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LES GISEMENTS DE GRAPHITE A MADAGASCAR
Formations géologiques
Le graphite se présente sous différentes formes dans la nature. La plupart des environnements géologiques dans lesquels le graphite se forme existe à Madagascar et il s’agit d’une ressource commune dans les roches métamorphiques de Madagascar. Il existe, en particulier, des secteurs importants qui contiennent des ressources majeures de graphite, en paillettes cristallines de haute qualité, estimé pour sa conductivité, son inertie et son faible poids parmi d‘autres propriétés utiles de cette ressource.
Concernant sa genèse, selon des études effectuées à Madagascar, la source en graphite provient du métamorphisme des roches sédimentaires riches en carbone telles que des carbonates ou des schistes argileux présents dans les ensembles archéens et protérozoïques (Simandl et Kenan, 1997a et b). Beaucoup de roches sont donc susceptibles d’héberger des gisements graphiteux, et ce selon deux types génétiques, à savoir le gisement de paillettes de graphite disséminées (Sutphin, 1991a) et les veines de graphite dans des terrains métamorphiques (Sutphin, 1991b). Ces veines se sont probablement formées par précipitation du carbone à partir de fluides métamorphiques très riches en CO2, tels qu’ils peuvent être observés dans les inclusions fluides des minéraux (quartz, grenat,…etc.) du domaine granulitique du sud de l’Ile (Ramambazafy et al. 1998).
Zones principales contenant des ressources de graphite
A Madagascar, le graphite se trouve surtout dans les couches de gneiss et de micaschistes silico-alumineux du groupe du Manampotsy et de ses équivalents dans deux autres formations, c’est-à-dire le groupe d’Ambatolampy et de Tolongoina. Les réserves en graphite de Madagascar sont considérables. (Voir carte 1)
On peut regrouper principalement ces gisements de graphite dans les régions citées ci-après : la région orientale, la région Antsirabe-Ambatolampy et la région d’Ampanihy.
Région orientale
Dans cette région, les indices de graphite se trouvent principalement au niveau d’Ampasinambo, la partie Ouest et Sud-Ouest de Toamasina, l’axe Vatomandry, l’axe Sahanavo-Sahamamy et le faisceau Moramanga.
Faisceau de Moramanga
Le faisceau de Moramanga est formé d’un ensemble de faisceaux de direction sensiblement Nord Sud partant d’Ambatondrazaka et prend fin à Anosibe.
Ce faisceau est subdivisé en secteur :
– Secteur Nord Fieferana,
– Secteur Nord Ihofa Rabaona,
– Secteur Nord Andasibe (Perinet),
– Secteur Sud Andasibe (Perinet) et
– Secteur Anosibe.
Cette partie de la grande île a les caractéristiques d’être humide et boisée, donc présentant à la fois des avantages et des inconvénients pour une éventuelle exploitation.
Géologie et topographie
Dans cette région, on peut retrouver une formation à migmatites appelée migmatite granitoïde de Brickaville à la base. Suivie après par des formations à gneiss graphiteux latéralisés qui reposent en concordance sur le socle. La plupart des gisements en exploitations et exploitables ont un pendage favorable (subhorizontal).
Type de graphite
On trouve d’ une part les graphites de grosses paillettes dans la partie d’Andasifahatelo qui sont déjà en exploitation et d’autre part, les gisements importants de petites et moyennes paillettes.
Axe Vatomandry
Les exploitations se trouvaient à environ 23 km au Nord de Vatomandry. De plus, des réserves de graphite se trouvent dans un rayon de 2,5 km du mont AMBOHITRANALA. On peut accéder à ce mont à partir de Vatomandry en prenant le chemin menant vers Ambilalemaitso jusqu’à Vohitrampasina, il est aux environs de 25 km au Nord, puis en coupant par le canal des pangalanes et le lac d’Ankaraina d’Est en Ouest il se situe à une distance de 2km.
Géologie et topographie
Cette formation est de direction générale sensiblement égale à celle de la côte Est malgache. La couche de gneiss migmatisé à graphite se trouve sous une autre couche de gneiss stérile. Dans cette axe, la couche minéralisée est assez épaisse car sa puissance peut atteindre 50 m. Dans l’exploitation qui se trouve plus au nord c’est-à-dire à Marivolanitra la couche graphiteuse est très plissée et dessinant une boutonnière anticlinale complexe. En effet, des migmatites à graphite abondant apparaissent au coeur des plis anticlinaux.
Type de graphite
Dans cette région, le graphite se présente sous forme de paillettes avec une forte teneur en carbone car la concentration moyenne est de 85 %.
Région d’Ampasinambo
Actuellement, on possède peu d’information et de donnée sur cette région en raison de la difficulté d’accès. De plus, elle est parfois submergée par la mer et les couches ont un pendage subvertical. Malgré tout, cette région a une assez forte potentialité en graphite car de là, des petites exploitations ont vu le jour et ont gratté des grands gisements qui pouvaient s’étendre jusqu’à des centaines de mètres.
Axe Sahanavo-Sahamamy
Le gisement de Sahamamy se situe à 20 km au nord d’Anivorano et celui de Sahanavo se trouve au nord de Brickaville, on y accède par voie routière en empruntant le chemin d’Ambinaninony sur la route de Brickaville. Ces deux axes sont généralement de petites dimensions.
Géologie et topographie
Ces deux gisements c’est à dire celui de SAHANAVO et celui de SAHAMAMY se trouvent sur une même formation qui est la migmatite granitoïde de Brickaville. La topographie dans la vallée de SAHANAVO est relativement plate. Les couches graphiteuses plongent en sens inverse de la pente topographique, ce qui engendre une difficulté lors de l’exploitation mais par contre la couche de graphite a une puissance atteignant souvent 100 m. La région de SAHAMAMY a une structure de détail relativement complexe avec plis, assez serré et plongement généralement faibles de 20 à 40°.On observe aussi dans cette zone une charnière renfermant un banc graphiteux d’une puissance d’environ vingt mètres. Mais par contre la plupart des autres indices recensés renferment des bancs de puissances inférieures à 10 m.
Type de graphite :
Le graphite dans cet axe se présente sous forme de moyennes et grosses paillettes avec forte teneur en carbone entre 88 à 95%. Mais le filon de graphite est contenu dans un minerai de gneiss à sillimanite, parfois à passage quartzeux.
Région ouest et sud-ouest de Toamasina
La zone se trouve sur une assez vaste superficie car elle s’étend de l’ouest et au sud-ouest de la ville de Toamasina. Dans cette partie, on recense de nombreux points d’indices mais seulement deux principaux gites d’exploitations sont à citer : l’exploitation d’Ampangadiantany au nord, à quelques kilomètres à l’Est de la route bitumée et l’exploitation d’Antsirakambo se trouvant à une cinquantaine de kilomètres au Sud Sud-Ouest de la ville de Toamasina.
Géologie et topographie
La région d’ANTSIRAKAMBO se trouve sur un fond géologique de type gneissique avec des bancs de graphites de plus de 50 m de puissance. Elle repose au-dessous des gneiss sans graphite. Les formations de cette région sont très plissées suivant des structures N.NE-S.SE, en général déversées vers l’Est et groupées à l’intérieur de trois ensembles parallèles : l’anticlinorium d’Ampangadiantany, le synclinorium d’Andranomangatsiaka et l’anticlinorium de Sahafazy-Sandramaha. Dans les deux anticlinoriums sur environ 5km, apparaissent les gneiss à graphite abondant. Le cas du gisement d’Ampangadiantany est très similaire à celui d’Antsirakambo puisqu’ils se trouvent sur les mêmes formations géologiques.
Types de graphite
Les types de graphite trouvés dans ces régions sont en fines paillettes au niveau d’Antetezampaly et Ambinanisahantsandra. Les grosses paillettes s’observent à Ambodimanga et Iharato. En 1963, des travaux de recherches ont été réalisés à Ampangadiantany, par une étroite collaboration entre les Ets GALLOIS et la BRGM, qui avait permis de découvrir des gîtes de graphite à haute teneur en carbone de 81 à 93% avec une réserve totale estimée à 48000t de graphite.
