Les facteurs locaux
De nos jours, l’esthétique dentairene saurait être considérée comme relevant exclusivement des dents elles-mêmes. Il faut prendre en compte l’ensemble des éléments qui participent au sourire et à l’ensemble des expressions du visage.
Au niveau prothétique, le but esthétique sera d’harmoniser le caractère minéral et statique dela prothèse avec un organisme vivant.
Le sourire
Le sourire est un signe expressif psychologique de ce qui n’est au départ qu’un simple mouvement physiologique .Il correspond souvent à un langage universel de politesse. Il indique une ouverture vis-à-vis d’autrui et la disponibilité.
L’homme a étendu le sens du sourire à toute la gamme des sentiments les plus variés : sourire moqueur, narquois, de dédain, de tristesse, sourire grimaçant…
Le sourire est l’expression la plusfacile à reconnaître, servant à transmettre aux autres êtres humains une impression de compassion et de compréhension.
Un beau sourire est un gage de charme et de beauté mais il constitue également la pierre angulairede l’interaction sociale.
Les patients d’aujourd’hui considèrent leurs dents, en particulier celles qui participent au sourire, comme un élément clé de l’apparence de leur personne.
Les dents constituent une composante essentielle du sourire avec le parodonte et les lèvres. La réhabilitation prothétique fixée doit évoluer en tenant compte des préoccupations des patients, conditionnée par le sourire sitôt qu’elle intéresse les secteurs visibles de la bouche.
D’une personne qui sourit ou qui parle, nous ne retenons qu’une vision d’ensemble de ses dents, les détails échappent s’il n’y a pas d’intérêt particulier à les reconnaître. A ce propos, LOMBARDI [5] écrit que « la vision d’ensemble des éléments agencés prime sur la morphologie de chacun d’eux, considérés isolement leur somme constitue une nouvelle entité morphologique. Ce n’est pas la forme d’une dent donnée qui a de l’importance en soi, mais l’influence qu’elle détermine au niveau de la composition ».
De ce fait, l’analyse attentive du sourire du patient revêt une importance dans la phase pré prothétique pour une meilleure intégration des dents dans l’harmonie du visage.
Les styles de sourire
Les plasticiens ont généralement identifié les structures neuromusculaires des différents types de sourires existants. Ainsi, en se basant sur leur classification, on distingue trois styles de sourire de base.
Le sourire commissural
C’est le style le plus fréquent. Dans ce sourire, habituellement associé à l’arc de Cupidon, les coins de la bouche d’abord relevés vers l’extérieur, sont suivis d’une contraction des muscles releveurs de la lèvre supérieure pour dévoiler les dents supérieures. Dans ce style de sourire classique, le bord incisif des dents maxillaires correspond à celui des incisives centrales. C’est le sourire moyen.
Le sourire cuspidé
La forme des lèvres est habituellement visualisée comme un diamant. Cestyle de sourire est identifié par la dominance des muscles releveurs de la lèvre supérieure, qui se contractent exposant les canines puis les coins de la bouche en relèvant les lèvres vers l’extérieur. Cependant, la hauteur des coins de la bouche est souvent inférieure à celle de la lèvre située au dessus des canines supérieures.
Il y’a souvent une inclinaison inférieureanalogue des prémolaires supérieures, par opposition à la convexité uniforme d’un sourire commissural. Cet effet « d’aile de mouette » se profile sur les tissus gingivaux, qui correspondent doncà la forme de la lèvre supérieure. Il correspond au sourire haut ou sourire gingival.
Le sourire complexe
La forme des lèvres est habituellement illustrée par deux chevrons parallèles. Les muscles releveurs de la lèvre supérieure et des coins de la bouche, les muscles abaisseurs de la lèvre supérieure et des coins de la bouche, ainsi que les muscles abaisseurs de lalèvre inférieure, se contractent simultanément, dévoilant toutes les dents inférieures et supérieures d’un coup.
La principale caractéristique de ce sourire est la forte traction musculaire et la traction de la lèvre inférieurevers le bas et l’arrière. Dans ce style de sourire, les plans incisifs maxillaire et mandibulairesont tous deux généralement uniformes et parallèles.
Bien que les styles de sourire aient des fondements neuromusculaires, les personnes peuvent habituellement tous les arborer. Un sourire a souvent été programmé par habitude, par complexe pour cacher un défaut (dent cariée, fracturée, dent absente) ou par une position inappropriée des tissus durs sous jacents. Ainsi à part ces 3 types de sourire décrits, il en existe des millions distincts, aussi nombreux qu’il existe d’individus.
