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La classification et la répartition des « réservoirs d’eau » (en annexe 3)
La continuelle circulation de l’eau sous ses trois états, dans les profondeurs et à la surface des mers et des océans, dans l’atmosphère, sur et sous la surface des sols fermes occasionne la formation et l’existence de lieux de stockage ou « réservoirs » d’eau que l’on peut simplement classifier, selon un tableau référencié en annexe ci-dessus, en huit types, par rapport à leur proportion de volumes, de composition et de temps de renouvellement différents : océans et mers littoraux, humidité atmosphérique, glaciers, humidité des sols, lacs et mers intérieures, fleuves et rivières, et eau des cellules vivantes.
Si l’on observe à fond ce tableau en annexe 3, faisant ressortir la classification par des scientifiques de ces réservoirs autour et sur le globe, il montre que ce sont les océans (y compris les mers littorales) qui contiennent plus de 97% (97, 41%) du stock d’eau de la planète. Par ailleurs, l’eau stockée ou qui circule sur les continents représente seulement moins de 3% (2,59%) de l’hydrosphère. L’essentiel de cette eau est retenue dans deux réservoirs, dont les glaciers (représentés par lesvastes calottes glaciaires de l’Antarctique et du Groenland qui renferment 70% de toutes les eaux continentales) et toutes les eaux souterraines du globe, dont la profondeur dépasse parfois 1.000 m et que l’on appelle des « aquifères » ( 3).
Finalement, la masse d’eau immédiatement utilisable pour les hommes sur la Terre ne représente que 0, 014% de l’hydrosphère, c’est-à-dire à peine plus de 1/100.000è du total. Or, c’est ce pourcentage qui cumule, en quantité, les eaux de l’atmosphère, les eaux de surface, celles des lacs, des fleuves et celles qui circulent dans le sol à faible profondeur. Et il faut ajouter à cet ensemble l’eau que contiennent les êtres vivants, animaux et végétaux et qui constitue 50 à 90% de leur masse. La répartition des réservoirs d’eau est donc, d’après le tableau en annexe de référence ci-dessus, très inégale dans l’espace. Mais, elle l’est aussi dans le temps. Par exemple, à l’échelle des temps géologiques, certaines régions aujourd’hui arides comme le Sahara et/ou le Sud de Madagascar ont été humides. Le fait qu’il y subsiste (par exemple au Sahara) des nappes « fossiles », à l’heure actuelle, en est l’héritage et la preuve.
S’il faudrait s’en tenir à ces « réservoirs » d’ea u observés jusqu’ici autour de notre planète, il serait propice de s’assurer alors de la qualité du liquide qu’ils contiennent, avant de l’utiliser ?
UTILISATION HUMAINE DE L’EAU
La qualité de l’eau disponible dans les « réservoirs » d’eau dans le monde
La qualité de l’eau trouvée dans la nature varie selon les terrains géologiques que cette eau traverse : elle peut être calcaire, f errugineuse voire polluée ou contaminée. En gros, on la rencontre soit d’un goût salé ou d’une saveur douce. Et l’on qualifie de saumâtre la qualité intermédiaire. Pour toutes ces qualités de l’eau, certains paradoxes mériteraient d’être soulignés quant à l’utilisation de l’eau des océans et des mers. En effet, si l’ « eau douce » nous revient rapidement en tê te quand il s’agit d’une boisson courante et liée à la vie de tous les jours, l’ « eau salée » des mers ou des océans n’est pas non plus impropre, d’une manière générale, à la vie. Car, c’est dans leurs profondeurs qu’est née et s’est développée depuis trois milliards d’anées jusqu’à nos jours la vie, avec l’existence de ces milliers d’espèces végétales etanimales, dont quelques-unes (baleines, dauphins) qui y vivent.
En d’autres termes, avec quelle qualité de l’eau ’hommel doit-il au juste par exemple se désaltérer ?
La qualité de l’eau, avec laquelle l’homme devrait boire, doit respecter certaines normes, proposées au niveau mondial par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Ces normes concernent trois critères : l’aspect de l’eau (couleur, odeur, goût), qui est peu important par rapport à la non-toxicité et à la pureté bactériologique du liquide ingurgité).
En principe, l’on ne devrait retenir comme paramètres définissant une eau consommable que ceux pour lesquels les connaissances scientifiques et techniques, à un moment donné, attribuent un rôle pour les qualitésque le consommateur attend du produit qu’on lui délivre. Ces paramètres peuvent donc varier et évoluer au gré de l’approfondissement de la science humaine. A propos de problème d’ordre biologique lié à la qualité de l’eau, l’on établit, selon OMS, à 1.000 germes microbiens au cm3 le taux normal d’une eau potable. Le seuil dangereux est atteint à 10.000 germes.
Mais, à supposer que tous ces critères de la qualité de l’eau soient acquis, comment l’homme consomme-t-il cette eau, débarrassée de toutes impuretés ?
Les besoins d’utilisation de l’eau par l’homme et par d’autres êtres vivants
Indispensable au développement de tout organisme vivant, l’eau contribue pour 60 à 70% dans la composition du corps humain, ceci depuis le moment même de sa conception, période pendant laquelle l’œuf humain d ans le ventre maternel ne peut se développer de la phase embryonnaire à la phase fœta le qu’en vivant dans une poche naturelle imbibée d’eau nutritive, la poche « amniotique ». Et l’eau représente, par ailleurs, pour plus de 95% de la partie matérielle de certains végétaux et animaux marins.
Bien que les besoins élémentaires humains en eau soient variables et qu’il faudrait, par exemple, 100 litres/jour/par personne pour satisfaire tous les besoins domestiques, la quantité minimale requise pour un seul homme est d’environ 20 litres d’eau par jour. L’homme ne résiste pas plus de 3 jours sans boire. A l’inverse, il ne faut pas boire trop d’eau pour éviter l’intoxication par celle-ci, qui est aussi dangereuse que le manque d’eau. C’est pourquoi, en vue d’une nécessité d’un équilibre hydrique judicieux de son organisme (soit le métabolisme de l’eau), un homme normal devrait assimiler (faire rentrer) chaque jour 2 litres à 2, 5 litres d’eau qui comprennent ses boissons et ses aliments ; dans le même temps, la combustion des al iments ainsi digérés lui en fournit 0, 5 litre. L’eau est ensuite éliminée (faite sortie) par les reins (1, 5 litre toutes les 24 heures), par les pores de la peau, les poumons et les intestins.
S’agissant des autres êtres vivants, en particulie r les plantes, elles ont aussi besoin d’eau pour vivre et croître. Par exemple, il fautune quantité d’eau d’un volume 1.500 litres pour faire développer 1 kilogramme de blé, 4.500 litres pour le cas d’un kilogramme de riz
. C’est pour dire que la croissance des végétaux requiert une quantité considérable d’eau. Extraite du sol par « osmose » au niveau des racin es, poussée par la pression osmotique et tirée vers le haut par la « capillarité », l’eau parcourt la plante à travers un réseau de vaisseaux très fins qui l’acheminent vers les feuiles. Cette eau est porteuse de substances nécessaires au développement des plantes. L’excédent de cette eau sera « éliminé » (sorti) le long des plantes par de peti tes ouvertures, les « stomates », qui, par leur ouverture ou leur fermeture, constituent le mécanisme de régulation de la soif des plantes. Il est donc à signaler que la masse finale d’une plante, ou d’un être humain, est toujours proportionnelle à la quantité qu’elle (ou qu’il) a puisée au cours de sa croissance.
Par ailleurs, l’être humain utilise beaucoup de l’ eau pour ses différentes activités socioprofessionnelles. Ainsi, à l’échelle de la société, l’eau a une forte valeur symbolique générale dans la plupart des civilisations, en particulier chez les Malgaches. L’eau est étroitement liée aussi bien au domaine du religieux, du politique, que de la justice. Si l’on se réfère uniquement à des rituels religieux qui puissent exister, à travers le monde, celui faisant recours à l’eau comme pour traduire la pureté (par exemple pour le baptême du Christ par Jean-Baptiste dans la Bible avec l’eau recueillie au bord du fleuve Jourdain en Proche-Orient) et la transmission d’une bénédiction presque éternelle (le cas du rituel de « tso-drano » ou, littéralement « souffler de l’eau », particulier chez les Malgaches), est très fréquent et répandu. Et si l’on se place sur ’utilisation de l’eau par l’homme pour les activités lui permettant de subsister, l’on doit observer que l’activité humaine la plus grosse consommatrice d’eau dans le monde est représentée par le secteur de l’agriculture (soit entre 65 et 70% des eaux utilisables sur le globe – donc non comprises évidemment celles des océans et des glaciers). A ces pourcentages se joint l’utilisation de l’eau dans le domaine de l’élevage, où, à titre indicatif, il faut, en moyenne, 45.000 litres d’eau pour produire un kilogramme de viande de boucherie. Après l’agriculture et l’élevage, ce sont les activités humaines afférentes à l’industrie qui monopolise entre 20 et 25% des eaux disponibles de la planète, dont une majeure partie pour le refroidissement des centrales thermiques. Et le reste des eaux dont peuvent disposer les « réservoirs » d’eau sur terre, c’est-à-dire l’équivalent d’environ 10%, vont dans la consommation domestique, dont 2 litres minimum par jour et par personne pour étancher seulement sa soif (4).
Mais, de nos jours, peut-on affirmer que les disponibilités en eau sur ses « réservoirs » naturels sur le globe suffisent-elle s toujours à l’humanité et ne pourrait-on pas craindre une pénurie ou un non-accès à l’eau pour tout le monde et pour toutes les activités nécessitant l’utilisation de l’eau, où partout que nous soyons?
DESEQUILIBRE ENTRE DEMANDE CROISSANTE EN EAU ET PRESSION DEMOGRAPHIQUE
Des besoins effectivement croissants en eau
Dans l’histoire de l’utilisation de l’eau, aujourd’hui comme par le passé, les hommes utilisent principalement l’eau pour l’irrigation. Quelques-unes des plus grandes civilisations – égyptienne, mésopotamienne, indo-aryenne et chinoise – étaient fondées sur le contrôle de l’eau des rivières pour l’agriculture. Aujourd’hui comme alors, l’irrigation et l’agriculture restent les principales utilisatrices de l’eau. Cependant, depuis le début du XXe siècle, l’utilisation de l’eau pour l’industrie etles municipalités s’accroît. L’utilisation de l’eau augmente beaucoup plus vite que la population depuis au moins un siècle – et cette tendance se poursuit. Au cours des 100 dernières années, la population a quadruplé, tandis que l’utilisation de l’eau s’est multipliée par 7. Selon des projections recueillies, il y aura, d’ici 2025, près de 8 milliards de personnes dans le monde (dans le « Rapport mondial sur le développement humain 2006 », de PNUD, sur la crise mondiale de l’eau).
Or, si l’on se réfère au cycle naturel de l’eau qui implique alors le pompage et le transfert par le système hydrologique de la Terre d’un volume de quelques 44.000 km3 d’eau vers le sol chaque année (soit 6.900 m3 pour chaque personne par an), il serait tentant d’affirmer que l’on ne peut pas tomber à court d’eau. A l’échelle mondiale, il ya plus d’eau nécessaire pour les besoins de l’humanité entière. Les disponibilités en eau dépendent, d’une part, des précipitations et de l’autre, de la capacité de stockage et du degré auquel les rivières et les nappes aquifères se remplissent à nouveau. Mais, cette réserve en eau est limitée, puis répartie de manière inéquitable entre les pays et à l’intérieur de ceux-ci. Autrement dit, le problème est que certains pays en ont beaucoup d’eau plus que d’autres. Ainsi, près d’un quart dela réserve mondiale d’eau (douce) se trouve uniquement dans le lac Baïkal, en Sibérie. Et avec 31% des ressources mondiales d’eau « douce », l’Amérique Latine possède 12 fois plus d’eau par personne que l’Asie du Sud. Certains endroits, tels que le Brésil et le Canada ont beaucoup plus d’eau qu’ils ne peuvent en utiliser, tandis que d’autres, comme des pays de Moyen Orient, en ont beaucoup moins que ce dont ils ont besoin.
