Les dominantes pathologiques des équidés

Historique et origines de l’âne et le cheval

      L’âne (Equus asinus) descend comme son cousin le cheval (Equus caballus) du Mesohippus qui vivait en Amérique du nord de 42 à 33.3 millions d’années avant notre ère. Il mesurait tout juste 60 cm et l’adaptation morphologique vers une aptitude à la course commençait déjà à s’opérer. Celle-ci s’est poursuivie sans cesse pour aboutir il y a 4 millions d’années à l’Equus, ancêtre commun à tous les équidés connus de nos jours. Celui-ci mesurait 125 à 135 cm au garrot et marchait sur un véritable sabot. Chez l’âne, on distingue deux grandes lignées ayant divergé il y a environ 600 000 ans, aboutissant à la suite de nouvelles migrations à un type asiatique et un type africain. L’âne de Somalie et l’âne de Nubie sont avec certitude les ancêtres de notre âne actuel (HARY, 2010). Le cheval (Equus ferus caballus ou Equus caballus) est un mammifère herbivore qui, bien avant l’apparition des hommes, peuplait déjà de vastes pâturages. Au cours des millénaires, il fut d’abord chassé puis, après sa domestication, il servit d’animal de somme, de selle et de trait. Le cheval possède plusieurs qualificatifs en fonction de sa race, de son âge, de sa couleur, etc. (DIOUF, 2013). L’introduction du cheval en Afrique de l’ouest s’est faite principalement par deux courants. Le premier, qualifié de courant Nord-Sud, est responsable de l’introduction des chevaux de type Aryen ou Arabe et Barbe par les berbères de l’Afrique du Nord. Les arabes venus d’Orient pour répandre l’islam au Maghreb vers le VIIème siècle, s’en servirent laissant parfois surplace les quelques chevaux arabes qui donnèrent plus tard la sous race des chevaux barbes des régions berbères. Vers le XIIIème siècle, à la faveur des activités commerciales et de la conquête islamique, les races de chevaux Nord africaines ont diffusées dans toute la zone soudano-sahélienne où sous l’action de l’homme et de la nature, elles ont donné naissance à différents types de chevaux dont le cheval du sahel. Le second courant Est-Ouest correspond à des migrations à partir de la haute Egypte d’un type de cheval mongolique dénommé « Dongolow ». Un type chevalin (poney) qualifié d’autochtone car on ne le retrouve ni en Afrique du Nord, ni en Egypte, ni sur le trajet des migrations. En effet, les premiers chevaux domestiqués arabes descendants de la race mongole, furent introduits en Egypte par les tributs nomades Hyksos en provenance du Nord-Est de la Syrie. Les populations chevalines actuellement rencontrées au Mali appartiennent au type poney et aux dérivés du croisement Barbe et Arabe (TRAORE, 1995).

Utilisation pour l’exhaure de l’eau

     En milieu rural, deux techniques principales sont utilisées pour l’exhaure de l’eau :
 Les techniques traditionnelles qui font appel à l’exhaure manuelle et à l’exhaure avec la traction animale ;
 Les techniques modernes qui utilisent les pompes.
Au Mali, l’utilisation des pompes s’est soldée par de nombreux échecs dus à des problèmes techniques d’inadaptation, d’entretien et de maintenance. Cependant dans les milieux ruraux, l’exhaure de l’eau se fait de façon manuelle ou avec la traction animale au niveau des puits qui sont très profonds, surtout au Nord du pays (Tombouctou, Gao et Kidal). L’exhaure de l’eau par la traction animale est une activité réalisée souvent par l’âne pour abreuver les troupeaux (bovins et petits ruminants) et ravitailler les populations. Dans la ville de Bamako, cette pratique est largement répandue pour la vente d’eau dans les quartiers difficiles d’accès à cause de l’état des routes. L’âne est une fois de plus sollicité pour cette activité à cause de sa rusticité.

Contraintes nutritionnelles

       Sélon HAMIDOU (2013), l’alimentation des équidés doit être adaptée à leurs besoins propres. En effet, en élevage traditionnel, le rationnement des aliments se fait de façon empirique avec des insuffisances sur le plan qualitatif et quantitatif. Dans les élevages un peu moderne, par exemple à la gendarmerie nationale ou au champ hyppique de Bamako, les rations sont souvent équilibrées. Durant la saison sèche, les équidés en particulier les ânes qui ne disposant pas de reserves alimentaires sont souvent laissés à eux-même (divagation saisonnier) pour la recherche de fourrages en vaine patûre. Les patûres locales sont pauvres suite à la sécheresse ou aux surpatûrages, les animaux parcourent de longue distances pour trouver de la nourriture, ils disposent moins de six heures de temps par jour pour brouter de l’herbe (OUDMAN,2004). Ainsi, l’alimentation, par sa rareté, devient l’un des facteurs limitant de l’élevage des équidés, d’autant plus que l’industrie de l’alimentation animale au Mali est très insignifiante. C’est pourquoi l’alimentation des chevaux est dominée par l’utilisation des produits et sous-produits agricoles tels le mil, le sorgho et la fane d’arachide.