Région d’Ampanihy-Bekily-Benenitra
Cette partie du gîte de graphite est assez vaste car elle s’étend sur près de 200km de long et de 20 à 75km de large dans l’extrême Sud-Ouest de Madagascar. La spécificité de cette région est son climat aride et sa faible pluviométrie. A raison de cela, il y a peu de couverture végétale.
Géologie et topographie :
La région n’est pas latéralisée et les affleurements de graphite sont parfaitement visibles. Le groupe d’Ampanihy est essentiellement formé par des roches dures telles que les gneiss et leuco-gneiss comme les leptynites. La formation de ces roches est due à un métamorphisme intense connu sous le nom de faciès granulite à une température de plus de 700°C et une pression de 15 bars. A Tranoroa, les couches graphiteuses sont souvent très puissantes atteignant même 150 m avec une teneur en carbone avoisinant les 75%.
Type de graphite :
Le graphite rencontré dans cette région est de type Ceylan. Facilement observable et contenu dans des filons quartzeux, il fait office de remplissage des filons quartzeux et se présente en masse et en aiguilles. Les teneurs sont souvent fortes mais la roche reste dure et exige un broyage pour séparer le graphite. Dans ce groupe d’Ampanihy, le graphite est souvent contenu dans des bancs de leuco gneiss à faisceaux continus. Cette formation, peu observable dans les autres régions de la grande île est extrêmement riche.
Région d’Antsirabe-Ambatolampy
L’exploitation a été intensive dans cette région depuis 1910 jusqu’en 1953 d’après les conclusions de H.Besairie. Mais à partir de 1953, on avait constaté une fermeture de toutes les exploitations. Les causes de ce repli sont multiples : d’une part, la plupart des gros gisements bien installés arrivaient à épuisement car l’Amas de stérile est de puissance métrique élevé et l’exploitation à ciel ouvert n’est plus économiquement rentable à cause du taux de décapage important En effet, il fallait chercher en profondeur pour trouver d’autres gisements. De plus, les exploitants n’avaient plus de gisements en vue. D’autre part, les frais de transports de l’époque étaient beaucoup plus onéreux que pour les gisements côtiers.
Type de graphite
L’examen des indices trouvés montre que la teneur en graphite du site est supérieur à la moyenne des autres gisements en exploitation sur la côte Est. Le graphite de cette zone est pulvérulent, donc difficile à enrichir et de moindre valeur marchande.
Les problèmes liés à la politique du gouvernement
Le cas de Madagascar est un exemple très clair qui montre les problèmes de l’enseignement liés à la politique du gouvernement. Le système éducatif malagasy a supporté les problèmes politiques et économiques. L’instabilité des régimes politiques a des conséquences graves sur l’éducation nationale. La première république a hérité la politique française a pris comme langue officielle d’enseignement la langue française. La deuxième république a imposé la langue malagasy comme langue d’enseignement, alors que les enseignants avaient tous été formés au français. Les années quatre-vingt-dix voient le pouvoir revenir en arrière et redonner au français le rôle de langue officielle d’enseignement, alors que bon nombre d’instituteurs avaient alors été formé au malagasy.
Ces années quatre-vingt-dix se caractérisent par des conflits sociaux qui n’épargnent pas le corps enseignant avec pour conséquence une diminution sensible du nombre annuel de jour de classe. Par ailleurs, le passage à l’économie libérale associée au conditionnalités des bailleurs de fonds provoque une diminution sensible des crédits publics alloués au secteur social et à l’école. Les problèmes politiques et sociaux et les difficultés budgétaires ont des lors contribué à générer un système éducatif peu efficace. Les données du tableau suivant montrent la diminution des dépenses publiques allouées à l’éducation aux années quatre-vingt-dix.
DIAGNOSTIC DE L’EMPLOI
QUELQUES DÉFINITIONS
L’emploi
Le mot emploi vient du verbe employer. D’après la définition du dictionnaire Larousse, employer quelque chose c’est en faire usage. Par exemple, employer une somme à l’achat d’une voiture. Employer quelqu’un, c’est le faire travailler pour son compte. Par exemple, cette usine emploie plus de deux milles ouvriers.
