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La politique de maîtrise de l’énergie
Une politique de maîtrise de l’énergie rassemble les composantes suivantes :
– Etablir un cadre législatif, (réglementation surla construction des bâtiments, labels ou normes sur la consommation des appareils et équipements, mesures fiscales d’incitations).
– Evaluer les potentiels techniques et économiques de la maîtrise de l’énergie, proposer les mesures permettant de les exploiter : mettre en évidence l’enjeu des choix d’infrastructures.
– Organiser d’abord des campagnes d’information aux consommateurs, des professionnels et des décideurs, ensuite des programmes de formation des techniques et méthodes de la maîtrise d’énergie.
– Promouvoir la maîtrise de l’énergie par des aides à la recherche et à l’innovation, des opérations de démonstration, des aides à la décision (audits énergétiques).
– Développer des mécanismes financiers originaux permettant des investissements de maîtrise de l’énergie.
– gestion rationnelle de la consommation.
– Développement des énergies renouvelables.
– approvisionnement des bâtiments rénovés, selon les critères de climatisation.
– utilisation des éclairages et des machines à basse consommation.
– la politique de la planification de l’éclairage public est primordiale (concevoir des plans d’aménagement lumière très efficaces à l’échelle ud quartier).
– améliorer les méthodes de système d’informationgéographique (une base de données permettant la maîtrise de l’ensemble des installa tions). Par exemple : avoir un catalogue de l’éclairage public.
Madagascar dispose d’une politique de maîtrise de l ’énergie, mais faute de financement, le projet n’a pu être réalisé jusqu’à présent.
LES PANNEAUX SOLAIRES
Un panneau (capteur) solaire est destiné à récupére une partie du rayonnement solaire pour le convertir en énergie solaire.
On distingue essentiellement deux types d’utilisation de l’énergie solaire :
· Les capteurs solaires thermiques qui convertissent la lumière en chaleur. Les capteurs thermiques chauffent un fluide qui circule soit dans l’échangeur d’un ballon d’eau chaude, soit dans un réseau de tuyaux noyés ansd une dalle chauffante, soit dans les deux simultanément.
· Les panneaux solaires photovoltaïques qui la convertissent en électricité.Ils sont utilisés pour la fourniture d’électricité sur leséseauxr électriques ou pour l’alimentation des sites isolés.
Unite de traitement
Unité centrale de traitement, appelée également CPU(Central Processing Unit), est composée d’une ou plusieurs puces (groupe de circuits intégrés contenant un microprocesseur), qui effectuent les calculs arithmétiques et logiques, et qui régulent et contrôlent les opérations des autres éléments du système.
Les puces de traitement et les microprocesseurs sont généralement composés de quatre unités fonctionnelles : une unité arithmétique etogique,l des registres, une unité de contrôle et un bus interne.
L’unité arithmétique etlogique permet d’effectuer les opérations arithmétiques, comparatives et logiques.
Les registres sont des zones de stockage temporaires qui conservent les données, sauvegardent les instructions et gèrent les adresses (valeurs représentant des zones définies de mémoire), ainsi que les résultats des opérations.
L’unité de contrôle remplit trois tâches principales .
– elle réglemente toutes les opérations du système informatique .
– elle lit et traduit les configurations des données.
– enfin, elle indique l’ordre dans lequel les opérations individuelles sont traitées, et calcule le temps que chacune d’entre elles requiert à l’unité de traitement.
Le bus interne est un ensemble de circuits chargé d’assurer l’acheminement des données et des signaux de contrôle entre le microprocesseur , ses circuits annexes et la mémoire. Ce bus est généralement divisé en trois régions : leusb de contrôle qui transporte les signaux de contrôle garantissant le bon fonctionnement du micr oprocesseur, le bus d’adresse qui véhicule les adresses mémoire et le bus de données, autoroute bidirectionnelle qui assure le transport des données.
Unités d’entrée
Ces unités permettent à l’utilisateur d’entrer des données, des commandes et des programmes qui seront gérés par l’unité de traitement. Ces données, quelle que soit leur forme, sont traduites en configurations identifiables par l’ordinateur. L’unité d’entrée la plus courante est le clavier. Il en existe cependant d’autres, telles que les crayons optiques ou photostyles, qui transfèrent les informations graphiques depuis des capteurs électroniques vers l’ordinateur; les manettes de jeu ou joysticks et les souris, qui traduisent les déplacements physiques en mouvements sur un écran vidéo d’ordinateur , les scanners qui permettent de visualiser mots et symboles graphiques sur des supports plans , les caméras numériques, ainsi que les modules de reconnaissance vocale qui enregistrent les mots prononcés et les traduisent.
Des unités de stockage peuvent être également utilisées pour entrer des données dans l’unité de traitement.
Unités de stockage
Les systèmes informatiques peuvent stocker des données de manière temporaire ou permanente. La mémoire vive (RAM) sert de stockage temporaire au microprocesseur pour les programmes, le travail en cours et différentes informations internes de contrôle des tâches.
La mémoire morte (ROM) est au contraire un support permanent et non effaçable pour la conservation d’informations utiles, notamment les informations de démarrage et les procédures d’entrée / sortie.
