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Les avantages et les inconvénients des TIC
Vu que ces TIC ont bouleversé notre monde actuel, il est déterminant de dévoiler leurs avantages et leurs inconvénients.
Les avantages des TIC
Les TIC ont des avantages sur divers plan mais en général, ces avantages sont les suivants:
En premier lieu, elles améliorent la transmission des nouvelles technologies de l’information et de la communication en réduisant le temps de transmission car auparavant, pour communiquer, il fallait écrire et se déplacer pour envoyer des lettres. De nos jours, on n’a plus qu’à communiquer à travers les e-mails. C’est-à-dire qu’elles possèdent une vitesse de diffusion de l’information rapide et elles permettent un large réseau de communication.
Ensuite, concernant divers domaines comme la politique par exemple, les TIC peuvent favoriser le dialogue entre l’Etat à travers les missions diplomatiques. Economiquement, elles accroissent la productivité par le biais du progrès technique.
En socioculturel, elles permettent un large réseau de communication, mais aussi, un large champ de recherche et des modes de communication et d’enseignement diversifiés.
Les inconvénients des TIC
Un des inconvénients des TIC est que nous sommes devenus très dépendants de ces dernières à tel point qu’on ne peut plus s’en passer. Si on prend l’exemple des personnes d’aujourd’hui, plus personne ne s’efforce de penser quand on leur demande quelque chose, il suffit juste de chercher sur Internet et on a la réponse.
L’accès aux TIC demande beaucoup d’argent du fait des coûts des matériels, des logiciels, des entretiens et des renouvellements, mais également les coûts de la formation qui est nécessaire afin de pouvoir comprendre et utiliser ces technologies.
Si on parle des divers domaines, en ce qui concerne le socioculturel, cela induit la dépravation des moeurs. Ces technologies ont aussi des effets négatifs sur notre santé, au niveau physique et psychologique. Dans l’éducation, l’existence des données obscènes.
L’introduction des TIC dans l’Enseignement Supérieur : Cas de la Faculté DEGS perturbe les étudiants en quête de savoir, car au lieu de se focaliser sur la recherche de données utiles à leurs études, ils sont tentés ou distraits par des sites peu fréquentables.
Après avoir parlé des généralités des TIC. Abordons maintenant les généralités sur l’enseignement supérieur.
Généralités sur l’enseignement supérieur
Tout comme l’éducation nationale, l’enseignement supérieur est considéré comme un service public. D’où, il est nécessaire en premier lieu d’avoir une notion sur les services publics. Ensuite, parler de l’enseignement supérieur. Notamment, l’enseignement supérieur à Madagascar ainsi que ces cadres institutionnels.
Notion sur les services publics
Les définitions, l’identification ainsi que les principes directeurs des services publics vont être appréhendés ici.
Définition et identification des services publics
Définition des services publics
La notion des services publics renvoie à deux (02) sens :
– Au sens matériel, une activité d’intérêt général, assurée sous le contrôle de la puissance publique, par un organisme (public ou privé) bénéficiant de prérogatives lui permettant d’en assurer la mission et les obligations (continuité, égalité) et relevant de ce fait d’un régime juridique spécifique ;
– Au sens organique, l’organisme public gérant un service public (soit le plus souvent une administration ou un établissement public).
Identification des services publics
Pour cela, on va se référer à Louis Rolland4. Il a conçu certains critères qui permettent d’identifier les services publics. Voici donc ces principaux critères, selon lui :
1. Le service public suppose la direction ou la haute direction des gouvernants. C’est l’aspect organique, nuancé par la distinction entre la maîtrise du service (choix de création, du mode de gestion et de son contrôle) et la gestion du service.
4 Louis Rolland (1877-1956) était un professeur de droit en France. Il était connu surtout grâce à sa « loi des services publics » appelée également « loi de Rolland »
2. Le service public suppose la satisfaction à donner à un besoin d’intérêt général.
3. Le service public suppose la carence ou l’insuffisance de l’initiative privée. Limitation qui semble ne pas s’appliquer à l’État mais plutôt aux collectivités locales qui se montrent volontiers entreprenantes.
Les principes directeurs des services publics
Selon encore Louis Rolland, il y a quelques principes qui doivent s’appliquer à l’exploitation du service public appelé : « Lois de Rolland ». Il y a 7 principes, à savoir :
– La continuité : qui implique que le service doit être assuré régulièrement, sans retard dans le temps, sans discontinuité gênante ou pénalisante pour l’usager. Ce principe a donné lieu à confrontation avec l’exercice du droit de grève dans le service public.
– La mutabilité : qui désigne l’adaptation des services publics à l’évolution des besoins collectifs et aux exigences de l’intérêt général. Ce qui peut se traduire de deux manières : dans le cadre d’une délégation de service public, l’administration garde un pouvoir de modification unilatérale des conditions d’exécution du service et explique l’absence de droit acquis pour les usagers quant au maintien du service ou de la réglementation régissant le service.
– L’égalité : qui interdit la discrimination entre les usagers du service tant vis à vis des prestations que des charges : des situations identiques doivent être traitées de la même manière. Mais inversement, des traitements différents peuvent être réservés à des situations différentes.
– La neutralité et la laïcité : que doivent observer toutes les personnes qui collaborent à un service public.
– La réserve : dont les collaborateurs de service public ne doivent pas se départir dans l’expression de leurs opinions.
– La primauté : Les intérêts privés ou personnels doivent s’incliner devant l’intérêt général ou collectif.
– La gratuité : Ce principe, envisagé par Louis Rolland est fréquemment respecté dans les services publics administratifs (enseignement notamment), mais ne l’est pas pour les SPIC (Services publics à caractère industriel et commercial).
Il est important de noter que trois de ces principes sont les plus considérés à savoir la continuité, la mutabilité ou l’adaptation et l’égalité.
L’enseignement supérieur
L’enseignement reste à nos jours le premier pilier du développement durable de chaque pays. Il permet de répondre aux besoins du pays. Il consiste à former des responsables capables d’assurer l’efficacité de la politique générale de l’Etat plus particulièrement la bonne gouvernance. Pour cela, on va parler du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESupReS) car en fait, les Universités de Madagascar sont sous tutelle de ce Ministère.
Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESupReS)
Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique est un organe public de l’Etat. Le MESupReS est chargé de mettre en oeuvre et d’exécuter la politique générale de l’Etat en matière d’enseignement supérieur. Il a pour missions principales de :
– Développer l’enseignement supérieur de qualité, effectivement adapté aux besoins du pays ;
– Veiller à la cohérence, à la pertinence et au bien-fondé des programmes d’enseignement et de recherche dans les activités pédagogiques et de recherche;
– Dynamiser le partenariat et d’institutionnaliser le système de contact-programme ;
– Coordonner et assurer le suivi et le contrôle des organismes et des institutions qui sont rattachés au Ministère.
Organisation du MESupReS
Le MESupReS gère les établissements de formation supérieure (facultés, écoles et instituts) et les centres nationaux de recherche (CNR). Le MESupReS compte 6000 fonctionnaires dont 1400 enseignants-chercheurs.
Ce Ministère est constitué principalement5 :
– D’un Secrétariat Général (SG) ;
– De deux (2) directions générales :
La direction générale de l’enseignement supérieur (DGESup) ;
La direction générale de la recherche et du partenariat (DGRP).
Des directions « transversales » participent aussi à la gestion des sous-secteurs, à savoir :
– DTIC : Direction des Technologies de l’Information et de la Communication ;
– DARESR : Direction d’Appui à la Réforme de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche ;
– DRH : Direction de Ressources Humaines ;
– DAAF : Direction des Affaires Administratives et Financières ;
– DSPS : Direction de la Statistique, de la Programmation et de Suivi.
Le Ministre anime une action générale approuvée en conseil des Ministres qui réponde au développement en matière d’enseignement et de recherche qui définit à l’orientation de la politique générale de l’Etat.
La stratégie consiste tout d’abord à répondre aux objectifs politiques de l’Etat dont :
– Le développement durable en matière d’enseignement ;
– Le développement de la recherche scientifique, économique et sociale ;
– Et la satisfaction de la société en matière d’éducation.
Les rôles du MESupReS
Le Ministère, comme tous les autres Ministères est constitué par le cabinet du Ministre, géré par le Ministre.
Le Cabinet est chargé :
– D’instruire les dossiers et de réaliser les activités que lui confie le Ministre ;
– De veiller à l’exécution et au suivi des décisions y afférentes.
Le Directeur de cabinet est le responsable du fonctionnement de l’ensemble du cabinet. Ainsi, il organise et coordonne le programme de travail et veille à son exécution.
Le Cabinet du Ministère est formé :
– D’un (1) Directeur de cabinet
– De trois (3) conseillers techniques
– De trois (3) chargés de Mission
– De trois (3) Inspecteurs
– D’un (1) Chef de secrétariat particulier
– D’un (1) chargé de protocole
– D’un (1) Attaché de presse
Le Secrétaire Général a pour mission d’assurer la coordination, l’animation et le suivi des activités de l’ensemble du Ministère. A ce titre, il a autorité sur les Directions du Ministère, les Recteurs, les Directeurs généraux et les Directeurs des organismes rattachés de l’enseignement supérieur. Il reçoit la délégation pour signer au nom du Ministre, tous les actes et correspondances relevant de ses attributions, à l’exclusion des arrêtés et correspondances engageant l’Etat.
Sont rattachés également au Secrétariat Général : le service de suivi et contrôle, le service de la législation et du contentieux, le service de coordination des partenariats, le service des Missions extérieures, le service de la communication.
Après avoir parlé du MESupReS, faisons maintenant une brève présentation des Universités de Madagascar.
Les domaines d’intervention des TIC
La plupart des domaines dans lesquels les TIC sont intégrées relève du secteur privé. Donc on va voir comment ces TIC s’y sont intégrées.
Les TIC dans divers domaines
Les domaines qui vont être considérés ici sont ceux des entreprises, des services publics et de l’économie.
Les TIC dans les entreprises
D’après ce qui a été abordé dans le chapitre précédent, les TIC présentent en général des avantages et des inconvénients. Ici vont être exposés les impacts de ces technologies dans les entreprises.
En premier lieu, il est important d’avancer les avantages et les inconvénients des TIC dans les entreprises.
Les avantages des TIC dans les entreprises peuvent être résumés à trois niveaux :
– Au niveau du système d’information : une hausse de la productivité du travail pour la saisie de l’information, la délocalisation de la production, amélioration de l’efficacité de la prise de décision permise par une banque de données plus importantes sur les partenaires de l’entreprise.
– Au niveau de la structure de l’entreprise et de la gestion du personnel: les TIC permettent un meilleur accès aux informations de tout ordre pour l’ensemble du personnel de l’entreprise et en même temps facilite le partage de ces informations c’est-à-dire assure une meilleure gestion des ressources humaines et un meilleur suivi du personnel.
– Au niveau commercial : nouveau circuit de production grâce à l’extension du marché potentiel (commerce électronique), développement de l’innovation en matière de services et réponses aux besoins des consommateurs, amélioration de l’image de marque de l’entreprise (entreprise innovante).
Les TIC peuvent contribuer au développement de l’entreprise en agissant sur le capital humain par la facilité d’accès au savoir et l’échange des connaissances, des expériences et du savoir-faire.
Malgré ces avantages, l’utilisation des TIC dans l’entreprise présente cinq (5) principaux risques :
– une augmentation du rythme et de l’intensité du travail ;
– un renforcement du contrôle de l’activité pouvant réduire l’autonomie des salariés ;
– un affaiblissement des relations interpersonnelles et/ou des collectifs de travail;
– le brouillage des frontières spatiales et temporelles entre travail et hors-travail;
– une surcharge informationnelle.
Les TIC dans les services publics
En encourageant l’utilisation des TIC, l’Etat va améliorer les services, autant publics que privés, économiques que sociaux. Les TIC vont permettre à l’Etat de se rapprocher avec des citoyens et des autres acteurs de développement.
Dans toutes activités qui requièrent la prise de décisions importantes comme dans l’administration, dans les entreprises ou dans certains organismes, les TIC vont aider dans cette prise de décision du fait des systèmes d’information et cela dans tous les secteurs (éducation, santé, défense et sécurité, etc.).
Les TIC à travers l’informatisation ne fait qu’accompagner l’intelligence humaine en répétant de façon automatique et rapide les tâches. Se concentrer à des tâches plus complexes est maintenant possible.
L’adoption des TIC améliorera la capacité d’apprentissage du plus grand nombre, à condition que leurs contenus soient révisés. On peut intégrer ces TIC dans des domaines clés de l’économie, les effets espérés à ce niveau sont nombreux. On s’attend à une véritable révolution.
Concernant les TIC et la santé, on espère une participation accrue des jeunes et des parents illettrés dans des actions communautaires de vulgarisation de la médecine face à une tradition orale insuffisante et inefficace. On espère une baisse du taux de mortalité infantile par l’accès d’un plus grand nombre face aux informations concernant les maladies infantiles et les mesures préventives, une plus grande fiabilité des indicateurs du secteur santé, une possibilité d’accès à une médecine adaptée aux pratiques traditionnelles.
Concernant les TIC et l’environnement, les TIC favorisent l’adoption de comportements de plus en plus respectueux de l’environnement dans toute l’économie. Ils jouent un rôle déterminant dans l’élaboration de systèmes d’aide à la décision environnementale ainsi que dans la possibilité qu’elles offrent aux différents acteurs de moduler leur comportement en fonction d’une gestion et d’une utilisation durable des ressources naturelles.
Les TIC sont également au service de l’enseignement. Dans les pays développés, tout est lié à l’informatique ou plus précisément à ces Technologies de l’Information et de la Communication. Et comme exemple, on en a vu naître et déjà en vogue l’«Université Numérique ».
La notion d’université numérique est relativement large. Bien au-delà de l’enseignement à distance utilisant le mail et la webcam ou la plate-forme de partage, elle recouvre tous les systèmes pédagogiques (de niveau universitaire, école d’ingénieur…), ou les systèmes internes propres à des universités ou à certains cours d’une université, dès lors qu’ils utilisent de manière privilégiée le patrimoine matériel et immatériel numériques. C’est un univers pédagogique qui semble amené à se développer pour la génération des « digital natives ».
L’université numérique s’appuie essentiellement sur des intranets, des extranets et l’Internet. Elle vise à la fois l’exploitation et l’amélioration d’un patrimoine numérique universitaire ou produit par d’autres sources (archives, encyclopédies collaboratives, cours et ressources mis en ligne par des associations, individus, instituts, agences gouvernementales ou administratives, bibliothèques numériques (dont Europeana ou Gallican par exemple en Europe).
Les universités numériques fonctionnent en réseaux, qui regroupent généralement plusieurs universités ou grandes écoles. Celles-ci mutualisent et valorisent ainsi leurs infrastructures et ressources numériques, ou pourraient être « virtuelles ».
Le numérique trouve également des applications internes à l’université (carte étudiante numérique, démocratie étudiante supposée facilitée par le vote électronique, facilitation de la mobilité étudiante (ex. : programme Erasmus en Europe), etc.).
Une mention particulière doit être faite de l’application des TIC à l’administration et au pouvoir public. Au-delà de l’amélioration du fonctionnement des administrations, l’enjeu est la gouvernance. L’information des administrés, le déroulement en ligne des procédures d’appels d’offres publics, la libre circulation de l’information, la possibilité d’effectuer certains actes administratifs en ligne, sans dépendre plus ou moins du bon vouloir d’un fonctionnaire, sont autant de facteurs de transparence, de lutte contre la corruption, de meilleure gouvernance et la modernisation de la vie publique. Outre les gains de la démocratie, il faut y voir un profit potentiel pour l’économie et la croissance.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : APPROCHE GLOBALE SUR LES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION
CHAPITRE I : CONTEXTE GENERAL
Section I : Généralités sur les TIC
I. Les TIC et les NTIC
1. Définition
2. Les différents secteurs des TIC
II. Les avantages et les inconvénients des TIC
1. Les avantages des TIC
2. Les inconvénients des TIC
Section II : Généralités sur l’enseignement supérieur
I. Notion sur les services publics
1. Définition et identification des services publics
2. Les principes directeurs des services publics
II. L’enseignement supérieur
1. Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESupReS)
2. Les Universités de Madagascar
CHAPITRE II : LES REALITES DES TIC DANS LE MONDE
Section I : La place des TIC dans le monde
I. Contexte international
II. Contexte national
Section II : Les domaines d’intervention des TIC
I. Les TIC dans divers domaines
1. Les TIC dans les entreprises
2. Les TIC dans les services publics
3. Les TIC dans le domaine de l‘économie
II. Les fonctions ayant évoluées sous l’influence des TIC
1. La fonction ressources humaines
2. La fonction administration
DEUXIEME PARTIE : CAS DE LA FACULTE DE DROIT D’ECONOMIE DE GESTION ET DE SOCIOLOGIE
CHAPITRE III : LA FACULTE DEGS ET LES TIC
Section I : La Faculté de Droit, d’Economie, de Gestion et de Sociologie
I. Présentation de la Faculté DEGS
1. Le système pédagogique
2. Le système administratif
3. Les différents centres et associations au niveau de la Faculté DEGS
II. La situation des TIC au niveau de la Faculté DEGS
1. La situation des outils TIC dans l’administration des services au sein de la Faculté DEGS
2. La situation des TIC dans l’enseignement au sein de la Faculté DEGS
III. Les axes d’amélioration de la qualité des services de la Faculté DEGS
1. Les effets attendus des TIC sur les services au sein de la Faculté DEGS
2. Les effets attendus des TIC au niveau du système académique de la Faculté DEGS
Section II : Les outils TIC nécessaires en vue de l’amélioration de la situation des TIC au sein de la Faculté DEGS
I. Au niveau de l’administration des services Faculté DEGS
II. Au niveau du système académique de la Faculté
III. Au niveau de la relation entre l’administration et des usagers
CHAPITRE IV : PERSPECTIVES ET LIMITES DE L’INTRODUCTION DES TIC AU SEIN DE LA FACULTE DEGS
Section I : Perspectives pour l’introduction des TIC au sein de la Faculté DEGS
I. Les solutions urgentes
II. La mise en place des infrastructures TIC
Section II : Limites de l’introduction des TIC au sein de la Faculté DEGS
I. Problème de coûts
II. Problème de financement
III. Problème de valorisation de la coopération internationale
CHAPITRE V : RECOMMANDATIONS SUR L’INTRODUCTION DES TIC AU SEIN DE LA FACULTE DEGS
Section I : Recommandations sur l’introduction des TIC au sein de la Faculté DEGS
I. Recommandations pour les différents acteurs au sein de la Faculté
II. Recommandations sur les infrastructures au niveau de la Faculté DEGS
III. Recommandations concernant les limites de l’introduction des TIC au sein de la Faculté DEGS
Section II : L’impact des TIC dans la Faculté DEGS
I. Impact des TIC au niveau de l’administration de la Faculté DEGS
II. Impact des TIC au niveau de l’enseignement de la Faculté DEGS
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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