Le mot emploi est un mot masculin qui a au moins trois significations. Premièrement l’emploi, c’est l’action ou la manière d’employer une chose. Par exemple, elle avait trouvé l’emploi de son argent. Deuxièmement, l’emploi signifie une occupation confiée à une personne, tache à laquelle elle est affectée. Par exemple, Gertrude rougit jusqu’aux oreilles, honteuse d’apparaître inférieure à son emploi.
Enfin, l’emploi c’est le nombre d’heures pendant lesquelles les salariés d’une profession donnée ont été occupés et ont perçu un salaire normal. Dans ce devoir nous parlons d’emploi dans ses deuxième et troisième sens dans cette définition.
Il y a plusieurs types d’emploi que nous allons définir. Ce sont l’emploi à temps plein, l’emploi à temps partiel, l’emploi permanent, l’emploi à durée déterminée, et l’emploi indépendant.
L’emploi à temps plein
Le volume horaire de travail permet de classifier un emploi comme emploi à temps plein ou emploi à temps partiel. Généralement le Bureau International du Travail définit comme emploi à temps plein, le travail qui occupe 35 à 48 heures par semaine. Nous constatons que l’emploi à temps plein est dominant pour les salariés du secteur formel, il est minoritaire chez les travailleurs du secteur informel.
L’emploi à temps partiel
Comme nous avons vu ci-dessus, le travail qui occupe moins de 35 heures par semaine est classé dans l’emploi à temps partiel. Ce type de travail a une place importante dans la croissance de l’emploi, dans beaucoup de pays. Il est à remarquer que le taux de l’emploi à temps partiel des femmes est considérablement supérieur à celui des hommes. La proportion d’emplois à temps partiel varie selon la ligne de partage entre travail à temps plein et travail à temps partiel. Toutefois, la proportion du travail à temps partiel est nettement supérieure à celle du travail à temps plein. De plus cette proportion ne cesse pas de progresser dans tous les pays.
L’emploi permanent.
Le contrat de travail partage les formes de l’emploi en deux types. L’emploi est dit permanent lorsque la durée du contrat de travail n’est pas limitée. Dans le cas contraire on dit que l’emploi est à durée déterminée.
L’emploi à durée déterminée
Dans ce type de travail, le contrat détermine dès le début la durée de l’emploi. L’étude du BIT effectué dans quelques pays de l’Europe permet de constater que les contrats à durées déterminée occupent une place grandissante dans l’emploi en Europe. Ce type de contrat facilite l’accès au marché des travail. Nous remarquons également que les femmes sont en général plus nombreuses dans cette situation que les hommes. De plus, les contrats à durées déterminée touchent surtout les jeunes.
L’emploi indépendant
Nous disons emploi indépendant, l’occupation d’une personne qui ne travaille pas dans une organisation. Le travailleur n’est pas sous le contrôle d’un employeur. Le travailleur indépendant travaille donc pour son propre compte. Ce type de travail possède aussi une place importante dans la création d’emploi.
LE MARCHÉ DE L’EMPLOI
Comme tous les marchés, le marché de l’emploi c’est le lien de rencontre de l’offre de l’emploi et de demande de l’emploi. Pour étudier ce marché, nous allons donc étudier la demande de l’emploi et l’offre de l’emploi.
La demande de l’emploi
Les demandeurs sont la partie de la population potentiellement active qui cherche une occupation pour avoir une source de revenue. Afin de mettre en exergue ces demandeurs, nous allons montrer la structure de la population.
