LES IMPACTS DE L’ORIGINE SOCIALE SUR LES ETUDES DES APPRENANTS

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Première théori e:

Pierre Bourdieu et Jean Claude Passeron finissent par avancer que : « La sociologie de l’éducation a mis en évidence le fait que certainsenfants sont favorisés non pas parce qu’ils seraient plus intelligents mais parce qu’ils tiennent de leur milieu familial et de leur classe sociale des codes, des attitudes, des savoirs scolairement rentables. Parfois ils savent déjà ce que l’école est censée leur enseigner : ainsi, ils savent lire avant que cet apprentissage ne devienne obligatoire. Le plus souvent sans maîtriser d’avance la culture scolaire , ils disposent du capital linguistique et des habitudes de pensée qui placent les apprentissages scolaires dans le droit fil de la scolarisation familiale. A d’autres élèves, cette familiarité fait au contraire défaut, ils ne trouvent guère de continuité entre leurs expériences extrascolaires tela culture scolaire »18.

Deuxième théorie : Qu’est-ce que la socialisation ?

« La famille est le premier groupe que rencontre un individu à la naissance. Forcément le rôle de la famille est primordial dans la construct ion de l’identité et de la personnalité.
La socialisation est un processus permettant de transmettre des valeurs et normes d’une génération à l’autre. En se socialisant, les individus se préparent à leurs statuts sociaux et aux rôl es qui y sont associés.
La socialisation s’assimile à l’intégration sociale, qui est un processus par lequel l’individu intériorise la culture, les rôles et statuts sociaux de son groupe d’appartenance.
Les deux principaux agents de socialisation sont la famille et l’école. Spontanément, la famille, qui est un intermédiaire entre la sociétéet l’individu, tend à reproduire les inégalités sociales en transmettant la culture d’un groupe social. Certains sociologues, comme Pierre Bourdieu, mettent également en cause l’école dans al reproduction19.
– Les agents de la socialisation : la culture est acquise par imprégnation et identification avant de l’être par apprentissage explicite : c’est la socialisation. Par exemple, l’enfant en interaction avec son entourage va acquérir le langage ce qui va favoriser son intégration sociale. C’est l’interaction avec les agents de socialisatio n qui produit la socialisation : socialisation primaire c’est-à-dire la famille et l’école primaire et socialisation secondaire c’est-à-dire adaptation de l’individu, école, lycée, collège, groupe de pairs (= amis), médias, télévision, publicité, cinéma… l’Etat par l’apprentissage des rôles qui lu i sont assignés, c’est-à-dire les comportements, les qualités qui servent à un individu pour répondre à ce que son entourage attend de lui, l’individu trouve sa place dans la société. La socialisation rimairep et la première socialisation, c’est la socialisation fondamentale. Celle-ci va constituer le socle de la personnalité et de l’identité de l’individu.
– Ce que transmet la socialisation : pour P. Bourdieu et J. C. Passeron, la société est fondamentalement inégalitaire. Les différentes catégories sociales sont inégalement dotées en capital économique : possession ou non de richesse économique (revenu + patrimoine), en capital social : ensemble de réseaux de connaissances et surtout en capital culturel : diplôme, biens culturels. La sélection scolaire résulte du fait que l’école impose un arbitraire culturel (type de langage, comportement, etc) qui est conforme à l’ha bitus des catégories privilégiées. Les enfants des catégories les plus défavorisées du point de vue du capital culturel subissent une violence symbolique et sont éliminés sur la base de critèrescolaires (notes, résultats aux examens). L’école joue donc un rôle de légitimation et de « naturalisation » des inégalités sociales en véhiculant les normes de la culture légitime » .
– L’école n’assure pas la promotion sociale : selon Bourdieu, « il existe des classes sociales dominées et des classes sociales dominantes, ainsi 3 types de capitaux se répartissent différemment entre les classes : – les capitaux économiques – les capitaux culturels – le capital social et Bourdie u insiste sur le fait que l’école va valoriser le capital culturel et social des classes dominantes. C’est-à-dire que l’héritage transmis par les personnes aisées a tendance à être utile à la réussite scolaire.En effet, un enfant ayant dès le plus jeune âge appris au sein de sa famille à utiliser un niveau de langage élevé (vocabulaire riche, soutenu, phrase omplexec et maîtrise de l’abstraction) aura par exemple plus de facilité à répondre aux exigences du professeur. De la même manière, des habitudes culturelles comme la fréquentation des musées ou des bibliothèques avec la famille favorise l’apprentissage des enfants tandis que les enfants de la classe populaire dont les parents ont un faible niveau scolaire peuvent connaître selon Bourdieu « une violence symbolique » lorsque les enseignements scolaires sont contraires à sa social isation primaire. De même les enfants dont le capital social des parents est élevé (de nombreusesconnaissances et forte intégration sociale) auront plus de facilité sur le marché du travail, car lesliens sociaux de leurs parents leur permettent de décrocher plus facilement un emploi, une formation,un stage ou un entretien »21.
Pour terminer l’examination des points de vue des chercheurs sur la réussite scolaire, voyons ce que CRAHAY a écrit dans son ouvrage intitulé « Peut-on lutter contre l’échec scolaire ? » « Le point de vue adopté par les sociologues est différent. Dès le début des années 60, ceux-ci ont montré qu’il existe une corrélation statistique forte entre échec (ou réussite) scolaire et origine sociale. Pour rendre compte du lien entre inégalité sociale et inégalité scolaire, ils ont créle concept de reproduction.
C’est à P. Bourdieu & J. C. Passeron (1970), que l’ on fait avant tout référence lorsqu’on parle de théorie de la reproduction. Pour ces auteurs, l’école évalue les compétences des individus à l’aune de normes propres aux classes dominantes. Par voie de conséquence, les enfants des autres classes sociales se situent à une distance inégale de la culture scolaire et réussissent moins bien que les enfants des classes privilégiées.

