Les formes cycliques chez la glossine

Les formes cycliques chez la glossine

Traitement et Prophylaxie
Chimiothérapie

Elle permet de limiter les pertes dues à cette affection débilitante. En réduisant le réservoir bovin de trypanosome, elle assure aussi une diminution des risques de propagation de la maladie et à ce titre joue un certain rôle préventif.On dispose d’un nombre limité de médicaments actifs contre les trypanosomes. Le plus récent, la melarsamine, date de 1965 (11) et, certains de ces médicaments ne sont plus actuellement commercialisés (Suramine et bromure de pyrithidium).

Le diminazène
L’acéturate de diminazène est une molécule douée de propriétés curatives remarquables associées à de nombreux avantages comme sa stabilité, sa facilité d’emploi et sa grande innocuité. Il se présente sous la forme d’une poudre jaune facilement soluble dans l’eau (conservation 2 à 3 jours) commercialisée sous divers noms déposés comme le Bérénil® ou le Trypazène®. Il s’utilise par injection sous-cutanée ou par voie intra musculaire à raison de 3,5 mg/Kg (7). C’est un médicament très actif contre T.vivax et T.congolense et dont l’apparition de chimiorésistance semble moins fréquente que pour les autres molécules.

L’homidium
Le bromure d’homidium se présente sous la forme de comprimés pourpres solubles dans l’eau chaude et commercialisés sous le nom d’Ethidium®. Il est utilisé chez les bovins à la dose de 1 mg/Kg de poids vif par injection intramusculaire profonde (7).C’est un produit curatif très efficace contre T.vivax, un peu moins contre T.congolense, et qui présente l’inconvénient d’être hépatotoxique.Une autre spécialité composée d’un mélange de bromure et de chlorure d’homidium qui est commercialisée sous le nom de Novidium® est également disponible. Elle a les mêmes indications et s’utilise selon les mêmes modalités que le bromure d’homidium.

 Le methyl-sulfate de quinapyrimidine
Il se présente comme une poudre blanche très soluble dans l’eau et est commercialisé sous les noms de Trypacide® ou d’Antrycide®. Il est utilisé par injection sous cutanée à la dose de 5mg/Kg de poids vif (7).Ce produit dont l’utilisation massive, depuis 1950, avait entraîné l’apparition de nombreuses résistances avait été retiré du marché dans les années 70. Elle a repris ces dernières années, les firmes pharmaceutiques estimant que les formes de résistance avaient disparues entre temps.

Chimioprophylaxie
L’utilisation de la chimioprévention contre la trypanosomose doit être réalisée avec la plus grande prudence du fait de l’éventualité de création de souches de trypanosomes résistantes. On ne devrait l’utiliser que sur du bétail contrôlé où on est sûr que les conditions d’emploi et le rythme des administrations seront respectés.

L’isométhamidium
Le chlorydrate de chlorure d’isométhamidium se présente comme une poudre rouge facilement soluble dans l’eau et est commercialisé sous divers nom déposés comme le Trypamidium® ou le Samorin®. On l’utilise par voie intramusculaire profonde à raison de 0,25 à 1 mg/Kg. Injecté à forte dose, il provoque des réactions locales persistantes, de type induration profonde, rendant la viande impropre à la consommation. Il est donc conseillé de fractionner les doses entre différents sites.
Utilisé à raison de 0,25 à 0,5 mg/Kg, ce médicament permet d’obtenir une protection de 2 mois contre les trypanosomoses. Une dose comprise entre 0,5 et 1 mg/Kg assure une protection pouvant aller jusqu’à 4 mois (7).
Ce médicament possède en outre d’excellentes propriétés curatives à raison de 0,25 à 0,5 mg/Kg.

Le bromure d’homidium
Le bromure d’homidium, en plus de ses propriétés curatives, assure une protection de 4 semaines contre T.congolense et de 6 semaines contre T.vivax à la dose de 1mg/Kg (7).