La rhino pneumonie équine

       La rhino-pneumonie est une maladie virale aiguë, la plus fréquente du poulain et du jeune cheval. Elle est causée par un herpes virus (herpèsvirus équin 1 ou 4). L’infection par l’herpèsvirus 4 ( EHV-4) est plus fréquente que celle de EHV-1. Les virus induisent une infection latente dans le tissu nerveux et lymphoïde et la maladie sévit souvent sous une forme épidémique chez les jeunes chevaux. Ils provoquent une maladie respiratoire fébrile avec de l’anorexie et du Jetage (LAUGIER et al, 2015). La maladie est fortement contagieuse au sein de la population équine sensible. La transmission se fait par inhalation de sécrétions respiratoires contenant du virus. Sur le plan clinique, après une incubation de 2 à 10 jours, il apparaît une fièvre, une anorexie, un jetage nasal séreux puis muco-purulent abondant, une bronchopneumonie. Parfois, il apparaît des infections subcliniques avec de nombreux chevaux séropositifs. Chez les chevaux de moins de 3 ans, la rhinopneumonie s’exprime cliniquement par une maladie respiratoire aiguë et fébrile qui se répand rapidement au sein du groupe d’animaux. Le virus infecte et se multiplie dans les cellules épithéliales de la muqueuse respiratoire. La période d’incubation est de 2 à 8 jours. Les premiers signes cliniques sont de la fièvre, de l’inappétence, de l’abattement et du jetage. La sévérité de la maladie respiratoire varie avec l’âge du cheval et le niveau de l’immunité résultant des vaccinations antérieures ou des expositions naturelles. Bien que la mortalité soit rare pour la rhinopneumonie et que la guérison soit généralement complète après 1 à 2 semaines, l’infection respiratoire est une cause fréquente et non négligeable d’interruption du programme d’entraînement, de la participation aux courses, ou à d’autres compétitions équestres. L’immunité protectrice totale résultant d’une infection est de courte durée, et les animaux en convalescence sont susceptibles d’être réinfectés par les EHV-1 ou 4 après plusieurs mois. Les réinfections par les deux herpès virus causent une maladie respiratoire moins sévère ou cliniquement inapparente, mais les risques d’avortement et/ou d’atteinte du système nerveux central ne sont pas rares. Les menaces cliniques les plus importantes pour les chevaux d’élevage, de course ou les chevaux de loisirs, sont les conséquences abortives et nerveuses potentielles que peut provoquer une infection par l’EHV-1 (LAUGIER et al., 2015).

La morve

     La morve est une maladie contagieuse, respiratoire due à Burkholderia mallei affectant les équidés ainsi que l’homme (BARREY et al., 1994). Elle se traduit par des abcès pulmonaires, cutanés ou osseux, des ulcères cutanés laissant s’écouler du pus de consistance huileuse (« huile de farcin »), un jetage nasal avec des cicatrices en étoile, et l’hypertrophie des ganglions sous-maxillaires fermes et adhérents (DIOUF, 2013). La morve est curable grâce aux sulfadiazines, tétracyclines, streptomycine, etc., et éventuellement d’autres antibiotiques révélés par l’antibiogramme (COUROUCE et DESBROSSE, 2010). La prévention consiste à procéder au dépistage des animaux infectés et leur abattage systématique. Il n’existe pas de vaccin car il s’agit d’une bactérie peu immunogène (RESPE, 2010).