L’espace négatif
Il est encore appelé « corridor buccal » par J.P.FRUSH et R.D.FISCHER [14], lors du sourire, c’est l’espace sombre compris entre les faces vestibulaires des dents maxillaires et les commissures des lèvres (figure N° 3). Son importance dépend de l’arcade maxillaire, dela tonicité musculaire et de la largeur du sourire.
Cet espace donne de la profondeur et du mystère au sourire en mettant en évidence la forme des bords libres et angles incisifs, des embrasures incisives, des faces vestibulaires et pointes cuspidiennes des dents postérieures. Il est présent existe lorsque les courbes de la lèvre supérieure et de l’arcade maxillaire sont différentes et tangentes au niveaudes incisives centrales. Il permet aux dents postérieures de s’estomper à mesurequ’elles s’éloignent de l’observateur selon les lois de la perspective et de la profondeur de champ.
Plan bipupillaire
Plan postural horizontal
L’œil juge par comparaison au moyen des contrastes et la découpe ainsi jugée est le meilleur moyen de saisir ledynamisme de la composition dentaire.
La forme de cet espace négatif est à considérer soigneusement en y ajoutant l’effet des incisives inférieures lors de la restauration prothétique fixée.
LES FACTEURS INTERVENANT DANS UNE REUSSITE ESTHETIQUE
Pour SAIZAR [5] : « La grande maxime en art dentaire est de se donner beaucoup de peine pour créer une œuvre qui passe inaperçue ».
Une prothèse est considérée comme esthétiquement réussie lorsqu’elle donne l’illusion du naturel et passe inaperçue pour le patient et son entourage. Il s’agit plus d’un problème de parfaite intégration au sein du visage grâce à un mimétisme parfait que d’un problème d’esthétique.
Pour atteindre l’objectif du naturel en prothèse fixée, il est primordial de passer par une analyse de la couleur, de la forme et de l’agencement des dents antérieures, leurs aspects et de leurs caractérisations ; sans oublier l’intégration esthétique au sein de la restauration et une bonne transmission des données recueillies par le praticien au prothésiste.
La détermination de la couleur
Les sensations visuelles font partiede notre quotidien.Elles peuvent, à l’occasion, se transformer en émotion selon notre humeur ou notre état d’esprit.
Il existe plusieurs façons de percevoir les choses ; voir est dèja « tout un art ».
Une vue superficielle des choses nous donne des informations banales.
Une vue approfondie nous livre une foule de détails avec les informations indispensables à la compréhension, la transmission et la reproduction des formes et des couleurs.
Choisir une couleur est un acte quotidien dans notre exercice, qu’il s’agisse d’une céramique ou d’une résine pour une restauration esthétique. Cet acte « banal » nous parait simple, mais il est en réalité complexe. Il exige des connaissances scientifiques, un œil avertiet un protocole précis pour obtenir un résultat satisfaisant. La couleur est définie généralement par trois paramètres : la teinte, la luminosité et la saturation.
Il faut signaler que la plupart du temps on parle du « choix de la teinte » des dents au lieu du « choix de la couleur » comme nous le faisons dans le langage courant car la teinte n’est qu’une des dimensions de la couleur.
Les bases physiques de la couleur
Sans lumière, aucune perception visuelle n’est possible d’où le fameux langage « la nuit tous les chats sont gris ». La lumière est la composante fondamentale de l’esthétique.
Emise par une source, ellepeut être naturelle (soleil) ou artificielle (électricité). La lumière visible perçuepar l’œil humain n’occupe qu’une petite fraction des ondes hertziennes constituée par les longueurs d’ondes comprises entre 360 et 780 nm. (1nanomètre = 10 m) : nous ne distinguons ni les rayons ultraviolets, situés vers 300nm, ni les infrarouges, situés vers les 800nm.
De ces observations découlent deux règlesfondamentales sur l’importance de la lumière incidente :
– La lumière incidente ne doit être ni tropfaible ni trop forte. Corollairement, quand il n’y a pas de lumière, il n’y aura pas de couleurs. Une dent se voit uniquement lorsqu’elle est frappée par unelumière incidente. Dans le noir, l’œil humain ne peut différencier les couleurs. Trop de couleurs « efface » les couleurs.
