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Helminthoses
L’helminthose est le terme qui désigne les maladies humaines et animales, dues à l’infestation par des vers intestinaux : les helminthes.
Les helminthoses à némathelminthes (Nématodoses)
Encore appelées nématodoses, ce sont des parasitoses dues à des nématodes (vers ronds).
L’ascaridiose
Définition
L’ascaridiose est une verminose cosmopolite très fréquente en zone tropicale.
Elle est due à la présence et au développement chez l’homme d’un ver rond;
Ascaris lumbricoïdes.
Morphologie du parasite
Ascaris lumbricoïdes est un ver rond, blanc rosé, gonochorique et présente un dimorphisme sexuel (figure 6). La femelle mesure 20 à 23 cm et a une extrémité postérieure conique et rectiligne; le mâle, mesurant 15 à 17 cm, a une extrémité postérieure enroulée en crosse et munie de spicules.
Biologie
Le cycle d’Ascaris lumbricoïdes est direct ; il vit dans l’intestin grêle. Les femelles fécondées pondent des œufs (Figure 7) éliminés dans le milieu extérieur où ils s’embryonnent dans des conditions de température élevée (28°-32°C) et de forte humidité. Les œufs ingérés avec les eaux de boissons, les aliments souillés voire inhalés libèrent des larves qui traversent la paroi intestinale. Les larves atteignent le foie et les poumons, à travers la circulation, avant de parvenir au carrefour aéro- digestif où elles seront dégluties. Les larves deviennent adultes dans l’intestin 60 jours en moyenne après l’ingestion de l’œuf embryonné.
Symptomatologie
L’ascaridiose est souvent asymptomatique mais, parfois, des signes cliniques sont notés avec une symptomatologie variable suivant le stade évolutif du ver :
o Syndrôme de Lœffler avec toux sèche, dyspnées …
o Troubles digestifs à type de vomissements, diarrhées, constipation, douleurs abdominales, etc.
Parfois des complications chirurgicales à type d’invagination, d’occlusion intestinale, de pancréatite, d’appendicite, etc.
Traitement
Albendazole (Zentel®, Alben®).
Ces dérivés imidazolés sont déconseillés chez la femme enceinte.
La trichocéphalose
Définition
La trichocéphalose est une parasitose intestinale cosmopolite causée par un ver rond, Trichuris trichiura. Elle est favorisée par l’utilisation d’engrais humains.
Morphologie du parasite
Les adultes, faiblement hématophages, de couleur blanchâtre, mesurent 3 cm à 5 cm.
La partie antérieure (deux tiers du corps) est effilée comme un cheveu tandis que la partie postérieure (un tiers) est plus élargie. L’extrémité postérieure de la femelle est légèrement arquée et celle du mâle est recourbée en crosse (Figure 8).
L’œuf éliminé dans les selles a une forme ovalaire caractéristique en citron. Il mesure 55 µm de long sur 20 µm de large, sa double coque est épaisse et interrompue à chaque pôle par un bouchon muqueux. Il n’est pas embryonné à la ponte.
Biologie
Le trichocéphale vit en prédilection dans le cæcum et l’appendice où il se nourrit de sang grâce à son extrémité filiforme qui s’insinue dans la muqueuse cæco-appendiculaire.
L’homme s’infeste en ingérant les œufs embryonnés avec l’eau ou les aliments souillés de terre, ou alors par l’intermédiaire des mains sales. Les œufs libèrent dans l’intestin les larves qui deviennent adultes dans le cæcum au bout d’un mois.
Après accouplement et fécondation, les femelles pondent des œufs non embryonnés (figure 9) qui, éliminés avec les selles dans le milieu extérieur, vont subir une maturation en six semaines environ et deviennent infestants.
Symptomatologie
Souvent latente, la trichocéphalose peut se manifester par une dysenterie aiguë ou chronique, une anémie ferriprive par spoliation sanguine et un prolapsus rectal. On observe rarement une rectite, une rectorrhagie à trichocéphale.
Traitement
Albendazole (Alben®, Zentel®) ;
Mébendazole (Vermox®).
Oxyurose ou Entérobiose
Définition
L’oxyurose est une helminthose cosmopolite très répandue chez les enfants. Elle est due à un ver rond : Enterobius vermicularis situé dans le cæcum et est causée par le manque d’hygiène et une promiscuité.
Morphologie
Enterobius vermicularis (figure 10) est un petit vers rond, blanc de 3 à 5 mm de long sur 200 µm de large ; la femelle peut atteindre 12 mm sur 0,5 mm. Dans les deux sexes, l’extrémité antérieure porte une bouche entourée de 3 lèvres rétractiles assurant une fixation solide à la muqueuse intestinale.