Structure de la population
Une population est toujours constituée de population active et population inactive. La population active c’est la partie de la population âgée de 7 à 65 ans qui a une activité porteuse de revenu, plus les chômeurs. Le reste de la population est dite inactif. Dans cette partie, il y a les individus catégoriquement inactifs. Ce sont les gens âgés moins de 7 ans et plus de 65 ans. Mais il y a une partie de la population inactive et potentiellement active c’est-à- dire âgé de 7 à 65 ans. Cette classe contient les inactifs pour différentes raisons. L’effectif total des chômeurs plus la population occupée constitue la demande dans le marché de l’emploi.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES
CHAPITRE I : LE GRAPHITE ET SES USAGES
I.1 Inventeur et origine
I.2 Descriptions minéralogiques
I.3 Métallogénie du graphite
I.4 Classification du graphite
I.5 Principaux usages industriels du graphite
I.6 Production et marché mondial du graphite
I.6.1 Les principaux pays extracteurs de graphite dans le monde
I.6.2 Gisements de graphite dans le monde en 2016
I.6.3 Prix sur le marché
CHAPITRE II : LES GISEMENTS DE GRAPHITE A MADAGASCAR
II.1 Formations géologiques
II.2 Zones principales contenant des ressources de graphite
II.2.1 Région orientale
II.2.2 Région d’Ampanihy-Bekily-Benenitra
II.2.3 Région d’Antsirabe-Ambatolampy
CHAPITRE III : EXPLOITATION DU GRAPHITE PAR LA SOCIETE ETS GALLOIS
III.1 Présentation générale de l’entreprise
III.1.1 Historique
III.1.2 Activités importantes
III.2 Méthode d’extraction et traitement du minerai
III.2.1 Phase d’extraction
III.2.2 Phase du transport
III.2.3 Phase de traitement du minerai
DEUXIEME PARTIE : TRAVAUX DE PROSPECTION DU SITE
CHAPITRE IV : PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE
IV.1 Contextes géographiques
IV.1.1 Localisation
IV.1.2 Climatologie
IV.1.3 Topographie et Hydrographie
IV.1.4 Végétations
IV.1.5 Socio-économique
IV.2 Contexte géologique
IV.2.1 Aperçu géologique du socle cristallin de Madagascar
IV.2.2 Géologie régionale de la zone d’étude
CHAPITRE V : SONDAGES ET ACQUISITION DES DONNEES
V.1 Sondages
V.1.1 Définition et utilités
V.1.2 Exécution des travaux de sondage
V.1.2.1 Maille de sondage
V.1.2.2 Sondage à la tarière
V.2 Echantillonnage et préparation
V.3 Analyse des échantillons au laboratoire
V.3.1 Objectifs
V.3.2 Matériels utilisés
V.3.3 Etapes des analyses
V.4 Synthèse des résultats de prospection
V.4.1 Résumé
V.4.2 Localisation des points de sondage
V.4.3 Aperçu 3D de la colline 82
TROISIEME PARTIE : ETUDE GEOSTATISTIQUE DU GISEMENT
CHAPITRES VI : RAPPEL DE LA GEOSTATISTIQUE
VI.1 Bref histoire de la géostatistique
VI.2 Notion de variable régionalisée
VI.2.1 Définition
VI.2.2 Champ d’une V.R
VI.2.3 Support d’une V.R
VI.3 Hypothèse de la Variable régionalisée
VI.3.1 Stationnarité du second ordre
VI.3.2 L’hypothèse intrinsèque
VI.4 Le variogramme expérimental
VI.4.1 Définition mathématique
VI.4.2 Paramètres du variogramme
VI.4.3 Modèle du variogramme
VI.5 Notion des Variances de bloc, d’Estimation, de Dispersion
VI.5.1 Variance de bloc
VI.5.2 Variance d’Estimation
VI.5.3 Variance de dispersion
VI.6 Le krigeage
VI.6.1 Définition
VI.6.2 Hypothèses et contraintes
VI.6.3 Méthodes du krigeage
VI.6.4 Les données d’entrée du krigeage
CHAPITRES VII : APPLICATION ET TRAITEMENT DES DONNEES
VII.1 Présentation du logiciel Isatis
VII.2 Etude exploratoire des échantillons
VII.2.1 Champ d’application
VII.2.2 Considérations
VII.2.3 Choix des variables régionalisées
VII.3 Histogramme et statistique descriptives
VII.3.1 Répartitions des points d’échantillonnages
VII.3.2 Construction des histogrammes de teneur et accumulation
VII.4 Etude variographique des variables régionalisées
VII.4.1 Variogrammes expérimentaux
VII.4.2 Modélisation variogramme
VII.4.3 Validation croisée du variogramme
VII.5 Estimation par krigeage
VII.5.1 Construction d’un modèle de blocs d’estimation
VII.5.2 Création des polygones
VII.5.3 Résultats par krigeage et interprétation
VII.6 Calcul de la réserve estimée
VII.6.1 Application numérique
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
REFERENCES WEBOGRAPHIQUES
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