Un ordinateur possède également d’autres types de tockages qui conservent l’information de manière quasi permanente comme les disquettes, les disques durs, ou encore les bandes magnétiques. Ces unités, qui stockent les donnéesurs un support magnétique sensible peuvent contenir de plusieurs centaines de milliers à plus d’un million d’octets de données pour les disquettes et de plusieurs millions à des centaines de millions d’octets pour les disques durs. Il existe également des supports de stockage non magnétiques comme les disques compacts (CD-ROM) dont la lecture est assurée grâce à un fai sceau laser. Ces derniers disposent d’une capacité de stockage de plusieurs gigaoctets (milliards d’octets) de données.
Unités de sortie
Ces unités permettent à l’utilisateur de visualiser les résultats des calculs ou des manipulations de données effectués par l’ordinateur.La plus courante des unités de sortie est le terminal à écran vidéo, composé d’un adaptateurvidéo, d’un clavier et d’un moniteur (écran de visualisation). Il est généralement équipé d’untube cathodique, comme un téléviseur, mais les ordinateurs portables utilisent maintenant des écrans à cristaux liquides (LCD) ou électroluminescents. Ce terminal, qui n’effectue que peu ou pas de traitement indépendant, est relié à l’ordinateur par un câble. Les entrées du clavier sont transmises du terminal vers l’ordinateur, tandis que la sortie vidéo est transmise de l’ordinateur vers le terminal. Il existe d’autres unités de sortie courantes comme les imprimantes ou encore les modems, qui permettent à un ordinateur de transmettre des données sur une ligne téléphonique.
Bus
Le bus est un ensemble de conducteurs parallèles servant au transfert d’informations entre les composants d’un ordinateur. Il peut êtrecomparé à une autoroute reliant les différentes parties du système informatique qui separtagent pour échanger des données. En général supervisé par le microprocesseur, un bus tessouvent spécialisé dans le type d’information qu’il transfère. Ainsi, un groupe decircuits transporte les données, un autre transporte les adresses, un autre encore véhicule les informations de contrôle qui assurent que chaque partie du système utilise bien la partie d’autoroute qui lui est réservée. Les bus se distinguent également par le nombre de bits qu’ilstransportent en parallèle.
Un bus 8-bits véhicule 8 bits (soit 1 octet) d’informations à la fois, donc un bus 16-bits transporte 2 octets. Le bus est la partie intégrante de l’ordinateur, mais comme certains dispositifs additionnels ont besoin d’accéder directement au système, il est prévu des broches d’extension directement connectées au bus.
LE PORT PARALLELE DE L’ORDINATEUR
Le port parallèle de l’ordinateur nommé aussi LPT ou Local PrinTer. Ce port sert à l’origine pour connecter à l’imprimante, mais peut aussi être utilisé pour connecter d’autres périphériques (Scanners, Graveurs, Disques durs…).
Méthode pour avoir l’adresse de base du port parallèle
Pour pouvoir programmer le port parallèle il faudra connaître son adresse de base Pour cela il existe 2 méthodes :
– sous Windows.
Cela peut se faire très facilement sous Windows par l’intermédiaire du panneau de configuration « Propriétés système » et dans l’onglet « Gestionnaire de périphériques ». Cliquer sur « Ports », « Port imprimante (LPT1) », « Propriétés » puis « Ressources ». La grande majorité des ordinateurs ont une adresse de 0x378 (en hexadécimal), ce qui corresponde 888 (en décimal). Cette adresse est appelée adressede base, et correspond au registre de données. Voici une capture d’écran illustrant cela.
LE PORT SERIE DE L’ORDINATEUR
Le terme « série » vient juste du fait que les bits sont envoyés les uns après les autres sur un seul fil pour l’émission et un autre fil pour la réception, comme pour le téléphone. L’interface série est une interface asynchrone, cequi signifie que le signal de cette interface n’est pas synchronisé avec celui d’un bus quelconqu. C’est à dire que les bits des données sont envoyés les uns après les autres. Un caractèreest composé d’un ensemble de bit. C’est généralement une matrice de 8×8 bits codé par unealeurv. Cette valeur est comprise entre 0 et 255 et elle est stockée sur 1 octet c’est à dire 8 bits. Chaque caractère est délimité par un signal de début qui est un bit à 0 et par signal de fin standard qui peut correspondre à un ou deux bits de fin, cela permet d’indiquer que le caractère a été envoyé. L’interface asynchrone est orientée caractère, c’est à dire que l’on doitutiliser les signaux de début et de fin pour identifier un caractère. L’inconvénient de ce processus c’est qu’il augmente la duré des transferts de presque 25 %. En effet pour chaque ligne de 8 bits il faut au minimum 2 bits.
Mais dans certains ouvrages on a le cas contraire c’est à dire positif à l’Est et négatif à l’ouest. La formule (2.18) du chapitre précédentcalcule l’angle horaire.
