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Délimitation en Zones Administratives et Pédagogiques (ZAP)
La Circonscription Scolaire d’Antananarivo Renivohitra fait partie des 8 Cisco de la Région d’Analamanga et est divisée en six Zones Administratives et Pédagogiques (ZAP) correspondant à la division territoriale décentralisée qui sont les 6 districts de la Capitale.Au Nord-Ouest se trouve la ZAP VI ; Au Nord Est, la ZAP V ;Au Centre la ZAP
Le tableau suivant représente la classification des ZAP par catégorie, par distance par rapport au chef-lieu de la CISCO, et par superficie de chaque Commune. Il mentionne aussi le nombre des Fokontany et l’effectif de la population par genre au niveau de chaque ZAP. Des collectes de données auprès de la CUA et de la CISCO a permis d’élaborer ce tableau.
On peut remarquer que les ZAP de la CISCO Antananarivo Renivohitra appartiennent à la catégorie Hors Catégorie. Les chefs-lieux des ZAP ne sont pas éloignés du lieu d’implantation du bureau de la CISCO, et ce fait peut faciliter les relations de travail et les contacts fréquents. Toutefois, les localités constituant les domaines d’intervention sont très nombreuses ainsi que les effectifs démographiques.
La Circonscription Scolaire d’Antananarivo Renivohitra s’étend sur une superficie de 86, 40 km², qui est très minime par rapport à la Région Analamanga dont la superficie est de 17.445 km².
Ce phénomène s’explique par une forte densité démographique de 16.448 habitants/km². Selon l’EPM (2010), le taux de croissance démographique annuel est de 3%, largement supérieur à la moyenne nationale, et pouvant s’expliquer par l’exode rural.
LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES DE LA CISCO ANTANANARIVO RENIVOHITRA
Cette sous-section est consacrée à la présentation de tous les établissements scolaires ouverts au sein de la CISCO Antananarivo Renivohitra, et présente surtout les Collèges Publics qui sont notre champs d’investigation.
Aperçu général des établissements scolaires
A partir du tableau de répartition des établissements fonctionnels par niveau et par secteur, avec l’effectif des élèves au sein de la CISCO Antananarivo Renivohitra, on a pu élaborer le tableau ci-après. Voici un tableau qui essaie de donner une vision assez globalisante des établissements et des élèves dans la CISCO étudiée. Les variables étudiées concernent les niveaux d’études catégorisées en quatre catégories, et le statut des établissements entant que public ou privé En annexe figurent d’autres tableaux plus détaillés sur des statistiques travaillées et publiées par le Bureau de la division Programmation de la CISCO.
Par ailleurs, ces données recueillies de manière régulière et périodique nous a permis aussi de créer des graphiques pouvant refléter des tendances sur certaines variables et caractéristiques des établissements scolaires.
Dans le cadre d’une présentation monographique, ce tableau peut nous renseigner sur l’effectif des établissements scolaires fonctionnels à Antananarivo Renivohitra. On peut en déduire leur répartition en pourcentage selon le niveau d’études par le graphique suivant.
Certes le niveau primaire occupe le premier rang en nombre d’établissements, pourtant on peut dire que le niveau préscolaire commence à gagner du terrain dans le monde de l’éducation avec une proportion de 30% de l’ensemble des écoles pour l’année considérée. Relativement, le projet sur les activités préscolaires instaurées par le Ministère de la population avec l’appui de l’UNICEF avait commencé au début de l’année 1980 et avait pour but de mettre en place des CAPP pour constituer des centres de ressources et de formation d’enseignants. L’existence de ces centres pilotes a permis aux établissements scolaires qui veulent se lancer dans la vulgarisation du préscolaire de former leurs personnes ressources. Ainsi au bout d’environ 35 à 40 ans, la préscolarisation est devenue une étape indispensable et devient une nouvelle étape de socialisation de l’enfant.
Effectif des élèves par sexe et par niveau
Concernant les niveaux on peut constater que plus le niveau augmente, l’effectif des élèves diminue. On peut voir sur le graphique ci-après la répartition des élèves de la CISCO Antananarivo Renivohitra par sexe et par niveau.
L’effectif des élèves dans tous les établissements scolaires se chiffrent à 221.622 individus. Le nombre des garçons est supérieur à celui des filles aux niveaux PRESCOLAIRE et NIVEAU I, pourtant on constate que l’effectif des filles devient plus élevé par rapport aux garçons à partir du niveau II. Cette différence est très apparente au niveau III où les filles sont évaluées à 15.480 contre 13.254 pour les garçons. C’est une remarque importante qui devrait inciter les chercheurs à étudier de près l’hypothèse d’une volonté plus élevée chez les filles de continuer jusqu’au niveau lycée.
On peut mentionner aussi la baisse de l’effectif des élèves à partir du secondaire, et surtout entre le niveau II et le niveau III, la pente est très dangereuse, alors que cette tendance peut s’expliquer par le taux de décrochage. En effet, l’effectif des élèves au niveau des lycées s’évalue à moins de la moitié de l’effectif des élèves des collèges.
Il s’avère aussi de remarquer l’effectif très élevé des établissements scolaires privés par rapport à celui des établissements publics dans la CISCO Antananarivo Renivohitra. Le graphique suivant peut nous renseigner sur les proportions des élèves par niveau et selon le statut des établissements scolaires.
Ce graphique nous permet de connaitre le rôle prépondérant des écoles privées dans l’éducation quel que soit les niveaux. Cette importance est surtout très marquée dans le niveau préscolaire où les proportions des élèves sont les plus élevés. En effet 93 % des enfants préscolarisés se trouvent dans le secteur public. Le secteur public n’intervient que très peu pas dans ce domaine.
Pour les autres niveaux les établissements publics abritent respectivement pour le primaire 39 %, pour le secondaire du premier cycle 26% et pour les lycées 32 %.
Pour faire connaitre les institutions scolaires qui font l’objet de cette recherche, nous allons présenter tout d’abord un tableau synoptique relatif aux CEG sous tutelle de la CISCO Antananarivo Renivohitra.
Les CEG regroupés de la CISCO
La Circonscription Scolaire d’Antananarivo Renivohitra dispose actuellement de 15 CEG publics répartis au niveau des 06 ZAP.Dans cette étude le nouveau CEG d’Andranomena, fonctionnel depuis l’année scolaire 2016-2017 n’est pas encore pris en compte parce que seuls les niveaux sixième et cinquième sont ouverts pendant notre étude. Ce CEG a pu ouvrir ses portes grâce à la contribution du MEN et suite à un besoin exponentiel des riverains du sixième arrondissement. Ces CEG sont rattachés directement à la CISCO. Les chefs d’établissement sont nommés par décision ministériel sur proposition du chef CISCO.
Concernant le budget, la CISCO a un compte spécial CEG regroupés qui sont ventilés en quelques rubriques comme le paiement des factures de la JIRAMA, l’approvisionnement en fournitures de bureau et d’équipements sportifs. Puisque le budget alloué à ces CEG n’arrive pas à couvrir toutes les dépenses de chaque établissement, une participation comme caisse de soutien est à la charge des parents en plus de la cotisation FRAM.
D’après ce tableau, nous pouvons voir que 3 ZAP sur 6 ont chacun 03 CEG publics et les 03 autres n’en ont que 02. Par rapport au nombre de poulation par ZAP, qui appartiennent tous à une catégorie hors norme, ces CEG sont encore largement insuffisants.
Les 14 CEG qui représentent notre champs d’études accueillent plus de 20000 enfants de la capitale, et cette capacité ne représente que le tiers de la demande de la population.
Le graphique suivant récapitule les effectifs des élèves par CEG.
L’EDUCATION SELON LA SOCIOLOGIE DE DURKHEIM
Pour Emile Durkheim, l’éducation détient le rôle d’institution socialisante par excellence, elle fait de l’enfant un être social. Puisque présent dès l’enfance, le caractère contraignant des faits sociaux se fait moins évident et devient une habitude : c’est le principe même de la socialisation3. Mais pour s’inspirer il faut tout d’abord voir la société et les faits sociaux avant d’entamer la sociologie comme la science des institutions.
la société et les institutions
Selon toujours le fondateur de la sociologie, « le fait social s’impose à l’individu, qu’il le veuille ou non, et non le contraire »4 Il correspond à un système de normes établies pour et par la société et n’est que rarement modifiable autrement que par un bouleversement social ; l’homme acquiert un bon nombre d’entre elles dès le début de son éducation et tend à en intérioriser une grande partie. On peut dire que le concept de l’éducation ne se limite pas exclusivement à l’école. Selon le fonctionnalisme, comme l’une des théories dominantes au XXe siècle en sociologie dont les principaux représentants sont Talcott Parsons et Robert K. Merton5, la sociologie fonctionnaliste appréhende les sociétés à partir des institutions assurant leur stabilité et structurant les comportements individuels aux travers de rôles et de statuts.
Ainsi, l’école est considérée comme une institution qui possède un rôle prépondérant dans le processus de socialisation de l’enfant, mais cela ne veut pas dire que l’éducation peut se faire exclusivement à l’école. Pourtant, on accepte que l’école est une institution respectée par la population depuis la création de l’école par Radama I à Madagascar, et que les enseignants devraient avoir aussi une place importante dans la société.
Les personnes qui ont la charge de l’éducation à l’école, sont convaincus que les apprentissages à l’école ne suffisent pas à la socialisation complète de l’enfant et de l’individu. Sous l’approche fonctionnaliste, la religion doit s’occuper de la socialisation morale tandis que la famille détient la charge du premier agent de socialisation de l’enfant depuis sa naissance, puis lui faire intérioriser des valeurs et des normes acceptées par la famille et la société à laquelle elle appartient. Chaque famille a le rôle le plus important à faire dans la socialisation de l’enfant car en plus de cette mission de transfert de valeur et de normes, les parents doivent aussi prendre en charge des besoins alimentaires et matériels de l’enfant.
C’est à partir de ces théories que nous allons apprécier les rôles et les fonctions des acteurs concernés par l’éducation et la socialisation de l’enfant.
la sociologie compréhensive et l’école
Max Weber définit la sociologie come « une science qui se propose de comprendre par interprétation l’activité sociale et par là expliquer causalement son déroulement et ses effets6 » Par cette définition, il fait de la sociologie une science de l’ACTION sociale, en opposition à l’approche holiste de Durkheim, pour qui la sociologie est la science des FAITS sociaux.
Pour Weber, le monde social est ainsi constitué par l’agrégation des actions produites par l’ensemble des agents qui le composent. L’unité de base de la sociologie est donc l’action sociale d’un agent. Cette approche individualiste se fonde sur la perception de l’homme comme un être de conscience, qui agit en fonction de sa compréhension du monde et des intentions qu’il a.
C’est à partir de cette définition de la sociologie sur la compréhension qu’il s’avère important de considérer les agents sociologiques comme des individus qui agissent avec leur conscience. Les parents et les enseignants combinent leur action sociale en tant qu’agents, pour contribuer à l’éducation et à la socialisation de l’enfant. Nous avons choisi cette théorie dans le sens que la sociologie ne prend en compte que les actions proprement sociales, c’est-à-dire les actions dont le sens est orienté vers autrui, c’est-à-dire vers d’autres acteurs sociaux, quels qu’ils soient.
Les agents qui réalisent des actions sociales dans le domaine de l’éducation c’est-à-dire envers les élèves sont conscients de ce qu’ils entreprennent. Pratiquement, le leader du collège, ainsi que le personnel administratif chercheront à combiner leurs actions sociales pour que les élèves puissent acquérir des apprentissages suivant des normes et des valeurs. Et lorsqu’arrive la période d’examen, le taux de réussite sera meilleur.
L’institution scolaire, un cadre de référence
On veut essayer de donner un cadrage théorique au concept « institution scolaire » dans un point de vue de la trilogie de l’éducation, où les acteurs inséparables du système, devront veiller à ce que le contenu de l’éducation ou du programme soit toujours conforme au programme officiel, publié par le Ministère chargé de l’éducation nationale.
Les acteurs, ou les agents qui s’interagissent peuvent produire des actions sociales en faveur de la population cible, ici ce sont les élèves. Il ne s’agit pas seulement de suivre le programme officiel, mais il faut aussi se soucier de la capacité des enseignants qui assure l’enseignement des élèves. Cette considération nous amène à revoir et comprendre le profil des enseignants à partir des enquêtes effectuées auprès des 14 CEG qui appartiennent à la CISCO d’Antananarivo Renivohitra. Il s’agit ici du concept de « performance » des apprenants, une variable dont dépend étroitement la réussite. Il s’agit donc du niveau des enseignants, de l’expérience professionnelle et du dévouement au travail. Ce dernier déterminant revêt particulièrement chez les acteurs, un caractère psychologique dérivant de la conscience et de l’amour d’autrui.
La compréhension mutuelle et l’interdépendance entre les acteurs sont aussi vivement sollicitées pour éviter le dysfonctionnement du système. En revenant sur l’approche fonctionnaliste, il faut éviter le dysfonctionnement du système. Si l’un des éléments du système n’assume pas sa responsabilité convenablement, la désarticulation va provoquer des résultats non satisfaisants.
C’est à travers de ces concepts que les questionnaires et les guides d’entretien ont été élaborés. Questions de pouvoir obtenir des données et des connaissances permettant de comprendre le fonctionnement du système éducatif observé. Le questionnaire auprès des CEG a permis de collecter des données et informations sur les directeurs, les enseignants et le personnel administratif. On s’est efforcé aussi d’avoir quelques données quantitatives et ordinales permettant d’effectuer des analyses statistiques multivariées.
LE CONTEXTE SCOLAIRE ET LA POLITIQUE DE L’EDUCATION
L’institution scolaire étant l’une des institutions et domaines intervenant dans la politique publique de l’Etat, il faut cadrer l’étude sur des concepts liés à la place de l’éducation dans les programmes et projets de développement financés par le budget de l’Etat et des financements des bailleurs de fonds.
Le système éducatif malgache
L’enseignement général malgache présente la structure classique des systèmes éducatifs francophones. Il est ainsi subdivisé en : trois années de préscolaire (3-5 ans, non obligatoire); cinq années d’études primaires (6-10 ans) ou d’enseignement fondamental du premier cycle, sanctionné par le Certificat d’Études Primaires Élémentaires (CEPE); quatre années de collège (11-14 ans) ou d’enseignement fondamental du second cycle, sanctionné par le Brevet d’Études du Premier Cycle (BEPC); trois années d’enseignement secondaire (15-17 ans) sanctionné par le Baccalauréat; l’enseignement supérieur. Les études supérieures sont ouvertes uniquement à ceux ayant réussi le Baccalauréat.
L’enseignement technique et la formation professionnelle sont assurés par des centres de formation professionnelle octroyant un certificat d’études de formation professionnelle après deux ans de formation, et par les lycées techniques et professionnels assurant une formation de trois ans sanctionnés par l’obtention du baccalauréat technique (baccalauréat technologique et baccalauréat professionnel). Parallèlement à ce système formel, des possibilités d’éducation non formelle en partenariat avec la société civile sont proposées. Elles prennent des formes diverses comme des programmes d’alphabétisation, d’éducation des adultes, de Formation Professionnelle Qualifiante (FPQ) et d’Apprentissage des Métiers de Base (AMB) et sont offertes aux jeunes de plus de 15 ans. Trois ministères se partagent la responsabilité de l’éducation au pays : Le Ministère de l’Éducation nationale (MEN) ; Le Ministère de l’Emploi, de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle (MEETFP) ; Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESupReS).
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
Généralités
Motifs de choix du thème et du terrain :
Problèmes posés
Formulation de la problématique
Hypothèses
Objectifs de la recherche
Approche théorique et conceptuelle
Méthodes
Limites de la recherche
Annonce du plan
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDES ET APPAREILLAGE METHODOLOGIQUE
CHAPITRE I. MONOGRAPHIE DE LA CISCO ANTANANARIVO RENIVOHITRA
1.1 DELIMITATION PHYSIQUE DE LA CISCO ANTANANARIVO RENIVOHITRA
1.1.1 Localisation et situation géographique de la CISCO Antananarivo Renivohitra
1.1.2 Délimitation en Zones Administratives et Pédagogiques (ZAP)
1.2 LES ETABLISSEMENTS SCOLAIRES DE LA CISCO ANTANANARIVO RENIVOHITRA
1.2.1 Aperçu général des établissements scolaires
1.2.2 Effectif des élèves par sexe et par niveau
1.2.3 Les CEG regroupés de la CISCO
1231 Effectifs des élèves
CHAPITRE 2 : CADRAGE THEORICO-CONCEPTUEL
2.1 L’EDUCATION SELON LA SOCIOLOGIE DE DURKHEIM
2.1.1 la société et les institutions
2.1.2 la sociologie compréhensive et l’école
2.1.3. L’institution scolaire, un cadre de référence
2.2 LE CONTEXTE SCOLAIRE ET LA POLITIQUE DE L’EDUCATION
2 .2.1 Le système éducatif malgache
2.2.2 Le PSE, une réforme de la politique nationale de l’éducation
2.2.3 Les programmes et projets financés par les bailleurs de fonds
2.3. LES DETERMINANTS SOCIO-CULTURELS DES COMPORTEMENTS DES PARENTS ET DE LA COMMUNAUTE
2.4 LE PROCESSUS DE SOCIALISATION DE L’ENFANT
2.4.1 la famille
2.4.2 L’école
2.4.3 L’Eglise
2.4.4 Le rôle des groupes de pairs
2 5 THEORIE DE LEADERSHIP :
CHAPITRE 3 : TECHNIQUES ET OUTILS DE COLLECTE DE DONNEES
3.1. PRESENTATION DU CONTEXTE DE L’ETUDE
3.1.1 Population d’étude.
3.1.2 La représentation des personnes enquêtées
3.2. LE CONTENU DE L’ENQUETE SUR QUESTIONNAIRE
3.2.1 Le contenu et la forme du questionnaire-établissement
3.2.2 Les protocoles et logiciels informatiques
3.3 ENTRETIENS ET DISCUSSIONS DE GROUPE
3.4 REVUE DOCUMENTAIRE
3.5 RECHERCHE BIBLIOGRAPHIQUE
3.6 RECHERCHE WEBOGRAPHIQUE
CONCLUSION PARTIELLE
DEUXIEME PARTIE : LES RESULTATS DE LA RECHERCHE SUR LE CONTEXTE SCOLAIRE DES CEG DE LA CAPITALE ET L’EVOLUTION DU TAUX DE REUSSITE AU BEPC
CHAPITRE 4 : REPRESENTATION SOCIO-ORGANISATIONNELLE ET PEDAGOGIQUES DES CEG
4.1 LE TAUX DE REUSSITE AU BEPC
4.2 L’ORGANISATION PEDAGOGIQUE AU SEIN DE L’INSTITUTION ECOLE
421 Les caractéristiques des élèves fréquentant les CEG
4.2.2 Le statut des enseignants
4 .2.3 Besoins en enseignants
4.2.4 Répartition des enseignants par genre
4.2.5 L’âge des enseignants
4.2.6 l’importance des enseignants normaliens
4.2.7 Le niveau d’instruction des enseignants
4.3 LA QUALITE DE LEADERSHIP ET L’ORGANISATION ADMINISTRATIVE
4.3.1 Prise de décision sur les objectifs pédagogiques
4.3.2 Pour quels motifs le leader consulte les enseignants ?
4.3.3 tendances des opinions des enseignants ?
4.3.4 Regroupement annuel des chefs d’établissement
4.4 MOTIFS D’ABSENCE OU RETARD ET REGULARISATION
4.4.1 Motifs des absences de l’enseignant
4.4.2 Sanctions des enseignants en cas de retard/absence
4.4 .3 Sanctions des élèves
CHAPITRE 5 : LA MOTIVATION DES PARENTS, ET LA PARTICIPATION COMMUNAUTAIRE
5.1 CARACTERISTIQUES SOCIO-DEMOGRAPHIQUES DES PARENTS
5.1.1 Le petit commerce formel ou non
5.1.2 Les petites activités artisanales improvisées
5.1.3 Les salariés et les professions stables
5.2 ATTITUDES ET PRATIQUES DES PARENTS EN MATIERE DE SCOLARISATION
5.2.I la motivation des parents par rapport aux moyens
5.2.2 La motivation relative au suivi de l’éducation
5.2.3 La motivation des enfants
5.3 PARTICIPATION COMMUNAUTAIRE ET MOTIVATION DES PARENTS
5.3.1 suivi de l’éducation au foyer, un problème de disponibilité en temps
5.3.2 Suivi de l’éducation au foyer, et niveau d’instruction des parents
5.3.3 Suivi et correspondance à l’école
5.4. LES RAISONS DES CONTACTS ENTRE LE LEADER ET LES PARENTS, ET EVENTUELLEMENT LE FRAM
5.4.1 Activités émulatives et culturelles
5.4.2 Moyen de communication
5.4.3 Entretien des infrastructures et des matériels,
CHAPITRE 6 : ANALYSE DES RESULTATS ET VERIFICATION DES HYPOTHESES
6.1. LES IMPACTS DE L’ORGANISATION PEDAGOGIQUE ET ADMINISTRATIVE
SUR LA REUSSITE SCOLAIRE
6.1.1 Organisation pédagogique et logistique à l’école
6.1.2 La réussite au BEPC
6.1.3 L’hypothèse de la complexité de la réussite scolaire
6.2 ANALYSE LONGITUDINALE DE LA REUSSITE AU BEPC
96.1.1 Evolution de l’effectif de la cohorte inscrite en classe de sixième, année scolaire 2011-2012
6.1.2 Le taux d’achèvement du cycle de collège
6.1.3 Le taux de rétention
6.3 LES GOULOTS D’ETRANGLEMENT
6.3.1 Au niveau des équipements et matériels scolaires
6.3.2 Synergie entre le corps des enseignants
6.3.3 Les postulats générateurs de débats et de discussions au niveau national
CONCLUSION PARTIELLE
TROISIEME PARTIE : DIALECTIQUE ET DISCUSSION SUR LA REUSSITE SCOLAIRE
CHAPITRE 7 : DISCUSSION SUR LES FACTEURS ET LES DETERMINANTS DE LA REUSSITE SCOLAIRE
7.1 HISTORIQUE DE LA PRISE EN CHARGE DE L’EDUCATION PAR L’ETAT
7.1.1 Historique de l’école à Madagascar
7.1.2 Débat sur le désengagement de l’Etat et accroissement de la participation communautaire
7.I.3 les associations de parents d’élèves (FRAM) et le contexte de pauvreté
7.2 L’APPROCHE COMMUNAUTAIRE : ASPECTS CULTUREL ET NOVATEUR
7.2.1 Scolarisation liée à la responsabilité parentale
7.2.2 École privée, école publique ?
7.2.3 Rôle des parents dans la construction des curricula
7.2.4 L’école : lieu de la mobilisation des différents acteurs
7.3 LES POSSIBILITES DU BUDGET DE L’ETAT
7.3.1 La distribution des kits scolaires
7.3.2 Les possibilités de financement des infrastructures
7.3.3 L’intervention des bailleurs de fonds
7.3.4 Reformulation des problèmes et discussions sur le budget de l’éducation
7.4 LA QUESTION ENSEIGNANTE AU COEUR DES PROBLEMATIQUES
7.4.1 le problème de non-remplacement des EF
7.4.2 les enseignants ne bénéficient pas des mêmes occasions de formation selon leur statut.
7.4.3 Des interrogations sur la qualité de l’enseignement
CHAPITRE 8 : LES REPONSES DE L’INSTITUTION SCOLAIRE AUX DEBATS
8.1 SYSTEME EDUCATIF : LE PLAN SECTORIEL DE L’EDUCATION
8.1.1 La contribution des parents à la surveillance de l’étude des enfants
8.1.2 L’usage des matériaux locaux
CHAPITRE 9 : PISTES D’ACTIONS ET PROPOSITION DE SOLUTIONS
9.1 AMELIORER LES POSSIBILITES D’APPRENTISSAGE DES DISCIPLINES FONDAMENTALES DES LES PREMIERES ANNEES DU PRIMAIRE POUR TOUS LES ENFANTS
9.1.1 Etudier le difficile contexte d’apprentissage du français
9.1.2 Mettre en place des mesures de soutien aux élèves en difficulté
9.1.3 Favoriser les travaux collaboratifs entre les enseignants et améliorer la qualité des formations des enseignants
9.2 AMELIORER LA GESTION DES RESSOURCES EDUCATIVES SURTOUT DANS DES ZONES PRIORITAIRES
9.2.1 Ciblage des zones prioritaires
9.2.2 Indice d’aménagement de la localité de l’école
9.2.3 La taille de classe et les performances scolaires
9.3 RENFORCER LES COMPETENCES DU PERSONNEL D’ENCADREMENT DANS LES ECOLES
9.3.1 Miser sur la qualité de leadership des directeurs d’école
9.3.2 Les qualités managériales des directeurs d’école vis-à-vis des relations avec les enseignants.
9.3.3 Gestion managériale des relations de travail avec les FRAM et la communauté
9.4 MANAGEMENT ADMINISTRATIF ET FINANCIER
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
TABLE DES MATIERES
ANNEXES
RESUME
ABSTRACT
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