Les hydroperoxydes
Intรฉrรชt des protรฉines de poisson et de leurs hydrolysats
Le poisson reprรฉsente une source importante de protรฉines dans de nombreux pays en dรฉveloppement. Selon lโOrganisation des Nations Unies pour lโalimentation et lโagriculture, FAO, (2014), le poisson reprรฉsentait en 2010, 17% des apports de protรฉines animales dans le monde et 6,5% de toutes les protรฉines consommรฉes. Le poisson qui constitue un aliment particuliรจrement nutritif, renferme de nombreux micronutriments souvent absents dans les rรฉgimes alimentaires des pays pauvres (FAO, 2014 ; 2012). La pรชche et lโรฉlevage (aquaculture) jouent un rรดle fondamental dans la nutrition. En 2010, la production mondiale a atteint 148 millions de tonnes de poisson, dont 128 millions de tonnes consacrรฉs pour lโalimentation humaine. En 2011, la production a augmentรฉ jusquโร 155,7 millions de tonnes, dont 131 millions de tonnes destinรฉs ร lโalimentation. En 2012, elle est estimรฉe ร 158 millions de tonnes (FAO, 2014) (Fig. 1). Au cours de ces derniรจres annรฉes, la consommation de poisson a progressรฉ, dans les pays dรฉveloppรฉs et les pays en dรฉveloppement, ร un rythme supรฉrieur ร 2,5% par an (Peterson & Fronc, 2007) et ce dernier a tendance ร augmenter avec le dรฉveloppement des pays pauvres tels que la Chine et l’Inde (Garcia & Rosenberg, 2010).
La consommation mondiale de poisson est passรฉe de 9,9 kg/habitant en 1960 ร 19,2 kg/habitant en 2012 (FAO, 2014) (Tableau I). L’Asie reprรฉsentait les deux tiers de la consommation totale de poisson, avec 21,4 kg/habitant en 2011, identique ร celle de l’Europe (22,0 kg/habitant/an), de l’Amรฉrique du Nord (21,7 kg/habitant/an) et de l’Ocรฉanie (25,1 kg/habitant/an). La consommation est plus basse en Afrique, en Amรฉrique latine et au Proche-Orient; elle reprรฉsente respectivement, 10,4, 9,9 et 9,3 kg/habitant/an (FAO, 2014). LโAlgรฉrie est caractรฉrisรฉe par un plateau continental qui se classe 11รฉme sur une รฉchelle de 20 pays mรฉditerranรฉens. A fin 2005, la production nationale de poisson, a atteint 139.000 tonnes, alors quโelle reprรฉsentait 137.108 tonnes en 2004. Les espรจces halieutiques les plus consommรฉes sont : petits pรฉlagiques, grands pรฉlagiques, requins et squales, crustacรฉs et mollusques. Actuellement, l’Algรฉrie pรชche presque 230 000 tonnes par an (DPRH, 2014 ; 2013).
La consommation du poisson dans notre pays a connu une progression considรฉrable. Dโaprรจs des รฉtudes rรฉcentes, le ratio-alimentaire du poisson en Algรฉrie est environ 5 kg/habitant/an, alors que les recommandations dโune consommation moyenne propre au pays mรฉditerranรฉens sont de 11,4 kg/habitant/an (Matarese, 2015). En Algรฉrie, la sardine, la sardinelle et autres petits poissons pรฉlagiques occupent une place primordiale dans lโรฉquilibre alimentaire et les captures halieutiques nationales. Au niveau de la Wilaya dโOran, une production de 331 tonnes de sardine (sardina pilchardus) a รฉtรฉ enregistrรฉe en 2008. Elle a augmentรฉ en 2010 pour atteindre 3117 tonnes. En 2012, elle a continuรฉ ร progresser, elle est arrivรฉe ร environ 3400 tonnes de sardine au niveau du port dโOran seulement (DPRH, 2012). ร fin 2012, une rรฉcolte de 125 tonnes/jour de poissons pรฉlagiques a dรฉbarquรฉ sur les quais dโOran et dโArzew. 39 tonnes/jour de sardine, 22 tonnes/jour de saurel, 20 tonnes/jour de bogue, 19 tonnes/jour de sardinelle, plus des quantitรฉs apprรฉciables de crustacรฉs. En 2013, la production a atteint 53 tonnes/jour de sardine ร la wilaya dโOran (DPRH, 2013). Cependant, selon les analyses des experts, il y a un dรฉsรฉquilibre entre lโoffre et la demande de sardine. 100 000 tonnes de ce poisson bleu qui sont pรชchรฉes annuellement pour une demande estimรฉe ร 200 000 tonnes, soit 50% des besoins nationaux (MPRH, 2015).