Lutte contre les glossines
1. Méthodes non chimiques
a. Lutte écologique
Ce type de lutte vise à agir sur le biotope des glossines afin de le rendre impropre à leur survie.
• Action sur la végétation
L’éclaircissement forestier plus ou moins important, ou « prophylaxie agronomique », permet de modifier les conditions thermiques et hygrométriques provoquant ainsi le départ des glossines d’un milieu qui ne leur est plus favorable (14).
Plusieurs types de méthodes sont utilisables : -Elimination simplement de la végétation basse -Elimination des essences reconnues comme habitat préférentiel à glossine -Elimination totale de la végétation Cette méthode de lutte présente l’inconvénient d’être coûteuse d’autant plus qu’elle nécessite un entretien régulier. Elle modifie également trop radicalement les terrains et facilite l’érosion des sols qui deviennent stériles à long terme. Elle n’est donc aujourd’hui plus utilisé que dans quelques cas particuliers comme le déboisement des gués de passage, des points d’abreuvement des animaux ou sur le territoire des ranchs d’élevage situés en zone infestée (7).
Dans le cadre de la lutte contre les glossines de galeries forestières, le déboisement d’une bande de 1,5 à 3 Km de végétation permet d’assurer la protection d’une zone de rivière assainie (12).
Ce type de barrière est souvent associé à la pose de piège et d’écrans imprégnés d’insecticide dans le cadre d’une lutte intégrée.
• Action sur le réseau hydrographique
L’assèchement de certaines zones humides (marais, rivières non permanentes) et la mise en place de barrages permettent de limiter la disponibilité en eau dans certaines zones et ainsi, empêche le développement des glossines.
• Action sur les hôtes nourriciers
La faune sauvage réceptive à la trypanosomose joue le rôle d’un réservoir de parasites à partir duquel les animaux domestiques peuvent être infestés. L’abattage des espèces sauvages appréciées des glossines semble permettre une réduction de la population de glossine par diminution du nombre de ses hôtes nourriciers ..
Ce procédé découle des observations faites à la fin du XIXème siècle lors de la panzootie de peste bovine en Afrique. L’extermination de nombreuses espèces nourricières des glossines avait permis leur disparition de certains sites mais elles revinrent ensuite rapidement avec le retour de leurs hôtes nourriciers .
Cette méthode peu efficace n’est plus utilisée depuis la fin des années 60 car elle s’oppose au principe de protection de la faune sauvage, une grande richesse de l’Afrique à préserver.

La lutte biologique

Ce type de lutte, qui n’en est encore qu’au stade expérimental, consiste à utiliser des prédateurs, des parasites, des germes pathogènes des glossines ou des molécules perturbant leurs mécanismes physiologiques fondamentaux (14). Un inventaire assez complet de ces agents biologiques a été fait mais jusqu’à présent ces méthodes n’ont pas été appliquées sur le terrain. Dans tous les cas il ne faut pas négliger l’importance de ces prédateurs naturels qu’il faut protéger le plus possible notamment lors de lutte par traitement insecticide.Parmi les prédateurs des glossines, on peut citer les fourmis et les mangoustes pour le stade pupal, et les guêpes ou des araignées pour les adultes.

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Table des matières

LA TRYPANOSOMOSE AFRICAINE DU BETAIL

I. LES TRYPANOSOMES .
A. Systématique
B. Caractères structuraux
1. La paroi cellulaire, le périplasme
2. Le flagelle
6 3. Le contenu cytoplasmique
C. Caractères morphologiques
1. Les formes cycliques chez la glossine
a. Forme amastigote
b. Forme promastigote
c. Forme épimastigote
d. Forme trypomastigote
2. La forme trypomastigote sanguine chez l’hôte définitif
a. T.vivax
b. T.congolense
c. T.b.brucei
D. Vie de relation
1. Locomotion
1 2. Nutrition
3. Reproduction
II. LES GLOSSINES
A. Systématique
1. Clés de détermination des espèces
2. Présentation des sous-genres
a. Sous-genre Austenina (ancien groupe “fusca”)
b. Sous-genre Nemorhina (ancien groupe “palpalis”)
c. Sous-genre Glossina (ancien groupe “morsitans”)
B. Morphologie des glossines
1. La tête
a. Organes sensoriels
b. L’appareil piqueur
2. Le thorax
a. Les pattes
b. Les ailes
3. L’abdomen
a. Génitalia mâle
b. Génitalia femelle
C. Anatomie interne
1. L’appareil digestif
a. La pompe cibariale
b. L’œsophage et le jabot
c. Le proventricule
d. L’intestin
• L’intestin moyen
• L’intestin postérieur
2. L’appareil salivaire
3. L’appareil reproducteur
a. Chez le mâle
b. Chez la femelle
D. Ecologie et biologie des glossines
1. Vie de relation
a. Déplacements
b. Nutrition
c. Reproduction
Accouplement
• Ovulation, développement intra-utérin et larviposition
• La pupaison et l’émergence de l’imago
2. Ecologie des glossines
a. Habitats
• Biotopes favorables
• Gîtes de repos
• Terrains de chasse
• Lieux de reproduction
b. Activité journalière
c. Longévité et dynamique de population
III. EPIDEMIOLOGIE DE LA TRYPANOSOMOSE AFRICAINE DU BETAIL
A. Les trypanosomes en cause
B. Espèces réceptives
1. Espèces sensibles.
2. Espèces réservoirs
C. Cycle évolutif de la trypanosomose africaine du bétail
1. Cycle biologique de transmission
0 a. Chez la glossine
• T.vivax
• T.congolense
• T.b.brucei
b. Chez le bovin
2. Cycle de transmission mécanique
3. Bilan sur le cycle parasitaire
D. Répartition des trypanosomoses du bétail
IV. PATHOLOGIE .
A. Pathogénie
B. Mécanisme d’échappement à la réponse immunitaire
C. Symptomatologie
1. Symptomatologie générale
2. Symptomatologie de la trypanosomose bovine
a. T.congolense
b. T.vivax
0 c. T.b.brucei
V. TRAITEMENT ET PROPHYLAXIE
A. Chimiothérapie
1. Le diminazène
2. L’homidium
3. Le methyl-sulfate de quinapyrimidine
B. Chimioprophylaxie
1. L’isométhamidium
2. Le bromure d’homidium
C. Lutte contre les glossines
1. Méthodes non chimiques
a. Lutte écologique
Action sur la végétation
2 • Action sur le réseau hydrographique
• Action sur les hôtes nourriciers
b. La lutte biologique
c. La lutte génétique
2. Méthodes chimiques
a. La lutte chimique insecticide
• Pulvérisation insecticide par voie terrestre
• Pulvérisation insecticide par voie aérienne
b. Les pièges et écrans à glossine
c. Imprégnation insecticide du pelage des animaux
L’ADAMAOUA, UNE TERRE D’ELEVAGE
I. PRESENTATION DE LA PROVINCE
A. Organisation administrative et socio-politique
1. Découpage administratif
2. Autorités administratives et traditionnelles
B. L’environnement physique
1. Le relief
2. Le climat, de type soudanien d’altitude
3. Un réseau hydrographique riche
4. Le sol et la végétation
C. Le peuplement de la province
1. Les ethnies présentes
2. Démographie
II. L’ELEVAGE BOVIN EN ADAMAOUA
A. Les éleveurs et leurs pratiques d’élevages
1. L’élevage chez les Foulbé
a. Présentation de l’ethnie
b. Conduite de l’élevage
2. L’élevage chez les Mbororo
a. Présentation de l’ethnie
b. Conduite de l’élevage : .
B. Les bovins d’élevage
1. Le zébu Foulbé
2. Les zébus Mbororo
a. Le zébu Mbororo Akou ou Danedji ou White Fulani
b. Le zébu Mbororo Djafoun ou Badedji ou Red Fulani
C. Les systèmes d’élevage
1. Le système extensif Peul
a. Présentation du système pastoral traditionnel
b. Caractéristiques moyennes de production
2. Les systèmes d’élevage semi intensifs
a. Des élevages spécialisés autour de la capitale
b. Le ranching et les élevages sédentaires
D. L’espace pâturable et son utilisation
1. Problématique d’utilisation de l’espace
a. Disponibilité en nourriture et transhumance
• Problématique de l’alimentation en saison sèche
• Les zones de transhumance
b. Pression glossinaire
c. Conflits pour l’utilisation de l’espace
2. Les pâturages et leur utilisation
a. Influence de l’homme et de l’élevage sur les pâtures
• Les feux de brousse
• La charge animale et le surpâturage
b. Typologie des zones de pâturage de l’Adamaoua
III. ENCADREMENT DU SECTEUR ELEVAGE ET GESTION DU PROBLEME TRYPANOSOMIEN
A. Une dualité entre les autorités administratives et traditionnelles
1. Le MINEPIA
2. Les autorités coutumières
B. Structures spécialisées dans la lutte contre la trypanosomose
1. La MSEG, une structure spécialisée du MINEPIA
2. L’UGICETA, l’union des éleveurs face à la trypanosomose
HISTORIQUE DE LA LUTTE CONTRE G.M.SUBMORSITANS SUR LE PLATEAU DE L’ADAMAOUA CAMEROUNAIS
I. DE 1976 A 1986, DEBUT DE LA LUTTE POUR LA RECONQUETE DES PATURES
A. Méthodes de lutte
1. Technique de lutte
a. Considérations influant sur le choix d’une technique
b. Matériel et méthode de lutte
2. Les prospections entomologiques
a. Méthode des circuits de capture manuelle
b. Méthode de capture avec pièges
3. Techniques de conservation de la zone traitée
a. Les barrières chimiques insecticides
b. Les barrières naturelles
c. Autres dispositions de type barrière physique
d. Mesures d’accompagnement
• Traitements obligatoires à l’entrée de la zone assainie
• Restitution réglementée des zones pâturables assainies
• Interdiction d’accès aux zones de front statique
B. Retrospective de ces dix années de lutte
C. Bilan de cette période de lutte
1. Déficit d’information épidémiologique
2. Non implication des populations locales
3. Mauvaise collaboration MSEG/MINEPIA et manque de personnel
4. Des traitements insecticides répétés écologiquement inacceptables.
II. DE 1989 A 1995, OBJECTIF DE PROTECTION DES ACQUIS
A. Nouvelles mesures et techniques de lutte et de protection
2 1. Traitements aériens en mosaïque
2. Méthodes alternatives de protection
a. Les barrières d’écrans
• Description du matériel
• Organisation des barrières
• Contrôle et maintenance du dispositif
b. La barrière de bétail imprégné d’insecticide
3. Responsabilisation et implication croissante des éleveurs
a. Une contribution financière
b. Des mesures répressives
c. La création de GIC et du CETA.
d. Sensibilisation au rôle dans la lutte contre G.m.submorsitans
B. Résultats sous le PDSE
C. Bilan des activités durant le PDSE
III. DE 1995 A NOS JOURS, PRISE EN CHARGE PAR LES ELEVEURS DE LA CONSERVATION DES ACQUIS ..114 A. De 1995 à 1998, une période de transition
1. Fondation de l’UGICETA
2. La MSEG en restructuration
4 B. De 1998 à 2001, le FSD et l’essor de l’UGICETA
1. Les activités de l’UGICETA
a. Structuration et formation du milieu de l’élevage
b. La lutte contre G.m.submorsitans
2. Résultats sous le FSD
a. Structuration et formation des éleveurs
b. Activités de protection de la zone assainie
c. Activités de la MSEG
3. Bilan des activités sous le FSD
C. De 2001 à nos jours, l’UGICETA acteur principal face à la trypanosomose
1. Présentation de la composante Adamaoua du GESEP
a. L’objectif global de la composante
b. Objectifs spécifiques à la trypanosomose
2. Résultats sous le GESEP
3. Bilan du GESEP et point sur la situation actuelle

PROPOSITION D’UN PLAN DE SURVEILLANCE DE LA TRYPANOSOMOSE EN ADAMAOUA
I. DONNEES EXISTANTES SUR L’EPIDEMIOLOGIE DE LA TRYPANOSOMOSE EN ADAMAOUA
A. Epidémiologie du vecteur
1. Notion d’écologie et de biologie des glossines présentes en Adamaoua
a. Les glossines riveraines des cours d’eau (sous-genre Nemorhina)
b. G.m.submorsitans une glossine de savane (sous-genre Glossina)
c. Particularités de l’écologie de G.m.submorsitans en Adamaoua
2. Répartition des différentes espèces
a. Aire de répartition globale
b. Répartition locale dans la zone d’étude
• Aire maximale de répartition
• Estimation de la répartition actuelle
(Annexe 62)
• Les zones « réservoirs
3. La capacité vectorielle
B. Epidémiologie de la trypanosomose animale en Adamaoua
1. Les espèces de trypanosomes
2. Les espèces réceptives
a. Espèces sensibles
b. Espèces réservoir
3. Répartition de la maladie
C. Le risque trypanosomien, les moyens actuels de son étude et de son contrôle
1. Point sur la situation actuelle et perspectives
2. Les projets concernant la trypanosomose animale en Adamaoua
a. Le projet d’amélioration du diagnostic et du contrôle de la trypanosomose
b. Le projet d’appui à la lutte contre la trypanosomose animale et leurs vecteurs
c. Les projets régionaux
II. PROPOSITION D’ENQUÊTES TRANSVERSALES
A. Enquête entomologique
1. Contraintes liées au milieu
a. Une période d’enquête courte
b. Difficulté d’accès à certaines zones
2. Matériel et méthode de prospection entomologique
a. Les systèmes de capture
b. Matériel utilisé
• Les pièges à glossine
• Le filet de capture
c. Méthodes de capture
• Présentation d’une unité de prospection
• Méthode de capture avec pièges
• Méthode de capture au filet
3. Présentation de la zone d’étude
a. Limites générales des prospections
b. Numérisation du réseau hydrographique
4. Déroulement des prospections
a. Phase 1 : redéfinition des limites de la zone sans glossines
• Sélection des sites de prospection
• Organisation des prospections
• Modèles de parcours de prospection
b. Phase 2 : répartition des espèces de glossines autour de la zone saine
5. Besoins en personnel et en matériel
B. Enquête sérologique et parasitologique
1. Zone d’étude
2. Population d’étude
a. Contraintes pour le choix de la population
b. Définition de la population d’étude
3. Proposition d’une méthode d’échantillonnage
4. Déroulement de l’enquête
a. Elaboration d’une liste des troupeaux
prélèvements
c. Questionnaire aux éleveurs
5. Analyse des prélèvements
a. Analyse parasitologique
b. Analyse sérologique
6. Personnel et matériel
C. Unité de coordination des enquêtes .
1. Structuration de l’unité de coordination
2. Rôles de l’unité
3. Détail des rôles et du fonctionnement en cours d’enquête
a. Circulation des données et des instructions
• Cas de l’enquête entomologique
• Cas de l’enquête sérologique
b. Traitement et interprétation des données
• Données entomologiques
• Données sérologiques et parasitologiques
D. Utilisation des informations fournies par les enquêtes, proposition d’un plan de lutte
1. Orientation de la lutte menée par les éleveurs
2. Décision de nouvelles activités de lutte
III. PLANNING D’ACTIVITE ET EVALUATION DES COUTS DU PROJET
A. Chronologie des activités
B. Revue des compétences
1. Note concernant le recrutement et la formation du personnel
2. Note sur le choix du laboratoire
C. Evaluation des coûts du projet
1. Enquête entomologique
2. Enquêtes sérologique et parasitologique
3. Unité de coordination
IV. PERSPECTIVE DE PERENNISATION DU PROJET : LE RES TRYPANOSOMOSE
A. Structuration du RES
B. Proposition d’activités de surveillance envisageables
C. Retombées du réseau
D. Eventualité d’intégration de certaines activités au RES/PACE

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