Relief

Comme la plupart des régions des Hautes Terres Centrales, deux grands types de relief prédominent dans la région d’Androhibe. Il s’agit de la plaine qui se trouve généralement de part et d’autre des rivières de Sisaony et d’Andromba. Elle est exploitée pour la riziculture et certaines cultures vivrières comme le manioc, le maïs et aussi les cultures maraîchères.
Il s’agit également de la succession des collines séparées par des petites vallées. Cette dernière forme de relief est exploitée pour la culture vivrière sur le versant de la colline. En tant que zone rurale, les cultures vivrières occupent une place prépondérante dans l’alimentation des habitants. Pendant la période de soudure, bon nombre de ménages s’alimentent du manioc pour le déjeuner du midi car le prix du riz est très cher par rapport à celui du manioc. Durant cette période de soudure, le kilogramme du manioc a le même prixque celui du kapoaka (une boîte de lait concentré utilisée comme unité de mesure pour la vente du riz à Madagascar) du riz. « Nous avons vendu du manioc frais à 250 Ar le kilogramme » 23 ont affirmé les propriétaires d’une épicerie du fokontany de Mandalova.
Quoi qu’il en soit, des problèmes culturaux se présentent au niveau de l’aménagement et de la mise en valeur de la plaine et de la colline. L’incapacité des paysans liée généralement à la pauvreté de maîtriser le relief est à l’origine de ces problèmes : la non maîtrise de l’eau engendre parfois la baisse de la qualité et de la quantité ud rendement rizicole et il arrive même des moments où il existe un conflit de l’eau entre les riziculteurs connu sous le nom de miady ranon-ketsa. Pour la colline, l’impossibilité à mettre des mesures anti-érosives limite aussi qualitativement et quantitativement le rendement car la culture se pratique là où l’érosion peut être ralentie.

Végétation

La commune rurale d’Androhibe est une zone pauvre en couvertures végétales. On y trouve une prédominance de steppes et de petite savane quicouvrent certaines zones d’altitude telle que la colline sacrée d’Antsahadinta.

Présentation de la colline

« La colline sacrée d’ANTSAHADINTA est sise à une vingtaine de kilomètres de la capitale. Quittez Antananarivo au bas de la ville, sur les bords du lac Anosy, suivez la route nationale numéro un (RN1) qui mène à Antsahadinta en vous dirigeant vers Anosizato. Un pont franchit l’Ikopa au niveau d’Anosizato et la route rejoint une digue jusqu’au village d’Ampitatafika où il y a un autre pont à franchir.
Laissez la RN 1 qui continue vers Arivonimamo, et prenez une route étroite qui monte par la gauche. Vous la suivez… Elle devient sinueuse sur u ne dizaine de kilomètres et bientôt, parmi les crêtes chauves et les rochers épars, apparaît une ollinec boisée au sommet de laquelle se trouve un temple : c’est ANTSAHADINTA.
Au bas de la colline, une flèche vous indique la direction à prendre : vous traversez le petit village d’Ambohibary puis en amorçant la montée, vous remarquerez, en bordure de route et à côté d’un tombeau, une pierre levée. Chaque pierre levéea son histoire, elle évoque un haut fait (une victoire par exemple) ou un évènement historique outout simplement le souvenir d’un défunt.
Tout autour d’Antananarivo, la capitale de Madagascar, une chaîne de collines se découpe à l’horizon. Chacune d’elle marqua, dans les siècles qui précédèrent leur conquête, le centre d’une petite puissance rivale d’Analamanga, aujourd’hui A ntananarivo.
Douze de ces collines ont conservé chez les Malgaches le titre de « douze montagnes royales », en souvenir de petits clans qu’elles constituaient. On les désignera par la suite sous le nom de « douze collines sacrées » en hommage à ces royautés, parce qu’elles furent vénérées, comme étant une partie de la gloire et de l’honneur de la dimension de leurs rois.
Moins connu qu’Ambohimanga, ANTSAHADINTA qui représente le type classique de l’ancien village de l’Imerina, est cependant fort i ntéressant en raison de ses pittoresques constructions en bois de type ancien, ses vieux tombeaux, son magnifique tour d’horizon, ses alentours boisés et surtout son passé historique qui mérite d’être connu ».

Histoire d’Antsahadinta

« Le roi le plus ancien dont on conserve le souvenir, fut Andriamangarira qui s’établit à Antsahadinta vers 1725. Il était un des petits fils du roi Andriamasinavalona et demi-frère d’Andriambelomasina (roi d’Ambohimanga) et d’Andria mohara (roi d’Alasora).
Lorsqu’Andrianampoinimerina prit le pouvoir et régna à Antananarivo, Antsahadinta devint l’une des douze collines sacrées de l’Imerina vers 1794. Il y plaça une de ses douze épouses : RABODOZAFIMANJAKA, fille d’Andriantsiramanjaka, prince d’Alasora »25.
« Après la conquête, le roi décide de mettre en place une organisation sociale qui consolide son pouvoir. Ainsi, il contracte des mariages à dim ension politique. Il installe ses femmes dans divers sites tel Ambohijoky, Antsahadinta ou encore Fenoarivo. Elles y sont essentiellement pour être les représentantes du pouvoir royal. Elles setrouvent à la tête de tous les évènements auxquels le roi doit officier et recevoir en son nom les hetra et les hasina (impôts royaux). Toutefois, ces femmes comme les territoires dans lesquels elles sont placées, revêtent une certaine dimension plus ou moins importante. Ainsi, Rafotsirabodomirahalahy, une princesse d’Alasora, le principal territoire manisotra est placé à Ambohijoky (au Sud d’Antsahadinta), symbole de la résistance de ces derniers, Ravaonimerina à Fenoarivo (Nord Ouest d’Antsahadinta), refuge ultime d’Andrianamboatsimarofy. La présence de ces femmes descendantes de leurs défunts princes signifie aux anciens résistants la volonté de paixdu roi.
A la différence des deux premières, Rabodozafimanjaka devient héritière d’Antsahadinta qui est un site conquis sans encombre. Il lui est attribué comme une récompense à son père Andriantsira, qui a offert Alasora à Andrianampoini merina par la traîtrise. Finalement, le roi confirme l’image d’interface d’Antsahadinta puisqu’ il devient la capitale du toko (c’est-à-dire les 6 premières régions de l’Imerina conquises par le roiAndrianampoinimerina) sous son règne.
Rabodozafimanjaka se trouve donc installée sur la colline la plus importante d’Ambodirano au temps d’Andrianampoinimerina 26.
« A la suite des conquêtes d’Andrianampoinimerina des douze collines sacrées, elles deviennent des lieux de prière et d’invocation en vue de sanctifier leur caractère désormais sacré. Voilà pourquoi, on leur donne le qualificatif de sa cré, dans tout son sens religieux. Ainsi, Antsahadinta fait partie des sommets que l’on devait systématiquement invoquer, parce qu’elle est sacrée à cause des ancêtres royaux qui s’y trouvent»27.