Le syndrome de l’uvéite récidivante des équidés

       Elle est définie comme une inflammation aiguë et non granulomateuse de l’uvée. L’uvée est formée par l’iris, le corps ciliaire et la choroïde. Dans l’uvéite récidivante, ce sont l’iris et le corps ciliaire qui sont invariablement atteints.
Remarque : l’uvéite provoquée par un traumatisme n’est généralement pas récidivante. Cette affection touche les équidés du monde entier, mais sans distinction de race ou d’âge. Il s’agit de l’une des causes les plus fréquentes de cécité chez les chevaux, les mulets et les ânes (Figure 14) (SPANA, 2000).
 Etiologie : Aucune des étiologies suggérées n’est entièrement convaincante, d’où l’origine multifactorielle du syndrome. La maladie ne semble liée ni à l’hérédité ni à l’alimentation. Le syndrome clinique traduit la réponse de l’uvée à une inflammation traumatique et infectieuse. Les causes évoquées sont :
-Infection virale (adénovirus, virus de la grippe)
-Infections bactériennes (leptospire, streptocoques, et Brucella sp.)
-Parasitoses (strongles, Onchocerca cervicalis, toxoplasme
-Réaction d’hypersensibilité auto-immune retardée
-Traumatisme (différent de l’uvéite récidivante) (SPANA, 2000)
 Signes cliniques : Les signes cliniques sont variables selon qu’il s’agisse de la phase aiguë ou chronique. Les affections sont généralement observées chez les animaux âgés de 4 ans et plus ; elles sont souvent unilatérale (mais pas toujours) et ont une tendance marquée à la récidive avec une gravité variable à intervalles irréguliers dans le même œil, l’autre œil ou les deux yeux. Les épisodes uniques touchant un œil (rarement les deux) sont plus souvent associés à l’uvéite traumatique. Les épisodes récidivants touchant l’un ou l’autre des yeux, ou les deux ensembles, sont plus souvent associés aux formes endogènes et infectieuses de la maladie. La distinction entre les deux types de la maladie est d’une importance majeure pour le pronostic. L’uvéite traumatique à épisode unique n’entraîne généralement aucune séquelle après l’incident. Le pronostic est plus sombre pour les chevaux atteints de la forme infectieuse, car la récidive est imprévisible. Des attaques répétées entraînent progressivement une gravité et une complexité accrues des effets secondaires sur d’autres structures telles que la rétine, le cristallin et la cornée.
 Diagnostic : Il est extrêmement important d’étudier les antécédents médicaux de l’animal. Faire l’examen clinique approfondi de l’œil dans un box sombre afin de déceler la présence des signes cliniques décrits ci-dessus. Les animaux atteints refusent généralement de se faire examiner l’œil en l’absence d’analgésiques topiques et/ou d’un blocage du nerf palpébral. S’il y a suspicion d’une cause parasitaire ou bactérienne, procéder aux examens de laboratoire spécifiques.
 Traitement
-Uvéite aiguë : Le cheval est placé dans un box sombre, à l’abri de la lumière. Il est mis au repos presque complet. Il faut évitez les traumatismes auto-infligés (à cause de la douleur) en attachant l’animal ou en lui mettant des œillères. Comme médication, on peut employer une analgésie (flunixine méglumine : 1,1mg/kg toutes les 24 heures pendant 5 jours maximum ou phénylbutazone : 4,4mg/kg toutes les 24 heures pendant 5 jours puis réduire à 2,2mg/kg). Des applications topiques de déxaméthasone ou de gouttes dans les yeux (prednisolone acétate) peuvent aussi être données afin de réduire l’inflammation (6 à 12 fois par jours pour les gouttes et 4 à 6 fois par jours pour le crème). L’application idéale pour les cas aigus se fait toutes les heures, bien que cela ne soit pas toujours pratique. Si un traitement 24h/24 n’est pas possible, il est possible de faire une injection dans le dépôt subconjonctival, par exemple bétamethasone (10-15mg) ou méthylprednisolone acétate (20mg), qui sera répétée au bout de 10 jours.
Remarque : avant d’utiliser des stéroïdes de toutes sortes, il est impératif d’inspecter l’œil avec de la fluorescéine afin de détecter toute présence d’ulcération. En cas d’ulcération, évitez les stéroïdes jusqu’à leur guérison. Les mydriatiques topiques empêchent la formation de synéchie et soulagent la douleur du spasme pupillaire. On peut utiliser des gouttes d’atropine (1-4%) toutes les heures jusqu’à ce que le mydriase survienne et soit maintenue.
Attention : le retour de la fonction pupillaire est lent : il prend généralement 1-4 semaines, et parfois plus longtemps. La phénylephrine (10%) peut être combinée à l’atropine afin de lutter contre la synéchie. Il est impératif d’agir rapidement, car tout retard peut avoir des conséquences catastrophiques.
-Uvéite chronique/latente : il n’existe aucun traitement, et le traitement de la synéchie bien établie est déconseillé, car cela pourrait provoquer une attaque aiguë de la maladie. Pour apaiser la douleur intermittente, administrez de la phénylbutazone à doses normales.
 Pronostic : Il est très réservé. Donc, il faut détecter la maladie rapidement et la traiter efficacement. Les conséquences à long terme des uvéites non soignées peuvent être graves, avec souvent une grande variété de problèmes : un rétrécissement oculaire sévère, un prolapsus de la troisième paupière et un larmoiement oculaire persistant du canthus médian. La plupart des cas non soignés entraîneront la cécité. Aucun animal ne peut être considéré comme complètement guéri de la maladie; donc tous les animaux atteints d’uvéite peuvent être considérés en phase latente (SPANA, 2000).
NB. L’uvéite traumatique présente un pronostic plus favorable, car elle récidive rarement et les changements secondaires sont généralement statiques, même s’ils sont spectaculaires.