Les œufs (figure11) mesurent 50 à 60 µm de long sur 25 à 30 µm de diamètre. Ils sont ovalaires, asymétriques avec une face plane et convexe, entourés d’une coque lisse, transparente, réfringente, renfermant un embryon à la ponte.
Biologie
Les ankylostomes vivent dans la partie initiale de l’intestin grêle avec une prédilection pour le duodénum et le haut du jéjunum respectivement pour Ankylostoma duodenale et Necator americanus.
Dans la lumière intestinale, les femelles fécondées pondent des œufs non embryonnés (figure 12,13) qui sont éliminés avec les selles. Quand les conditions du milieu extérieur sont favorables (température élevée, humidité, oxygénation suffisante, sol convenable), ces œufs poursuivent leur segmentation. Au bout de 24 heures, ils éclosent pour libérer une larve rhabditoïde qui mue pour donner une larve strongyloïde. Cette dernière va muer à son tour pour devenir une larve strongyloïde enkystée, mobile, résistante et infestante.
Ces larves strongyloïdes infestantes traversent activement la peau de l’hôte. Ils gagnent par voie sanguine le cœur puis les poumons au troisième jour. Ils franchissent la paroi alvéolaire, remontent les bronches et la trachée jusqu’au carrefour aéro-digestif, au quatrième jour. Puis, elles sont dégluties et passent dans l’estomac, arrivent au duodénum où elles muent pour devenir adultes. Les œufs apparaissent à partir du quarantième jour.
Symptomatologie
Les signes cliniques varient en fonction du stade de migration des larves dans l’organisme.
À la phase de pénétration cutanée: les signes cliniques observés sont : un érythème, des papules et un prurit qui disparaissent en quelques jours, mais le grattage peut laisser des lésions.
À la phase de passage des larves au niveau du carrefour aérodigestif et des voies digestives supérieures: les manifestations sont : une laryngite, une angine et une dysphagie.
À la phase d’état: Ce sont des douleurs abdominales accompagnées de diarrhées traduisant une duodénite qui n’apparaît que vers la 3éme ou 4émesemaine et également des signes sanguins telle qu’une anémie ferriprive qui fait toute la gravité de l’ankylostomiase.
Traitement
Pamoate de pyrantel (Combantrin®) ;
Flubendazole (Fluvermal®).
L’anguillulose ou strongyloïdose
Définition
C’est une nématodose due à la présence dans l’intestin de l’homme d’un ver ovipare, Strongyloïdes stercoralis ou Anguillule.
Morphologie du parasite
L’Anguillule ou Strongyloïdes stercoralis existe sous 2 formes : une forme libre stercorale ou rhabditoïde comprenant des mâles et des femelles vivant dans le milieu extérieur et une forme parasite ou strongyloïde à renflement œsophagien unique et qui n’est représentée que par des femelles parthénogénétiques mesurant 2 à 3 mm de long.
Biologie
Les femelles parasites sont profondément enchâssées dans la muqueuse duodénale et non hématophage.
Les larves rhabditoïdes issues de l’éclosion des œufs dans l’intestin peuvent avoir trois destinées possibles:
Un cycle externe, asexué direct correspondant aux conditions défavorables (moins de 20° C, humidité insuffisante) : les larves rhabditoïdes se transforment directement dans la nature en larves strongyloïdes infestantes capables de contaminer 1’homme par voie cutanée.
Un cycle externe sexué indirect (plus de 20° C, humidité). Les larves rhabditoïdes muent et se transforment en adultes stercorales mâles et femelles. Les femelles fécondées pondent des œufs qui donnent naissance à des larves rhabditoïdes de deuxième génération. Ces larves se transforment en larves strongyloïdes infestantes.
À partir de la larve strongyloïde le cycle est identique à celui des ankylostomes. Un cycle interne ou cycle d’auto-infestation endogène court, avectransformation directe des larves rhabditoïdes en larves strongyloïdes dans l’intestin de l’homme. Il explique la longévité de l’affection.
Symptomatologie
La symptomatologie varie suivant les trois phases de développement du parasite.
Une phase d’invasion cutanée qui se traduit par un prurit,
Une phase de migration laryngo-pulmonaire avec des signes inconstants: toux ramenant une expectoration riche en cellules éosinophiles, une dyspnée asthmatiforme, un infiltrat pulmonaire labile, un catarrhe des voies aériennes,
Une phase d’état digestive: douleurs siégeant au niveau de l’épigastre ou de l’hypochondre droit, troubles du transit (diarrhée ou alternance diarrhée constipation).
Traitement
Thiabendazole (Mintézol®) est le médicament de choix, mais il n’est plus commercialisé.
Flubendazol (Fluvermal®).
Les helminthoses à plathelminthes
La bilharziose intestinale
Définition
La bilharziose intestinale ou schistosomose intestinale est une affection parasitaire due à un ver plat non segmenté (trématode) Schistosoma mansoni. Elle est présente en Afrique, au Moyen Orient et en Amérique latine.
Morphologie du parasite
Le ver mâle mesure 6 à 9 mm de long et possède un canal gynécophore où se loge, au moment de l’accouplement, la femelle, presque filiforme, qui mesure 8 à 14 mm de longueur.
Les œufs mesurent 150 µm de large. Ils sont ovoïdes avec un pôle bien arrondi et un pôle conique. On note un éperon latéral. L’œuf est entouré d’une coque lisse très fine.
Biologie
Les vers adultes vivent accouplés dans les vaisseaux sanguins, surtout dans la veine porte où se fait leur maturation.
L’homme se contamine au contact de l’eau contenant des furcocercaires qui pénètrent activement à travers la peau ; et perdent leur queue, ils deviennent des schistosomules, arrivent dans le foie, par voie sanguine ou lymphatique, et migrent dans les veines abdominales vers le 20ème jour où elles deviennent adultes et s’accouplent ; les femelles gravides, pondent leurs œufs à partir du 60ème jour.
Les œufs (figure 15), munis d’un éperon latéral, franchissent les vaisseaux et parviennent dans l’intestin ou le foie où ils provoquent des réactions inflammatoires. Une partie traverse les tissus intestinaux et hépatiques et est éliminée avec les selles.
Au contact de l’eau, l’œuf éclot et libère l’embryon cilié (miracidium) qui va nager, attiré par l’hôte intermédiaire spécifique. C’est un mollusque gastéropode d’eau douce du genre Biomphalaria appelé Planorbe. Au Sénégal, particulièrement, il s’agit de l’espèce Biomphalaria pfeifferi.
Le miracidium pénètre dans la planorbe dans les 18 heures, se multiplie et va donner successivement au bout d’un mois des cercaires, des sporocystes primaires, puis secondaires, et des furcocercaires. Ces derniers vont sortir de la planorbe et chercher à pénétrer dans l’hôte définitif (l’homme) dans les 48 heures ; le rat de Gambie et certains singes sont aussi réceptifs.
Symptomatologie
Après une incubation silencieuse, l’on peut observer :
Un prurit ou urticaire lors de la pénétration transcutanée qui disparaît en 2 jours.
Des réactions allergiques avec fièvre, sueur, céphalées, arthralgies qui se manifestent lors de la migration et de la transformation des schistosomules.
Des signes digestifs de type dysentérique avec hépatomégalie apparaissent 3 mois après le contact infectieux.
En cas d’infection massive et chronique, on note une cirrhose hépatique : c’est une complication fréquente d’abord hypertrophique, devenant peu à peu atrophique associée à une splénomégalie secondaire à une hypertension portale. Une atteinte pulmonaire ou cardiaque est également possible.
Traitement
Praziquantel (Biltricide®)
Niridazole (Ambilhar®) ;
Oxamniquine (Vansil®).
Les taenasis à Taenia saginata et à Taenia solium
Définition
Ce sont des helminthiases cosmopolites dues à des vers plats parasites de l’intestin grêle de l’homme à l’état adulte: Taenia saginata et Taenia solium.
Morphologie des parasites
Taenia saginata ou taenia du bœuf mesure 4 à 10 m de long. La tête ou «scolex» dépourvue de crochets (taenia inerme) porte 4 ventouses. Le corps aplati est formé de 1000 à 2000 anneaux rectangulaires plus longs que larges, blanchâtres, avec des pores génitaux irrégulièrement alternés. L’utérus très ramifié contient de nombreux œufs.
Taenia solium ou taenia armé est un ver plat rubané de 2 à 8 m de long. Le scolex porte 4 ventouses, un petit rostre rétractile apical armé d’une double couronne de 5 à 50 crochets. Le corps comporte environ 900 anneaux à pores génitaux régulièrement alternés. L’utérus a un orifice à la ponte.