La malnutrition

La malnutrition se définit comme étant une alimentation insuffisante et inadaptée. « A Madagascar, la malnutrition demeure un problème majeur à la fois au niveau de la santé publique et socio-économique qui touche une grande partie de la population, particulièrement les enfants et les femmes allaitantes et enceintes. Elle concerne notamment la malnutrition protéino- énergétique et les carences dans les principaux micronutriments à savoir la vitamine A, le fer et l’iode »32.
« Les causes de la malnutrition à Madagascar sont m ultiples et multisectorielles, les unes agissant directement, les autres indirectement. Les causes de la malnutrition sont les soins inadéquats et habitudes alimentaires inappropriées,l’accès inadéquat au service de santé et environnement insalubre et l’insécurité alimentaireau niveau des ménages .
Soins inadéquats et habitudes alimentaires inappropriées : bien que Madagascar soit une île disposant de potentialités agro-pastorales et halieutiques importantes, la ration alimentaire reste déséquilibrée, monotone et peu diversifiée, tropcheri en glucides, déficitaires en protéines et pauvre en lipides, avec carence en vitamines et minéraux.

Le prix de la production et le salariat agricol e

Le prix de la production agricole au moment de la récolte est très bas, environ deux fois moins cher que celui pendant la période de soudureet de semis. A titre d’exemple, le daba de paddy pendant la récolte (mars – juin) dans la commune d’Androhibe est de 5000 Ar tandis qu’elle augmente considérablement à 7 000 Ar dès que les produits commencent à être consommés et atteint le prix de 10 000 Ar pendant la période desoudure (novembre à février).
Il en est de même pour le prix du riz décortiqué rcale kapoaka coûte 200 Ar lors de la période de récolte tandis qu’il augmente à 250 – 360 Ar lors de la période de soudure.
Les salaires agricoles (le isanandro ou sarakatsaha) sont insignifiants puisqu’ils sont de 2000 Ar pour les hommes et de 1800 Ar pour les femmes (travail de la terre, sarclage, repiquage, transport agricole, etc…).
D’ailleurs, ce salariat agricole est une activité périodique qui n’existe que pendant le semis et la récolte.

Les consommations des ménages et dépenses de l’éducation et de la santé

La notion de bien-être étant basée sur un ensemblede concepts subjectifs et objectifs, l’approche quantitative et objective des conditions de vie des ménages est basée sur leurs consommations. Il s’agit alors de quantifier les composantes de consommation, même celles qui n’ont pas fait l’objet de transaction. Cette notion de consommation est donc élargie et ne s’arrête pas seulement au niveau des dépenses monétaires ou des consommations dont l’évaluation monétaire est directe (telles que les autoconsommations) mais inclut aussi une estimation de la valeur monétaire des éléments matériels qui peuventavoir une influence non négligeable sur les conditions de vie. Ainsi, les composantes de la consommation sont : les dépenses alimentaires, les dépenses non alimentaires, les auto-consommations agricoles, les produits de l’élevage autoconsommés, les dépenses liées à l’éducation etàla santé.