Puis, au sein du continent africain, il y a, entre les pays, un décalage de disponibilités en eau. Si, généralement, l’Afrique subsaharienne est pauvre en eau, la République démocratique du Congo, par exemple, possède plus d’un quart des ressources en eau de la région où elle se trouve, avec 20.000 m3 d’eau par an pour chacun de ses citoyens, alors que des pays comme l’Afrique du Sud, le Kenya et le Malawi se situent déjà en dessous du seuil de « stress hydrique ». Au fait, la convention est de considérer 1.700 m3 d’eau par personne comme le seuil normal permettant de répondre aux besoins en eau pour l’agriculture, l’industrie, l’énergie et l’environnement. Une disponibilité en eau inférieure à 1.000 m3 est réputée un état de « pénurie d’eau » – et inférieure à 1.700 m3 pour une personne par an celui de « stress hydriqu e ».
Du « stress hydrique » chez certains pays
Si, comme il a été mentionné plus haut, le Canada dispose de plus d’eau « douce » qu’il ne peut en utiliser (cf. 90.000 m 3 pour une personne par an), il ne peut pas en céder directement au Yémen (Arabie saoudite), soumis au stress hydrique (soit 198 m3/personne/an). Il en est de même pour les régions d e la Chine et de l’Inde face à l’Islande, une île des pays scandinaves et au sud-est de Groenland, qui, à elle seule, dispose plus de 300 fois le seuil minimal de carence en eau, qui est équivalent à 1.700 m3.
Le problème réside en ce que, contrairement à des denrées alimentaires ou au pétrole, l’eau n’est pas aisément transférable en grande quantité et que les possibilités d’échange en vue d’aplanir les inégalités sont limitées.
Au fait, le stress hydrique a lieu, ici à Madagascar comme ailleurs, lorsque des prélèvements excessifs d’eau s’opèrent en vue de satisfaire des besoins consécutifs, d’une part, à l’augmentation de la demande d’eau pour l’industrie par rapport à l’accélération de l’urbanisation et de la croissance de la production industrielle et de l’autre, en vue de parer à la stimulation de la demande en eau pour l’irrigation par rapport à la croissance démographique et à l’augmentation des revenus des gens. La situation étant ainsi considérée comme telle, les disponibilités en eau dans le monde vont diminuer progressivement devant ces prélèvements d’eau générés par les actions intensives de l’homme, actions qui vont déséquilibrer le cycle de l’eau sur Terre et exposer une multitude de personnes à des risques d’aléas divers. Les prélèvements, en effet, rompent l’intégrité des écosystèmes, qui maintiennent le débit des eaux.
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Table des matières
. INTRODUCTION
.PREMIERE PARTIE : LA SITUATION DE L’ACCES A L’EAU POTABLE DANS LE MONDE – EN AFRIQUE ET A MADAGASCAR
. CHAPITRE PREMIER : LES DISPONIBILITES EN EAU POTABLE SUR LE GLOBE
A. A L’ORIGINE DE L’EAU
1. Genèse et historique de l’eau
2. Particularités de l’eau
B. LES « RESERVOIRS » D’EAU DANS LE MONDE
1. La notion de cycle de l’eau
2. La classification et la répartition des « réservoirs » d’eau
C. UTILISATION HUMAINE DE L’EAU
1. La qualité de l’eau disponible dans les « réservoirs » d’eau
2. Les besoins d’utilisation de l’eau par l’homme et par d’autres êtres vivants
CHAPITRE DEUXIEME : AUTOUR DE SA PENURIE ET DE SA CRISE ACTUELLE
A. DESEQUILIBRE ENTRE DEMANDE CROISSANTE EN EAU ET PRESSION DEMOGRAPHIQUE
1. Des besoins effectivement croissants en eau
2. Du « stress hydrique » chez certains pays
B. RISQUES POTENTIELS ENCOURUS AVEC LA SURUTILISATION ACTUELLE DES RESERVES D’EAU
1. Assèchement des « réservoirs » d’eau
2. Diverses pollutions à grande échelle
3. Une part du réchauffement climatique
4. Des risques sanitaires en perspective
5. Acuité de la corvée d’eau par les femmes et les jeunes filles
6. Des «hydro-conflits»
C. VULNERABILITES ET CATASTROPHES FACE AU RISQUE DE PENURIE D’EAU
1. Dans le monde
2. En Afrique
3. …et à Madagascar
CHAPITRE TROISIEME : LES MESURES A PRENDRE
A. L’EAU : UN ELEMENT A BIEN PRESERVER
1. Des cadres juridiques de gestion de l’environnement à faire appliquer au plan mondial
2….et à l’échelon national
B. L’EAU : UN PRODUIT A BIEN GERER
1. Quid de la monétisation de l’eau?
2. Sa gestion économique
C. L’EAU : UN «DROIT» POUR TOUS
1. La politique nécessaire pour l’accès de tous à l’eau
2. La promotion du «genre»
3. La nécessité de coopération dans les conflits transfrontaliers
.DEUXIEME PARTIE : LES VULNERABILITES ET STRATEGIES DE REPONSES AU DEFICIT EN EAU POTABLE DANS LE SUD DE MADAGASCAR : CAS DANS LE DISTRICT D’AMBOASARY-SUD (REGION ANOSY – PARTIE SUD/-EST DE MADAGASCAR)
CHAPITRE QUATRIEME : LE SORT ET LES STRATEGIES DES MENAGES FACE AUX DIFFICULTES D’ACCES A L’EAU POTABLE (EN MILIEU URBAIN/RURAL)
A. EXPOSITION DES MENAGES DANS LE SUD DE MADAGASCAR A DES RISQUES NATURELS MULTIPLES AVEC LEURS CONSEQUENCES
1. Risques de sécheresse
2. Risque d’ensablement
3. Risque d’invasion par les criquets « migrateurs »
4. Des risques consécutifs attendus :
a) des risques sanitaires
b) …et des risques d’abandon scolaire et de fermeture d’écoles
B. CONSTAT DE CERTAINES VULNERABILITES
1. Chez les hommes
2. Sur les animaux
3. …et sur les plantes
C. STRATEGIES DES REPONSES AUX RISQUES PAR LES MENAGES
1. Face à la pénurie en eau
2. Devant l’insécurité alimentaire
CHAPITRE CINQUIEME : LES CONTRIBUTIONS DES ACTEURS HUMANITAIRES : EXEMPLE DU CARE MADAGASCAR
A. L’ASSISTANCE TOUS AZIMUTS DU « CARE INTERNATIONAL »
1. But de la mission de l’organisme
2. Pertinence de ses actions
B. CAS DU PAM (PROGRAMME ALIMENTAIRE MONDIAL)
1. Sa vocation première
2. Les principes et ses modalités d’action
3. Ses méthodologies
CHAPITRE SIXIEME : LES INTERVENTIONS DE L’ETAT ET LES IMPLICATIONS DE L’AES
A. ROLE DU MINISTERE DE L’EAU
1. Mise en place du Code de l’eau
2. Des problèmes autour de la mise en vigueur de ce code
B. …ET IMPLICATIONS DE L’AES (ALIMENTATION EN EAU DU SUD)
1. A l’origine de sa création
2. Ses activités tangibles
CHAPITRE SEPTIEME : LES PROPOSITIONS ET RECOMMANDATIONS
A. ENVERS LES POPULATIONS LUTTANT CONTRE LA SECHERESSE
1. Des changements de comportements à adopter
2. …et des principes de réactions à suivre face au développement
B. A L’ATTENTION DE L’ETAT
1. Sur un plan socioprofessionnel et éducatif
2. Touchant l’Administration
3. Sur le domaine économique
4. Sur le plan sécuritaire
C. A L’ENDROIT DES ACTEURS HUMANITAIRES
1. Une éthique à revoir
2. Concernant les ressources humaines
3. Sur le plan des réalisations d’actions techniques pour l’urgence ou pour le développement
. CONCLUSION
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