Les œufs semblables dans les deux espèces sont ovalaires, arrondis, irréguliers, mesurant 50 à 60 µm de diamètre. On note 2 coques :
o une coque externe qui contient des corpuscules réfringents
o une coque interne épaisse qui comprend des stries et un embryon hexacanthe
Biologie
Les tænias (inerme et armé) vivent dans l’intestin grêle.
Les anneaux éliminés de façon active pour Tænia saginata et passivement pour Tænia solium dans le milieu extérieur, sont lysés et libèrent des œufs ou embryophores contenant un embryon hexacanthe. L’embryophore ingéré par un bovin pour Tænia saginata ou par un porc pour Tænia solium, libère un embryon hexacanthe qui gagne les muscles où il se transforme en larve cysticerque.
L’homme se contamine en ingérant de la viande de bovin ou de porc crue ou mal cuite renfermant des larves cysticerques. La larve cysticerque libérée donne, en 2 à 3 mois, un tænia adulte.
Symptomatologie
Les taenasis à Taenia saginata et à Taenia solium sont des parasitoses souvent asymptomatiques mais peuvent se manifester par des troubles digestifs du type anorexie ou boulimie, amaigrissement, diarrhée ou constipation, des nausées, des vertiges voire des lipothymies, des manifestations neurologiques (irritabilité, insomnie, convulsion) et des complications rares pour Tænia saginata (appendicite, occlusion, perforation) et graves pour Tænia solium : la cysticercose qui est due au développement de la forme larvaire chez l’homme.
Traitement
Niclosamide (Trédémine®) ;
Praziquantel (Biltricide®), il est déconseillé chez la femme enceinte.
Taeniasis à Hymenolepis nana
Définition
C’est une parasitose intestinale due à un cestode: Hymenolepis nana. Elle est cosmopolite, mais rare en zone tempérée. Elle touche surtout les enfants dans les zones du globe où le climat est chaud et humide.
Morphologie du parasite
Hymenolepis nana est un petit ténia d’environ 15 mm de long. Le scolex porte 4 ventouses et une couronne de crochets. Le corps est segmenté et constitué d’environ 200 anneaux. Les pores génitaux sont toujours placés du même côté.
L’homme se contamine par ingestion d’œufs (figure 17). L’œuf libère dans l’estomac un embryon hexacanthe qui pénètre dans la paroi intestinale et s’y transforme en larve cysticercoïde. Quinze jours plus tard, cette larve redonne un ver adulte.
Symptomatologie
Souvent asymptomatique, le taeniasis à Hymenolepis nana peut provoquer en cas d’infestation massive : des troubles digestifs (anorexie, diarrhée, vomissements, douleurs abdominales) et des troubles généraux (céphalée, irritabilité, prurit. convulsions).
Traitement
Niclosamide (Trédémine®) ;
Praziquantel( Biltricide®).
La distomatose à Dicrocoelium dendriticum
Définition
La dicrocoeliose est une distomatose hépatique très fréquente chez de nombreux animaux, mais exceptionnelle chez l’homme.
Elle est causée par une petite douve, Dicrocoelium dendriticum, très répandue chez de grands herbivores domestiques, en particulier le mouton et le bœuf.
Morphologie
Dicrocoelium dendriticum est un trématode, de 0,5 à 1 cm de long et de 1,5 à 2,5 mm de large. Les œufs (figure 18) mesurent 36 à 45 x 20 à 30 µm.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GÉNÉRALITES SUR LES PARASITOSES
INTESTINALES
I. DEFINITION
II. CLASSIFICATION
II.1. Classification des protozoaires intestinaux
II.2.1. Phylum des plathelminthes ou vers plats
II.2.2. Phylum des némathelminthes ou vers ronds
III. LES PROTOZOOSES INTESTINALES
III.1. L’amibiase
III.1.1.Définition
III.1.2. Morphologie du parasite
III.1.3. Biologie
III.1.4. Symptomatologie
III.1.5. Traitement
III.2. La giardiase ou lambliase
III.2.1. Définition
III.2.3. Biologie
III.2.4. Symptomatologie
III.2.5. Traitement
III.3. La trichomonose intestinale
III.3.1. Définition
III.3.2. Morphologie du parasite
III.3.3. Biologie
III.3.4. Symptomatologie
III.3.5. Traitement
III.4.1. Définition
III.4.2. Morphologie
III.4.3. Biologie
III.4.4. Symptomatologie
III.4.5.Traitement
III.5. Blastocystose
III.5.1. Définition
III.5.2. Morphologie
III.5.3 Biologie
III.5.4. Symptomatologie
III.5.5. Traitement
III-6-Balantidiose
III.6.1. Définition
III.6.2. Morphologie
III.6.3. Biologie
III.6.4. Symptomatologie
III.6.5. Traitement
III.7. La cryptosporidiose
III.7.1. Définition
III.7.2. Morphologie du parasite
III.7.3. Biologie
III.7.4. Symptomatologie
III.7.5. Traitement
IV. Helminthoses
IV.1. Les helminthoses à némathelminthes (Nématodoses)
IV.1.1. L’ascaridiose
IV.1.1.1. Définition
IV.1.1.2. Morphologie du parasite
IV.1.1.4. Symptomatologie
IV.1.1.5. Traitement
IV.1.2. La trichocéphalose
IV.1.2.1. Définition
IV.1.2.2. Morphologie du parasite
IV.1.2.3. Biologie
IV.1.2.4. Symptomatologie
IV.1.2.5. Traitement
IV.1.3. Oxyurose ou Entérobiose
IV.1.3.1. Définition
IV.1.3.2. Morphologie
IV.1.3.3. Biologie
IV.1.3.4. Symptomatologie
IV.1.3.5. Traitement
IV.1.4. L’ankylostomose
IV.1.4.1. Définition
IV.1.4.2. Morphologie des parasites
VI.1.4.3. Biologie
IV.1.4.4. Symptomatologie
IV-1-4-5- Traitement
IV.1.5. L’anguillulose ou strongyloïdose
IV.1.5.1. Définition
IV.1.5.2. Morphologie du parasite
IV.1.5.3. Biologie
IV.1.5. Symptomatologie
IV.1.5.5. Traitement
IV.2. Les helminthoses à plathelminthes
IV.2.1. La bilharziose intestinale
IV.2.1.2. Morphologie du parasite
IV.2.1.3. Biologie
IV.2.1.4. Symptomatologie
IV.2.1.5. Traitement
IV.2.2. Les taenasis à Taenia saginata et à Taenia solium
IV.2.2.1. Définition
IV.2.2.2. Morphologie des parasites
IV.2.2.3. Biologie
IV.2.2.4. Symptomatologie
IV.2.2.5. Traitement
IV.2.3. Taeniasis à Hymenolepis nana
IV.2.3.1. Définition
IV.2.3.2. Morphologie du parasite
IV.2.3.3. Biologie
IV.2.3.4. Symptomatologie
IV.2.3.5. Traitement
IV.2.4. La distomatose à Dicrocoelium dendriticum
IV.2.4.1. Définition
IV.2.4.2. Morphologie
IV.2.4.3. -Biologie
IV.2.4.4.Traitement
V. FACTEURS FAVORISANTS
V-1- Facteurs d’ordre général
V.1.1. Les facteurs climatiques
V.1.2. Les facteurs socio-économiques
V.2. Facteurs d’ordre individuel
V.2.1. Facteurs liés à l’âge
V.2.2. Facteurs liés au comportement
V.2.3. Facteurs liés à la profession
VI.1. Prophylaxie individuelle
VI-2-Prophylaxie collective
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL EXPERIMENTAL
I. PATIENTS ET METHODE D’ÉTUDE
I.1. Cadre d’étude
I.1.1. Présentation de L’Hôpital Aristide Le Dantec
I.1.2. Présentation du laboratoire de parasitologie de l’hôpital Aristide Le Dantec
I.2. Population de l’étude
I.3. Matériels, réactifs et équipement
I.4. Méthode de l’étude
I.4.1. Prélèvement
I.4.2. Examen macroscopique
I.4.3. Examen microscopique
I.4.3.1. Examen direct
I.4.3.1.1. Examen à l’état frais
I.4.3.1.2. Examen après coloration au lugol
I.4.3.2. Examen après concentration (Ritchie modifiée)
I.5 description des produits utilisés
I.6 parasites retrouvées lors de notre étude
I.7. Analyse des données
II. RÉSULTATS
II.1. Indices parasitaires
II.1.1. Indice Parasitaire Simple (IPS)
II.1.2. Indice Parasitaire Corrigé (IPC)
II.1.3. Indice de Polyparasitisme (IPP)
II.2. Répartition des parasites selon les années
II.3. Répartition des parasites selon l’âge
II.4. Répartition des parasites selon le sexe
II.5. Répartition des parasites selon la saison
II.6. Répartition des parasites selon le l’hospitalisation
II-7-Répartition selon les différentes espèces rencontrées
III-DISCUSSION
CONCLUSION
RECOMMANDATIONS
BIBLIOGRAPHIE
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