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Table des matières

PREMIERE PARTIE : CADRE CONCEPTUEL ET ETAT DES LIEUX DE LA ZONE D’ETUDE
Chapitre I : CADRE CONCEPTUEL ET FAITS SUR L’ORIGINE SOCIALE ET REUSSITE SCOLAIRE
I. Essais de définitions des concepts clefs
A. Origines sociales
B. L’action ségrégationniste de l’école
C. La réussite et l’échec scolaire
II. Faits et facteurs déterminant la réussite ou l’échec scolaire
A. Réalités générales
B. Théories des auteurs
Chapitre II : PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE
I. Localisation de la commune rurale d’Androhibe
A. Localisation administrative
B. Coordonnées géographiques
II. Description des milieux naturels
A. Relief et végétation
B. Climat, hydrographie et sol
III. La colline sacrée d’Antsahadinta
A. Présentation de la colline
B. Histoire d’Antsahadinta
IV. La population
Chapitre III : SITUATION ECONOMIQUE DES PARENTS D’ELEVES
I. Les productions agricoles
A. Réalité générale
B. Les quantités des produits agricoles
C. La malnutrition
II. Revenus et consommations des ménages
A. Les sources de revenu des habitants
B. Le prix de la production et le salariat agricole
C. Les consommations des ménages et dépenses de l’éducation et de la santé
III. Budget déficitaire des ménages
IV. Condition de vie des ménages
A. La taille des ménages et l’accroissement naturel de la population
B. Mode d’éclairage de la famille
C. Niveau d’instruction des chefs de ménage
Conclusion de la première partie
DEUXIEME PARTIE : LES IMPACTS DE L’ORIGINE SOCIALE SUR LES ETUDES DES APPRENANTS
Chapitre I : INSUFFISANCES DES AIDES PARENTALES
I. Le contexte familial défavorable à l’apprentissage
A. Parents peu instruits
B. Absence de motivation des parents à scolariser les enfants
II. Les obstacles rencontrés par les élèves
A. Insuffisance de fournitures scolaires
B. Le manque de lumière à la maison
C. Faibles moyens d’enrichissement de culture scolaire
III. Facteurs de démotivation scolaire des élèves
A. La crainte permanente des punitions et sanctions
B. La fatigue, une entrave à la réussite
Chapitre II : LE TRAVAIL DES ENFANTS : UN ASPECT DE LA PAUVRETE
I. Les déterminants du travail des enfants
A. Problèmes posés par le niveau d’instruction des parents
B. Le statut matrimonial des parents de l’enfant qui travaille
C. Les raisons socio-économique
II. Les types de travail effectué et son impact sur la scolarité des élèves
A. Réalités nationales
B. Réalités au niveau de la ZAP d’Androhibe
Chapitre III : LES RESULTATS SCOLAIRES DES ELEVES A TRAVERS LES NOTES OBTENUES
I. Les types d’évaluation
A. L’évaluation normative ou prédictive
B. L’évaluation formative
C. L’évaluation sommative
II. Les résultats scolaires des élèves
A. Au niveau du primaire
B. Au niveau secondaire
Conclusion de la deuxième partie
TROISIEME PARTIE : LES SOLUTIONS ENVISAGEES POUR L’ATTENUATION DES DIFFICULTES SCOLAIRES
Chapitre I : LES ALLEGEMENTS ENTREPRIS PAR L’ETAT ET LES AUTORITES LOCALES
I. Les allègements entrepris par l’Etat
A. La suppression des droits d’inscription et la distribution des kits scolaires
B. La cantine scolaire
C. Le carton rouge au travail des enfants et les conventions internationales sur les droits de l’enfant
II. Les mesures prises par les autorités locales
A. Les recours au recrutement des « maîtres FRAM »
B. Mode de paiement des frais de scolarité facilité
III. Le rôle de l’établissement scolaire privé
IV. La limitation des naissances
Chapitre II : LES SOLUTIONS PROPOSEES
I. Propositions à partir de la pauvreté des ménages
A. Amélioration du niveau de vie des ménages ruraux
B. Le planning familial
C. La motivation des parents
II. Les suggestions pour aider les enfants ruraux dans leurs apprentissages
A. La cantine scolaire gratuite
B. Les méthodes d’enseignement en milieu rural et l’application des méthodes actives 87
C. Combattre le travail des enfants par l’éducation
III. Les conditions exigées aux enseignants
A. La formation des enseignants
B. La motivation des enseignants
C. Résolution du nombre insuffisant des enseignants
IV. Les infrastructures scolaires
A. La construction des nouvelles salles de classe et la mise en place des moyens de documentation
B. La professionnalisation de l’enseignement
C. La mise en place d’un lycée d’enseignement général ou technique en milieu rural d’Androhibe
Conclusion de la troisième partie
CONCLUSION GENERALE

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