Les formes de soutien moral

TROIS-RIVIรˆRES

Le service du Rรฉgimpleur dรฉjร  colossale et qui promet de s’ amplifier davantage.
C’est pourquoi une grande campagne de recrutement est lancรฉe dรจs cette date, et mรชme un peu avant, pour combler les besoins en effectifs. Ces effectifs doivent atteindre 532 hommes, . pour rendre le Rรฉgiment fonctionnel , et davantage suivant la demande et l’ampleur de la tรขche. Le recrutement dรฉbute d’abord ร  Trois-Riviรจres, oรน les hommes intรฉressรฉs peuvent s’ inscrire directement au manรจge militaire. Ensuite, des officiers se dรฉplacent dans les villes avoisinantes, soit Shawinigan, Grand-Mรจre, La Tuque et Louiseville, pour multiplier les lieux de recrutement et ainsi, les rendre plus accessibles pour tous. Ce service est sans doute la toute premiรจre forme de soutien moral offerte par le Rรฉgiment ร  ses soldats en devenir.
Ainsi, le recrutement commence lentement, mais attire de plus en plus de volontaires au fur et ร  mesure que la situation en Europe s’ envenime. Comme l’ รฉcrit Charles Prieur en date du 4 septembre 1939, ยซ Le recrutement dรฉbute au manรจge militaire de Trois-Riviรจres. Lentement d’abord. La guerre ne se limite pour l’ instant qu’ร  la distante Pologneยป’. La dรฉclaration de guerre du Canada ร  l’ Allemagne implique Iprieur, Chroniques de guerre … , p.12. activement le pays dans la guerre et influence davantage le dรฉsir d’engagement des citoyens. Plusieurs se portent alors volontaires, suivant l’appel du devoir ร  accomplir. lis souhaitent non seulement combattre J’ennemi, mais aussi venir en aide ร  leurs alliรฉs.
Cependant, bien que le fait de se sentir impliquรฉs dans le conflit contribue au dรฉsir d’engagement, une multitude d’autres raisons poussent les hommes vers celui-ci.
Parmi ces raisons, on retrouve notamment le patriotisme, le dรฉsir de dรฉfendre ses principes et ses valeurs, la quรชte d’aventure, la poursuite d’une tradition militaire familiale, ou le besoin d’ un emploi. Du point de vue du moral, certaines d’entre elles seront plus bรฉnรฉfiques que d’autres sur le long terme. Le soldat qui s’engage par patriotisme ou par dรฉsir d’aventure, par exemple, a de meilleures chances de garder le moral lorsque viendra le temps d’aller se battre en territoire hostile, que celui qui s’est engagรฉ dans le simple but de recevoir sa solde.
Bien entendu, toute personne qui s’engage doit รชtre consciente du nsque potentiel qu ‘un tel mรฉtier implique. Cette potentialitรฉ s’accroรฎt quand la mobilisation signifie la participation active du Rรฉgiment au combat, ce ร  quoi un Rรฉgiment de milice peut parfois รชtre exclu. Le fait est qu’ une fois le risque acceptรฉ, l’engagement dans l’armรฉe demeure une option d’emploi intรฉressante. Il s’agit d’ un emploi accessible, oรน l’ offre est grande, et ce, ร  un moment oรน l’รฉconomie se remet lentement des difficultรฉs de la crise financiรจre des annรฉes 30. La solde de 1,30$ par jour, pour le grade de soldat, avec augmentation prรฉvue aprรจs 4 ou 6 mois de loyaux services, selon les conditions en vigueur, est donc la bienvenue pour tous.
Parmi ce qui lie le moral aux raisons d’engagement, l’acceptation sociale et familiale joue aussi un rรดle important. Le moral du soldat a de meilleures chances d’รชtre favorisรฉ si ce dernier sent que sa dรฉcision est acceptรฉe et mรชme encouragรฉe par la sociรฉtรฉ et ses proches. Suivant cette idรฉe, la grande campagne de propagande qui est alors lancรฉe par l’armรฉe a un impact sur la vision qu ‘a la sociรฉtรฉ de cette guerre. Dans de nnombreux mรฉdias ou dans les villes, on peut voir des messages ou des affiches de propagande encourageant les gens ร  s’engager dans l’armรฉe ou ร  faire leur part pour patticiper ร  l’ effort de guerre. Cela contribue ร  sensibiliser la sociรฉtรฉ ร  l’ importance de cette guerre, ร  s’impliquer personnellement et ร  encourager le mouvement. Cette percept ion sociale positive de l’engagement favorise le bon moral du soldat, quant ร . l’idรฉe quรฏl a pris la bonne dรฉcision enjoignant l’armรฉe.
L’ acceptation sociale de la guerre est cependant difficile ร  acquรฉrir en 1939, alors que les pertes et les difficultรฉs de la Premiรจre Guerre mondiale sont encore fraรฎches dans les esprits. C’est pour cette raison que, malgrรฉ l’ effort de propagande, tous ne sont pas convaincus que l’ armรฉe canadienne doive participer ร  cette guerre. Cela explique les rรฉticences, parfois marquantes, dรฉmontrรฉes face au recrutement. Parmi celles-ci, le Journal de guerre du Rรฉgiment indique qu ‘ ยซil ya quelques oppositions au recrutement ร  Grand-Mรจre, le Capitaine Lawless a reรงu une lettre de menace l’ avertissant de cesser ses activitรฉsยป)3. Cette division de l’ opinion au sein de la population explique sans doute pourquoi le recrutement est plutรดt lent. Puis ร  long terme, pourquoi le volontariat ne suffit pas ร  la demande.
L’acceptation familiale est elle aussi souvent difficile ร  acquรฉrir, puisque la vie d’un proche est en jeu. Dans quelques familles oรน la tradition militaire familiale reprรฉsente un vรฉritable honneur, l’engagement d’un proche est souvent bien vu. Certains hommes qui s’engagent lors de la Seconde Guerre mondiale sont nรฉs dans cet univers militaire et rรชvent d’y participer un jour. C’ est le cas du Lieutenant Jack Wallace, du Trois-Riviรจres, qui tรฉmoigne de ce dรฉsir de jeunesse dans son livre Dragons of Steel. Mon lien personnel avec ce qui est maintenant appelรฉ ยซles blindรฉsยป remonte ร  il y a onze ans, au Fort Osborne BatTacks, ร  Winnipeg. J’รฉtais alors un ยซ rat de caserneยป, ayant vรฉcu mes dix premiรจres annรฉes dans les casernes militaires, oรน mon pรจre servait comme soldat. [ … ] Les tรขches n’ รฉtaient pas ardues et, รฉtant intรฉressรฉ par la mรฉcanique, j’ai passรฉ mes temps libres ร  visiter les hangars de chars, oรน les soldats n’ont rien fait pour dรฉcourager mon enthousiasme pour les vรฉhicules chenillรฉs. [ … ]Quand la guerre a รฉtรฉ dรฉclarรฉe en septembre, j ‘ ai รฉtรฉ le premier ร  m’inscrire dans ce qu i est devenu le Canad ian Armoured Fighting Vehicles School.
Cet enthousiasme face ร  la guerre et ร  l’engagement d’un proche n’est cependant pas partagรฉ par toutes les familles. Les inquiรฉtudes viennent alors de la peur de perdre un mari ou un pรจre, et, comme dans la majoritรฉ des cas, de celle de perdre un fils. En effet, la majoritรฉ de ~ membres du Rรฉgiment sont de jeunes hommes. Bien que l’รขge minimum cl’ engagement, d’abord 18 et bientรดt 19 ans, donne ร  ces jeunes gens la libertรฉ de devenir soldats, le dรฉsaccord des parents tend souvent ร  freiner cette libertรฉ. Parfois plus conscients des difficultรฉs qui attendent leurs enfants, les parents y vont de mises en garde ou d’ interdictions, qui au final ne tiennent qu ‘ร  la dรฉcision de ces jeunes adultes.
Dans ces cas, il est รฉvident que le moral du soldat est meilleur si celui-ci obtient le soutien de ses proches, qu’ ils soient en accord ou non avec sa dรฉcision.
Le soutien offert par les proches a une importance de premier plan sur le moral du soldat. D’abord, puisqu ‘ il implique des personnes qui lui sont trรจs chรจres. Puis, parce que ces personnes lui permettent de maintenir un lien avec sa vie civile. En effet, l’engagement au sein de l’armรฉe requiert un important รฉloignement de la vie civile.
L’entraรฎnement nรฉcessite le transfert des troupes dans diffรฉrents endroits qui sont souvent รฉloignรฉs du lieu de rรฉsidence. Cette distance est d’autant plus accrue lorsque les soldats partent au combat. Il est donc important pour ces hommes de pouvoir conserver une certaine proximitรฉ avec leur vie civile, notamment par le biais de la correspondance avec leurs proches. Bien รฉvidemment, le dรฉsir d’engagement, quelles qu ‘en soient les raisons, ne suffit pas pour devenir soldat. L’armรฉe observe certains critรจres qui doivent รชtre respectรฉs. Parmi ceux-ci, on retrouve la situation familiale. Les candidats doivent prรฉfรฉrablement รชtre cรฉlibataires, veufs ou n’avoir pas plus de trois enfants. Cela permet de protรฉger les grandes familles contre la perte d’un pรจre.
Ensuite, pour protรฉger la jeunesse, un รขge minimal est aussi observรฉ. Comme nous l’avons mentionnรฉ, le jeune homme qui s’engage doit avoir au minimum 18 ans, รขge qui sera changรฉ dรจs les premiers mois du recrutement ร  19 ans. Bien que ce rรจglement soit mis en place pour protรฉger ces jeunes hommes, dans la mesure oรน ils sont considรฉrรฉs suffisamment matures pour comprendre les consรฉquences d’ une telle dรฉcision et ainsi prรฉmunir leur moral, certains tentent d’ en dรฉroger. Ces dรฉrogations sont expliquรฉes par l’ historien Jean-Yves Gravel.
La pรฉriode d’entraรฎnement dรฉtermine si le soldat a les capacitรฉs nรฉcessaires pour remplir son devoir. S’il ne les possรจde pas, les dirigeants du Rรฉginent se doivent de l’exclure de leurs rangs, pour son propre bien et celui de ses frรจres d’armes. Il est aussi possible que la recrue s’avรจre รชtre un bon soldat, mais qu’e lle ne soit pas faite pour รชtre cavalier, c’est-ร -dire servir dans un rรฉgiment de blindรฉs. Une adhรฉsion au sein d’un rรฉgiment de blindรฉs comme celui de Trois-Riviรจres requiert en effet de grandes capacitรฉs mentales, puisque l’arme est plus technique. En plus d’รชtre capables de manipuler l’arme, les cavaliers doivent savoir travailler en รฉquipe et pouvoir acquรฉrir de bonnes connaissances en mรฉcanique. Ceux qui en sont exclus, mais qui ont tout de mรชme le potentiel d’รชtre de bons soldats peuvent alors รชtre transfรฉrรฉs dans des rรฉgiments d’ infanterie, dont le rรดle est tout aussi important.
Donc, suite aux examens mรฉdicaux, ceux qui satisfont aux exigences joignent les rangs du Rรฉgiment de Trois-Riviรจres. Pour complรฉter en beautรฉ les exigences des conditions mรฉdicales d’engagement, les recrues doivent recevoir quelques doses peu apprรฉciรฉes de vaccination dans la poitrine. Elles sont ensuite prรชtes ร  servir. Bien que le recrutement semble aller lentement vu l’objectif de l’effectif ร  combler, il n’en demeure pas moins que le nombre de recrues est imposant et รฉbranle l’organisation du Rรฉgiment.
Ses officiers s’affairent tant bien que mal ร  offrir ร  tous ces hommes les services nรฉcessaires. Tant bien que mal, puisqu’ ils se trouvent pris de court entre la faiblesse des ressources disponibles et le nombre de soldats qui requiรจrent un soutien.
Le meilleur exemple se trouve au niveau de l’รฉquipement. Dรจs leur arrivรฉe, les cavaliers reรงoivent leur uniforme militaire. Cependant, cet uniforme est incomplet et peu convenable. En date du 16 septembre 1939, le Journal de guerre du Rรฉgiment dรฉcrit la situation ainsi, ยซ Il y a une pรฉnurie de vรชtements et les hommes sont รฉquipรฉs au fur et ร  mesure que le matรฉriel est livrรฉ. Aucune paire de bottes n’a รฉtรฉ reรงue, de mรชme qu’aucun sous-vรชtement. L’uniforme qui est distribuรฉ, si disponible, consiste en une tunique, des culottes courtes et’ des bandes molletiรจres (ou des pantalons) et un bรฉretยป.
Malheureusement, cette pรฉnurie de vรชtements crรฉe d’ autres problรจmes encore . plus graves. Seulement onze jours aprรจs cette mention dans le Journal de guerre, on y retrouve l’ information suivante, ยซUn bon nombre d’hommes sont admis ร  l’ hรดpital, la cause la plus frรฉquente est la bronchite, mais il y en a aussi un assez bon nombre pour cause d’ampoules aux pieds. Le chauffage dรฉfectueux dans le manรจge militaire rend la bรขtisse souvent froide et les ampoules aux pieds viennent du fait que les hommes doivent porter leurs propres souliers, souvent en mauvaise condition, par manque de bottes fournies par l’armรฉeยป.

MONTRร‰AL

L’entraรฎnement en soi est problรฉmatique pour le moral. Il en est ainsi, puisque le Rรฉgiment manque considรฉrablement de matรฉriel. ร€ cette date, comme nous l’avons prรฉcรฉdemment mentionnรฉ, les difficultรฉs d’approvisionnement en matรฉriel sont telles que quelques mois plus tard, les cavaliers portent encore leurs uniformes d’ hiver pendant les chaudes journรฉes d’ รฉtรฉ. Dans de telles conditions , on comprendra que l’ acquisition de matรฉriel de guerre tel que des chars est encore plus compliquรฉe. Qu’ils soient fabriquรฉs localement ou importรฉs, la production de chars est nรฉcessairement plus lente parce que complexe et aussi trรจs coรปteuse. Bien que le Rรฉgiment insiste pour en obtenir, les dรฉlais sont considรฉrables.
Puisque le Rรฉgiment de Trois-Riviรจres est un rรฉgiment de blindรฉs, il est indispensable que l’ utilisation des chars fasse partie de son entraรฎnement. Cependant, comme ceux-ci ne sont pas disponibles, les cavaliers s’ inquiรจtent. Ils craignent non seulement de ne pas รชtre prรชts au combat, mais particuliรจrement de ne pas conserver leur identitรฉ de rรฉgiment de blindรฉs. Peu ร  peu, la rumeur s’ installe. Alors qu’ils sont ร  TroisRiviรจres, le Journal de guerre rรฉvรจle ces inquiรฉtudes, ยซ si nous voulons รชtre une unitรฉ de blindรฉs, nous devrions nous entraรฎner comme telยป.
Une fois ร  Montrรฉal, l’entraรฎnement doit se faire d’ une faรงon ou d’ une autre, avec ou sans les chars. Ainsi, ยซ le Rรฉgiment a commencรฉ sa routine de travail avec de l’รฉquipement trรจs limitรฉ pour l’entraรฎnement des blindรฉs. La conduite et l’entretien sont dรฉmontrรฉs ร  l’aide de quatre voitures d’occasion, qui ont รฉtรฉ vidรฉes ร  des fins d’instruction. Un simulateur Rypa รฉquipรฉ d’un fusil ร  air comprimรฉ remplace les tanks.
Des mitrailleuses Vickcrs J03 de Mark IV et de Mark VI sont aussi utilisรฉes ร  des fins d’ instruction, mais il n’y a aucune pratique de tir23ยป. Le Rรฉgiment fait donc preuve d’imagination pour prรฉparer ses hommes au combat, mais ces derniers s’interrogent ร  savoir si les chars seront un jour disponibles.

RETOUR ร€ TROIS-RIVIรˆRES

Cet espoir est cependant bien vite rรฉprimรฉ, alors que le soir mรชme, un nouveau dรฉmรฉnagement est annoncรฉ. Le lendemain, le Journal de guerre indique que ยซLe Rรฉgiment, moins l’escadron A, a dรฉmรฉnagรฉ aujourd’hui aux casernes du Cรดteau de Trois-Riviรจres, pour garder les prisonniers de guerre. L’escadron A doit se prรฉparer ร  dรฉmรฉnager ร  l’รŽle Sainte-Hรฉlรจne de Montrรฉal, pour garder les prisonniers de guerre qui arriveront bientรดt ร  cet endroitยป35. Alors, pendant que les hommes qui sont ร  TroisRiviรจres s’affairent ร  nettoyer leurs nouveaux quartiers et ร  installer des fils barbelรฉs autour du camp de prisonniers, l’escadron A dรฉmonte les tentes et remballe le matรฉriel au Mont-Bmno, puis part pour l’ รŽle Sainte-Hรฉlรจne.
Non ร  court de transferts, le prochain dรฉmรฉnagement se fait vite connaรฎtre. Suivant cette annonce, il est possible de sentir une certaine tension dans les รฉcrits du Journal de guerre, ยซ L’escadron A revient de l’ รŽle Sainte-Hรฉlรจne -8 officiers et 131 soldats- suivant un avis de quelques heures. Aprรจs ร  peine plus que trois jours sur cette รฎle, passรฉs en prรฉparation en vue de recevoir nos ยซinvitรฉsยป. C’รฉtait seulement un ยซautre transfert! ยปยป.
Puis le lendemain ร  Trois-Riviรจres, ยซ un groupe prรฉcurseur appartenant ร  l’escadron B, commandรฉ par le Capitaine M. Barnard, a suivi l’ordre d’un transfert vers la ville de Quรฉbec. L’unitรฉ est maintenant populairement appelรฉe, par les hommes, ยซThree Rivers Rapid Transit Companyยป, qui suit les initiales T.R.R. (T) !ยป37 Ces initiales sont choisies puisqu’e lles sont les mรชmes que le nom que porte alors le Rรฉgiment sous sa vraie forme anglaise, soit le Three Rivers Regiment (Tank). Le
surnom alors accordรฉ signifie ยซCompagnie de dรฉploiement rapide de Trois-Riviรจresยป, en contestation aux transferts incessants. Ce manque de stabilitรฉ affecte le moral des troupes. Les hommes doutent alors de l’organisation du Rรฉgiment, en plus des consรฉquences de la diminution du tcmps allouรฉ aux entraรฎnements que ces dรฉplacements engendrent et de la quantitรฉ de travail que de tels dรฉmรฉnagements reprรฉsentent.

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Table des matiรจres

INTRODUCTIONย 
CHAPITRE 1ย 
1.1 La notion de moral
1.2 La balance du moral
1.3 Les formes de soutien moral
1.4 Un moral individuel
1.5 Les indicateurs de l’รฉtat moral
1.6 ร‰crire le moral
1. 7 U ne expรฉrience vรฉcue
1.8 Les sources
CHAPITRE 2ย 
2.1 Trois-Riviรจres
2.2 Montrรฉal
2.3 Retour ร  Trois-Riviรจres
2.4 Camp Borden
2.5 Angleterre
CHAPITRE 3
3.1 La Sicile
3.2 La campagne d’Italie
3.3 Nord-ouest de l’Europe
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE 1
ANNEXE 2

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