LES EFFETS DE L’ARRIERE PLAN CULTUREL PERSONNEL DES PARENTS SUR L’APPRENTISSAGE ET LA PERFORMANCE SCOLAIRE DES ELEVES

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LA COMMUNE RURALE D’ANDRANONAHOATRA

La commune rurale d’Andranonahoatra fait partie de la région d’Analamanga, district d’Antananarivo Atsimondrano. Elle se localise à 11 Km à l’Ouest de la gare Soarano et est constitué par sept (07) fokontany : Ankany Firaisana, Ankany Sambatra, Andranonahoatra, Ambanilalana, ambaniala, Soamiampita et Ambohimamory. Elle s’étend sur une superficie de 446,25 ha dont 75% sont urbanisés.
Cette commune est délimitée par Bemasoandro et Ambohitrapeto au nord, par Ampitatafika au sud, par Itaosy à l’ouest et par le IVe arrondissement à l’est.
La commune rurale d’Andranonahoatra se trouve sous la latitude 47°28’27,4’’ sud et la longitude 18°54’46,6’’ est (cf. carte n°2)

Aperçu rapide de l’effectif humain

La population de la commune rurale Andranonahoatra s’élève à 57 092, ce qui lui confère le statut de commune rurale de 1ère catégorie selon le décret n°2011-0042 du 26 janvier 2011. Cette population est inégalement repartie dans les sept Fonkontany. Le Fokontany d’Andranonahoatra est le plus peuplé avec un effectif de 18 030 habitants et ce de Soamiampita est le moins peuplé avec 818 habitants seulement.18

L’ARRIERE PLAN CULTUREL PERSONNEL DES PARENTS D’ELEVES

En sociologie de l’éducation, nombreux sont les résultats de recherches qui établissent des relations entre le niveau d’éducation des parents et les rendements scolaires de leurs enfants.19

LE NIVEAU D’INSTRUCTION DES PARENTS D’ELEVES

Le diplôme constitue un moyen clair, objectif, hiérarchisé de classer les individus (CEPE, BEPC, BEP, bac, Bac+5, etc). Il s’agit d’un élément important du parcours de chacun dans la vie sociale. Il résume beaucoup d’éléments : non seulement efforts, intelligence, connaissance mais aussi, souvent, milieu social et perspective de carrière.20 Ainsi, nous nous sommes penchées sur le niveau d’instruction des parents des élèves cibles afin de mesurer leur contribution dans l’éducation de leurs descendants.

LE NIVEAU D’INSTRUCTION DU PERE

Le niveau scolaire permet de classer les gens sur une échelle strictement graduée. Le diplôme revêt une grande importance dans la vie sociale d’un individu. Il est la validation de connaissance, condition d’accès sur le marché du travail et marque sociale.21
Il est reconnu que les pères ont une influence importante sur leurs enfants. Le comportement du père varie selon le contexte social, de la sorte que celle-ci façonne les effets variables que peuvent exercer les pères sur leurs enfants. L’intellectuelles du père sous-tend le développement des enfants sur plusieurs aspects, notamment leur niveau de scolarité et leur perspective de soutien.

LE ROLE ET LA PLACE DES PARENTS DANS L’ECOLE

Le 19e siècle voit se développer un débat essentiel dans lequel a été abordée de façon centrale la question « rôle des familles ».
En France, l’article L. 111-4 (loi du 10 juillet 1989) en expose les principes généraux comme quoi : « Les parents d’élèves sont membres de la communauté éducative. Leur participation à la vie scolaire et le dialogue avec les enseignants et les autres personnels sont assurés dans chaque école et dans chaque établissement. Les parents d’élèves participent, par leurs représentants aux conseils d’école, aux conseils d’administration des établissements scolaires et aux conseils de classe ».24

L’engagement des parents dans le cheminement scolaire de l’enfant se situe à deux niveaux, soit à la maison, soit à l’école. Toutefois, pour plusieurs chercheurs comme DESFORGES, DESLANDES ET BERTRAND, c’est encore l’engagement des parents à la maison qui constitue le facteur le plus important d’amélioration des résultats scolaires.
DESFORGES affirme qu’il s’agit d’abord d’être « un bon parent à la maison » en respectant les conditions suivantes 25:
– fournir à l’enfant un environnement sécuritaire et stable;
– représenter un modèle constructif comme parent;
– stimuler l’enfant sur le plan intellectuel;
– faire la promotion de l’éducation;
– avoir des discussions avec l’enfant;
– avoir des attentes élevées envers l’enfant.

LES EFFETS DE L’ARRIERE PLAN CULTUREL PERSONNEL DES PARENTS SUR L’APPRENTISSAGE ET LA PERFORMANCE SCOLAIRE DES ELEVES

Si avant les années 60, la réussite (ou l’échec) scolaire était souvent expliquée à partir de la notion de « don » ou du statut de l’école fréquentée, le Rapport de COLEMAN (1966) intitulé « equality of educational opportunity research » a réorienté la question et a ouvert la voie à de nouvelles modes d’approches.26
COLEMAN insiste précisément dans son rapport sur le fait que la fréquentation d’une « bonne » ou d’une « mauvaise » école importe peu dans la performance de l’élève. C’est au contraire le milieu familial qui peut être préjudiciable à la performance de ce dernier.

Outre les facteurs socioculturels et les pratiques éducatives, les facteurs démographiques tels : le niveau d’étude des parents, le sexe de l’enfant et la structure familiale sont autant de facteurs démographiques qui jouent sur la réussite scolaire. L’effet de l’origine sociale sur la réussite scolaire est un sujet qui n’est pas nouveau. La littérature en sociologie de l’éducation a fait état de nombreux résultats de recherches.

ECLAIRCISSEMENT DE CERTAINS CONCEPTS

Il s’agit ici d’apporter quelques explications supplémentaires au profit de deux termes : l’apprentissage et la performance scolaire.

La notion d’apprentissage

C’est l’ensemble des processus de mémorisation mis en œuvre par l’animal ou l’homme pour élaborer ou modifier les schèmes comportementaux spécifiques sous l’influence de son environnement et de son expérience.
Selon CUQ, l’apprentissage se définit comme une démarche consciente, volontaire et observable dans laquelle un apprenant s’engage, et qui a pour but l’appropriation. C’est aussi un ensemble de décisions relatives aux actions à entreprendre dans le but d’acquérir des savoirs ou des savoirs faires en langue étrangère.27

Selon Michèle PENDANX, il résulte d’un processus conscient, et sert à modifier l’acquis en exerçant une fonction de contrôle (monitoring) sur la production. 28
Quant à BOOGARDS, l’apprentissage suggère un processus explicite et conscient. C’est de façon explicite et conscient qu’on apprend des règles de la grammaire ou les éléments du vocabulaire. Enfin, la notion d’effort semble être impliquée dans le terme apprentissage.29

En somme, l’apprentissage est le rapport d’un sujet à un objet et à une tâche. Dès lors, pour comprendre l’apprentissage, il faut aussi en étudier les mécanismes chez l’individu et à cette fin se préoccuper des composantes et des contraintes du système cognitif de l’information, les procédures, les stratégies et les connaissances de l’individu.

Les stratégies d’apprentissage

WOLFS cite la définition d’autres auteurs : Boulet et Cool. (1996, p13) : Les stratégies d’apprentissage sont définies comme étant les activités effectuées par l’apprenant afin de faciliter l’acquisition, l’entreposage, le rappel et l’application des connaissances au moment de l’apprentissage. Donc essentiellement, les stratégies d’apprentissage sont des comportements de l’apprenant qui est entrain d’apprendre et elles ont pour objet d’influencer la façon dont il va le faire.30
LEGENDRE considère que la stratégie d’apprentissage est un ensemble d’opérations et de ressources planifiées par le sujet dans le but de favoriser aux mieux l’atteinte d’objectifs dans une situation pédagogique.31

L’échec scolaire

DE LANDSHEERE définit l’échec scolaire comme : « La situation où un objectif éducatif n’a pas été atteint » 38
On peut le définir aussi par « le retard dans la scolarité sous toutes ses formes, il frappe plus fortement les enfants dans les milieux défavorisées, fixant et aggravant la sélection sociale ».
Au cours des années cinquantes, le terme performance scolaire était utilisé pour désigner la situation scolaire des enfants issus de bonne famille qui normalement était destiné à poursuivre de longues études. Comme le souligne l’auteur, il a fallu attendre les années soixante pour voir apparaître dans la communauté scientifique de nombreux articles consacrés aux thèmes d’échec et de réussite scolaire.39

LA THEORIE DE CERTAINS AUTEURS

Aux inégalités sociales résultant du diplôme des parents s’ajoutent des inégalités des compétences et des inégalités de stratégie scolaire. « Les compétences parentales jouent aussi un rôle direct sur la réussite scolaire des enfants, sans doute grâce à l’aide que les parents les plus compétents peuvent apporter à leurs enfants ».40
Quant à Andréa JADOULLE, elle a avancé que, quand on s’occupe des enfants et surtout quand on veut rechercher les éléments sur lesquels on peut compter pour les aider dans leur développement, le milieu familial apparait comme un facteur plus important. L’instruction, le savoir des parents jouent tout naturellement leur rôle dans ce point de vue, et ce depuis la naissance. La même sollicitude, le même temps consacré à l’enfant, le même désir de bien faire, la même intelligence, peuvent se traduire par une action éducative de valeur différente, à ce point de vue, s’il s’agit de parents instruits ou ignorants.
SCHEIFER et BAYLEY établissent qu’une atmosphère chaleureuse centrée sur l’affectivité des parents pour les enfants est plus associée à l’évolution intellectuelle de l’enfant. Ils ont montré que les élèves qui réussissent sont ceux qui bénéficient d’un climat affectif positif. 42

LES IMPACTS DE LA SITUATION SOCIO-ECONOMIQUE SUR LA REUSSITE SCOLAIRE DES ELEVES

Dans cette deuxième partie, nous allons voir en premier lieu les conditions de vie et d’études des élèves, puis nous démontreront leurs impacts sur ses réussites en analysant leurs résultats scolaires. Enfin, nous passerons en revue les autres facteurs qui peuvent influencer la performance scolaire des élèves.

LES CONDITIONS SOCIO-ECONOMIQUES DES FAMILLES ENQUETEES

Le contexte familial découle de nombreux facteurs qui interagissaient pour donner un environnement propre à chaque ménage. Les facteurs les plus prépondérants et qui vont façonner l’environnement familial sont particulièrement d’ordre économique et social. Ces deux facteurs peuvent créer un environnement propice ou constituer un obstacle au parcours scolaire de l’enfant.
Rappelons qu’il existe plusieurs types de besoins, les besoins primaires ou vitaux notamment les besoins physiologiques comme l’alimentation, le vêtement et l’habitation. Il y a aussi des besoins secondaires comme l’enseignement, les soins, les besoins d’appartenance, d’estime et de réalisation. Néanmoins, il faut noter que les besoins secondaires ne pourront être satisfaits si les besoins primaires ne sont même pas assurés. 53

LA PROFESSION EXERCEE PAR LES CHEFS DE MENAGE

Connaître la profession des parents, dans le cadre de notre travail, est important parce que l’accès aux biens matériaux et culturels est différent d’une famille à une autre selon le pouvoir d’achat de chaque famille.

LE LOGEMENT ET LE MOBILIER DE MAISON

A part le niveau d’instruction et la profession des parents, d’autres aspects de la famille se sont révélés très importants. La composition de la famille, la place de l’enfant parmi ses frères, la présence au foyer d’autres personnes ont une influence sur le comportement des enfants. Ainsi, les informations portent à présent sur les conditions de logement.

Les conditions de vie des élèves

En ce qui concerne le logement, 81 % des élèves enquêtés vivent avec leur père et leur mère et 19% vivent soit avec le père, soit avec la mère.
Concernant les élèves qui vivent avec le père et la mère, la situation constitue un avantage pour l’apprenant surtout s’il s’agit d’une famille stable sur le plan économique, émotionnel, affectif et psychologique. Par contre, elle peut constituer un inconvénient par exemple si l’élève vit dans une famille non stable, pauvre où l’affection manque de telle ambiance ne favorise pas l’apprentissage.

Pour ceux qui vivent avec le père seulement ou la mère uniquement, cela signifie qu’ils sont au courant de la séparation de leur père et de leur mère et en connaissent le revers. Mais, cette situation peut être avantageuse pour l’élève si la famille peut subvenir à ses besoins scolaires.
Par contre, le manque d’affection paternelle ou maternelle affectera indiscutablement la motivation des élèves d’aller à l’école, le suivi pédagogique en souffre également car le père ou la mère assumera à la fois les devoirs de père de famille et de mère de familles.

L’EXISTENCE DES COMPORTEMENT NEGATIF

Nous avons également constaté durant nos observations de classe que les conditions de vie difficiles dans lesquelles vivent beaucoup d’élèves ont des répercutions négatives sur ces mêmes élèves. Ce qui fait qu’ils n’ont pas de bonne relation avec leurs professeurs et leurs condisciples. Concrètement, cela se manifeste de la manière suivante: ils sont agressifs, ils parlent fort, ils ne respectent ni leurs camarades ni leurs professeurs. Par contre, si l’enfant est issu d’une classe aisée, il a plus de chance de parler le même langage que l’enseignant et de créer avec lui une relation constructive.

A cela s’ajoute le fait que ces enfants démunis ne possèdent pas les matériels didactiques utiles pour mener à bien leur apprentissage. Or, la présence de livres, la lecture d’un quotidien, la possession des outils d’informations et l’utilisation d’un ordinateur par les élèves et les parents favorisent une scolarité sans redoublement. L’utilisation de ces instruments de travail scolaire à la maison renforce les acquis en classe et améliore le niveau d’informations des élèves. D’où leur réussite aux examens.
Néanmoins, d’autres facteurs en dehors de la situation socio-économique des élèves peuvent aussi conditionner la performance des élèves.

LES EFFETS DES AUTRES FACTEURS

Au demeurant, éducateurs et chercheurs ont réfléchi depuis de nombreuses années sur les déterminants de la réussite scolaire. Selon HEYNEMAN, SALL, BARAHINDUKA, DIENG, ANDERSON ET KANTABAZE, tout concourt à penser que les facteurs internes à l’école comptent pour beaucoup dans la réussite des apprenants et que les enseignants y contribuent pour une large part. En effet, l’établissement et les maîtres sont très largement responsables des différences d’apprentissage entre les élèves, bien plus que ne le sont les différences concernant les effectifs et l’hétérogénéité des classes.65

L’ENVIRONNEMENT SCOLAIRE

Nous entendons par « environnement scolaire » « l’ensemble de la population scolaire : le directeur, le personnel enseignant, le personnel administratif, les apprenants, les parents d’élèves, le milieu naturel et artificiel : les salles de classe, la bibliothèque scolaire, le domaine scolaire, le terrain de sport, le jardin scolaire, le sanitaire et enfin les relations humaines que porte la population scolaire sur le lieu où elle vit »66

APERCU HISTORIQUE DES ETABLISSEMENTS

Historiquement, le LYCEE JOSEPH RAVOAHANGY ANDRIANAVALONA Andranonahoatra a été creé en l’an 2000 grâce à l’union des 04 communes d’Itaosy à savoir : la commune de Bemasoandro, Itaosy, Andranonahotra et Ambohitrapeto aboutissant ainsi à une association appelée BEMITANAMBO, pour créer un bâtiment de 06 salles (cf. photos n°1). Le nom de ce lycée provient du nom d’un grand nationaliste malgache qui est d’originaire de la commune d’Andohatanjona. (cf carte n°3)
Au départ, on l’utilisait comme un centre pour épreuve écrites au baccalauréat pour leurs candidats, s’ils devaient effectuer cela dans la capitale avant. Ensuite, on a transformé ce bâtiment en lycée en novembre 2001. Il a été dirigé par une direction collégiale vue la situation politique de l’époque.

En juillet 2002 que le lycée dispose un proviseur, Mr RAKOTOARIMALALA Olivier, pour son hébergement, on a construit un nouveau bâtiment. A cette époque il n’y avait que 03 classes de seconde comportant 34 élèves chacune, ainsi l’effectif total de départ était de 102 élèves et chaque discipline est tenue par un enseignant.
Avec, la collaboration de la commune d’Andranonahoatra où le lycée s’est implanté, on a crée un autre bâtiment de 03salles pour le bureau du proviseur, du secrétaire et du surveillant, et pour la salle des professeurs. Actuellement, le lycée dispose 04 bâtiments pour les élèves. La résidence du premier responsable a été aussi aménagée en salle de classe. Depuis sa création, 03 proviseurs se sont succédés au le lycée LJRA Andranonahoatra.
Quant au lycée privé FRISQUETTE Itaosy, il a été crée en 2007 par Mme RANDRIANARISON RAKOTOARISOA Haingo Nadia, après qu’elle eût terminé ses études en 2006. Son appellation provient du nom de l’ourson du dessin animé « Bouba et Frisquette », et tient largement compte des difficultés qu’elle a vécu dans l’histoire.
En louant une maison pouvant accueillir 60 élèves, elle s’est tournée vers l’éducation plutôt que vers d’autres domaines en raison de la discrimination et de l’isolation dont elle a été victime auparavant. L’année suivante, l’effectif des élèves a doublé. Ainsi, l’établissement FRISQUETTE Itaosy comporte à la fois, le préscolaire, le primaire, le collège, le lycée, et ouvre officiellement ses portes aux élèves. Encouragé par ce succès, deux ans après en 2009, le premier responsable a creé un annexe dans la commune voisine d’Ambavahaditokana. (cf carte n°4 et photo n°2)

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : L’ARRIERE PLAN CULTUREL PERSONNEL DES PARENTS ET SES EFFETS SUR L’APPRENTISSAGE ET LA PERFORMANCE SCOLAIRE DES ELEVES
CHAPITRE I : LA CLASSE SOCIALE D’APPARTENANCE DES PARENTS
I. ESSAI DE DEFINITION
A. L’ORIGINE SOCIALE
B. LA CATEGORISATION DE L’ORIGINE SOCIALE DE L’ELEVE
1. La pauvreté
2. La richesse
II. LA SITUATION PREVALANT DANS NOTRE ZONE D’ETUDE
A. CAS DE LA COMMUNE RURALE D’AMBAVAHADITOKANA
1. La population et sa répartition
2. Une économie de type ancien
B. LA COMMUNE RURALE D’ANDRANONAHOATRA
1. Aperçu rapide de l’effectif humain
2. La structure de l’économie
CHAPITRE II : L’ARRIERE PLAN CULTUREL PERSONNEL DES PARENTS D’ELEVES
I. LE NIVEAU D’INSTRUCTION DES PARENTS D’ELEVES
A. LE NIVEAU D’INSTRUCTION DU PERE
B. LE NIVEAU D’INSTRUCTION DE LA MERE
C. LE ROLE ET LA PLACE DES PARENTS DANS L’ECOLE
II. LES EFFETS DE L’ARRIERE PLAN CULTUREL PERSONNEL DES PARENTS SUR L’APPRENTISSAGE ET LA PERFORMANCE SCOLAIRE DES ELEVES
A. ECLAIRCISSEMENT DE CERTAINS CONCEPTS
1. La notion d’apprentissage
a. Les stratégies d’apprentissage
b. Les styles d’apprentissage
2. La performance scolaire
a. La réussite scolaire
b. L’échec scolaire
B. LA THEORIE DE CERTAINS AUTEURS
C. LES CONSEQUENCES SUR L’APPRENTISSAGE DE L’ELEVE
1. La culture d’accompagnement pédagogique fait par les parents d’élèves
8. La non-maîtrise de la langue d’enseignement
D. LES CONSEQUENCES SUR LA PERFORMANCE SCOLAIRE DE L’ELEVE
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : LES IMPACTS DE LA SITUATION SOCIO-ECONOMIQUE SUR LA REUSSITE SCOLAIRE DES ELEVES
CHAPITRE I : LES CONDITIONS SOCIO-ECONOMIQUES DES FAMILLES ENQUETEES
I. LA PROFESSION EXERCEE PAR LES CHEFS DE MENAGE
II. LE REVENU DE LA FAMILLE
III. LES CONDITIONS DE VIE ET D’ETUDE DES ELEVES
A. LA TAILLE DES MENAGES
B. LE LOGEMENT ET LE MOBILIER DE MAISON
1. Les conditions de vie des élèves
2. La localisation du domicile
3. Le mobilier de la maison
4. Le mode d’éclairage de l’habitat
C. LA PLACE DE LA NOURRITURE
D. LES FOURNITURES SCOLAIRES DES ELEVES
CHAPITRE II : LES IMPACTS SUR LA REUSSITE SCOLAIRE DES ELEVES
I. L’ECHEC DES ELEVES
II. L’EXISTENCE DES COMPORTEMENT NEGATIF
CHAPITRE III : LES EFFETS DES AUTRES FACTEURS
I. L’ENVIRONNEMENT SCOLAIRE
A. APERCU HISTORIQUE DES ETABLISSEMENTS
B. LES INFRASTRUCTURES SCOLAIRE ET LES OUTILS PEDAGOGIQUES : ELEMENTS DETERMINANT DU BON FONCTIONNEMENT DE L’ETABLISSEMENT
1. Les salles de classes
2. Le sureffectif des salles de classe
3. La salle des professeurs
4. La salle de documentation
5. Les matériels didactiques
II. LE PERSONNEL ENSEIGNANT
A. LA VALEUR PERSONNELLE ET SOCIALE DE L’ENSEIGNANT
1. La situation sociale des enseignants
2. Le diplôme et la formation acquise par l’enseignant et son ancienneté dans le travail
3. La motivation de l’enseignant
B. LA METHODE ET LA TECHNIQUE D’ENSEIGNEMENT APPLIQUEE DURANT LE COURS
1. La méthode expositive, transmissive, passive ou magistrale
2. La méthode active ou de découverte
3. La méthode d’EAO
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
TROISIEME PARTIE : LES SOLUTIONS PROPOSEES AFIN D’AMELIORER LES RESULTATS SCOLAIRES DES ELEVES EN MILIEU RURAL
CHAPITRE I : LES SUGGESTIONS A L’ATTENTION DE L’ETAT MALGACHE
I. AMELIORER LES CONDITIONS SOCIALES DE LA POPULATION MALGACHE
A. CREER DES EMPLOIS
B. APPUYER LES ACTIVITES DES PAYSANS
1. Pour les agriculteurs
2. Amélioration de l’activité commerciale
II. AMELIORER LA QUALITE DE L’ENSEIGNEMENT
A. ALLEGER LA SCOLARISATION DES ENFANTS EN MILIEU RURAL
1. Supprimer les droits d’inscriptions
2. Distribuer des kits scolaires
3. Octroyer des bourses aux élèves démunis
4. Des cantines scolaires gratuits et des jardins scolaires au profit des élèves
a. La cantine scolaire
b. La création des jardins scolaires
5. Décentraliser les établissements publics
6. Sensibiliser l’éducation des adultes
B. PROMOUVOIR UNE FORMATION PERMANENTE DES ENSEIGNANTS
1. Instaurer une formation initiale
2. Prévoir une formation continuée
C. AMELIORATION DES CONDITIONS SOCIALES DES ENSEIGNANTS
1. L’augmentation des salaires
2. Le recrutement des enseignants « FRAM »
III. LA RENOVATION DES INFRASTRUCTURES SCOLAIRES
A. LA REHABILITATION DES MOBILIERS SCOLAIRES ET LA RENOVATION DES MATERIELS DIDACTIQUES
1. La réhabilitation des infrastructures scolaires
2. La rénovation des équipements scolaires
B. LA MISE EN PLACE DES MOYENS DE DOCUMENTATION
1. Multiplier le nombre des livres
2. Intégrer la TICE dans le système de l’éducation
CHAPITRE II : LES RECOMMANDATIONS A L’ATTENTION DES ENSEIGNANTS
I. ADOPTER DES ATTITUDES ADEQUATES POUR TOUS LES ELEVES AFIN D’AMELIORER LES RELATIONS EN CLASSE
A. ADOPTER DES ATTITUDES ADEQUATES
B. AMELIORER LA VIE DE RELATION EN CLASSE
1. La relation maitre-élèves
2. La relation élève-élève
II. ADOPTER UNE BONNE GESTION DE CLASSE
A. ORGANISER LE TEMPS ET L’ESPACE
B. FAIRE UNE OBSERVATION SYSTEMATIQUE DE LA CLASSE
C. LA COMMUNICATION ET LA COLLABORATION
D. ENCOURAGER LA PARTICIPATION DES ELEVES
III. RECOUVRIR A LA METHODE ACTIVE
CHAPITRE III: LES MESURES A PRENDRE POUR LES PARENTS ET LES ELEVES
I. A L’ATTENTION DES PARENTS : REVEIL DE LEUR RESPONSABILITE VIS-A-VIS DE L’EDUCATION DES ENFANTS
A. APPORTER SON SOUTIEN AUX ENFANTS
1. Des efforts dans l’équipement en fournitures scolaires
2. Des efforts dans l’équipement de la maison
3. Mener des suivis aux études de ses enfants
4. Changer d’attitude et de comportement
B. RENFORCER LA RELATION DES PARENTS ET LE PERSONNEL DE L’EDUCATION
1. Renforcer la relation parents-enseignants
2. La relation parents-école
II. LA MOTIVATION DES ELEVES
1. La motivation intrinsèque
2. La motivation extrinsèque
CONCLUSION DE LA TROISIEME PARTIE

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