– La lumière incidente doit contenir l’ensemble des ondes visibles pour que la dent puisse réfléchir correctement une partie du spectre. Ainsi, lorsque la lumière incidente comprend trop de longueurs d’ondes dans le rouge par exemple, cela donne une dominanterouge à la dent à examiner.
Il existe trois sources de lumières naturelles (le soleil, la lune et le feu) et trois sources de lumières artificielles (la lampe à incandescence, le tube fluorescent et le flash photographique).
La lumière naturelle du jour émise par le soleil est très variable en fonction du moment de la journée, del’hygrométrie, des particules en suspension, de l’altitude, de la latitude et de la saison.Elle dispense une lumière directe jaune et une lumière indirecte bleue. La lumière du jour neutre (12h, le ciel légèrement nuageux, expose au Nord) est considérée comme la meilleure pour relever la couleur des dents.
A la différence de la lumière naturelle, la lumière artificielle fournit des conditions stables d’éclairages pour la détermination de lacouleur. Il faudra que cette lumière artificielle possède une composante spectrale la plus étendue et constante possible. La couleur perçue n’est donc pas une propriété de la dent ou de la restauration en céramique ou en résine mais elle se forme à partir du spectre de lumière disponible.
Dans un cabinet dentaire, les caractéristiques physiques de l’éclairage (plafonnier, scialytiques etenvironnement) jouent un rôle déterminant sur la perception des couleurs.
La fluorescence
Si, lorsqu’un rayonnement incidentultraviolet de longueur d’onde comprise entre 330 nm et 340 nm frappeun objet, il apparaît une émission de rayonnements visibles dans les bleus,on dit que l’objet est fluorescent.
L’opalescence
Elle est la capacité de l’émail à différencier les longueurs d’ondes. Les ondes courtes sont réfléchies (elles apparaissent bleues). Les ondes longues traversent l’email et apparaissent orangées de l’autre côté de la dent.
La plupart des céramiques actuelles possèdent cette opalescence que l’on retrouve surtout dans la dent jeune.
L’état de surface et la brillance
Ils influent beaucoup sur la teinte puisqu’ils modifient la réflexion de la lumière On notera qu’en faisant jouer la lumière incidente avec un miroir de bouche, il est plus facile d’observer la stratification de la dent.
Les trois dimensions de la couleur : teinte, luminosité et saturation sans oublier les autres ne sont pas perçues par l’œil avec la même importance. Par ordre d’importance, figurent la luminosité, la saturation et puis la teinte. Selon YAMAMOTO [11], la luminosité est trois foisplus importante que la teinte et deux fois plus importante que la saturation.
Pour compléter ces conclusions, il est logique de situer la translucidité juste après la luminosité, mais avant la teinte et la saturation. De même, il faut savoir que plus la luminosité d’une dent est élevée, plussa saturation est faible et moins la teinte a d’importance ; seule a de l’importance l’appréciation réelle de la luminosité et de la translucidité .A l’inverse, plus la luminosité est faible et la saturation élevée, plus la teinte etla translucidité ont de l’importance.
En résumé, il est important de garder à l’esprit que d’une façon générale, lors de la prise d’une couleur de ladent, la luminosité reste le facteur prédominant et la teinte le moins important.
La chronologie de détermination de la couleur
La façon de procéder pour le choix de la couleur de la dent à remplacer est guidée par quelques grands principes, que l’opérateur soit débutant ou expérimenté. Les suivre n’est pas une garantie absolue de succès, mais cela permet de minimiser les risques d’erreurs et aide à systématiser la démarche.
1. Utiliser le teintier préconisé par le fabricant de la poudre employé dans le cas des céramiques, dont le prothésiste se sert habituellement,
2. la prise de teinte s’effectue dans une bouche propre, avant la préparation, car non seulement les dents résiduelles sont déshydratées et changent de couleur, mais les poussières laissées par le fraisage, débris de tissus dentaires et de métaux, recouvrent toutes les surfaces dans la cavitébuccale. Il faut s’assurer que les dents sont nettes et exemptes de traces colorées.
3. Eclairage : éteindre le scialytique etles éclairages parasites. Avoir un éclairage normalisé. Ainsi il faut faire le choix initial de la couleur avec une source lumineuse corrigée, puis répéter le processus sous au moins une autre source pour réduire le métamérisme (deux surfaces ou deux couleurs sont métamères lorsque leurs courbes d’analyse spectrale ne sont pas superposables mais apparaissent de couleurs identiques sous certaines conditions d’éclairage) par exemple sous trois ambiances lumineuses différentes (lumière du jour, lumière artificielle du cabinet dentaire et faible éclairage).
4. Supprimer les couleurs interférentes dues au maquillage vif, au rouge à lèvre, au foulard ou travailler à l’oeil nu pour les couleurs et éviter les lunettes à verres teintés.
5. Le choix doit être fait rapidement (5secondes au moins) pour éviter la fatigue des cônes rétiniens. Balayerdu regard les tablettes du teintier et éliminer celles qui paraissent les plus éloignées. Procéder ensuite par élimination pour arrêter le choix. Humidifier celles quisont retenues et l’on doit se fier toujours à la première impression ainsi qu’à celle de l’assistante ou du technicien de laboratoire de prothèse,
6. Pour le choix de la luminosité, on peutremonter le fauteuil pour atténuer l’intensité lumineuse et placer l’échantillon en bouche et faire une prise d’une photographie en noir et blanc.
7. La teinte de la dent est définie par trois couleurs :
– la couleur de base qui est la couleur du centre de la dent
– une couleur cervicale (1/3 cervical)
– une couleur incisale (bord libre)
Les caractéristiques de l’émail sont choisies dans le tiers incisal (opalescence, niveau de translucidité).
8. Il faut réaliser sur la fiche du patientun schéma de teinte qui permettra d’enregistrer graphiquement les caractères spécifiques de chaque région de laface vestibulaire, indiquer les différentes teintes si plusieurs peuvent être identifiées aux différents niveaux de la dent et les porter leplus fidèlement possible sur la fiche de travail.
Il est plus judicieux, lorsque c’est possible, de faire parvenirau laboratoire une plaquette du teintier utilisé et une photographie en couleur, et en noir et blanc.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : RAPPELS ET GENERALITES
I – L’esthétique
1.1 – Définition
1.2 – Généralités
1.3 – Considérations esthétiques
II – La prothèse conjointe
2.1 – Définition
2.2 – Historique
2.3 – Classification
2.3.1 – La prothèse scellée
2.3.1.1 – La prothèse conjointe unitaire (PCU)
2.3.1.1.1 – Une couronne prothétique
2.3.1.1.2 – Couronne à pivot ou dent à tenon
2.3.1.2 – La prothèse conjointe plurale ou bridge
2.3.1.2.1 – Définition
2.3.1.2.2 – Le bridge conventionnel ou bridge scellé
2.3.2 – La prothèse collée
2.3.2.1 – La prothèse collée unitaire
2.3.2.1.1 – Les facettes collées en céramique ou vitro-céramique
2.3.2.1.2 – Les onlays en céramiques ou vitro céramiques
2.3.2.2 – Les prothèses collées plurales
2.3.3 – Les indications générales
III – L’esthétique en odontologie
3.1 – Les facteurs généraux
3.1.1 – Le sexe
3.1.2 – L’âge
3.1.3 – La personnalité
3.1.4 – L’occupation du patient
3.2 – Les facteurs régionaux
3.2.1 – L’harmonie du visage
3.2.1.1 – La forme du visage
3.2.1.2 – La typologie faciale etles caractéristiques dentaires
3.2.3 – La couleur de la peau
3.2.4 – Les lèvres
3.2.5 – La langue
3.3 – Les facteurs locaux
3.3.1 – Le sourire
3.3.1.1 – Les styles du sourire
3.3.1.1.1 – Le sourire commissural
3.3.1.1.2 – Le sourire cuspide
3.3.1.1.3 – Le sourire complexe
3.3.1.2 – Les types de sourire
3.3.1.3 – La courbe du sourire
3.3.1.4 – La ligne du sourire
3.3.1.5 – Le point-sourire
3.3.1.6 – L’espace négatif
3.3.2 – Le plan occlusal frontal ou plan esthétique
3.3.3 – La silhouette incisale
3.3.4 – Le milieu inter incisif
3.3.5 – La ligne endentogénique
3.3.6 – Harmonie gingivale
IV – Les facteurs intervenant dans une réussite esthétique
4.1 – La détermination de la couleur
4.1.1 – Les bases physiques de la couleur
4.1.3 – L’œil de l’observateur
4.1.4 – Les caractéristiques de la couleur de la dent naturelle
4.1.4.1 – La tonalité chromatique
4.1.4.2 – La saturation
4.1.4.3 – La luminosité
4.1.4.4 – La translucidité
4.1.4.5 – La fluorescence
4.1.4.6 – L’opalescence
4.1.4.7 – L’état de surface et la brillance
4.1.5 – La chronologie de détermination de la couleur
4.2 – La forme, la taille des dents etleur agencement sur l’arcade
4.2.1 – Quelques règles de proportion et de dominance ou positionnement de l’incisive centrale
4.2.2 – Des caractères morphologiques communs à toutes les dents
4.2.2.1 – Loi des directions
4.2.2.2 – Loi de modèle : constriction cervicale
4.2.3 – L’alignement axial
4.2.4 – Le profil d’émergence
4.2.5 – Les embrassures et les points de contact
4.3 – L’état de surface et les caractérisations
4.4 – Les impératifs parodontaux
4.4.1 – Bonne tolérance de la muqueuse buccale
4.4.2 – Une bonne tolérance du parodonte
4.5 – La prothèse provisoire
4.5.1 – Le maquillage et la caractérisation de la prothèse provisoire
4.6 – Les matériaux utilisés dans la confection des prothèses fixées esthétiques
4.6.1 – Les métaux
4.6.2 – Les résines
4.6.3 – Les céramiques
4.6.3.1 – Les céramiques dentaires classiques
4.6.3.2 – Les nouvelles céramiques
V – La relation patient / Praticien / prothésiste
DEUXIEME PARTIE : ENQUETE EPIDEMIOLOGIQUE
I – Généralités
II – Matériel et méthode
2.1 – Le type d’étude
2.2 – Le cadre de l’étude
2.3 – L’échantillonnage
2.4 – Le matériel
2.5 – La méthodologie
2.5.1 – Les critères d’éligibilité
2.5.2 – La procédure de recrutement
2.5.2.1 – Le pré-test
2.5.2.2 – L’enquête proprement dite
2.5.2.3 – Critères de jugement et variables
2.6 – Les méthodes statistiques d’analyse des données
III – Résultats
3.1 – Etude des caractéristiques générales de l’échantillon
3.1.1 – Répartition de l’échantillon selon le sexe
3.1.2 – Répartition de l’échantillon selon l’âge
3.1.3 – Répartition de l’échantillon selon l’ethnie
3.1.4. – Répartition de l’échantillon selon la profession
3.2 – Etude des considérations esthétiques
3.2.1 – Degrés de satisfaction selon la couleur des dents naturelles
3.2.2 – Répartition selon les considérations esthétiques dento-gingivale
3.2.3 – Répartition selon l’importance de la dent dans l’esthétique
3.2.4 –Répartition selon l’importance de la gencive dans l’esthétique
3.2.5 – Répartition de la perception du beau sourire
3.2.6 – Répartition des artifices recherchés dans un beau sourire
3.2.7 – L’acceptation de son propre sourire
3.3 – Evaluation de l’esthétique prothétique
3.3.1 – Le motif de réhabilitation prothétique
3.3.2 – Répartition des groupes professionnels selon le motif de réhabilitation prothétique
3.3.3 – Répartition du genre selon le motif de réhabilitation prothétique
3.3.4 – Répartition du genre selon la signification du beau sourire
IV – Discussion
4.1 – Les caractéristiques générales de l’échantillon
4.1.1 – Le genre
4.1.2 – L’âge
4.1.3 – L’ethnie
4.1.4 – La profession
4.2 – L’étude des considérations esthétiques
4.2.1 – Le degré de satisfaction selon la couleur des dents naturelles
4.2.2 – La répartition selon les considérations des éléments esthétiques dento-gingivales
4.2.3 – L’importance de la dent dans l’esthétique
4.2.4 – L’importance de la gencive dans l’esthétique
4.2.5 – La perception du beau sourire
4.2.6 – Artifices recherchés dans un beau sourire
4.2.7 – L’acceptation de son propre sourire
4.3 – Evaluation de l’esthétique prothétique
4.3.1 – Le motif de la réhabilitation prothétique
4.3.2 – Le motif de réhabilitation prothétique selon les groupes professionnels
4.3.3 – Le motif de réhabilitation prothétique selon le genre
4.3.4 – Répartition de lasignification du beau sourire selon le genre
V – RECOMMANDATIONS
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES