan touche essentiellement les activités industrielles qui utilisent l’eau comme des intrants. La question de la qualité de l’eau de boisson est de plus en plus préoccupante, en raison tant de la contamination microbienne que des taux alarmants de produits chimiques (arsenic et fluor, par exemple) que l’on peut relever dans l’eau dans bien des régions du monde du fait que les gens prennent juste de l’eau de la rivière qui peut être contaminée. L’Afrique Subsaharienne est encore parmi les pays les plus défavorisés en matière de l’approvisionnement en eau et c’est que va nous montrer le graphe suivent :
Près de 50% de la population mondiale sans accès à une eau de boisson améliorée se trouvent en Asie de l’Est et en Asie du Sud, et 30% vivent en Afrique Subsaharienne. En plus, malgré le rôle clé que jouent ces infrastructures dans le développement, on constate toujours une disparité entre les zones rurales et les zones urbains12. En 2004, 2,6 milliards de personnes dans le monde, dont 2 milliards vivant dans les zones rurales, ne disposaient pas de l’assainissement de base. En effet, des millions de femmes et d’enfants (surtout en Afrique) parcourent chaque jour de longues distances pour aller chercher de l’eau. En moyenne, un membre du ménage (généralement une femme ou un enfant) a besoin d’une demi-heure environ pour se rendre au point d’eau, puiser de l’eau et revenir, ce qui a des inconvénients pour la scolarité des enfants et l’égalité entre garçons et filles ainsi que pour l’insertion des femmes dans les activités plus productives.
Par ailleurs, une constatation est faite sur la faible consommation d’électricité en Afrique. L’accès à l’électricité reste en effet très limité: moins de 15% des habitants d’Afrique Subsaharienne ont accès à l’électricité (Magrin, 2007). Les énergies traditionnelles, issues de la biomasse, telles que le bois ou les résidus de culture, occupent de ce fait une place prépondérante dans l’approvisionnement. Malgré ce déficit énergétique, l’Afrique Subsaharienne dispose d’abondantes ressources naturelles généralement sous exploitées: au Cameroun, seulement 3% de la capacité hydroélectrique du pays est exploitée. De son coté, la République Démocratique du Congo dispose du meilleur potentiel hydroélectrique Africain, avec 106000 MW, soit 37% des capacités Africaine et 6% du potentiel mondial. Alors qu’elle améliore indéniablement les conditions de vie des populations ainsi que le développement industriel des pays en voie de développement. En Afrique, le faible développement du réseau et le prix élevé de l’électricité ont des conséquences lourdes sur l’industrialisation: en Guinée (Souaré et al. 1993) ou au Cameroun, les aménagements hydroélectriques nécessaires pour produire de l’aluminium n’ayant pas conduit à une baisse du coût de l’électricité, les entreprises industrielles ont dû négocier avec le gouvernement une baisse des prix de l’énergie. Pourtant, l’industrie est un secteur essentiel en ce sens qu’il constitue pour les pays en développement une activité économique « moderne » et favorise donc le développement économique. On peut dire que cette insuffisance constitue une justification indéniable du taux faible d’industrialisation dans les pays de l’Afrique Subsaharienne car les investisseurs n’auront pas à supporter un coût élevé de l’électricité. Ce lien entre industrie et croissance économique est d’ailleurs empiriquement observé à l’échelle mondiale depuis les années 1950 (Rodrik, 2008, 2009).
Effets des dépenses d’infrastructures sociales dans l’économie
Les infrastructures, par les services qu’elles rendent aux agents économiques, contribuent à la satisfaction de leurs besoins et constituent un des principaux vecteurs de développements des nations.
Définition et caractéristique des infrastructures sociales
Les infrastructures sociales se rapportent aux services relatifs aux champs sanitaires sociaux et à l’éducation.
Les infrastructures sanitaires sont identifiées par le nombre d’hôpitaux construits et sa répartition dans toutes les zones géographiques et les équipements dont chaque établissement est doté. Leurs utilisations par la population sont liées aux services qui leur sont associés : spécialisation des actes médicaux, types et qualité des traitements réalisés, accessibilité à certaines formes de soins, compétences du personnel. L’idée de départ de cet ouvrage, « Les hôpitaux et les cliniques : architectures de la santé »13 ; est que la conception d’un établissement de santé doit s’inscrire dans une logique institutionnelle, à l’échelle locale, régionale et nationale, qui doit s’adapter aux évolutions des techniques et des pathologies, comme aux contraintes urbaines, économiques et démographiques.
Il propose de faire le point sur la manière contemporaine de programmer et de concevoir des bâtiments hospitaliers publics et privés dits de court séjour, c’est-à-dire répondant à des programmes qui regroupent un secteur externe, un secteur d’hébergement et un secteur logistique, partant du principe qu’à ce type d’organisation fonctionnelle très pointue correspondent des formes architecturales très spécifiques, fortement conditionnées par les réseaux de liaisons qui les irriguent. Il propose ensuite une description d’une vingtaine de réalisations exemplaires et aborde enfin les aspects réglementaires.
De manière similaire, les infrastructures de l’éducation reposent sur les établissements scolaires ou universitaires, les équipements et les services qui les accompagnent. Il faut que les volumes des établissements puissent être adaptés aux effectifs des élèves ainsi que les enseignants. Ces derniers ont aussi besoin des bureaux pour mener à bien leur fonction.
Les effets de l’éducation et de la santé sur le développement
Les économistes ont reconnu l’importance des investissements consacrés aux êtres humains depuis les travaux précurseurs de Mincer (1958) et Becker (1962). Les dépenses consacrées à l’éducation, à la formation professionnelle, aux soins de santé contribuent à l’amélioration la qualité de la main d’œuvre et à hausser la productivité. En outre, le Programme des Nations Unies pour le Développement, (PNUD, 1994) indique que le développement des infrastructures hospitalières et le niveau de l’éducation de la population, ont fait reculer la mortalité infantile entraînant une augmentation de l’espérance de vie de la population.
La santé occupe aujourd’hui un rang très élevé sur l’échelle des priorités internationales. Le souci de la santé des pauvres est en effet devenu un élément essentiel de la problématique du développement économique. Jusqu’ici sous-estimée, une amélioration notable de la situation sanitaire est devenue un préalable indispensable pour permettre aux pays en développement de rompre le cycle de la pauvreté. L’ouvrage de référence du CAD, OCDE, 2003, 110 p., « Pauvreté et santé », démontre dans quelle mesure le fait d’investir dans la santé peut faire reculer la pauvreté. Il recommande d’instaurer des systèmes de santé favorables aux pauvres, de centrer l’action sur les politiques sectorielles (éducation, nutrition, sécurité alimentaire, environnement, lutte contre la violence), d’œuvrer à travers des cadres stratégiques établis par les pays partenaires et, enfin, de promouvoir la cohérence des politiques et l’offre de biens publics mondiaux.
Santé et développement
« L’amélioration de la santé est consubstantielle au développement », d’après le professeur Amartya Sen14, Prix Nobel d’Economie », lors de la Cinquante-Deuxième Assemblée mondiale de la Santé à Genève, mardi 18 mai 1999. Le développement d’après lui doit consister avant tout à améliorer la vie que nous menons et à renforcer les libertés dont nous jouissons. Or, l’une des plus grandes libertés est celle de ne pas souffrir d’un mauvais état de santé que l’on peut prévenir et d’échapper à une mort évitable. Il est tout aussi important de saisir le caractère variable et aléatoire de la relation entre prospérité économique e bon état de santé que de reconnaître l’importance capitale de cette relation.
Dans les années 1950 et 1960, des améliorations dans la santé ont joué un rôle décisif pour aider les pays que l’on appelle maintenant émergents à sortir de la misère dans laquelle ils étaient plongés peu de temps auparavant, au même titre que les pays africains.
En réalité le lien de causalité est probablement bidirectionnel. Nous disposons de plusieurs analyses permettant d’expliquer pourquoi la santé peut influencer les performances économiques, et pourquoi en retour le progrès économique entraîne celui de la santé. Le premier point semble une évidence que l’état de santé des individus influe beaucoup sur leurs capacités productives (Strauss et Thomas, dans les années 1998). A l’inverse, le progrès économique peut lui-même être à l’origine d’améliorations des conditions de santé. Bien que la santé soit un bien public son accès est très difficile pour ceux qui n’ont pas de moyen. En effet, les individus pauvres ne peuvent pas faire face aux dépenses en médicaments et en soins de santé qui seraient nécessaires pour faire face à des maladies.
En parlant de l’importance de la santé au niveau mondial, il est essentiel de parler des quatre Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) qui touche la santé : réduire la mortalité des enfants moins de 5 ans, améliorer la santé maternelle, combattre le VIH/SIDA, le paludisme et d’autres maladies.
Education et développement
« L’éducation et la formation sont considérées comme un investissement que l’individu doit effectuer d’une façon rationnelle afin de se construire un capital productif inséparable de sa personne »15.Le niveau élevé de l’éducation ou de la formation des citoyens est un atout national puisqu’il agit directement sur la productivité et par conséquent augmente leur revenu ce qui leur donne une liberté de s’épanouir. En d’autres cas, outre que les bénéfices qu’il procure au niveau national, il permet aussi au pays d’être plus compétitif en matière de main d’œuvre ou de qualité de produits à l’échelle mondiale. L’éducation fait partie du programme de la Banque Mondiale lors de son rapport OMD, 2012 dont l’objectif est « l’éducation primaire pour tous ». D’après les données fournies par ce rapport, le taux net agrégé de scolarisation au primaire est passé de 64% en 2000 à 84% en 2009 à l’échelle du continent africain. Pour aller plus loin, la Banque Mondiale (2001) a évoqué dans son rapport l’importance de l’éducation des filles et des femmes car celle-ci a une incidence positive sur la perspective d’emploi et de rémunération ainsi que sur le développement de la société.
Le développement des ressources humaines occupe une place très importante depuis ces dernières années où la compétitivité est devenue de plus en plus préoccupante à l’échelle mondiale. Pourtant, d’après les estimations, pour combler le déficit en infrastructures qui permettrait de soutenir un taux de croissance de 7 % d’ici 2015, il faudrait injecter environ 93 milliards de dollars américains par an en Afrique, répartis à part égale entre l’investissement et la maintenance au cours de la prochaine décennie16.
En dépit de leur diversité, les infrastructures qu’elles soient physiques ou sociales, partagent des caractéristiques communes. Elles sont très lourdement capitalistiques et nécessitent d’importants investissements. Ce qui nous amène dans la troisième section qui s’oriente vers les sources potentielles de financement des infrastructures.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE 1 : LES INFRASTRUCTURES ET LEURS IMPLICATIONS SUR LE DEVELOPPEMENT
Chapitre 1 : Généralités sur les infrastructures
Section 1 : Approche théorique et conceptuelle
1 – Définition du concept des infrastructures
2 – Les infrastructures dans le cadre de la théorie de la croissance endogène
a- L’accumulation de capital physique (Romer 1986)
b- L’accumulation du capital humain (Lucas 1988
c- L’accumulation du capital technologique ou la recherche-développement (Romer 1990)
3 – La convergence des infrastructures vers la formation du capital privé
Section 2 : Catégorisation des infrastructures
1 – Effets des dépenses d’infrastructures physiques ou matérielles dans l’économie
a- Les infrastructures de la télécommunication
b- Les infrastructures aux services de l’énergie
2 – Effets des dépenses d’infrastructures sociales dans l’économie
a – Définition et caractéristique des infrastructures sociales
b – Les effets de l’éducation et de la santé sur le développement
Section 3 : Les sources potentielles de financement des infrastructures
1 – Les investissements publics en infrastructure
2 – L’importance du partenariat public-privé(PPP) dans l’investissement des infrastructures
Chapitre 2 : Investissement en infrastructure de transport et le développement
Section 1 : Les infrastructures de transport facteur d’intégration physique et économique
1 – Intégration en termes d’Accessibilité au niveau des marchés
2 – Intégration en termes de coalition avec les pays d’outre-mer
Section 2 : Les infrastructures de transport source de la productivité et de revenu26xvi
1 – Mécanisme affectant le choix de localisation
2 – Les mécanismes liés aux effets d’agglomération
PARTIE 2: MADAGASCAR ET LA PRIMAUTE DES INFRASTRUCTURES DE TRANSPORT DANS SON ECONOMIE
Chapitre 1 : Constat sur le secteur de transport à Madagascar
Section 1 : Les infrastructures de transport terrestre
1 – Le secteur routier
2 – Le secteur ferroviaire
3 – Les obstacles et problèmes rencontrés dans les deux secteurs
Section 2 : Les infrastructures de transport maritime et aérien
1 – Le secteur portuaire
2 – Le secteur aérien
3 – Les obstacles et les problèmes rencontrés dans ces secteurs
Chapitre 2 : La contribution des infrastructures de transport dans les activités productives45
Section 1 : Les infrastructures de transport liées au développement du secteur agricole
1 – La place du secteur agricole dans l’économie de Madagascar
2 – Les rôles que jouent les infrastructures de transport dans ce secteur
3 – La place des infrastructures hydro-agricoles dans le secteur agricole
Section 2 : Les infrastructures de transport liées à la compétitivité des entreprises locales et internationales
1 – Les infrastructures de transport et la mesure d’incitation influant les entreprises locales55
2 – La performance des infrastructures de transport constitue un système d’attractivité des investissements étrangers
CONCLUSION
ANNEXES
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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