La gale de boue

      La gale de boue est une parasitose due le plus souvent à un acarien, le Chorioptes bovis. Elle commence généralement par des crevasses et peut très vite évoluer vers des surinfections si des soins ne sont pas prodigués à temps. Trois genres de microorganismes sont responsables de surinfection de la gale de boue : Dermatophilus, Fusobacterium, et Staphylococcus. Les causes de cette maladie sont très variées, mais l’eau en est un facteur clé (N’DOUR, 2010). Chorioptes equi provoque une dermatite prurigineuse touchant les parties extrêmes du membre (autour du pied et fanon). Des papules sont observées en premier, suivies par une alopécie, des croûtes et un épanouissement de la peau. Une dermatite humide du fanon apparaît dans les cas chroniques. Le diagnostic différentiel doit être fait avec le « talon graisseux ». L’évolution de la maladie est habituellement chronique sans traitement, mais le pronostic est favorable lorsqu’elle est traitée. Des insecticides organophosphorés ou une solution de chaux soufrée peuvent être utilisés par pulvérisation, application à l’éponge ou trempage. Le traitement doit être répété de 12 à 14 jours d’intervalle 3-4 fois au moins. En solution alternative, l’administration Per os d’ivermectine ou de moxidectine à 200 µg/kg peut être tentée. Plusieurs traitements sont nécessaires à 2-3 semaines d’intervalle. Il est important de traiter tous les animaux en contact (MERKEL et al., 2008).