Les hydrolysats de protรฉines de poisson
Les hydrolysats sont obtenus par hydrolyse protรฉique du muscle, du poisson entier ou de ces co-produits (Guรฉrard et al., 2005). Ces hydrolysats peuvent jouer un rรดle important dans lโamรฉlioration de la structure et la qualitรฉ organoleptique des aliments (Canabady-Rochelle & Hedhilib, 2012). Ils sont largement utilisรฉs en alimentation humaine ou animale pour leurs propriรฉtรฉs aromatiques, fonctionnelles ou nutritionnelles (Guรฉrard et al., 2010 ; Folador et al., 2006). En effet, ils sont utilisรฉs comme complรฉments protรฉiques. Ils permettent une meilleure assimilation des acides aminรฉs. Leur teneur en acides aminรฉs essentiels est supรฉrieure ou รฉgale ร celle de la protรฉine standard (Infofish International, 2002). Ils sont trรจs digestes et possรจdent une haute qualitรฉ nutritive. De plus, ils sont les plus valorisรฉs dans le domaine de lโaquaculture oรน ils remplacent partiellement la farine de poisson (Tang et al., 2008 ; Penda, 2008 ; Kotzamanis et al., 2007). Dโun autre cรดtรฉ, les hydrolysats de protรฉines de poisson occupent une place primordiale dans le domaine industriel pour leur intรฉrรชt nutritionnel et leur incorporation dans les rรฉgimes destinรฉs ร lโalimentation humaine. Cโest la raison pour laquelle les propriรฉtรฉs fonctionnelles telle que la solubilitรฉ, la rรฉtention dโeau, la capacitรฉ รฉmulsifiante et le pouvoir moussant ont รฉtรฉ largement รฉtudiรฉes afin de dรฉterminer dans quelle mesure ces hydrolysats permettent de modifier les caractรฉristiques fonctionnelles des aliments (Pacheco-Aguilar et al., 2008). En effet, plusieurs รฉtudes ont montrรฉ que les propriรฉtรฉs des hydrolysats sont influencรฉes par les conditions dโhydrolyse (Qian et al., 2007).
Plusieurs รฉtudes ont montรฉ รฉgalement que les hydrolysats et les peptides bioactifs dโorigine marins ont un potentiel nutraceutique en raison de leur efficacitรฉ dans la prรฉvention et le traitement de maladies (Kim & Wijesekara, 2013). De nombreux auteurs se sont intรฉressรฉs ร la recherche et lโidentification des peptides bioactifs au sein des hydrolysats de protรฉines de poisson. En effet, plusieurs peptides marins ont รฉtรฉ isolรฉs au cours des derniรจres annรฉes. Les plus connus sont les peptides marins hypotensifs et inhibiteurs de lโEnzyme de Conversion de lโAngiotensine-I (ACE) (Darewicz et al., 2014 ; Balti et al., 2010). En effet, de nombreuses รฉtudes rรฉalisรฉes chez des rats spontanรฉment hypertendus ont montrรฉ une activitรฉ anti-hypertensive inhibitrice de lโACE des peptides marins (Zhao et al., 2009 ; Fahmi et al., 2004). Un certain nombre d’รฉtudes ont observรฉ que les peptides provenant de diffรฉrents hydrolysats protรฉiques marins sont des antioxydants; ces peptides ont รฉtรฉ isolรฉs ร partir des organismes marins tels que le calmar gรฉant, la sardinelle, le hoki, le thon, la morue, le merlu du Pacifique, le capelan, le maquereau, le lieu de l’Alaska (Chi et al., 2014 ; Kim & Wijesekara, 2013 ; Bougatef et al., 2009).
De plus, des peptides antimicrobiens d’origine marin ont รฉtรฉ isolรฉs de l’hรฉmolymphe des invertรฉbrรฉs marins (Tincu & Taylor, 2004), de l’araignรฉe de mer (Stensvag et al., 2008), de lโhuรฎtre (Liu et al., 2008), des crevettes (Bartlett et al., 2002) et de l’oursin vert (Li et al., 2008). Par ailleurs, les peptides bioactifs marins anticoagulants ont รฉtรฉ rarement rapportรฉs; les plus connus ont รฉtรฉ isolรฉs ร partir d’organismes marins tels que les รฉtoiles de mer et la moule bleue (Jo et al., 2008). Dโautre part, lโactivitรฉ anti-cancer des peptides marins a รฉtรฉ mise en รฉvidence en raison de lโinduction de l’apoptose et l’inhibition de la prolifรฉration cellulaire. Ces peptides ont รฉtรฉ isolรฉs ร partir du calmar (Aleman et al., 2011b), de la morue, de la plie, du saumon (Picot et al., 2006) et des crevettes (Kannan et al., 2011). Dโun autre cรดtรฉ, des รฉtudes rรฉcentes ont montrรฉ que les hydrolysats de protรฉines de poisson peuvent rรฉduire le risque des MCV; ces hydrolysats ont รฉtรฉ isolรฉs ร partir de la bogue (Benomar et al., 2015), la sardinelle (Lassoued et al., 2014) et le lieu de lโAlaska (Hosomi et al., 2012).
Rรฉgulation du statut redox
Un nouveau concept de stress oxydatif, ne se limite pas aux dommages des radicaux libres, mais ร une perturbation de l’รฉtat redox cellulaire. Sur la base de nouvelles donnรฉes sur les voies de signalisation redox, Jones, (2006) a redรฉfini le stress oxydatif comme ยซ une perturbation dans la signalisation et le contrรดle redox ยป. Il est aujourd’hui clair que le mรฉcanisme d’action des antioxydants est plus complexe quโune simple neutralisation ou inhibition des radicaux libres rรฉactifs (Finley et al., 2011 ; Jones, 2006) (Fig. 2). Ces radicaux peuvent รชtre nocifs pour la vie en fonction du type de radical produit, le niveau et le site de production. Cependant de faibles concentrations de ces espรจces rรฉactives sont indispensables pour assumer les fonctions physiologiques normales comme l’expression des gรจnes, la croissance cellulaire et la dรฉfense immunitaire. Le statut redox est donc finement rรฉgulรฉ et sa perturbation provoque le stress oxydatif.
Certaines รฉtudes ont indiquรฉ รฉgalement que les antioxydants peuvent entrainer des effets dรฉlรฉtรจres sur la santรฉ humaine selon leurs doses et leurs biodisponibilitรฉs (Lonn et al., 2005) (Fig. 3). Des รฉtudes ont montrรฉ que les oxydants endogรจnes comme lโanion superoxyde, le peroxyde d’hydrogรจne et lโoxyde nitrique, peuvent agir dans des conditions physiologiques normales comme second messager et dรฉclencher une cascade de rรฉponses intracellulaires rรฉsultant de l’expression dโenzymes antioxydantes afin de contrรดler l’รฉtat cellulaire (Forman et al., 2010 ; Linnane et al., 2007). Certaines voies de signalisation liรฉes au statut redox ont รฉtรฉ identifiรฉes. En effet, deux facteurs de transcription associรฉs au contrรดle du statut, le facteur nuclรฉaire E2 (Nrf-2) (Nuclear factor E2-related protein 2) et le facteur nuclรฉaire kappa B (NF-kB) (Nuclear factor kappa B), ont รฉtรฉ dรฉfinis comme rรฉgulateurs du statut dans le cytosol et le noyau. Le Nrf-2 est un facteur de transcription redox, activรฉ par un signal d’oxydation dans le cytoplasme qui provoque sa translocation et migre vers le noyau oรน il se lie ร des rรฉgions ADN/ARN (des รฉlรฉments de rรฉponse antioxydante), entrainant ainsi l’expression des enzymes cytoprotectrices comme la glutathion-S-transfรฉrase, les superoxydes dismutase, lโhรจme oxygรฉnase-1, le NADPH quinone-oxydase (Eggler et al., 2008).
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
REVUE BIBLIOGRAPHIQUE
I. Intรฉrรชt des protรฉines de poisson et de leurs hydrolysats
I. 1. Propriรฉtรฉs nutritionnelles et biologiques du poisson, des protรฉines de poisson et de leurs hydrolysats
I. 1. 1. Les lipides de poisson
I. 1. 2. Les protรฉines de poisson
I. 1. 3. Les hydrolysats de protรฉines de poisson
II. Statut oxydant/antioxydant
II. 1. Rรฉgulation du statut redox
II. 2. Effets dรฉlรฉtรจres des ERO et des ERN: le stress oxydant
II. 2. 1. Peroxydation des lipides
II. 2. 2. Oxydation des protรฉines
II. 3. Marqueurs du stress oxydant
III. Consรฉquences de lโhypercholestรฉrolรฉmie sur le mรฉtabolisme des lipides et le statut oxydant/antioxydant
IV. Effets des protรฉines de poisson et de leurs hydrolysats sur le mรฉtabolisme des lipides
V. Mรฉcanismes dโaction des hydrolysats et des peptides de poisson hypolipidรฉmiants
V. 1. Interaction avec les acides biliaires
V. 2. Altรฉration de la solubilitรฉ micellaire du cholestรฉrol
V. 3. Altรฉration de l’activitรฉ des enzymes hรฉpatiques et adipocytaires, de lโexpression des gรจnes et du mรฉtabolisme des lipides
VI. Effets des protรฉines de poisson et de leurs hydrolysats sur le statut antioxydant
VII. Mรฉcanismes dโaction des hydrolysats et des peptides antioxydants marins en particulier ceux du poisson
VIII. Procรฉdรฉs de prรฉparation des hydrolysats protรฉiques
VIII. 1. Hydrolyse enzymatique
VIII. 1. 1. Autolyse et fermentation
VIII. 1. 2. Hรฉtรฉrolyse
VIII. 2. Principe de lโhydrolyse
VIII. 3. La mรฉthode de pH-stat et degrรฉ dโhydrolyse (DH
MATERIEL ET METHODES
I. Matรฉriel biologique
I. 1. La sardine europรฉenne
I. 2. La sardinelle ronde
I. 3. Extraction et purification des protรฉines de sardine et de sardinelle
I. 3. 1. Extraction des protรฉines de poisson
I. 3. 2. Dรฉlipidation de lโextrait protรฉique
I. 3. 3. Evaluation de degrรฉ de puretรฉ des protรฉines
I. 4. Prรฉparation des hydrolysats de protรฉines de poisson et estimation du degrรฉ dโhydrolyse
II. Animaux et traitements
III. Prรฉlรจvement du sang, des hรฉmaties et des diffรฉrents organes
IV. Evaluation de la fonction hรฉpatique par mesure des teneurs sรฉriques en transaminases
V. Dosage de lโacide urique (AU
VI. Analyses des paramรจtres lipidiques et protรฉiques
VI. 1. Dosage des teneurs en protรฉines totales du sรฉrum et des diffรฉrents organes
VI. 2. Dosage des apolipoprotรฉines (apo) sรฉrique (Apo A-I et Apo B
VI. 3. Dรฉtermination des lipides totaux du foie
VI. 4. Dosage des diffรฉrents lipides du foie et du sรฉrum
VI. 4. 1. Dosage du cholestรฉrol total, libre et ester de cholestรฉrol
Cholestรฉrol total
Cholestรฉrol libre
Esters de cholestรฉrol
VI. 4. 2. Dรฉtermination des teneurs en triglycรฉrides
VI. 4. 3. Dรฉtermination des teneurs en phospholipides
VII. Sรฉparation des diffรฉrentes fractions de lipoprotรฉines et dosage de leurs constituants
VII. 1. Sรฉparation des lipoprotรฉines de faible et de haute densitรฉ
VII. 2. Analyse de la teneur et la composition en lipides et en apolipoprotรฉines des lipoprotรฉines
VIII. Dรฉtermination de lโactivitรฉ lรฉcithine: cholestรฉrol acyltransfรฉrase (LCAT, EC 2. 3. 1. 43
IX. Mesure du statut Oxydant/Antioxydant
IX. 1. Peroxydation lipidique
IX. 1. 1. Dosage des substances rรฉactives ร lโacide thiobarbiturique
Au niveau sรฉrique, lipoprotรฉique et รฉrythrocytaire Au niveau tissulaire
IX. 1. 2. Les hydroperoxydes
IX. 2. Oxydation protรฉique
IX. 3. Monoxyde dโazote
IX. 4. Dรฉfense antioxydante
IX. 4. 1. Activitรฉ Paraoxonase
IX. 4. 2. Activitรฉ glutathion peroxydase
IX. 4. 3. Activitรฉ glutathion rรฉductase
IX. 4. 4. Activitรฉ superoxydes dismutase
IX. 4. 5. Activitรฉ catalase
X. Dosage des hormones
X. 1. La leptine
X. 2. Insuline
XI. Analyse statistique
RESULTATS
I. Caractรฉrisation des hydrolysats de protรฉines de poisson
II. Croissance pondรฉrale, nourriture ingรฉrรฉe, rapport dโefficacitรฉ nutritionnelle et poids relatif des organes
II. 1. Croissance pondรฉrale, nourriture ingรฉrรฉe et rapport dโefficacitรฉ nutritionnelle
II. 2. Poids relatif des organes
III. Activitรฉs alanine (ALAT) et aspartate (ASAT) aminotransfรฉrase
IV. Mรฉtabolisme lipidique
IV. 1. Teneurs en protรฉines totales et en lipides totaux du foie
IV. 2. Paramรจtres lipidiques et biochimiques
IV. 2. 1. Au niveau hรฉpatique
IV. 2. 2. Au niveau sรฉrique
IV. 2. 3. Acide urique, leptine et insuline
IV. 3. Teneurs et composition en apolipoprotรฉines et en lipides des diffรฉrentes fractions de lipoprotรฉines
IV. 3. 1. Teneurs et composition en apolipoprotรฉines et en lipides des VLDL
IV. 3. 2. Teneurs et composition en apolipoprotรฉines et en lipides des LDL-HDL1
IV. 3. 3. Teneurs et composition en apolipoprotรฉines et en lipides des HDL2
IV. 3. 4. Teneurs et composition en apolipoprotรฉines et en lipides des HDL3
IV. 4. Rรฉpartition des triglycรฉrides et du cholestรฉrol total entre les diffรฉrentes fractions de lipoprotรฉines
IV. 4. 1. Rรฉpartition des triglycรฉrides entre les diffรฉrentes fractions de lipoprotรฉines
IV. 4. 2. Rรฉpartition du cholestรฉrol total entre les diffรฉrentes fractions de lipoprotรฉines
IV. 5. Rapports dโathรฉrogรฉnicitรฉ
IV. 6. Activitรฉ lรฉcithine: cholestรฉrol acyltransfรฉrase (LCAT, EC 2. 3. 1. 43
V. Le statut Oxydant/Antioxydant
V. 1. La peroxydation lipidique
V. 1. 1. Les substances rรฉactives ร lโacide thiobarbiturique (TBARS
V. 1. 1. 1. Au niveau sรฉrique, urinaire, รฉrythrocytaire et des lipoprotรฉines
V. 1. 1. 2. Au niveau tissulaire
V. 1. 2. Les hydroperoxydes
V. 1. 2. 1. Au niveau sรฉrique, รฉrythrocytaire et des lipoprotรฉines
V. 1. 2. 2. Au niveau tissulaire
V. 2. Oxydation protรฉique : les dรฉrivรฉs carbonylรฉs
V. 2. 1. Au niveau sรฉrique et des lipoprotรฉines
V. 2. 2. Au niveau tissulaire
V. 3. Teneurs en monoxyde dโazote
V. 4. Systรจmes antioxydants enzymatiques
V. 4. 1. Activitรฉ paraoxonase
V. 4. 2. Activitรฉ catalase รฉrythrocytaire et tissulaire
V. 4. 3. Activitรฉ superoxydes dismutase รฉrythrocytaire et tissulaire
V. 4. 4. Activitรฉ glutathion peroxydase รฉrythrocytaire et tissulaire
V. 4. 5. Activitรฉ glutathion rรฉductase รฉrythrocytaire et tissulaire
DISCUSSION
CONCLUSION
REFFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXE
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