Les fonctions du personnel et la gestion des ressources humaines

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La population et sa répartition

Origine de la population et migration

L’origine de la population d’Antsohihy est le Makoa , le Tsimihety qui domine en nombre, actuellement, suivi des ethnies Sakalava, Merina, Betsileo et les autres ethnies du Sud-est. On remarque aussi la présence des Comoriens, des Indiens et quelques Européens.
La situation stratégique de la ville d’Antsohihy, qui constitue une ville carrefour, reliant les quatre points cardinaux, favorise la filière commerciale de produits divers. C’est la principale cause de migrations définitives des différentes ethnies. Les activités d’élevage de bovidés et de pêche marquent aussi l’installation esd habitants périphériques.

Densité de la population et ethnies dominantes

La commune urbaine d’Antsohihy compte actuellement 66.402 habitants, avec une densité moyenne de 5.627habitant./km2. Les ethnies dominantes sont, par ordre d’importance : Tsimihety, Sakalava, Merina, les ethnies du Sud-est et le Betsileo.1
Quelques groupes ethniques ont fondé leurs propres quartiers, tels sont les cas d’Ankiririky Nord, peuplé par les Antaimoro, d’où le nom d’Antanananantaimoro (quartier des Antaimoro), puis Ambalabe par les Betsileo, Haute Ville et antafiampatsa par les Merina, Ambalakida par les Vezo, d’où le nom d’Antanambezo.
La densification du quartier Ankiririky Sud s’est fait très rapidement, à cause surtout de la présence de la gare routière ou parcage, et de al seule station d’essence de la ville à proximité de ce quartier.

Secteur secondaire et tertiaire

Le commerce

Le commerce tient une place prépondérante dans la ommunec urbaine d’Antsohihy. Trois marchés favorisent ce secteur, à savoir : le petit marché couvert dans le fokontany d’Ankiririky Sud et les deux grands marchés situés respectivement dans les fokontany d’Ambalabe Ouest et de la Haute Ville. Ces trois marchés sont ouverts tous les jours.
Le marché sis dans le fokontany de la Haute Ville, qui vient d’être réhabilité en 2004, est le plus fréquenté par la population de la commune urbaine. Ce marché est actuellement saturé, à cause de la venue massive des marchands d’habillements divers, de friperies, des ustensiles de cuisine, des sacs, etc, qui occupent actuellement, même les trottoirs, faute de place. Il se distingue également des autres marchéspar la multiplicité des magasins et des commerces de biens et de services. Dans l’ensemble, ce marché de la Haute Ville est mal structuré et l’implantation des marchands sur tout le trottoir accentue cette situation.

Sur un autre plan, la ville d’Antsohihy est le plus grand débouché des produits agricoles des zones périphériques, dont l’arachide en provenance de Mandritsara et de Befandriana, et l’haricot et l’oignon issus de Bealanana.

Les transports

La ville d’Antsohihy est joignable par voie terrestre, aérien et maritime. Le moyen de transport terrestre est surtout assuré par les taxis- brousse qui assurent les lignes régionales et nationales. Plusieurs coopératives assurent ces déplacements, à savoir : La SONATRA (Antsohihy ¬ Tananarive), FIFIDI (Antsohihy- Antsir anana), les coopératives KOFIMABO, KOFIA VOFIZABO (Antsohihy – Mahajanga), et la coopérative KOFIA (Antsohihy – Port Bergé, Antsohihy – Mandritsara et Antsohihy – Anala lava).
Pendant la saison sèche, le nombre total de voyages aller effectués, toutes coopératives confondues, est de 28 par jour. Au niveau national, le nombre moyen de voyages aller effectués, reliant Antsohihy- Tananarive est de 924par an.

Pour le voyage « aller » reliant Antsohihy- Diego, le nombre, en une année est de 616. Pour l’axe Antsohihy- Mahajanga, le voyage aller en une année est de 924. Pour l’axe Antsohihy- Port-bergé, les voyages « aller » atteignent 3696. Pour les axes Antsohihy – Mandritsara et Antsohihy- Befandriana, les voyages aller effectués sont de 924 par axe, par an.
Les problèmes de ces coopératives résident surtoutdans l’exiguïté de la gare routière, située en plein centre ville, sur le bord de la route nationale n°6 ou RN6.
Au niveau de la ville, mis à part quelques motocycl ettes, les principaux moyens de transport sont les taxis villes et les « taxis be », qui assurent les déplacements internes reliant les 7 quartiers de la ville. Le frais d’une course est de 1000AR pour les taxis villes, et de 300Ar pour le taxi be. Ces moyens de transports ne disposent d’aucun stationnement officiel, vu l’absence de panneaux de signalisation dans la ville. En général, le mauvais état de la route, mesurant 31 km, dont 13 km bitumée modérément et 17 km en terre dégradée, entrave fortement la circulation en ville.
Pour le transport fluviomaritime, les moyens de transport sont les « boutres », « les hors botry » et les pirogues à balancier. Les march andises à hauts tonnages tels que les produits Star et les gros engins empruntent spécialement ce réseau fluvial, surtout pendant la période pluvieuse. Des passagers en provenance d’Analalava, Nosy Be ou Mahajanga choisissent également la voie fluviomaritime pour voyager.

Les communications

La communication dans la ville d’Antsohihy est encore très peu développée.
En matière de téléphonie, les 3 opérateurs (Telma,Orange, Zain) y sont déjà installés et sont opérationnels ; ils assurent les échanges d’informations avec le monde entier.
Concernant l’audiovisuel, la ville d’Antsohihy bénéficie de deux stations radio privées, dont la radio pour s’informer, s’éduquer et pour se divertir.
En ce qui concerne la presse écrite, le journal d’informations « Le quotidien » parvient à Antsohihy ville, 2 jours après sa parution à Antananarivo.
Enfin, la télévision régionale, TV AKON’I SOFIA ayant son siège dans la ville d’Antsohihy est rattachée à la télévision NationaleMalagasy.

Le tourisme

Cette ville est encore très peu connue dans le secteur touristique. Aucun site touristique officiel n’y est jusqu’à maintenant découvert ; De plus, les infrastructures d’accueils (hôtels et restaurants) y sont insuffisants, alors que cette ville joue surtout le rôle d’une « ville relais » ou « une ville carrefour », vu sa position géographique reliant les autres grandes villes du Nord- Ouest de Madagascar (Ambanja jusqu’à Antsiran ana), avec la capitale du Boeny et Antananarivo.
Le nombre moyen mensuel de visiteurs dans la commune urbaine d’Antsohihy est de 400, dont 115 sont des nationaux en mission et 22 sont des missionnaires étrangers. Les touristes viennent surtout en période sèche. Sur esl 7 hôtels existants, un seul est classé «ravinala».

L’artisanat

Les produits artisanaux d’Antsohihy sont nombreux et variés, mais leur exploitation reste à l’échelle familiale. On remarque l’existence d’activités de menuiserie, d’ébénisterie, de briqueterie, de maçonnerie et de tressage dans la v ille.
Quelques associations d’artisans, dont les associations des menuisiers et des couturiers se sont créées tout récemment, mais elles restent ncore non opérationnelles, ou bien inactives.
A titre d’exemple, un atelier individuel de menuiserie créé en 1998, employant 2 personnes, arrive à fabriquer 6 lits, 3 salons et 7 tables par mois. Les bois utilisés sont uniquement des palissandres. Leurs clients proviennent surtout de Befandriana.

LES EQUIPEMENTS SOCIAUX

Les infrastructures physiques

Routes

La commune urbaine d’Antsohihy, distante de 440 km de la ville de Mahajanga, se trouve sur l’axe de la RN6 et le carrefour de la RN31et de la RN 32. Quant aux routes reliant les sept (7) Fokontany, leur longueur est de 35 km, dont 5,300 km est bitumée.
La commune possède un terrain d’aviation, utilisé oute l’année, et où le trafic aérien est de plus de 5 arrivées et de départs par semaine, reliant Mahajanga, Ambanja, Mandritsara, Port-Bergé et Analalava.

L’Aéroport

L’aéroport d’Antsohihy, d’une superficie totale de 1500m x 90m se situe dans le fokontany d’Ambalabe-Est. Il comprend une aérogare, une piste d’atterrissage, un parking pour les avions et pour les voitures (taxi et autres). Cet aéroport, créé en 1968, est capable de recevoir une charge maximale de 34t. La dernière réhabilitation date de 1981.Un vol régulier de la compagnie Air Madagascar dessert la ville d’Antsohihy, 2 fois par semaine.

Données sociales

L’enseignement et l’éducation

La commune urbaine d’Antsohihy dispose de 5 écoles primaires publiques, majoritairement en bon état, mais sous-équipées, etde sept (7) écoles primaires privées, en bon état et toutes fonctionnelles, avec un taux brut de scolarisation primaire de 55%.
Le taux d’analphabète des adultes est de 75%, dont 65% concernent les hommes, contre 35% de femmes.
Deux Fokontany de la commune, à savoir le fokontany Ambalakida et Antafiampatsa sont dépourvus d’EPP.

Ainsi, des EPP desservent à la fois plusieurs fokon tany, provoquant ainsi un sureffectif d’élèves par classe et l’application de sections auniveau de certaines classes.
De plus, le CNTMAD (Centre National de Télé-enseignement à Madagascar) est déjà installé dans la commune urbaine, depuis l’année 193.

La santé

La commune urbaine d’Antsohihy dispose d’un centre de santé de base urbain (CSBU), localisé dans le fokontany Haute Ville. Ce CSBU est rattaché au district sanitaire d’Antsohihy.
Encadré par des médecins, des sages femmes, des infirmiers et des aides sanitaires, ce CSBU effectue, en moyenne, 571consultions et 05 accouchements par mois.
Les principales maladies qu’on y trouve sont : le paludisme, la diarrhée, l’infection respiratoire aiguë ou IRA, la tuberculose, la bilha rziose et la lèpre.
On y trouve trois cabinets médicaux privés, un centre de santé de base privé FJKM, situé dans le fokontany Ambalabe, et deux cabinetsdentaires privés.

Sport et loisirs

Les 67,54% de la population sont constituées par des jeunes, dont la majorité n’est pas encadrée par les quatre associations de jeunes sportifs évoluant localement. La commune dispose de huit terrains de sports, utilisés pour le foot-ball, le hand-ball, le volley-ball, et le basket-ball, utilisés comme lieux de détente, de sport et de distraction des sportifs.

Les bâtiments administratifs

De par son statut de chef-lieu de district, on y trouve de nombreux services techniques déconcentrés, des bâtiments administratifs au niveau de la commune.
La société JIRAMA, en collaboration avec la communeurbaine d’Antsohihy, a doté la ville de poteaux d’éclairage public, et a pourvu les maisons de la population de la ville d’électricité. Notre ville a rencontré des problèmes pour le ravitaillement et l’usage de l’électricité, à cause de délestage fréquent, et surtout de coupure en approvisionnement en eau.

Les latrines publiques

La ville d’Antsohihy est dotée de 10 WC, dont 6 fonctionnels.

Coutumes et Us

Fanompoana

Le fanompoana est un culte destiné aux ancêtres, observé par l’ethnie Sakalava, pour rendre hommage aux ancêtres, notamment aux défuntsrois, afin de recevoir une bénédiction de leurs parts. Il se déroule tous les mois d’Avril et de juillet, de l’année, durant lequel une remise de « paré » et de « ombimanitra » aux dignitaires est organisée.

Famadihana ou retournement des morts

Le famadihana est un rite qui consiste à retourner les morts et à les envelopper dans de nouveaux linceues appelés lamba. Ce rite se déroule au mois de Septembre, Octobre, et Novembre.

Les autres acteurs de développement public etprivé

La JIRAMA est représentée par un chef sous-groupement, elle est localisée dans le fokontany d’Ambalakida ; La BOA est représentée parun chef d’Agence située à la Haute Ville ;
Le GENIE MILITAIRE, à Ambalabe ;
ASSURANCE ARO, Haute ville ;

CATASTROPHES ET CALAMITÉS NATURELLES

Inondation

La commune urbaine d’Antsohihy est souvent frappée par l’inondation, si la pluviosité est importante, due au débordement du fleuve d’Antsohihy. Durant la période de crue, la rivière d’Antsohihy inonde la ville et détruit mêmeles habitations de la population de la ville. Ainsi, l’inondation menace ou frappe presque annuellement la commune urbaine d’Antsohihy et ses habitants.

Mortalité

Les causes fondamentales de la mortalité varient d’un âge à l’autre. Pour les enfants, il s’agit principalement de la pneumonie, des maladies diarrhéiques, du paludisme, et de la typhoïde.
Mais chez les adultes, l’hypertension artérielle constitue la principale cause de mortalité, suivie de la diarrhée, puis la pneumoniegrave, et enfin le paludisme grave et compliqué.
Après avoir fait la présentation monographique de al commune urbaine d’Antsohihy, nous allons passer au deuxième chapitre de notre devoir, qui est consacré à la présentation et à la conduite du projet.

Les fonctions du personnel et la gestion des ressources humaines

Les fonctions du personnel

Une bonne structure n’est pas suffisante pour atteindre notre objectif. Un élément s’avère indispensable, il s’agit de la qualité du personnel qui occupera chaque poste décrit dans la structure. Le mieux c’est d’avoir des perso nnels compétents. Tous les employés sont permanents.
LE GERANT
La société doit-être sous la direction du gérant,e dqui dépend directement le (ou la) secrétaire comptable. Il est l’image de la sociétéà l’extérieur. Il est le représentant de la société dans toutes les démarches administratives t ejuridiques. Il est le dépositaire de la signature à la banque et décide de toutes les opérations à faire avec cette dernière (emprunt).
Le profil exigé pour ce poste est d’avoir au moins le diplôme de Maîtrise en gestion, pour gérer la société et être aussi parmi les associés. Il est chargé de :
effectuer un suivi systématique de la coordinationentre les différents départements : à savoir le département production et le départemen commercial. Il supervise leurs activités ;
animer c’est-à-dire adapter un style de commandemen t des principes de direction et de stimulation du personnel ;
déterminer les objectifs, ainsi que les vols et manques pour les atteindre, autrement dit planifier ;
diriger l’entreprise ;
déterminer la politique générale à mettre en œuvre pour atteindre les objectifs fixés et de superviser et coordonner les activités de l’entreprise ;
assurer la gestion des ressources de l’entreprise, accomplir les relations et les affaires extérieures ;
LE SECRETAIRE COMPTABLE
Le secrétaire comptable est chargé de classer les ocumentsd administratifs et commerciaux. Il assure la tenue du journal de la banque et de caisse. Il est en relation directe avec le responsable vente.
Le profil pour ce poste est d’avoir au moins le diplôme de Bacc +3.
RESPONSABLE COMMERCIAL
Il est chargé de :
organiser les activités dans son département, élaborer les politiques commerciales de la société en appliquant le marketing ;
prendre les décisions sur la fixation des prix, enanalysant les coûts de revient et en se référant à celle des concurrents ;
organiser aussi les livraisons auprès des clients. ; assurer les contrôles des produits : entrée et sortie ; planifier, prendre les commandes des clients ;
assurer la stratégie des ventes ;
informer la clientèle (publicité) et établir la facture.
Le profil pour ce poste est au moins avoir le diplô me de Bacc + 2 en Gestion Option commerce.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE : PRÉSENTATION MONOGRAPHIQUE DU DISTRICT ET ÉTUDE CONCEPTUELLEDU PROJET
CHAPITRE I : PRÉSENTATION MONOGRAPHIQUE DU DISTRICT D’ANTSOHIHY
SECTION I : MONOGRAPHIE DE LA VILLE D’ANTSOHIHY
I.1. Historique de la transformation du sucre
I.2. Localisation de la ville
I.2.1. Identité et historique de la ville d’Antsohihy
I.2.2. Dénomination de la Ville
I.3. Structure géographique
I.3.1. Le climat
I.3.2. La température
I.3.3.La pluviométrie
I.4. Situation démographique de la ville
I.4.1. La population et sa répartition
I.4.1.1. Origine de la population et migration
I.4.1.2. Densité de la population et ethnies dominantes
I.4.2. Répartition de la population par sexe
I.4.3. Caractéristiques sociodémographique de la population en âge de travailler
I.5. Les différentes activités socio-économiques
I.5.1. L’emploi
I.5.1.1. Structure et dynamisme des emplois
I.5.1.2. Le chômage
I.5.2. Le secteur primaire
I.5.2.1.L’agriculture et l’élevage
I.5.2.1.1. Agriculture
I.5.2.1.2. Elevage
I.5.2.2. Pêche
I.5.3. Secteur secondaire et tertiaire
I.5.3.1. Le commerce
I.5.3.2. Les transports
I.5.3.3. Les communications
I.5.3.4. Le tourisme
I.5.3.5. L’artisanat
SECTION II : LES EQUIPEMENTS SOCIAUX
II.I. Les infrastructures physiques
II.I.1. Routes
II.1.2. L’Aéroport
II.2. Données sociales
II.2.1. L’enseignement et l’éducation
II.2.2. La santé
II.2.3. Sport et loisirs
II.2.4. Les bâtiments administratifs
II.2.5. Les latrines publiques
II.3. Coutumes et Us
II.3.1. Fanompoana
II.3.2. Famadihana ou retournement des morts
II.4. Les autres acteurs de développement public et privé
SECTION III : CATASTROPHES ET CALAMITÉS NATURELLES
III.1. Inondation
III.2. Mortalité
CHAPITRE II : PRÉSENTATION ET CONDUITE DU PROJET
SECTION I : DESCRIPTION DU PROJET
I.1. Définition
I.2. Caractéristique du projet
I.2.1. Objet du projet
I.2.2. Fiche signalétique du projet
I.2.3. Forme et aspect juridique
I.2.4. Mission du projet
I.3. Choix d’implantation
SECTION II : ÉTUDE ORGANISATIONNELLE DU PROJET
II.1. Besoins en personnel
II.2. Organisation
II.2.1. Définition
II.2.2. La structure de l’organigramme de la société
II.2.3. Organigramme
II.2.4. Les fonctions du personnel et la gestion des ressources humaines
II.2.4.1. Les fonctions du personnel
II.2.4.2. Gestion du personnel
II.2.4.2.1. Rémunération
II.2.4.2.2. Formation continue des travailleurs
II.2.4.2.3. Motivation
II.2.4.2.4. Règlement Administratif
II.3. Le chronogramme de réalisation du projet
II.3.1. Préparation de la mise en œuvre effective
II.3.2. Période de mise en œuvre effective
SECTION III : LES OBJECTIFS ET STRATÉGIES ADOPTÉES
III.1. Stratégies adoptés
III.2. Objectifs
CHAPITRE III : TECHNIQUE DE PRODUCTION ET COMMERCIALISATION
SECTION I : ORGANISATION DE LA PRODUCTION
I.1. Description de la canne à sucre
I.1.1. Définition
I.1.2. Caractéristique de la canne à sucre
I.2. Conditions de culture
I.3. Plantation de la canne à sucre, cycles et méthode d’exploitation
I.4. Rendement
I.5. Maladies et ennemis
I.6. section de la canne
I.7. Sa croissance
I.8. Récolte
I.9. Stockage
SECTION II : MODES DE TRANSFORMATION
II.1. Méthode de transformation
II.1.1.Méthode traditionnelle
II.1.2. Méthode industrielle
II.2. Son traitement
II.3. Les caractéristiques
II.3.1. Fabrication du sucre de canne
II.3.2. Processus de fabrication
II.3.2.1. Les étapes de transformation spécifique
II.3.2.2. Cristaux de sucre
II.3.2.3. Caractéristique du sucre
II.3.2.4.1. Le sucre de canne
II.3.2.4.2. Produit dérivé
II.3.3. Critères de qualité du sucre
II.4. Sous-produits du sucre
II.4.1. Les étapes de transformation communes aux deux produits
II.4.1.1. Sucre de deuxième et troisième jets
II.4.1.2. Etapes de fabrication de l’éthanol à partir du sucre
II.4.2. Analyse de production
II.4.3. Conditionnement et stockage
II.5. Consommation en matière première
II.6. Les principaux produits
SECTION III : SYSTÈME DE COMMERCIALISATION
III.1. Concept du commerce
III.1.1. Définition
III.1.2. La distribution
III.1.2.1. La fonction de distribution
III.1.2.2. La politique économique de commercialisation
III.2. L’infrastructure
III.2.1. Le déroulement de la commercialisation
III.2.2. La consommation
III.2.3. Les consommateurs
III.3. Situation du projet face aux concurrents
III.3.1. Marché oligopole
III.3.2. Marché monopolistique
III.4. Vente
III.4.1. Calendrier de production
III.4.2. Planning de production
III.4.3. Planning de vente
DEUXIÈME PARTIE : ÉTUDE DE FAISABILITÉ DU PROJET
CHAPITRE I : ANALYSE FINANCIRE DU PROJET
SECTION I : ÉTUDE DU MARCHÉ
I.1. Le marché
I.1.1. Étude de l’offre
I.1.1.1. Offre sur le marché
I.1.1.2. Les produits à offrir sur le marché
I.1.2. Analyse de la demande
I.1.2.1. Les besoins des consommateurs
I.1.2.2. Clients cibles
I.2. Analyse des concurrents
I.2.1. Identification des principaux concurrents
I.2.2. Part du marché visé
I.2.2.1. Marché réel
I.2.2.2. Le marché potentiel
I.2.3. Analyse environnementale
I.2.3.1. Environnement interne
I.2.3.2. Environnement externe
I.3. Les politiques et les stratégies de marketing utilisées
I.3.1. La politique marketing
I.3.1.1. La politique de produit
I.3.1.2. La politique de prix
I.3.1.3. Politique de communication
I.3.1.4. Politique de distribution
I.3.2. Décisions stratégiques
I.3.2.1. La segmentation
I.3.2.2. Le ciblage
SECTION II : DEPENSES D’INVESTISSEMENT
II.1. Définition
II.2. Nature des investissements et leurs coûts
II.2.1. Les éléments constitutifs de l’investissement
II.2.1.1. Frais de développement
II.2.1.2. Terrain
II.2.1.3. Construction
II.2.1.4. Aménagement, Agencement et Installations (AAI)
II.2.1.5. Matériels industriels
II.2.1.6. Matériels de bureau et informatique
II.2.1.7. Matériels de transport
II.3. Amortissement
II.3.1. Définition
II.3.2. Modalité de calcul
II.3.2.1. Amortissement de frais de développement
II.3.2.2. Amortissement de construction
II.3.2.3. Amortissement d’installation
II.3.2.4. Amortissement de matériel et outillage industriel
II.3.2.5. Amortissement de matériel de bureau et informatique
II.3.2.6. Amortissement de matériel de transport
SECTION III : CHARGES ET PRODUITS D’EXPLOITATION
III.1. Charges d’exploitation
III.1.1. Définition
III.1.1.1. Achat de matière première
III.1.1.2. Emballage
III.1.1.3. Eau et électricité
III.1.1.4. Entretien et petit équipement
III.1.1.4.1. Fourniture d’atelier
III.1.1.4.2. Hygiène et sécurité du travail
III.1.1.5. Entretien et réparation
III.1.1.6. Carburant
III.1.1.8. Frais postaux et télécommunication
III.1.1.9. La publicité
III.1.1.10. Impôts et taxes
III.1.1.11. Les charges du personnel
III.1.1.11.1. Le personnel
III.1.1.11.2. Les charges sociales
III.2. Produits d’exploitation
III.2.1. Les produits finis
III.2.2. Sous-produits
CHAPITRE II : ÉTUDE DE L’ÉVALUATION FINANCIÈRE
SECTION I : FINANCEMENT PRÉVISIONNEL
I.1. Mode de financement
I.2. Caractéristique de l’emprunt
I.3. Plan de remboursement
SECTION II : LES ETATS FINANCIÈRS PRÉVISIONNELS
II.1. Compte de résultat prévisionnel
II.1.1. Définition
II.1.2. L’intérêt du compte de résultat
II.2. Bilans prévisionnels
II.3. Présentation des bilans prévisionnels
SECTION III : PLAN DE TRÉSORERIE
CHAPITRE III : ANALYSE FINANCIÈRE DE L’ACTIVITÉ ET ÉVALUATION DE LA RENTABILITÉ DU PROJET
SECTION I : L’ANALYSE FINANCIÈRE DE L’ACTIVITÉ
I.1. Analyse de l’activité à partir de la CAF
I.1.1. Notion de CAF
I.1.2. Mode de calcul
I.2. Les ratios d’activités
I.2.1. Sur la valeur ajoutée
I.2.2. Marge commerciale
I.2.3. Ratio de dette à long et moyen terme
I.3. Seuil de rentabilité
SECTION II : ÉVALUATION DE LA RENTABILITÉ
II.1. Elément nécessaire à l’évaluation
II.2. Estimation de cash-flows
II.2.1. Capital investi
II.2.1.1. Montant du capital investi
II.2.1.2. Durée de vie
II.2.1.3. Valeur résiduelle
II.2.1.4. Besoin en Fonds de Roulement
II.2.2. Calcul des cash-flows
II.3. Critères d’évaluation
II.3.1. Valeur actuelle nette (VAN)
II.3.2. Indice de profitabilité (IP)
II.3.3. Taux de rentabilité interne (TRI)
II.3.4. Délai de récupération du capital investi (DRCI)
II.4. Selon les critères d’évaluation
II.4.1. Pertinence
II.4.2. Efficacité
II.4.3. Efficience
II.4.4. Pérennité
SECTION III : ÉVALUATION SOCIO-ÉCONOMIQUE ET PERSPECTIVES D’AVENIR DE LA FILIÈRE
III.1. Impact du projet sur les zones d’exploitation
III.2. Croissance économique
III.3. Impact sur le revenu national
III.4. Impact environnemental
III.5. Perspectives et suggestion à la filière
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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