En passant du repère horaire en repère horizontal,l’équation (2.13) donne la hauteur angulaire du soleil au dessus de l’horizon et la formule (2.14) celle de l’azimut. Ces deux angles définissent la position du soleil dans la voûte céleste à un moment donné
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Table des matières
CHAPITRE I. DEVELOPPEMENT DURABLE, ENERGIE RENOUVELABLE ET MAÎTRISE DE L’ENERGIE
I.1. DEVELOPPEMENT DURABLE
I.2. ENERGIES RENOUVELABLES
I.2.1. Definition
I.2.2. Avantages et inconvenients de l’exploitation de l’energie renouvelabe
I.2.3. Energies renouvelables à Madagascar.
I.2.4. Les combustibles fossiles à Madagascar
I.3. MAITRISE DE L’ENERGIE
I.3.1- Objectifs de la maîtrise de l’énergie
Les objectifs principaux de la politique de la maîtrise de l’énergie sont :
I.3.2- La politique de maîtrise de l’énergie
CHAPITRE II. TRAQUEUR SOLAIRE
II.1. GENERALITE SUR LE RAYONNEMENT SOLAIRE
II.2. ANGLE SUIVANT L’HEURE ET SUIVANT LA SAISON DU SOLEIL
II.3. LES PANNEAUX SOLAIRES
II.4. LE TRAQUEUR SOLAIRE
II.4.1. OBJECTIF
II.4.2. LES DIFFERENTS TYPES DE TRAQUEURS SOLAIRES
a.1) PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT.
a.2) PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT
CHAPITRE III. ARCHITECTURE ET PORT PARALLELE DE L’ORDINATEUR
III.1. STRUCTURE D’UN MICRO-ORDINATEUR
III.1.1. introduction
III.1.2. Unite de traitement
III.1.3. Unités d’entrée
III.1.4. Unités de stockage
III.1.5. Unités de sortie
III.1.6. Bus
III.2. LE PORT PARALLELE DE L’ORDINATEUR
III.2.1. GEOMETRIE DU PORT PARALLELE
III.2.2. DESCRIPTION DES SIGNAUX
III.2.3. Les registres de données
III.2.4. Les registres d’états
III.2.5. Les registres de contrôles
III.3. LE PORT SERIE DE L’ORDINATEUR
III.3.1. LE BROCHAGE DU PORT SERIE A 9 BROCHE
III.3.2. COMPARAISON ENTRE LE PORT SERIE ET LE PORT PARALLELE DE L’ORDINATEUR
III.3.3. PORT PARALLELE EN MODE ETENDU
III.3.4. LE PORT A CAPACITE ETENDU
III.3.5. CONFIGURATION DU PORT PARALLELE
III.4. LES INTERRUPTIONS
CHAPITRE IV. INTERFACAGE
IV.1. NOTION SUR LA COMMANDE NUMERIQUE
IV.2. CONVERTISSEURS NUMERIQUES ANALOGIQUES ET CONVERTISSEUR ANALOGIQUES NUMERIQUES
IV.2.1. CONVERTISSEUR NUMERIQUE ANALOGIQUE
a.1) Principe de fonctionnement du R-2R
IV.2.2. CONVERTISSEUR ANALOGIQUE NUMERIQUE
CHAPITRE V. COMMANDE DU MOTEUR A FREIN
V.1. COMMUTATION DES CIRCUITS ELECTRIQUES
V.2. ACTIVATION DU RELAIS 5V
V.2.1. LA DIODE
V.2.2. Le transistor bipolaire
V.2.3. Fonctionnement du relais 5v
V.2.4. Commande des deux relais KAV et KAR
V.3. RELAIS ELECTROMAGNETIQUE
V.3.1. Dimensionnement du circuit magnétique du relais
V.4. SCHEMA ELECTRIQUE DE COMMANDE
V.4.1. GENERALITE SUR LE SCHEMA ELECTRIQUE
V.4.2. SCHEMA DETAILLE DU COMMANDE
V.4.3. SCHEMA DE PUISSANCE
V.4.4. ETUDE DU REGIME DYNAMIQUE DU MOTEUR FREIN
V.4.5. ETUDE DU SYSTEME DE FREINAGE
CHAPITRE VI. PROGRAMMATION
VI.1. LES DIFFERENTS LANGAGES PERMETTANT D’ECRIRE ET DE LIRE SUR LE PORT PARALLELE
VI.2. PROGRAMMATION DU PORT
VI.3. ALGORITHME DE COMMANDE POUR LE POSITIONNEMENT DU PANNEAU SOLAIRE
VI.3.1. ALGORITHME DE COMMANDE SELON DES POSITIONS PONCTUELLES
VI.3.2. Algorithme de commande suivant l’horloge de l’ordinateur
VI.4. Elaboration du logiciel SOL 1.0
VI.4.1. Les interfaces graphiques
VI.4.2. Concernant le logiciel
VI.4.3. Guide d’utilisation
a.1) Fonctionnement en géneral du logiciel
CHAPITRE VII. IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX
VII.1. IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX
VII.1.1. Introduction
VII.1.2.Les domaines d’actions de développement durable liées à l’environnement
LISTES DES ANNEXES
ANNEXE 1: DESSINS TECHNIQUES DE LA REALISATION
ANNEXE 2 : LIGNE DE PROGRAMME
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