LES ENJEUX ET LES POLITIQUES MISES EN OEUVRE

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La qualité restreinte des produits agricoles à exporter

Cela est dû essentiellement par l’inexistence de la véritable spécialisation. La pratique de culture simultanée de plusieurs plantes sur la même parcelle rend la quantité de manière réduite assurant tout simplement la substance. Les paysans qui possèdent sans conteste l’art d’adapter leur utilisation des terres aux contraintes du milieu sont souvent incapables de tirer de ces terres le profit maximum. Leur action a tendu non pas à conserver et encore moins à augmenter la fertilité du sol mais plutôt à freiner sa dégradation. Ils mettent souvent le temps à se plier aux transformations que subit leur milie u et dans ce cas, la production stagne à un niveau médiocre. La production a un peu plus que lenécessaire ne fait que réduire la quantité à exporter.
Parallèlement à l’inexistence de spécialisation, il existe aussi d’autres facteurs qui réduisent la quantité à exporter. L’expansion des cultures d’exportation doit beaucoup au développement et à la multiplication de plantes améliorée qui s’accommodent avec les conditions locales. Par la sélection et l’hybridation, le rendement augmente. Cependant, on a identifié de nombreux insectes nuisibles, de nombreuses maladies. On ne trouve pas en général les moyens efficaces pour les combattre. Eneffet, les efforts déployés pour faire progresser l’agriculture n’avaient porté tous leurs fruits parce que la recherche n’avait pas trouvé de solution attrayante à tel ou tel problème qui se posait aux paysans. De ce fait la quantité destinée à exporter reste restreinte. Le manque de moyens techniques capables d’augmenter la production se révèle aussi comme facteur de blocage à l’exportation des produits agricoles. Le problème le plus général concerne le maintien de la fertilité de la terre.
A cela s’ajoutent les difficultés que les paysans rencontrent en pratiquant les cultures vivrières. Comme le paysan doit consacrer le plus clair de leur travail et de leurs terres arables à ces cultures dont ils ne tirent qu’un fai ble rendement, il est souvent résulté un retard dans la mise en valeur agricole. Beaucoup d’entre eux ne disposent ni de variétés, ni de techniques de qualité qui leur permettent de produire dans de meilleures conditions ce qui est nécessaire à leur nourriture.

Faute de matière première et d’industrie de transformation

Outre la spécialisation trop étroite dans les industries de consommation, les activités industrielles des PED ne traitent qu’une faible part de matière première et ne suffisent pas à assurer la consommation indigène. L’industrie dans les PED est marquée par l’absence d’industrie de base (les grandes industries métallurgiques de transformation) essentielle à l’industrie moderne. L’insuffisant développement de nombreuses industries de transformation se justifie dans la mesure où en traitant une matière première locale, fournie en abondance, les nombreuses industries de transformations livrent à la consommation locale des produits finis qui dispensent les PED d’importation coûteuses ou alimentent une exportation dont le frais de transport sont mieux supportés pour un article élaboré que pour une matière première brute. Mais ces raisons n’ont pas suffi à provoquer un développement de l’industrie car d’une part les PED continuent à vendre à l’état brut des produ its qu’ils seront plus avantageux de travailler sur place. D’autre part, beaucoup d’indu stries de consommation ne suffisent pas à assurer la consommation du pays où elles sont installées.
D’autres causes viennent renforcer le manque d’indu stries de transformation telles que l’insuffisance de l’équipement en moyen de transport, les conditions naturelles qui sont tout d’abord singulièrement difficiles ( les reliefs côt iers, abrupts, faillés, chaînes plissées etc.…).
De plus, certaines industries requièrent une masse abondante de main d’œuvre. Mais, dès qu’un développement industriel suscite des industries de transformation, la plupart de celles-ci exigent une certaine qualification de la main d’œuvre.
L’industrialisation dans les PED est réduite par un développement anarchique et étranger aux conditions normales d’une saine concurrence. Quantitativement, comme qualitativement, l’insuffisance de l’industrie est indiscutable parce que les matières premières sont toujours en manque, les transports sont précaires, phénomène aggravée par l’insuffisance quantitative et qualitative2 de la main d’œuvre, et l’insuffisance des investis sements.

Accès difficile aux marchés des Pays Développés

D’importantes restrictions en matière d’accès au marché demeurent. Il s’agit en particulier :
· des droits de douanes élevés : selon une étude de’OCDE,l la protection aux frontières dont bénéficier l’agriculture était plusfort en 1996 qu’en 1993. Les droit de douane demeurent de l’ordre de 35% pour les produits agricoles .
· de la progressivité des droits : sachant que les produits transformés représentent environ la moitié des produits agricoles échangés dans le monde, le système de progressivité des droits-système selon lequel les droits augmentent à mesure du niveau de transformation des produits, cantonne les PED à l’exploitation de produits primaires .
· de la complexité des droits : la structure tarifaire appliquée à l’agriculture par certains pays développés prévoit de multiples aménagements qui nuisent au développement de nouvelles opportunité d’échangesDroits. spécifiques sur certains produits, disparités et manque de transparence dans la gestion de droits fixés sur les contingents tarifaires sont autant d’obstacles à l’expansion des exportations des PED .
· des exigences induites par les accords sur les mesures sanitaires et phytosanitaires et sur les obstacles techniques au commerce (OTC) : l’harmonisation de règles et de normes auxquelles doivent répondre les produits agricoles et les denrées alimentaires échangées internationalement met les pays en développement en difficulté. D’une part, ils n’ont pas nécessairement les capacités technique et financière pour appliquer et faire respecter ces normes (d’autant que les aides de la communauté internationale mentionnées dans ces Accords ne se sont jusqu’à présent pas concrétisées) et d’autre part, ils n’ont qu’un faible niveau de part icipation dans les organismes internationaux qui établissent ces normes.

Fuite de la valeur ajoutée de la transformation

La plupart des matières premières en particulier les produits agricoles, sont exportés par les pays en développement, ce qui signifie que la valeur ajoutée par la transformation n’est générée le plus souvent que dans les pays industrialisés. De plus, on sait que les barrières douanières à l’importation dans les pays industrialisés, augmentent avec le degré de transformation des produits agricoles. Cette escalade tarifaire est organisée pour protéger les industries de transformation dans les pays développés. Elle favorise donc le transfert de la valeur ajoutée de la transformation, des pays pauvres vers les pays riches.
La plupart des marchés internationaux de produits agricoles sont dominés par quelques entreprises transnationales. Aux deux extrémités dela filière « filière d’approvisionnement », il y a d’un côté, des millions de petits producteurs, de l’autre quelques géants de l’agroalimentaire. Le combat est inégal et cela se répercute sur la répartition des bénéfices. Il s’ensuit que, si la faiblesse des cours internationaux ruine les communautés les plus démunies, les consommateurs n’en profitent nullement. Au cours du pire effondrement des marchés de matières premières depuis cinquante ans, les prix à la consommation n’ont cessé d’augmenter.
Ces filières d’approvisionnement « tirés par les acheteurs » sont caractérisées par :
i- un grand nombre de producteurs face à un petit nomb re d’acheteurs .
ii- des prix dérégulés, fixés par le seul marché .
iii- des barrières commerciales majeures élevées contrela pénétration de nouveaux acheteurs et négociants, ce qui réduit la concurrence.
L’interaction de ces trois facteurs affaiblit considérablement la position des petits agriculteurs dans la filière d’approvisionnement mondiale. Leur part de revenus dans la filière, ne cesse de décroître. Cette répartition ed moins en moins équitable conduit à un transfert de ressources insupportables, des plus pauvres vers les plus riches.
La domination du secteur primaire explique généralement la dépendance des pays en développement à l’égard des produits agricoles. La situation économique de ces pays ne leur permet que de pratiquer de l’agriculture et de vendre les produits agricoles.

Alimente la croissance économique

Le commerce agricole peut jouer son rôle dans la réduction de la pauvreté et de l’insécurité alimentaire lorsqu’il est placé avec esd réformes des politiques et des investissements dans les infrastructures et le développement rural. Preuve en est le cas de Viêt-Nam : entre 1991 et 2001, l’économie de Vietnam a accusé une connaissance rapide, avec un taux annuel alimentée de 7% et la population des personnes sous alimentés a été réduite de 27% à 19%. Dans la même période, la production agricole s’est accrue de 6% par an et les exportations agricoles ont connu une croissance encore plus rapide. Après voir vu les exportations et les importations agricoles plus ou moins s’équilibre vers la fin des années 80 le Vietnam a enregistré un fort excèdent du commerce agricole dans les années 90.
Les bases de la croissance agricole du Vietnam ont été jetées en 1986. Un programme de reforme économique a donné aux agriculteurs la maîtrise de la terre, leur a permis d’augmenter leurs ventes sur les marchés et a réduit la fiscalité agricole. Les exportations du Vietnam ont également tiré bénéfice d’un accès renforcé au marché. Une campagne agressive d’éradication de la pauvreté, qui a encouragé les nvestissements dans les infrastructures rurales a également contribué à renforcer la production agricole et à réduire la faim. L’amélioration de la sécurité alimentaire des agriculteurs pauvres réside dans l’assurance que la reforme des prix s’accompagne de politiques garantissant que les perspectives de commercialisation sont réelles, accessibles et crédibles.

Intensifie l’impact de l’accord agricole

L’objectif de l’Accord agricole était de libéralise les échanges en limitant les mesures de politique agricole qui interfèrent avec le jeu du marché à savoir le soutien et la protection de l’agriculture. Les résultats attendus, dont les pays en développement devaient bénéficier en premier étaient les suivants :
– Un accroissement des opportunités d’exportation dû à un meilleur accès aux marchés des pays développés qui restent de consommation.
– Une plus grande stabilité et une meilleure fiabilité des marchés internationaux résultant de la libéralisation du commerce agricoles et de la réduction des distorsions liées aux soutiens internes et à l’exploitation.
Pour les PED, la question de l’accès aux marchés pour leurs produits d’exportation est primordiale. L’accord agricole a entraîné des réductions tarifaires à l’entrée des marchés des pays développés. Ces réductions sont de 37% en moyenne pour l’ensemble des produits agricoles. L’impact pour les échanges est positifs car la baisse de droits de douane réduits les prix à la demande. De plus, l’ampleur des réductions peut apparaître importante. Toutes fois, ces réductions s’appliquent soit à des droits de douane très faibles et ne deviennent donc avoir qu’un impact positif limité sur les volumes exportés, soit à des droits très élevés et l’accès devrait alors rester prohibitif.
La préoccupation des PED concerne essentiellement le développement de l’exportation des produits agricoles. Toutefois le proclamé est d’établir « un système commerciale agricole loyal et orienté vers le marché » en réduisant les tarifs douaniers. Cela peut avoir un impact significatif sur la production et la production sur l’exportation.

Politique de développement du secteur agricole

La politique de développement de secteur agricole concerne d’une part l’efficacité du système d’approvisionnement en intrants6 et l’existence de système de crédit fiable c’està-dire avec un taux d’intérêt et un taux de récupération des crédits suffisamment élevés pour permettre la poursuite des opérations à réaliser. L’approvisionnement en moyen de production et crédit agricole permettent d’améliorer et d’augmenter la quantité des produits agricoles. D’autre part la politique met en valeur les engagements pris au niveau des paysans de façon a ce qu’il ne s’agisse pas de retard dans le livraiso ns ou bien les quantités livrées sont nettement inférieurs à la demande exprimée pour les semencesaméliorés ou sélectionnés, les engrais, les pièces détachés etc. . . D’où la politique conduit à une maîtrise satisfaisante de l’approvisionnement en moyen de production 7.
La politique de développement de secteur agricole favorise également les débouchés. La facilité de procéder à la commercialisation recouvre une grande importante pour les produits agricoles. Il s’agit des conditions dans les quelles s’effectue la commercialisation des produits. Une amélioration de ces conditions de commercialisation pouvait entraîner des augmentations des produits significatives. Pour avoir de résultat satisfaisant, on applique la politique de commercialisation et le crédit agricole en complémentaire de manière a ce que le remboursement du crédit se fait par un prélèvementà la source lors de la commercialisation. Dans cette politique, le gouvernement renforce le crédit agricole dans le but d’augmenter l’utilisation des intrants et d’accroître la produc tion agricole commercialisée.

Politique de développement du secteur industriel

Il est essentiel pour les PED de chercher en priorité à développer des industries de transformation, à améliorer les conditions de concurrence, encourager l’investissement étranger, encourager la croissance macroéconomique,adopter des politiques cohérentes et complémentaires, tenir compte de la dimension sociopolitique, assurer un développement des marchés, diversifier les relations commerciales et développer l’infrastructure. Mettre l’accent sur la nécessité d’adopter des stratégies globalespour l’ensemble de l’économie mais aussi des stratégies sectorielles.
Tous les pays devront s’employer à enrayer la désindustrialisation8. La croissance économique industrielle devra être soutenue et s’accéder nettement si l’on veut que les revenus par habitant augmentent, que les niveaux de vie s’élèvent et que la pauvreté diminue. Cela exigera une expansion accélérée de l’industrie, un développement industriel plus diversifié et élargi.

Visent le même objectif : réduire la pauvre té

Le PRD énonce les préoccupations de la région. Cespréoccupations sont conformes à celles décrits dans le DSRP ayant comme objectif : la réduction de la pauvreté. Le MCA en tant que programme du gouvernement de Madagascar vise une réduction conséquente de la pauvreté du monde rural. Par conséquent, ces 2 programmes essayent de réduire la pauvreté.
Le document de stratégie nationale de réduction dela pauvreté à Madagascar (DSRP) se concentre sur l’augmentation des revenus ruraux. 80% des pauvres de Madagascar vivent dans les zones rurales et le DSRP montre que la majorité de ces personnes n’a pas bénéficié de la croissance macroéconomique où les avantages de la sécurité n’ont pas été étendus aux zones rurales. L’évaluation la plus récente du Personnel conjoint du DSRP malgache soutient les 3 principes de base qui sous-tendent le DSRP dont le but est de stimuler la croissance de l’investissement :
(i) un engagement à un investissement de taille dan s l’infrastructure de transport en commun afin d’intégrer les paysans dans l’économiede marché.
(ii) un engagement au partenariat public-privé dans la gestion des principales entreprises publiques
(iii) un engagement à améliorer l’environnement pour l’investissement privé par des réformes dans, entre autre, l’immatriculation foncière et des lois pour la sécurisation foncière.

Intervention dans le monde rural

Le Gouvernement s’est engagé dans un processus consultatif qui s’est étendu par des ateliers et des sessions subséquentes. Les propositions issues de ces ateliers et des sessions sont entreprises et reflètent les idées et les stratégies exprimées dans le DSRP donc du PRD et MCA. Etant donné la base essentiellement rurale de la pauvreté à Madagascar, une approche focalisée sur le rural pour la croissance économique sera d’une importance primordiale pour tout effort de réussite dans la réduction de la pauvreté. Les FMI / IDA approuvent la stratégie de réduction de la pauvreté, qui selon leur conclusion est « correctement construite autour de l’amélioration de la productivité agricole et de l’attraction des investissements dans l’agri-busness vers les zones à potentiel élevé».
Les propositions se sont concentrées, entre autres,sur l’amélioration de la productivité agricole et l’augmentation de l’agro investissement dans les zones au potentiel élevé. Le développement de la Région affecte la croissance économique et la réduction de la pauvreté. Ces 2 programmes sont entièrement en cohérence avec, et supportent directement, le domaine de priorité suivant identifié par le Gouvernement ansd le DSRP : l’amélioration de l’environnement pour l’investissement des secteur p rivé par la réforme légale et politique ainsi que le développement de l’infrastructure financière, l’augmentation de la sécurisation foncière et l’apport de la connaissance des opportunités du marché et des besoins dans les zones rurales.

Le programme MCA soutient le programme PRD

Dans le secteur agriculture, le Programme MCA est représenté par l’ « ABC » (Agricultural Business Center). Par rapport aux orientations définies dans le Programme PRD dans le domaine de l’agriculture, le programme MCA constitue un soutien de PRD. Le soutien du MCA repose sur le fait d’aider les paysans à passer d’une agriculture de subsistance à une agriculture de marché. Une productivité agricole faible et des chaînes de valeur non compétitive dans l’agri-business (aboutissant à une pauvreté élevée) ont ét fréquemment identifiées pendant le processus consultatif comme questions prioritaires devant être abordées. Actuellement, les niveaux faibles d’investissement et de rentabilité dans toute l’économie agricole sont les résultats de manque de sécurisation des droits fonciers, de la disponibilité limitée du crédit et des finances du secteur de l’agri-busness, de la détérioration du transport et de l’infrastructure d’irrigation, et de faible utilisation d’intrants t els les engrais, les machines et les pesticides par les paysans. En outre, il y a en général parmi lesproducteurs agricoles une compréhension limitée des opportunités de marché et des conditions associées.
Face à ces obstacles, les ABC améliorent la qualité de la demande de crédit, en relevant, au niveau de l’entreprise la capacité de prendre de meilleurs décisions sur la plantation, la gestion des intrants et la commercialisation ainsi que de pouvoir communiquer ces décisions aux investisseurs ou aux organismes de crédit éventuels. Il y a une demande évidente de ressources de qualité supérieure afin ’augmenterd la capacité régionale et locale d’identifier et accéder aux opportunités avantageuses de marché dans l’agri-busness.

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Table des matières

PREMIERE PARTIE : APPROCHE THEORIQUE : L’EXPORTATION DES PRODUITS AGRICOLES DANS LES PAYS EN DEVELOPPEMENT
CHAPITRE I : EXPORTATION BASEE SUR LES PRODUITS AGRICOLES 
Section 1 : Prépondérance du secteur primaire en particulier l’agriculture
1.1. La dépendance à l’égard des produits agricoles
1.2. La pratique de l’agriculture traditionnelle
1.3. Faute de spécialisation
Section 2 : Exportation des produits agricoles bruts
2.1. Quantité restreinte des produits agricoles à exporter
2.2. Faute de matières premières et manque d’industrie de transformation
Section 3 : Les impacts sur l’économie
3.1. Crise des matières premières agricoles
3.2. Accès difficile au marché des Pays Développés
3.3. Fuite de la valeur ajoutée de la transformation
CHAPITRE II : L’IMPORTANCE DE L’AGRICULTURE ET DU COMMERCE DES PRODUITS AGRICOLES
Section 1 : Rôle crucial de l’agriculture
1.1. Sécurité alimentaire
1.2. Générateur de revenu
Section 2 : Rôle crucial du commerce des produits agricoles
2.1. Favorise l’activité commerciale
2.2. Alimente la croissance économique
2.3. Intensifie l’impact de l’accord agricole
CHAPITRE III : LES ENJEUX ET LES POLITIQUES MISES EN OEUVRE
Section 1 : Les enjeux
1.1 : Accès au marché des Pays Développés
1.2. Transformation des produits agricoles et agro-industrie
1.3. Industrialisation mue par l’agriculture
Section 2 : Les politiques mises en oeuvre
2.1. Politique de développement du secteur agricole
2.2. Politique de développement du secteur industriel
2.3. Politique commerciale18
DEUXIEME PARTIE : ETUDE DE CAS : EXPORTATION DES PRODUITS AGRICOLES DE LA REGION VAKINANKARATRA DANS LE CADRE DU MCA
CHAPITRE I : LA REGION VAKINANKARATRA ET LE MCA
Section 1 : La région Vakinankaratra
1.1. Présentation de la Région Vakinankaratra
1.2. L’activité économique : l’agriculture
1.3. Le PRD (Programme Régional de Développement)
Section 2 : Le MCA
2.1. Mission et objectifs
2.2. Cadre institutionnel
2.3. Approche
2.4. Zones d’intervention
2.5. Activités
Section 3 : Les liens entre le Programme PRD et le Programme MCA
3.1. Visent le même objectif : réduire la pauvreté
3.2. Intervention dans le monde rural
3.3. Le Programme MCA soutient le Programme PRD
CHAPITRE II : LA SITUATION DES PRODUITS AGRICOLES ET L’APPUI DU MCA
Section 1 : Analyse diagnostic
1.1. L’offre et la demande
1.2. Analyse des filières
1.3. Les contraintes et les opportunités
1.4. Les axes d’intervention et l’appui du MCA
Section 2 : Tendance et opportunités de la Région Vakinankaratra
2.1. Dégradation de l’Environnement
2.2. Insuffisance des infrastructures de viabilisation
2.3. Urbanisation extensive
2.4. Les opportunités dans la Région
Section 3 : Les produits agricoles face aux autres produits.
3.1. Identification
3.2. Problématiques.
CHAPITRE III : STRATEGIES POLITIQUES ET RECOMMANDATIONS
Section 1 : Augmenter la valeur ajoutée du secteur primaire et accroître le revenu de ménages ruraux
1.1. Restaurer un Etat de droit et une société bien gouvernancée
1.2. Initiatives sectorielles en production agricole
1.3. Dynamiser la formation professionnelle.
Section 2 : Recommandations préconisées
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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