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

Introduction
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
Chapitre I : Données générales sur le Mali
I.1. Présentation du Mali
I.1.1. Population
I.1.2. Climat, végétation et faune
I.1.3. Relief et hydrographie
I.2. Elevage au Mali
Chapitre II : Elevage des équidés au Mali
II.1. Historique et origines de l’âne et le cheval
II.2. Effectifs
II.2.1. Evolution des effectifs
II.2.2. Répartition par région
II.3. Les races d’équidés
II.3.1. Les races d’asins
II.3.2. Races de chevaux
II.3.2.1. Races locales
II.3.2.2. Races exotiques
II.4 Des particularités physiologiques des équidés
II.4. 1. Digestion
II.4. 2. Normes hémato-biochimiques
II.4. 2.1. Hématologie
II.4.2.2. Biochimie
II.4.3. Les analyses d’urine
II.5. Alimentation des équidés
II.5.1. Substances nutritives essentielles
II.5.1.1. L’eau
II.5.1.2. Les ceréales
II.5.1.3. Les graisses
II.5.1.4. Les proteines
II.5.1.5. Les fibres
II.5.1.6. Les Minéraux
II.5.1.6.1. Macrominéraux essentiels
II.5.1.6.2. Microminéraux
II.5.1.7. Les vitamines
II.5.1.7.1. Vitamines hydrosolubles
II.5.1.7.2. Vitamines liposolubles
II.5.2. Aspects pratiques de l’alimentation au refuge de la SPANAT
II.5.3. Evaluation des besoin nutritionnels
II.6. Importance socio-économique et culturelle de l’utilisation des équidés
II.6.1. Importance socioculturelle
II.6.2. Importance socio-économique
II.6.2.1. Utilisation dans la culture attelée
II.6.2.2. Utilisation pour l’exhaure de l’eau
II.6.2.3. Utilisation dans le transport
II.6.2.4. Comme sources de revenus monétaires
II.6.3. Autres importances
II.6.3.1. Utilisation dans l’hippothérapie
II.6.3.2. Sources des produits alimentaires
II.6.3.2.1. Consommation de la viande des équidés
II.6.3.2.2. Lait des équidés
II.7. Les contraintes liées à l’élevage des équidés
II.7.1. Contraintes zootechniques
II.7.2. Contraintes nutritionnelles
II.7.3. Contraintes techniques
II.7.4. Contraintes sanitaires
II.7.5. Autres contraintes
Chapitre III : Les dominantes pathologiques des équidés
III.1. Les maladies virales
III.1.1. La grippe équine
III.1.2. La peste équine
III.1.3. L’artérite virale équine
III.1.4. La rhino pneumonie équine
III.1.5. L’infection à virus West Nile
III.1.6. La rage
III .2. Les maladies bactériennes
III.2.1. Le tétanos
III.2.2. Le botulisme
III.2.3. Le charbon bactérien
III.2.4. La morve
III.2.5. La gourme
III. 3. Autres maladies
III.3.1. Les coliques
III.3.2. Prolapsus rectal
III.4. Les plaies
III.5. Les affections oculaires
III.5.1. Le syndrome de l’uvéite récidivante des équidés
III.5.2. L’ulcère de la cornée
III.6. Les affections de l’appareil locomoteur
III.6.1. Les défauts d’aplombs
III.6.2. La fourbure
III.6.3. L’abcès
III.6.4. Les bleimes
III.6.5. La seime
III.6.6. Le crapaud ou pododermatite végétante chronique
III.6.7. Le clou de rue
III.6.8. Les fractures et déchirures musculaires
III.7. Affections cutanées
III.7.1. La gale de boue
III.7.2. l’habronémose cutanée
III.7.3. La dermatite ou dermite estivale récidivante
III.7.4 Le mal de garrot
III.8. Les affections fongiques
III.8.1 La lymphangite épizootique
III.9. Affections tumorales
III.9.1. Les mélanomes cutanés
III.9.2. Le sarcoïde équin (sarcoïde de Jackson)
III.10. Les affections parasitaires autres que cutanées
III.10.1. Les trypanosomoses
III.10.2. La piroplasmose (Babésiose)
III.10.3. Les strongyloses
III.10.4. La gastérophilose
III.10.5. L’oxuyrose
III.11 Les maladies carentielles ou toxiques
III.12 Maladies répertoriées dans les registres des services vétérinaires du Mali
DEUXIEME PARTIE : PARTIE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : Matériel et Méthodes
I.1. Cadre et période d’étude
I.1.1 Zone et période d’étude
I.1.2. Présentation de L’ONG SPANA
I.1.3. Présentation des sites suivis
I.2. Matériel d’étude
I.2.1. Les équidés (ânes et chevaux)
I.2.2. Fiches d’enquête
I.2.3. Matériel divers
I.3. Méthodes
I.3.1. Les entretiens
I.3.2. L’examen clinique
I.3.3. Prélèvements et analyses de laboratoire
I.4. Traitements des données
CHAPITRE II : Résultats
II.1. Données générales
II.1.2. Identification des propriétaires
II.1.2.1. Utilisation des animaux
II.1.3. Gestion des animaux
II.1.3.1. Effectif et sexe
II.1.3.2. Habitat
II.1.3.3. Alimentation
II.1.3.4. Abreuvement des équidés
II.1.3.5. Soins vétérinaires privés
II.1.4. Les professionnels de la santé animale
II.2. Résultats des examens cliniques
II.2.1. Effectifs d’animaux examinés
II.2.2. Age et robes des animaux
II.2.3. Etat d’embonpoint des animaux
II.2.4. Etat des muqueuses et l’état de la dentition
II.2.5. Paramètres généraux
II.2.5.1. Température
II.2.5.2. La fréquence cardiaque
II.2.5.3. La fréquence respiratoire
II.2.6. Présence d’ectoparasites
II.2.7. Signes cliniques observés
II.2.8. Affections et cas cliniques rencontrés
II.2.8.1. Cas d’euthanasie ou mort
II.2.8.2. Résultats des analyses de laboratoire
II.8.2.3. Récapitulatifs des cas cliniques rapportés lors des missions dans les villes et villages
II.2.9. Traitements
CHAPITRE III : Discussion
III.1. Limites de l’étude
III.2. Choix de la zone d’étude
III.3. Méthode d’enquête
III.4. Répartition des propriétaires
III.5. Utilisation des équidés
III.6. Sexe et robes des animaux
III.7. Élevage des équidés
III.8. Examen clinique des animaux
III.9. Les affections et cas cliniques rencontrés
III.9.1. Les pathologies digestives
III.9.2. Les affections locomotrices
III.9.3. Les affections cutanées
III.9.4. Les affections respiratoires
III.9.5. Le Tétanos
III.9.6. Les affections oculaires
III.9.7. Autres affections rencontrées
Conclusion générale
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *