Les facteurs naturels non favorables au développement de l’élevage

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LA METHODOLOGIE

La recherche de documents

Nous avons fréquenté de nombreux centres de documentation durant la réalisation de cette phase. Elle constitue une étape consistant à identifier les ouvrages et à lire le maximum de références ayant des liens avec notre thème de recherche et notre terrain d’étude. Les centres de documentation les plus importants sont ayant fait l’objet de visites sont :
– La bibliothèque de l’Université d’Antananarivo,
– Les bibliothèques privées qui nous ont permis de nous familiariser davantage avec la réalité de la zone d’étude.
Par ailleurs, nous soulignons que les analyses et les conclusions présentées dans ce modeste travail s’appuient sur les données officielles de nombreux services publics et privés ayant l’habilité de fournir des données chiffrées.
Beaucoup d’informations ont été collectées à la direction générale de l’urbanisme et à la direction régionale de l’élevage.
En vue de remplir les données des rapports des services publics, nous avons eu recours aux estimations et aux évaluations des organismes internationaux et ONG tels que le PNUD, KIOMBA, SAP, UNICEF.

Les connaissances acquises dans ces différents domaines ont permis de mieux expliciter notre problématique :
– Les bibliothèques publiques et privées de Toliara ellest que : ACU, FIAVOTA, Alliance Française, CEDRATOM, TSIEBO Calvin.
– Nous avons consulté des documents chez des particuliers. Nous pouvons citer ici Messieurs REJELA Michel et JAOVOLA Tombo, enseignants-chercheurs à l’Université de Toliara qui ont mis à notre disposition leurs documents personn els. Les données que nous avons obtenues ont une valeur capitale pour notre travail.

Les enquêtes orales auprès des paysans

Nous avons collecté une multitude d’informations auprès des paysans. Les discussions libres nous ont permis d’avoir une affirmation sur certains points du thème en question. Les interviews visent à collecter le maximum de résultats. La technique d’enquête fait en sorte que tous les gens issus des différentes couches sociales donnent leurs avis. Des fiches d’enquêtes ont été établies. Des questionnaires fermés ont été élaborés suivant les objectifs recherchés. Nous avons essayé aussi de ne poser que des questions pertinentes. L’objectif était d’éclaircir des idées floues. Aucun point sensible concernant l’élevage n’a été élaisséd. Pour les discussions, il n’existe pas de places publiques pour effectuer des débats. Par conséquent, à chaque quartier, nous avons créé un focus group qui devient un moyen de discussion. Chacun est libre d’exprimer son point de vue en matière d’élevage et même de l’agriculture et de eaul’.

Les enquêtes orales auprès des responsables du service d’élevage

Nous avons contacté directement les cadres de ce service. De fréquents entretiens auprès du Maire de la ville, avec certains conseillers municipaux et avec les Directeurs des différents services, avec les ONG tel que FAFAFI (Fampandrosoana ny Fambolena sy ny Fiompiana), KIOMBA et d’autres ont été effectués.
Tout commence par une simple visite de courtoisie. Après avoir présenté l’objet de notre visite, nous avons essayé également d’avoir leur sympathie. Beaucoup d’occasions ont été saisies. Plusieurs autorités locales n’ont pas hésité à nouslivrer leurs sentiments d’isolement face aux problèmes sociopolitiques relatifs à l’élevage et au bon fonctionnement de la ville.

Le traitement des informations obtenues

Les informations sont arrangées par ordre d’importance. Il n’était pas facile d’apprécier ou rejeter les réponses en les situant dans ces circonstances. Nous avons évité l’à priori. Le plan doit respecter une logique. Une modification peut être pportéea au fur et à mesure de l’avancement de la rédaction. Nous avons commencé par le classement des idées qui seront défendues avec des arguments et soutenues avec des illustrations par cartes, photos ou de simples exemples.
Notre rédaction touche quelques points forts du plan de la future thèse mais elle constitue surtout l’ossature de la méthodologie.

LES PROBLEMES RENCONTRES

Les problèmes de documentation

La recherche documentaire pose un certain nombre de problèmes la ville de Toliara est dotée de très peu de bibliothèques spécialisées dans le domaine de l’élevage. Si certaines références existent, il est difficile de les trouver dans les bibliothèques locales. Nous avons eu recours à quelques mini mémoires, aux travaux de recherches académiques en maîtrise, DEA et aux différentes thèses de doctorat.
Il y a aussi les problèmes de moyens financiers, notamment pour la navigation sur internet. Les postes de dépenses sont nombreuses : les frais de transport, le tirage de photos et le prix des photocopies. Ce sont les grands obstacles durant ce travail outre la documentation. Les documents télévisés, la navigation par internet, les consultations des journaux nationaux et internationaux nous ont été d’une grande utilité. Mais ces informationsont très ponctuelles et les statistiques n’y sont pas.

Les problèmes liés aux enquêtes proprement dites

Au niveau des éleveurs, il y a un obstacle majeur car il existe un complexe de supériorité et/ou d’infériorité l’interlocuteur. Les données sont, dès fois, livrées avec beaucoup d’approximation. Aussi, de fausses informations peuvent se glisser parmi les données que nous avions recueillies.
Au niveau des propriétaires de grands troupeaux bovins, les informations sont encore plus floues car ils se méfient des intrus à cause de l’insécurité. Donc, ils sont de mauvaises fois. Durant les enquêtes, nous étions quand même privilégiésomme.C nous sommes de la région, la réalisation des rencontres et le remplissage des questionnaires n’étaient pas très difficiles. Mais cela n’empêche pas les personnes enquêtées à garder certains secrets concernant l’élevage bovin.

Les problèmes liés à la disponibilité des responsables

Les responsables ne sont pas toujours disponibles pour nous accueillir. Quelle que soit la motivation ou la curiosité qui pousse les jeunes étudiants à découvrir l’identité d’un territoire comme celui de l’Androy dont plusieurs activités restent inconnues. Les dignitaires, les autorités politiques et administratives, les fonctionnaires ne facilitent pas souvent l’accès des chercheurs aux archives. Pour surmonter ces obstacles, il nous a fallu user de persévérance.

Il est important de souligner qu’il faut avoir également la sympathie des responsables. La politisation des affaires de l’Etat depuis une très longue date a camouflé la réalité de la partie Sud de Madagascar. Nous espérons que la multiplication des recherches fera ressortir les atouts de la région et rendra cette zone plus attirante.

DELCROIX Françoise, 1992, Les cérémonies lignagères et la crise de l’élevage extensif en pays Sakalava Menabe. Thèse de Doctorat, 376 pages.

L’analyse de ce livre nous a permis d’estimer la pr atique cérémonielle entièrement organisée autour des sacrifices de zébus. La sociét Sakalava s’engage toujours aux pratiques cérémonielles malgré la pénurie qui se confirme. urLeidéologie et leur conception symbolisent le prestige lié à l’élevage. Cette société arrive toujours à trouver une alternative pour s’en sortir même en devenant dépendants des riches.
Quelle que soit la crise économique, les Sakalava ont toujours un bon moral. Les jeunes doivent trouver les solutions possibles pour offrir en sacrifice des zébus. Les jeunes femmes doivent se charger des petits travaux de l’élevage. Tous les membres de la société doivent accorder beaucoup de souci pour une bonne organisation des rites. Il faudra supporter les représailles, l’angoisse, le sentiment de culpabilité et de puissance en vue de donner une coloration dominante à la mentalité de tous dans laquelle les systèmes neprofitent pas.

Cette zone ressemble à celle des Antandroy en ce qu i concerne la dynamique des cérémonies sacrificielles. C’est une tradition encore vécue chez les Antandroy ; ceux-ci ont d’autres critères par rapport à ceux des Sakalava. Chez les Antandroy, une seule famille tue jusqu’à plus d’une dizaine de têtes de zébus tout au long des funérailles. La dépouille mortelle du défunt peut être gardée dans une maison spéciale au village pendant plus de deux ans. Durant cette période, les membres de la famille travaillent d’arrache-pied pour trouver beaucoup d’argent dans d’autres régions. L’objectif principal est l’achat des zébusqui seront tués lors des funérailles.

RAZANAZAFY Marie Louise, 1999, L’élevage bovin en pays Antesaka (Vangaindrano). Mémoire de Maîtrise Université de Toliara, 127 pages.

L’auteur décrit l’élevage de case dans le Sud Est.Celui-ci a perdu son caractère extensif. Il évolue bien que le problème de vol de bœufs persiste. Les paysans éleveurs ont réussi à maîtriser ce problème par l’instauration du « Dina Menavozo1 ». Ce pacte social est l’un des éléments-clés qui pourraient rétablir la sécurité de l’élevage danse ldistrict d’Ambovombe-Androy. Il y avait le « Dinan’ny Mpihary » avec le leader politique MONJA Jaona, mais actuellement, ce « Dina » est devenu désuet. Beaucoup de responsables font semblant d’oublier leurs propres attributions en essayant de chercher à développer la stratégie pourpromouvoir les potentialités de l’élevage.

Dans notre zone d’étude, quels que soient les problèmes (d’ordre naturel : aléas climatiques). Tous les arbres perdent leurs feuilles et même les sous-bois disparaissent à cause de la sécheresse due à l’insuffisance des précipitations . Les sols s’appauvrissent suite à l’adoption des méthodes et techniques culturales destructrices. Ilen résulte des mauvaises récoltes. Les pâturages s’appauvrissent également. Aussi, les paysans éleveurs pratiquent comme solution la transhumance. Cette stratégie demande un encadrement rapproché des éleveurs pour maintenir l’équilibre de l’environnement et pour la préservation de la productivité de l’élevage.
Les éleveurs doivent lutter contre les problèmes sanitaires dont la liste est très longue dans le Sud-Est. Il y a deux manières pour traiter les animaux : la méthode traditionnelle et l’intervention d’un vétérinaire par la médecine moderne.
Dans cette étude, la lutte contre les multiples parasites dépend de la disponibilité des responsables de l’élevage et de l’état d’esprit deséleveurs. Dans le district d’Ambovombe-Androy, les paysans éleveurs n’acceptent pas la méthode moderne. Ils s’attachent à la méthode traditionnelle.
L’imprégnation des jeunes instruits est le seuls moyen pour moderniser les méthodes et techniques de développement de l’élevage et de l’agriculture. Cette amélioration contribuera à la bonne gestion des pâturages qui dépend essentiellement de l’éradication de la pratique du « HATSAKY ».
Les régions du Sud-Ouest et de l’Androy sont une zone placée sous le signe du zébu. En effet, l’un des premiers objectifs des habitants est l’acquisition de nombreuses têtes de zébus. L’accroissement des troupeaux bovins est consécutif à deux stratégies : la stratégie traditionnelle et la stratégie moderne.
Mais les habitants de cette zone est fortement une société agricole. Ce qui veut dire que la terre constitue un trésor. La production agricole procure aux habitants des moyens financiers pour développer l’élevage bovin. Il existe aussi une société pastorale qui considère les troupeaux comme une grande richesse.

L’élevage bovin en pays Mahafaly est extrêmement extensif. Il a besoin d’un maximum de surface pour se développer d’autant que les pâturages herbacés sont relativement maigres. En saison sèche, des réserves fourragères des bas-fonds assurent l’essentiel de l’alimentation des animaux.
Ces réserves ne sont pas suffisantes pour alimenterles grands troupeaux bovins que les propriétaires mènent en transhumance dans le Fatrambe en saison sèche.
Cette étude reflète la manière par laquelle les habitants de Fotadrevo conçoivent la pratique de l’élevage bovin extensif lequel a une grande importance dans l’économie rurale.
Le système cérémoniel est la matrice principale dans laquelle les nouvelles solutions d’amélioration de l’élevage bovin doivent germer. La communauté des éleveurs pourra apporter des solutions pour sortir de la crise lorsqu’elle changera de mentalité mais ne continue pas à s’attacher aveuglément aux traditions. La société Antandroy tesune société conservatrice des traditions ; elle concentre ses efforts aux fins d’accumulation du maximum de troupeaux bovins. Cette richesse est au service des coutumes. Elle accompagne le défunt dans l’au-delà pour la vie éternelle. Elle est est également un signe de prestige social.

LES PREMIERS RESULTATS

L’élevage et les conditions climatiques

Les facteurs naturels non favorables au développement de l’élevage

Dans le district d’Ambovombe-Androy, le climat résulte des conditions naturelles défavorables au système du devéloppement de l’élevage extensif qui a été bien conçu auparavant. Cette situation a démontré dans ce district que l’élevage bovin est mal positionné en provoquant des mauvaises assises :
– L’espace envisageable et bien sans doute
– L’eau pose un grand défi
– Les cultures fourragères sont très reconnaissantes
Le climat semi-aride à aride prédomine. Les éleveurs trouvent en quelques sortes des idées sur les pâturages naturelles loin d’Ambovombe qui s ’appauvrissent au fil des années ; c’est dans la commune d’Antanimora Sud.

Impacts de l’aridité climatique sur l’élevage

Le climat aride, faut-il le rappeler, constitue le handicap majeur pour développement de l’élevage bovin dans le district d’Ambovombe-Androy. Les efforts déployés par les éleveurs traditionnels ne sont pas à la hauteur des obstacle s naturels tels que l’appauvrissement des pâturages, l’insuffisance des fourrages, la pénurie en eau des mares qui tarissent pendant la très longue saison sèche. Les différentes stratégies delutte pour sauvegarder les troupeaux (creusement de puits pour l’abreuvement du cheptel, l’utilisati on des feuilles de cactus comme fourrage de substitution, la pharmacopée traditionnelle, la transhumance) restent insuffisantes devant l’ampleur des dégâts. Il faudrait ajouter à tout cela l’insécurité dans les zones de transhumance. Contrairement aux nombreuses régions d’élevage traditionnel de zébus, la région de l’Androy s’oriente de plus en plus vers la production de lait et vers le transport.

La gestion des troupeaux

L’élevage bovin à Madagascar est réputé pour son caractère contemplatif. Dans le district d’Ambovombe-Androy, il a été constaté la même chose.Cependant, les choses ont eu le temps de changer. Certes, le zébu est un élément de base del’élevage. Mais de plus en plus, il y a une association de l’agriculture, de l’élevage et du transport tendance économique de l’élevage.
La culture attelée a longtemps eu gain de cause parmi les agriculteurs qui sont convaincus de la rentabilité de ce système de cultures. Les fourrages tirés des plantes cultivées servent d’aliments complémentaires pour les troupeaux bovins aussi bien dans les champs qui deviennent momentanément des pâturages après les récoltes quedans les parcs à bœufs.

Dans ce district où le transport motorisé fait défaut, les habitants recourent au transport par charrettes à bœufs. Ces dernières sont largement ut ilisées pour le transport des personnes, des produits agricoles et des récipients d’eau pour le ravitaillement en eau de la ville et des villages périphériques. Le transport des produits agricolesvenant de la campagne s’effectue soit à dos d’hommes, soit par charrettes d’autant que les pist es sont sableuses en saison sèche, de véritables bourbiers pendant la saison pluvieuse.
Ces modes de transports sont très durs et font beaucoup souffrir les zébus de trait. Cette activité est inévitable malgré le peu de rendement,c’est-à-dire que les résultats ne sont satisfaisants pous la société alors que le travail est très pénible. C’est pourquoi, beaucoup d’Antandroy quittent leur région pour aller travailler à Toliara ou ailleurs.
Les Antandroy migrent en grand nombre vers différentes régions de Madagascar. Ils espèrent y trouver de meilleures conditions de vie et surtout ils trouver dans ces contrées lointaines de l’argent qui leur permettra de s’acquitter des o bligations sociales (plus particulièrement les funérailles) qui les attendent dans leurs villages respectifs. L’argent accumulé dans les terres d’émigration sert essentiellement à l’achat de zébus qui seront sacrifiés lors des cérémonies religieuses (soro) ou bien ils seront tués en grande quantité pendant les funérailles. Des personnes non habituées à de tels événements n’hésitent pas qualifierà ces abattages de zébus d’hécatombes, voire de dépenses ostentatoires. Les zébus tiennentune place importante dans la vie des Antandroy : naissance, circoncision savatse, mariage traditionnel, les maladies (consultation des ombiasy2), décès (funérailles), voire dans les activités de population (travaux des champs, transports) et le remboursement des dettes, le salaire du gardien des troupeaux.

Les maladies animales

L’élevage traditionnel bovin dans le district d’Ambovombe-Androy est frappé durement par les épizooties. En effet, il existe plusieurs maladies qui tuent le bétail : des maladies virales comme le charbon symptomatique, le charbon bactéridien, la tuberculose, des maladies dues à des parasites (la douve du foie, la fièvre aphteuse). D’autres agents comme les tiques transmettent des maladies aux animaux. La tuméfaction musculaire à caractère emphysemato-gangreneux atteint bien souvent les grosses masses musculaires de la croupe et de l’épaule. L’animal infecté ne peut plus se déplacer ou se tenir débout ; il finit parmourir.

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Table des matières

AVANT-PROPOS
INTRODUCTION
PROBLEMATIQUE
Première partie ENQUETES ET METHODOLOGIE
1.- METHODOLOGIE ET ENQUETES
1.1.6.- Les communes enquêtées et les critères de leur choix
1.1.1.- Les communes enquêtées
1.1.2.- La commune urbaine d’Ambovombe-Androy
1.1.3.- La commune d’Antanimora-Sud
1.1.4.- Le choix du sujet
1.2. – LA METHODOLOGIE
1.2.1.- La recherche de documents
1.2.2.- Les enquêtes orales auprès des paysans
1.2.3.- Les enquêtes orales auprès des responsables du service d’élevage
1.2.4.- Le traitement des informations obtenues
1.3.- LES PROBLEMES RENCONTRES
1.3.1.- Les problèmes de documentation
1.3.2.- Les problèmes liés aux enquêtes proprement dites
1.3.3.- Les problèmes liés à la disponibilité des responsables
Deuxième partie LES ELEMENTS DE LA BIBLIOGRAPHIE
2.- REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
2.1.- BIBLIOGRAPHIE COMMENTEE
TROISIEME PARTIE LES PREMIERS RESULTATS
3.1.- L’élevage et les conditions climatiques
3.1.1- Les facteurs naturels non favorables au développement de l’élevage
3.2.1.- La saison d’été
3.2.2.- La végétation floristiquement très pauvre
3.2.2.1.- Le cactus sans épine (Opuntia inermis)
3.2.2.2.- Les autres types de végétation
3.2.3.1.- La gestion des troupeaux
3.2.3.2.- Les maladies animales
3.3.- Elevage et approvisionnement en eau de la population
3.1.- Les différentes sources d’eau dans le district d’Ambovombe-Androy
3.1.1.- Les puits
3.1.2.- Les puits traditionnels
3.1.3.- Les puits semi-traditionnels
3.2.- L’eau en provenance des différents captages
3.2.1.- La toiture de la maison
3.2.2.- L’impluvium
3.2.3.- L’Alimentation en Eau dans le Sud (AES)
3.3.- Le mode de conservation de l’eau dans le district d’Ambovombe-Androy
3.3.1.- Les matériaux utilisés
3.3.2.- Les barriques
3.3.2.- Les marmites
3.3.3.- Les calebasses
3.3.4.- La gestion locale de l’eau
5.- Perspectives de l’élevage bovin dans le district d’Ambovombe-Androy
5.1.- Les problèmes de l’élevage liés à l’insuffisance d’eau
5.1.1.- Les problèmes liés aux pâturages et à l’alimentation des bestiaux
5.1.1.1.- Insuffisance de cactus
5.1.1.2.- Les autres types de végétation
5.1.1.3.- Les problèmes liés à la gestion et au traitement
5.1.2.- Les différents travaux effectués par les zébus
5.1.1.1.- L’insuffisance des traitements faits sur les bêtes d’élevage
5.1.1.1.1.- La vaccination
5.1.1.1.2.- Les soins vétérinaires
5.1.1.2.- Les problèmes de la transhumance
5.1.1.2.2.- Date et préparatif de départ pour la transhumance et le retour
5.1.1.2.3.- Analyse de l’évolution de l’élevage pendant et après la saison de transhumance
5.2.- Les impacts de l’insuffisance d’eau sur l’élevage
5.2.1.- Le commerce
5.2.2.- La variation des prix
5.2.3.- L’effectif des animaux vendus et tués
5.2.4.- L’économie laitière
5.2.4.1.- La production laitière
5.2.4.2.- La commercialisation du lait frais « ronono velo » et du lait caillé « habobo »
5.2.4.2.1.- Lieux et modalités de vente
5.3.- La place du lait dans l’alimentation et l’économie de l’éleveur
5.4.- Le rapport entre les coutumes et l’élevage
5.5.- Les perspectives de l’élevage dans le district d’Ambovombe-Androy
5.6.- Les rapports entre l’élevage et l’agriculture
5.6.1.- Aperçu général
5.6.2.- Les avantages à tirer de l’élevage bovin
5.6.2.1.- Nécessité d’une formation technique des éleveurs
5.6.2.2.- Nécessité d’une formation technique de la population
CONCLUSION
PROPOSITION DE PLAN DE LA THESE DE DOCTORAT
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES CARTES
LISTE DES PHOTOS

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